Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Initiation (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Initiation (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Initiation (1/2)
Je m’appelle Cho, ce qui veut dire « Belle et Charmante » en Coréen du Sud, mon père était ambassadeur de son pays quand je suis venue en France à l’âge de 16 ans.
Était, car père et mère sont retournés dans notre pays me laissant à Paris dans les bras de Gaspard que j’ai rencontrés lors d’une de ses soirées que père m’obligeait à subir sous prétexte de montrer à toutes les personnes présentes comment sa fille, après un poste en Afrique ancienne possession française et des écoles francophones dans notre pays maîtrisaient cette langue.
Comment suis-je, une petite poupée aux yeux bridés, la peau aussi lisse que les fesses d’un bébé, mais ce soir-là, quand ce grand garçon fils d’un industriel que père veut mettre en relation avec des investisseurs de mon pays, c’est tout naturellement qu’il s’est approché de moi pour engager la conversation, deux coupes de champagne en main.

• Bonsoir, Mademoiselle, aimez-vous ce genre de soirée ?
• Non, c’est chiant, je préfère sortir en boîte.

Je sais pour une jeune fille ayant appris votre langue, employée « chiant » et un terme maltapropos, mais sous mon couvert sage, je peux trouver bien pire, « Chatte poilue, bite, salope, putain, enculé, sodomie, cocu, emmerdeur et même chienne lubrique ».
C’est Sonia, fille d’un homme un peu louche que j’ai fréquenté au lycée français de Séoul ou père étant retourné pour occuper un poste dans notre gouvernement avant de repartir ici qui nous les a appris.
Son père était marseillais et semblait trafiquer avec des personnages louches de mon pays, son père n’ayant pas eu d’éducation voulait le meilleur pour sa fille, mais son comportement semblant irrité nos enseignants, un jour nous avons appris qu’elle aussi était retournée dans leur pays.
Il n’empêche, que j’ai été une de ses bonnes élèves et qu’un très grand nombre de mots argotiques font partie de mon vocabulaire quand je suis hors du champ de mes parents.
Le repas terminé, père et mère occupés avec leurs invités, je monte discrètement dans ma chambre pour retirer mon Hanbok costume traditionnel usité de nos jours, mais que père tient à ce que mère et moi portions pour faire honneur à ses invités.
Tenue raffinée et discrète surtout que comme bon nombre de filles de mon pays, côté poitrine, je suis plus près des œufs aux plats que des obus de canon.
Jacques m’attend à l’extérieur, je le rejoins, il a une Porche Carera que j’aimerais conduire, mais un tel engin pour moi qui n’est mon permis que depuis deux mois risquent d’être trop puissants pour moi.

• Je connais une boîte ou seul entre du beau linge, le parton est un ami, veux-tu que je te le fasse connaître ?
• En route chauffeur, le patron, je m’en contrefiche, sauf s’il est mignon, mais la boîte, je suis partante.
• Crois-tu que je prendrai le risque de te présenter à lui, sais-tu ce que l’on dit sur les phoques ?
• Les phoques, je crois que j’ai entendu une histoire, mais je ne l’ai pas retenue.
• Pour faire simple, il préfère mon train arrière à ton petit cul.
• Je me souviens, il est pédé comme un phoque, peux-tu me dire ce que ça signifie ?
• Je suis loin d’être un puits de science, allons-le voir, tu lui demanderas.
• Tu me prends pour une débile, je ne me vois pas lui poser une telle question, fais-le-toi.

L’histoire du pédéraste en restera là, nous roulons vers les beaux quartiers où un chasseur récupère notre voiture.
Soirée sympa, ou je bois une coupe de champagne offert comme il se doit par mon chevalier servant, en ce qui concerne le phoque, il est en vacances à Saint-Tropez, avec son ami, sans « e » bien sûr.

• J’habite non loin, tu viens boire une coupe chez moi.
• Et je vais finir dans ton lit.
• Non, mon canapé, j’ai une seule pièce, je finis mes études d’ingénieur et mon père paye mon loyer.
• Et ta voiture, tu es un vrai play-boy, il doit en avoir à raconter.
• Qui ?
• Ton canapé !
• Parlons d’autre chose, es-tu vierge ?
• Comme tu le dis, changeons de sujet, tu dois savoir que je ne le suis plus, mais les circonstances sont cachées dans mon jardin secret.

Nous montons dans l’ascenseur et échangeons notre premier baisé, comme je le pressens, son canapé a dû en voir, car il embrasse divinement.
Il me déshabille.

• Tu es belle ma petite poupée chinoise, on en mangerait.

Pour me manger, il me mange, ma chatte passée au laser dans un institut parisien.

• C’est bien ce que j’ai dit, avec ton mont de Vénus, tu resteras toujours ma poupée chinoise.

J’ai envie de lui dire que les Chinois et nous cela fait deux, car entre nous il y a la Corée du Nord qui est source de conflits permanents, mais je suis là pour le sexe que j’apprécie depuis qu’une première fois j’ai pratiqué.

• Monsieur, j’ai l’honneur de vous demander la main de votre fille.

Nous avons bien baisé, sa queue dans ma bouche était de bonne taille sans être hors du commun.
J’ai failli être vexée, car j’ai eu du mal à le faire bander malgré la fellation et la masturbation que je lui ai fait subir.
J’ai réussi quant à deux doigts à éjaculer dans ma bouche, il sort pour m’enfourcher, je me libère, je préfère être prise en levrette, mon oncle ayant apprécié que je sois dans cette position, il est vrai que cela fait partie de mon jardin secret que je veux éviter de divulguer.
Une parole donnée est une parole donnée, seulement à lui bien sûr.

Dès la première fois, je jouis, il me prend lentement puis accélère avant de ralentir et de recommencer cela pendant un temps interminable, chez moi à Séoul, le frère de papa de vingt ans son cadet a été plus rapide, juste le temps de faire sauter mon pucelage dans le salon avant le retour de mes parents.
C’est malin, je vous ai tout dit, cela s’est produit une fois, c’est pour cela que j’en garde un souvenir diffus, j’ai juste eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait même si devenir femme m’est assez plaisant.
Pour preuve, je baise toute la nuit avec Gaspard ainsi que les nuits suivantes jusqu’à ce qu’il me parle de son envie de m’épouser et que j’accepte, mais lui imposant d’aller demander ma main à mon père.

Je dois la vérité, j’aime bien qu’il me fasse l’amour, mais mon cœur est loin de s’emballer comme j’en rêvais dans mon adolescence, je calcule simplement que je suis amoureuse de Paris et que pour demander ma nationalité française, il serait préférable quoique je sois fille d’ambassadeur, d’être l’épouse de.
Ça marche, ma demande remonte en haut du panier et je fais serment d’aimer mon nouveau pays quelque temps après avoir dit au maire que je serais fidèle à mon époux.
Comme je l’ai dit, je l’aime bien, mais je pense que je ne tiendrais pas dix ans avant de trouver d’autres beaux mâles qui apprécieront les petites poupées coréennes du Sud bien sûr et n’ayant rien à voir avec les chinoises.

Lors de mon mariage, je fais la connaissance d’un couple d’amis de Gaspard, Véronique et Adam, eux aussi sont bourrés de pognon étant la fille d’un grand groupe de super marché et lui d’un groupe d’électroménager.
Elle jolie fille blonde d'un mètre quatre-vingts, lui garçon ayant passé sa vie à s’occuper de son corps en plus d’étude de management, un jour papa prendra sa retraite, il doit être prêt.
Elle ne serait pas née avec une cuillère en argent, elle aurait pu être mannequin tenant le haut du pavé dans les défilés.
Nous dînons chez eux après notre voyage de noces à la réunion, ou j’ai pour la première fois, cocufié mon mari.
Un matin, il est allé faire du jogging, il semblait peu pressé de me sauter, j’ai commandé mon petit déjeuner apporté par un homme chocolat, de la tête à la bite que je me suis mise à sucer comme une morte de faim.
Quand il a eu la bite bien dure, comme j’étais nue, il m’a planté sans se poser de questions, ça tombait bien, moi non plus, nous n’avons pas eu la chance de recommencer deux fois pendant les quinze jours de notre séjour.
J’étais assez souvent seule, Gaspard quittant mon entrejambe pour des lieux qu’il se gardait secret, mon amant me suffisait et c’est tout naturellement que nous sommes retournés en France sans pour autant nous poser plus de questions.

• Parlons-nous de ton pays Cho, je suis une éternelle étudiante, je suis allé voir sur Internet, je savais que dans certains pays, les noms ont une connotation poétique, le tient veut dire « Belle et Charmante ».

En me disant cela, elle me prend discrètement la main avant de la lâcher précipitamment, ouf, les hommes n’ont rien vu, mais j’ai été troublé.

• Que faite vous en août, vous seriez libre la première semaine, mes parents ont une maison à Pontaillac, près de Royan avec dans le port un voilier de 18 mètres capable de traverser les mers qu’Adam aime barrer.
• Riche idée, si le temps le permet, nous pourrons rester la semaine à naviguer.
• Excusez, je reviens.

Gaspard revient en s’essuyant la bouche, nous acceptons, il aura fini ses examens et commencera à travailler avec son père dès septembre.
Nous partons tous les quatre dans la grosse Mercedes d’Adam pour arriver dans une villa, plutôt une propriété magnifique sur la grève où nous dominons la mer.

• Maintenant que nous sommes installés, je vous propose de partir en mer demain matin, nous avons de la chance, aucune tempête en mer pendant la semaine, nous serons dans l’obligation de trouver les vents porteurs.
• Excusez, je reviens.

Et que fait Gaspard, je suis toute chamboulée, car il y a cinq minutes, en passant derrière moi alors que je sortais des vêtements de ma valise, elle m’a fait glisser sa main sur mes fesses quand elle a longé mon corps.
Caresse furtive, comme si une aile de papillon m’avait frôlé me laissant un, peu insatisfaite.

• Voici, la bête, c’est l’un des plus beaux du port de Royan, c’est loin d’être le plus cher, je ne vous dis pas le coup de son entretien.

C’est à ce moment que Gaspard se retourne et nous restitue son petit déjeuner.

• Vous m’excusez, la mer et moi ça fait deux, quand j’étais petit mes parents mon inscrit pour faire du vaurien, je n’ai jamais pu mettre un pied sur le bateau, même à Paris et hier au soir, quand vous avez dit le mot mer ou bateau, je suis allé aux toilettes vider mon estomac.
• Véronique, Adam, donne-nous les clefs de la voiture et de la villa, nous irons à la plage, j’ai vu qu’elle était très belle.
• Non, Cho, tu peux partir avec nos amis, je vais lire, j’ai amené les derniers à la mode.
• Ok, voilà les clefs, dans la salle vidéo, sur le côté du meuble, tu trouveras un bouton, elle ouvre le côté du meuble, tu trouveras un max de D.V.D. porno, mon père est actionnaire chez « Marc Dorcel », il reçoit toutes les nouveautés sur le sexe.
• Tu vas t’amuser, j’en regarde de temps en temps, j’aime beaucoup les films avec des lesbiennes, Adam regarde les films gays.
• Tu es ignoble, dis que j’aime sucer des bites, dit que je suis gay !
• C’est vrai, je te taquine et toi Gaspard les bites dans le cul, aimes-tu ?...

Les avis des lecteurs

j espère, si je savais la suite...

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çà promet !



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