COLLECTION FANTASME. Jeu de con (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. Jeu de con (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. Jeu de con (3/3)
Avec Radia ma femme, française d’origine marocaine, nous étions mariés depuis 15 ans et nous pouvons dire qu’à 35 ans, sexuellement on avait presque tous essayé sauf la violence.

Je suis incarcéré pour trois ans pour proxénétisme aggravé sous les affirmations de Radia mon ex-femme dont j’ai divorcé en prison.
J’ai enfin, c’est elle qui l’a fait.
Je travaille la bibliothèque de cette prison de Bourgogne quand on me demande au parloir.
C’est Nouzha l’une des clientes de mon ex qui est venue à mon procès que je ne jouais pas un jeu de con mais que je prostituais ma femme pour pouvoir jouer au PMU tous les dimanches.

À la bibliothèque j’ai des clients peu fréquentables, Paul le vrai mac lui en fait partie.
J’ai toujours eu l’envie de vengeance envers Radia, c’est Nouzha me donnant les renseignements nécessaires d'où elle était à Paris que je rencarde Paul pour qu’il assouvisse sa vengeance.

- C’est fait Christian, mes potes ont récupéré ta salope, elle a commencé il y a trois jours dans mon bar à pute de Dakar, c’est là-bas que nous envoyons nos jeunes femmes récalcitrantes sur Marseille.
Quand ta salope m’aura permis de me remplir les poches à distance en se bouffant des dizaines et des dizaines de bites noires, elle saura ce qu’être une pute veut dire.
Tu sais j’ai adoré Apollinaire, je l’ai déjà lu trois fois.

Voilà tout va bien dans le meilleur des mondes, même en prison.
Côté Nouzha, j’ai tenu parole et à chaque visite elle me tape une pignole en me terminant dans le mouchoir qu’elle apporte.
La première fois le gardien se marrait à la voir essayer d’essuyer sa main et son avant-bras maculer de mon sperme.
Les gardiens, Paul sait comment faire avec eux et c’est tout juste si je n’arrive pas à sauter ma petite femme sur la table.
Elle me paluche, je la paluche et chacun d’eux ne voient rien, plus tôt il se rince l’œil sans le faire voir.

- Christian, je t’ai à la bonne ta femme me rapporte un maximum de pognon, elle se fait des dizaines de bites par jour, aujourd’hui ta petite Nouzha vient te voir !
- Oui Paul.
- Voilà comment les choses vont se passer, tu seras seul dans une salle or des autres visites, un gardien, devant la porte, voilà ce que tu pourras faire.

Je finis par penser que Paul est le directeur de la prison, fournit-il des salopes à ces messieurs, je m’en fiche.
Je suis protégé et surtout vengé de la femelle qui m’a fait enfermer.
En plus, je suis de plus en plus amoureux de celle qui est à genoux devant moi et qui a mis ma bite dans sa bouche.
Le contact de sa main était déjà divin, celle de ses lèves et de sa langue titillant mon gland encore plus.
J’ai droit à une demi-heure, je veux en profiter à fond, je me vois mal lui remplir la bouche et me retrouver comme un con pendant vingt minutes.

- Merci Nouzha si j’avais une bague je te demanderais en mariage.

Elle ne peut pas me répondre, ses yeux se lèvent vers moi et ses yeux se mettent à briller.
Dans la salle commune nous nous sommes déjà embrassés mais malgré que sa bouche soit remplie de mon sperme je la sers dans mon bras ma main lui caressant les seins.
Comme je suis placé je vois notre garde se retourner furtivement regardant par la petite vitre de la porte.
Ce soir bobonne va avoir droit à sa part de bonheur après ce qu’il arrive à voir par intermittence.
J’espère qu’elle n’a pas ses ours car sinon il devra se taper une petite Radia.

Nouzha me quitte avec regret, mais avant qu’elle parte, je m’agenouille.
Je me vois quelques années en arrière, il est vrai que Radia et Nouzha prénoms du pays du soleil sont proches et je manque de prononcer le mauvais.

- Nouzha veux-tu m’épouser.

Elle me saute de nouveau au coup, pour la première fois je sens sa chatte au niveau de mon sexe que j’ai hélas remis dans mon calbute.

Ma petite femme, je l’ai épousée il y a deux semaines.
Pas le curé, les bondieuseries et moi ça n’a jamais gazé.
Juste un officier de l’état civil pour enregistrer notre consentement.

- Christian !
- Oui.
- Nouzha !
- Oui.

C’est fait, il n’y a plus qu’à consommer notre nuit de noces.
Conformément à la loi, l’un d’eux nous a préparé la chambre nuptiale dans l’unité familiale où nous avons été enfermés.

- Christian, merci de n’avoir rien dit, je suis intimidé de me retrouver avec cette bague au doigt, quand j’ai ôté celle que m’avait passé mon ex, je ne pensais jamais en remettre une.
Bientôt tu sortiras et nous nous retrouverons chez moi pour des weekends en amoureux.
Je te préparerais des bons petits plats avant ta libération définitive.

C’est comme ça que la première fois et pour une nuit, je la voie nue et que je puisse lui brouter la chatte avec délice.
C’est drôle, je suis intimidé moi qui ai tout fait avec Radia et qui est toute faite à Radia allant même, je dois le reconnaître jusqu’à la prostituée méritant en cela la peine infligée par la justice des hommes.
J’ai de la peine à bander bien que mon épouse me suce divinement.
Mais enfin au bout de la nuit, je bande suffisamment pour être en elle et la faire jouir.
Je serais bien resté une nouvelle fois dans son sexe mais à l’heure dite, j’ai réintégré ma cellule puis la bibliothèque.

- Alors Christian, tu as épousé ta nouvelle épouse, tu as de la chance, une nuit de sexe, j’en rêve.
- Tu vas avoir une perme bientôt continue à te tenir pénard et tu pourras retrouver la douceur d’une chatte féminine.

Je suis sorti trois fois avant d’être libéré.
Entre-temps, Nouzha a eu une mauvaise nouvelle.
Son grand-père resté au Maroc est décédé.
Ma femme est sa seule famille, elle m’annonce qu’elle hérite.

Une fois libérés, nous traversons la Méditerranée pour nous rendre dans les montagnes où il vivait dans une grande maison entourée de champs à perte de vue.
Beni Ahmad région de Chefchaouen c’est là ou par mon mariage j’hérite de cette terre que je peux admirer à perte de vue.
C’est bientôt le ramadan et la Aid Al Adha fête du sacrifice le 11 août ou nos moutons élevés par plusieurs de nos fermes tenues par des couples vont être mangés.
Chaque éleveur a une centaine de mâles qui s’occupe de toutes leurs femelles nous donnant des centaines d'agneaux.
Nouzha hormis les terres est riche en millions de dirhams, dans l’attente de cette fête son grand-père venait de vendre 35 000 têtes de ces bêtes 1 000 dirhams pièce.
En ce moment je suis devant la maison Nouzha me suce la queue avant que je ne la prenne en levrette.
J’ai retrouvé ma puissance de feu d’avant mon incarcération.
Il faut dire qu’elle a beaucoup d'appétit sexuel.
Un simple exemple, sur le côté de la maison je peux voir la Mercedes flambant neuve avec des sièges en cuir fauve.
Je l’ai baisé sur le siège arrière.
Il va falloir que je retourne au garage les changer tellement elle a mouillé.
Pendant qu’elle me suce en me regardant dans les yeux, mon téléphone sonne.

- Paul, c’est toi, oui je t’ai appelé, j’ai appelé le numéro il y a une demi-heure en laissant un message pour que tu me rappelles.

Les portables, Paul en a plusieurs à sa disposition.
Avant ma libération il m’a donné un numéro ou appelé et dans la demi-heure il doit me répondre sa marche.

- Qu’est que je fais !
À part Nouzha qui me suce nous comptons nos moutons.
Et toi !
Tu vas avoir une permission.
Tu as demandé à tes hommes de te ramener Radia pour ces deux jours.
Tu veux baiser une salope à la large chatte car tu as les couilles tellement pleines qu’il te faut un vrai garage à bite.
À Dakar on t’a prévenu qu’il n’était pas rare qu’elle se prenne trois quatre démonte pneu en même temps.
Si je veux la partager avec toi.
Non, j’ai ce qu’il faut avec ma femme.
Inutile d’insister, je ne veux surtout pas réaliser des fantasmes et jouer un « jeu de con » avec l’amour de ma vie.
C’est ça, on se rappelle, au revoir Paul.

Voilà, je relève Nouzha avant qu’elle ne se place en levrette.
Objectif un bébé dans les meilleurs délais quand dame nature l'aura décidée.
Ici, il aura assez d’espace pour qu’il s’ébatte.

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