COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison I (1/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison I (1/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison I (1/5)
40 ans, mariée depuis 20 ans, la routine semble marquer mon couple.
Depuis quelques mois Damien mon mari perd l’habitude de venir m’honorer.
Mon corps à mon âge a pourtant tous les attraits du travail que je fais régulièrement pour l’entretenir.
Je vais dans une salle de gymnastique pour courir sur un tapis roulant, deux fois par semaine, avec ma copine Aurélie.
Ce qui m’exaspère c’est que mon homme semble devenir de plus en plus voyeur qu’acteur envers moi.

Je suis infirmière et je fais des efforts pour remédier à ce problème.
Pour exemple, j’ai amené de mon travail une de mes tenues l’adaptant au résultat que je souhaitais obtenir.
Blouse raccourcie ras la moule que j’entretiens régulièrement à mon institut de beauté où Laëtitia est devenue une amie.
Sans oublier la coiffe qui permet à mon uniforme de faire fantasmer tous les hommes.
Je la porte sans aucun sous-vêtement espérant qu’à tout moment sa main va venir s’égarer et que sa queue va se relever.

C’est le cas ce soir, quand je l’enfile espérant me faire enfiler.
Ce soir, j’espère que ce sera la fête à minette, à mes seins et tous les endroits que mon corps peut lui offrir.
Afin de mettre tous les atouts dans ma manche après avoir servi le repas, je viens m’asseoir sur ses genoux.
J’espérais, que sentant mon cul nu sur la braguette de son pantalon, je sentirais sa verge se redresser.
Hélas je constate qu’il est plus attentionné à regarder dans l’échancrure de ma blouse qu’à me les caresser.
Mes seins sans être gros tenaient assez bien dans ses mains du temps où il avait souvenir de leur existence.
Je me frotte autant que je le peux sans succès.

- Tu essayes ta nouvelle blouse de travail ?

Ce sont les seuls mots qui sortent de sa bouche, me glaçant littéralement.
Nous allons nous coucher, au bout d’un moment, j’entends qu’il dort en me tournant le cul.
Je me lève allant dans la salle de bain prendre un bain froid pour me rafraichir le vagin qui fond sous la chaleur qu’il dégage.
Je retrouve les gestes de mon adolescence où j’ai découvert que le jet de la douche m’apportait de la jouissance et mieux avec l’habitude un orgasme.

Le jour où il m’a dépucelé ces jeux mon paru fade et j’ai perdu l’habitude de le faire.
Ce soir je sors de cette douche très frustrée car malgré l’eau froide et la puissance maximum des jets mes chaires sensibles ont ressenti simplement une légère douleur.

« Sophie découvre son homosexualité. »
Ce matin de cette soirée et cette nuit frustrante, j’ai rendez-vous avec Laëtitia pour mon épilation.

- Bonjour Sophie en forme ?
- Tout pourrait aller mieux, mais je m’adapte.

Cette phrase qui sort de ma bouche doit lui faire comprendre le marasme dans lequel je suis.
Pourtant en période normale, je suis assez guillerette.
Elle me fait mettre rapidement sur le dos pour m’assouplir les muscles par un massage corporel en me mettant une serviette chaude sur la figure me cachant ce qu’elle semble avoir prémédité.
C’est quand ses doigts s’approchent de ma chatte que je sens une différence avec les autres fois.
Elle doit avoir capté mon désarroi sur mon visage et les gestes qu’elle aurait certainement évité de faire deviennent réalités.
Elle tente une première approche de mes lèvres intimes.
Voyant que je reste stoïque un de ses doigts s’attarde.
Elle doit voir le frisson qui me traverse.
Moi qui suis rentrée hétéro dans cette salle, je saisie sa main pour qu’elle s’applique le plus possible sur mon intimité.
Je pense que la serviette sur ma figure me permet de franchir le pas.
C’est naturellement que j’écarte mes jambes lui offrant entièrement mon abricot.
Il me reste un reste de pudeur à tomber dans les rapports saphiques !
Mais dès que je sens ses lèvres venir boire à ma source, naturellement elle entend les râles de plaisir qui montent en moi.
Moi qui aspirais à la queue de mon mec, vu son impuissance passagère à s’occuper de mes fesses autrement que par son regard sur mes seins, le cunnilingus que me procure Laëtitia me permets de ressentir une grande jouissance très près de l’orgasme tant convoité.
J’enlève la serviette et c’est moi qui place ma main sous sa blouse afin d’attaquer sa chatte que je trouve entièrement épilée.

- Donne-moi ta bouche s’il te plait.

C’est bien moi qui ai fait ce geste et prononcée cette phrase.
C’est elle qui m’encourage.

- Oui mets tes doigts, caresse mon clitoris, tu vas voir il part très vite.
Attention prend ma bouche pour amortir mon râle afin que ma patronne ignore que tu me fais jouir.
Elle serait jalouse, nous vivons ensemble.
Depuis le temps que tu viens ton corps m’a toujours attiré.
Tu aimes ce que je te fais ?

À quarante ans je découvre ma bisexualité.
Si j’aime le sexe de mon mari quand il arrive à bander, je peux donner et prendre du plaisir avec un sexe féminin.
Ma main à toutes les facilités à écarter ses lèvres vaginales et la faire plier sur ses genoux.
Au fond de moi un sentiment de frustration monte, car Damien est loin de mes jeux érotiques où j’aspire à ce qu’il participe quand nous sommes tous les deux.
Si ma sexualité évolue et explose sous les mains et la langue de cette grande brune c’est à cause du manque qu’il m’a apporté hier en oubliant de me baiser.
Pourtant j’avais fait de sérieux efforts.
Au moment où une nouvelle vague de plaisir me submerge, j’ai une pensée fugace, que dirait-il si à la place d’une femme c’était un homme qui me caressait ?

Dans un coin caché de mon cerveau, j’ai le souvenir d’une discussion que nous avions eu un soir où nous fêtions mon anniversaire, après avoir abusé du champagne.
Il a évoqué la possibilité que je fasse l’amour avec un autre homme alors qu’il me regarderait me faire enfiler.
Enfiler, dans notre ivresse c’est le mot qu’il a employé, c’est ce mot qui tourne en boucle depuis ce jour.
Ce soir-là le sommeil nous a rattrapés et au matin j’ai cru avoir rêvé, mon homme a bien dit souhaiter vouloir me partager.
Eh bien, c’est fait mais avec une femme, je me rassure en me disant qu’une femelle est sans queue et que c’est se faire pénétrer par une verge qui est trompée.
J’embrasse une dernière fois celle qui vient de me faire découvrir un nouveau monde dans la limite d’une table d’institut de beauté.

Je retourne à la maison confuse d’avoir cédé à mes plus bas instincts.
Il faut reconnaître que Damien l’a bien cherché en étant devenu indifférent à ma chatte.

Quand il arrive j’ai remis ma tenue d’infirmière, afin qu’il jouisse de mes attributs ce qu’il semble être la seule chose qu’il sache faire.
J’ai préparé un poulet au four que j’arrose fréquemment en me penchant lui montrant mes fesses et mon intimité qui bave d’envie.
Je sens ma mouille couler le long de mes cuisses mais sans pour autant qu’il y porte sa main.
Pourquoi je me refuse à lui demander à quoi rime son changement d’attitude. Serait-il devenu homo comme je suis devenue lesbienne ?
Un jour prochain va-t-il m’annoncer qu’il me quitte pour un mec ?
D’un autre côté quand je monte me coucher et qu’il dort déjà cela m'absous d’avoir des remords à ce que nous avons fait avec Laëtitia.

« Sophie confirme son homosexualité avec Aurélie. »
- Sophie, je viens te voir car après les fêtes, il est temps de reprendre le chemin de la salle de sport.
J’ai un peu abusé des chocolats et j’ai pris 350 grammes.
- Ma pauvre, je refuse de monter sur une balance.
Montre-moi, tourne-toi, si tu as grossi, tu le caches bien, j’aime toujours tes petites fesses.

En même temps que je lui dis ces mots, ma main se porte sur ses fesses.
Je la prends par la taille et gardant ma main sur son postérieur, je l’entraîne vers ma cuisine, souhaitant lui faire un café.
Elle est arrivée au moment où après avoir fait mon ménage, je sortais de mon bain ayant simplement revêtu mon peignoir.
Une ceinture permet qu’il soit fermé, un mouvement et elle se détache faisant apparaître un de mes seins.
Petit, mais joli, malgré mes 40 ans je suis encore capable de passer le test du crayon que l’on fait subir aux mannequins pour voir si leurs seins ont tendance à tomber.
Ils sont toujours fermes.

- C’est drôle, je les vois toutes les semaines sous la douche à la salle et de les voir de si prêt j’ai envie de les prendre dans ma bouche.
- Pourquoi hésites-tu ?
- J’ai peur de perdre ton amitié par un geste déplacé.
- Tu sais, je dois t’avouer quelque chose.

Et je lui raconte toute mon évolution lesbienne avec Laëtitia à l’institut.

- Tu as raison, laisse-toi aller, tu sais que Marion m’a quitté et que depuis cinq mois mon corps est resté sage, enflamme-le.

Elle me tend sa bouche, je la gobe avec envie.
Je retrouve très rapidement les sensations éprouvées avec Laëtitia lorsqu’elle pose la main sur mon sein qui s’érige immédiatement.
Ma peau est parcourue d’un doux frisson qui me procure bien du plaisir.
Je suis inexperte, mais Aurélie l’est pour deux et connaissant parfaitement la maison elle me tire vers elle faisant tomber mon peignoir dans l’escalier pour m’emmener vers ma chambre.

- Déshabille-moi, si je te saute dessus j’ai peur de te faire mal.
J’ai tellement vécu ce moment depuis que je suis seule.
Je rêvais de toi sans savoir que je pouvais franchir le pas et j’ai peur d’aller trop vite.

Elle a raison, je suis aussi dans une excitation telle, qu’un à un, ses vêtements s’envolent, me permettant d’attraper un de ses seins dans ma bouche.
Son 95C et surtout ses tétons qui ressemble à des tétines de biberon deux fois plus grosses lui apporte à elle aussi un frisson qui lui fait tendre le dos l’enfonçant plus profondément.

- Mords-le, fais-lui mal, non massacres les !

Je suis plus douceur que sado dans mes rapports avec Damien.
Même si j’aime de temps en temps quelques claques sur mon fessier quand il me prend en levrette.
Erreur, quand il me prenait en levrette.
Je profite du corps qui m’est offert pour rattraper les quelques jours où mon mari oublie l’existence de mon cul.
Surtout quand je lui mets sous le nez ou sur la bite en m’asseyant dessus.

- Vas-tu souvent te faire épiler ?
- Non, je l’ai fait au laser, deux séances et c’est radical.
C’est onéreux mais efficace.

C’est au moment où je commence à la sucer, que je sens qu’elle va jouir.
Son corps retrouvant rapidement ses pratiques lesbiennes perdues après le départ de Marion son ancienne maîtresse.
Je pense que je préfère continuer d’aller voir Laëtitia que de confier ma chatte à un laser…

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