COCU. (1/1) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

• Regarde ma chatte te plaît-elle ?

C’est le MMS que je reçois de ma femme Angélique mère de mes deux enfants de 5 et 3 ans, épousé il y a 6 ans.
Angélique jolie petite blonde de 25 ans que j’ai connue encore vierge.
La photo que j’ai devant les yeux montre la blondeur de mon épouse prise semble-t-il au volant de sa voiture en selfie est suivi d’un texte qui me montre l’ampleur de sa tromperie.

« Ma chatte te plaît »

Texte amplement explicite alors qu’avec moi elle est pudibonde, refusant même de me sucer alors qu’elle adore se faire brouter.
Au début j’ai pensé qu’elle a voulu me faire plaisir me montrant qu’elle avait évolué et qu’elle attend de moi plus de hardiesse sexuelle mais après la photo je peux lire.

• Benoît, comme prévu rendez-vous à 17 heures à l’endroit habituel elle sera à toi, viens me chercher à mon travail.

Benoît, j’en connais un c’est mon meilleur copain, mon témoin de mariage qui vient régulièrement à la maison sans jamais me douter qu’il baise ma femme.
Nul doute qu’une fausse manœuvre faite avec son téléphone a envoyé son message sur le mien et non celui de ce salaud de copain.
Ou vont-ils ?
A 17 heures, je suis devant son ministère de l’autre côté de la rue et je vois que je suis dans le vrai quand lorsqu’elle sort elle saute au cou de son amant qui l’attend depuis 5 minutes ?
Ils partent à pied et tournent rapidement dans une petite rue où se trouve un petit hôtel spécialisé dans les 5 à 7.

Je les suis et après avoir récupéré une clef à l’accueil je la vois monter vers les étages comme pourrait le faire une pute montant son client.
Client allant même jusqu’à lui passer une main sous sa jupe lui caressant la moule ce qui me fait mal au cœur alors que moi je suis loin d’avoir ce droit.
Dès qu’ils ont disparu j’entre et je paye une chambre.
Au tableau deux clefs manquent la 2 et la 13.
Connaissant ma femme assez superstitieuse je demande si je peux avoir la 3 prenant le risque d’écouter les ébats d’un couple anonyme.
Je pense que c’est le cas car une porte de communication me permet d’entendre des mots impossibles d’être prononcée par Angélique.

• Tu vas encore me défoncer mon salaud je suis ta salope et tu le sais, donne-moi ta queue.

Il est impossible que de l’autre côté ce soit la mère de mes enfants qui laissent sortir de sa jolie bouche ces mots tellement orduriers.

• Putain, huit jours que je t’attends, il y a deux jours j’ai su trop tard que Christian avait rendez-vous en province sinon je serais venu te baiser dans ton lit immédiatement après avoir couché ma filleule qui est ma fille et mon fils.

C’est vrai, ce salaud est aussi le parrain de ma fille ce qui montre le degré de confiance que j’avais en lui.
Mais ai-je bien entendu à travers cette foutue porte, il a dit qui est ma fille et aussi mon fils.
Angélique a été engrossée par ce salaud et c’est moi qui élève ses bâtards, j’ai l’impression qu’il est un coucou qui vire les oisillons de mésange pour qu’ils élèvent ses oisillons.
Dans mon propre lit, c’est dans mon propre lit qu’il vient la baiser quand je suis absent montrant l’ignominie de ce soi-disant ami.
Change-t-elle les draps après avoir forniqué ?
Est-ce que je dors dans le foutre qui inexorablement même si elle lui nettoie sa queue avec sa bouche doit les maculer et quand je mets ma queue en elle reste-t-il des parcelles de sperme au fond de son vagin quand j’entre ma propre queue même si elle se douche après.

• Que tu suces bien, tu le suces aussi bien.

Un blanc le temps qu’elle le recrache.

• Tu sais que comme mon cul ma bouche t’est réservée.
Depuis le jour de mon mariage où tu m’as baisé dans les toilettes du restaurant me prenant ma virginité, ils sont à toi et j’ai toujours refusé qu’il s’en serve malgré l’envi qu’il semble porter à ces partis de mon corps, je te suis fidèle et tu le sais.

Moi qui croyais lui avoir pris sa virginité le soir de nos noces, je suis anéanti d’apprendre que j’étais cocu le jour même de mon mariage et que c’est lui qui l’a fait devenir femme puis mère.

• Allé redonne-moi ton joli bâton, tu vas me mettre en levrette tu sais que j’adore cette position.
Viens.

Les grands coups de queue que j’entends chaque fois que le bas-ventre de son amant tape sur son fessier qui est très mignon par ailleurs chaque fois que j’ai la chance de le voir me montrent la pute qu’il a dans ses mains alors que moi j’ai droit aux miettes de cette débauchée.

Entendre celle que je croyais être tout pour moi se comporter comme une chienne lubrique fait monter en moi un sentiment de revanche.
Je cherche ce que je peux inventer et je trouve, mon stratagème est parfait en me servant d’Internet.
En attendant j’ai droit à la totale quand ce fumier de Benoît lui prend l’anus.
Dès que je vais quitter l’hôtel je retournerais à mon travail où je vais réaliser cette idée qui m’est venue.

• Putain c’est gros mais j’aime quand tu me défonces.
• J’aimerais que tu divorces et que nous vivions ensemble, ça fait dix fois que je te le demande.
• Ça fait dix fois que je te dis que le pognions qu’il possède te permet de vivre sans rien faire à simplement attendre que je sois libre pour venir immédiatement me baiser.
Comment crois-tu que j’aurais pu te payer ta voiture de sport avec les seules heures supplémentaires que je fais au ministère et qui me rapporte un peu d’argent, alors choisi la vie facile loin de moi ou la vie de galère ensemble dans un appartement minable d’un quartier glauque ?
Moi j’ai choisi, continu à me pilonner le cul comme tu le fais sans m’emmerder avec tes états d’âme.

Une telle tirade une bite dans le cul, Angélique n’est angélique que par son prénom car en ce qui concerne le sexe elle semble être au top des salopes que je pourrais connaître si quelquefois j’en connaissais.
En plus de son cul Benoît me pique mon fric, il est vrai que dans ma banque je suis un tradeur reconnu et je me fais un paquet de fric.
J’en gagne tellement qu’il m’est inutile de contrôler.
Chaque fois à la fin du mois je regarde le chiffre de ma banque et je place le surplus sur des actions qui me rapportent de quoi vivre pénard jusqu’à la fin de mes jours.

• Regarde une fois de plus en resserrant mes sprinters autour de ta verge je vais arriver à jouir, tu es vraiment un bon amant, continu plus fort je viens, je suis là.

C’est comme cela que je l’entends prendre son pied.
Je suis vert de rage que ce soit une autre queue que la mienne qui lui fait atteindre ce niveau de plaisir qu’à aucun moment elle atteint avec moi.
J’en ai assez entendu, pourquoi me faire plus de mal qu’elle m’en a fait déjà.
J’ai juste le temps d’entendre.

• Rempli moi la bouche je veux boire la totalité de ton sperme, tu verras je vais tout avaler comme tu aimes et surtout comme j’aime.

Avant de rentrer chez moi, je m’arrête dans une épicerie où j’achète une bouteille de whisky.
Quand Angélique entre je suis couché sur le canapé la bouteille à la main aux trois quarts vides bourrés comme un coin ce qui m’évite de la voir allée se coucher son intimité rassasiée par la queue de son amant et père de mes enfants, à non là je fais erreur.
Au matin je me réveille avec la gueule de bois mais j’ai un travail à faire et après une bonne douche je pars avant qu’elle se réveille.
Sur mon chemin à quelques mètres de ma banque je bouscule sans le faire volontairement une jeune femme qui allait rentrer dans un hôtel, je lui paye un café au bar et constatant aux explications qu’elle me donne que cette fille est une pute je monte dans sa chambre et la prends en levrette comme Angélique semble bien aimer que Benoit la prenne.

• Tu semblais en avoir envie, j’ai bien aimé chaque grand coup que ta bite que tu m’appelles Angélique, je te donne ma carte de visite, tu peux m’appeler quand tu le veux moyennant mon petit cadeau il va sans dire.

Quand j’entre dans la salle où nous officions et où j’ai mon bureau derrière mes écrans, je viens de tromper ma femme pour la première fois depuis que je l’ai épousé et j’ai pris un vrai pied.
À la pause je cherche sur mon ordinateur et je trouve l’objet de mes recherches.
Je note le numéro de téléphone d’une agence immobilière qui va m’être utile pour monter ma vengeance.
Vengeance, je viens de lâcher le mot, ce que m’a fait Angélique est innommable, dans les jours suivants je finalise mon plan que dans le moment je vais mettre à exécution.

• Chérie, j’ai une bonne nouvelle, je t’invite à passer le week-end prochain dans la propriété que je viens d’acquérir en Normandie et ou nos enfants pourront s’épanouir, j’aimerais inviter Julien mon copain car j’aurais besoin de lui pour faire des travaux.

Angélique me saute au cou mais il m’est impossible de l’embrasser.
Le samedi ce salopard de Julien est là et je les emmène près d’Évreux.
Nous arrivons devant une vieille bâtisse dans le village d’Aulnay-sur-Iton.
Angélique est enchantée et je m’aperçois que chaque fois qu’elle peut se frotter à son amant sans avoir l’air dit toucher elle le fait.
Le soir j’ai fait venir un repas que nous prenons sur la terrasse aux chandelles avec une bouteille de champagne.
Le couple rigole bien et boit verres sur verres, on peut dire que le champagne coule à flots.

Il est presque minuit quand je porte l’un puis l’autre dans la chambre et que je les attache sur le lit par des menottes que j’ai apportées dans un sac.
Ils sont près pour que ma vengeance que j’ai voulu exemplaire s’applique.
Une à une des voitures et même trois motos avec des tatoués habillés de cuir entrent dans la cour, je reçois 13 hommes que j’ai contactés par Internet sur des sites libertins.
Chacun d’eux est là pour une action très précise.

• Messieurs, je fête l’anniversaire de ma femme et elle souhaite avoir une nuit orgiaque, vous êtes dix qui pouvez entrer pour l’éclater, faîte en une salope.
Les trois autres, mon copain a souhaité l’accompagner dans cette orgie de sexe et souhaite tâter de vos pieux, il est homosexuel et là encore éclatez-le.

Ils entrent et je les suis.

• Messieurs, voici les clefs de leurs menottes, éclatez-vous, éclaté les, quand vous les aurez laminés vous partez en laissant ouvert, le responsable de l’agence où j’ai loué cette demeure viendra fermé demain matin.

Je sors fière de ma vengeance et je prends ma voiture pour retourner à Paris.