COLLECTION HISTOIRE COURTE. Stupeur (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Stupeur (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Stupeur (1/1)
- Bonjours mademoiselle, merde Magalie !
- Tonton, parrain.
- Entre que fais-tu là ?
À oui, quand je vois ta tenue, tu es la pute que j’ai engagée par Internet.
- Tonton attend, je vais te dire !
- Inutile, entre, j’ai commandé une escorte sur un site sans voir ton visage simplement ton corps et j’ai devant moi celle qui jusqu’à ce jour était ma nièce, mieux ma filleule.
- Je vais partir Tonton Christian.
- Et tu me laisserais là en plan contre toute déontologie du monde des putes.
Tu es venue gagner du fric, le voilà.
Excuse de te le donner comme ça je donne toujours mon fric aux putes sans enveloppe.

Je sors du peignoir les 500 € réclamés au téléphone à celle qui m’a parlé ayant un accent étranger.
Je lui balance au visage.

- Voilà vous êtes payée mademoiselle, sucez-moi la queue.
- Mais Tonton.
- Ici tu vois un tonton et je vois une pute que je viens de payer pour la baiser.
- Mais Tonton.
- Suce.

Elle se baisse et prend mon sexe dans sa main.
Ma filleule a un joli petit cul dans sa jupe ras la chatte s’agenouille et le met dans sa bouche.
Je sais je suis un fumier de me faire sucer par la fille de ma sœur de 20 ans qui pour elle est une jeune étudiante à la fac de Nanterre.

- C’est bien, dite mademoiselle Julia, vous avez de l’expérience pour votre jeune âge, j’ai bien fait de vous choisir.

Elle me lâche le sexe qui est aux trois quarts bandé.

- Tonton.
- Fermez votre gueule Julia, soulevez votre jupe et mettez-vous à genoux qu’on en finisse.
Je vais vous baiser.

C’est sur le devant de la chambre la porte refermée quelle soulève sa jupe se mettant en levrette.

- Tiens un souvenir de ce passage dans cette chambre, ça sera plus facile pour vous baiser !

Je lui arrache son string rose quand je tire j’aime son petit nœud rose lui aussi sur le dessus.

- Tonton.

Avant de lui répondre, je me place derrière elle et je la pénètre.

- Allez tortiller du cul comme une bonne salope sait le faire.

Elle doit avoir quelques heures de vol la filleule car c’est elle qui fait marcher son bassin pour que je la pénètre le plus profondément possible.

- Ah !
- C’est bien, vous êtes une bonne pro, mais les râles de plaisir faisant croire à votre client que vous êtes en train de jouir, vous pouvez vous en passer.
- Ah, ah, oui tonton.

Merde je fais jouir ma nièce faisant la pute.
À 35 ans, célibataire me payant des putes car mon travail bouffe tout mon temps et surtout car pour moi les femmes ça se baise et ça se jette avec entre nous quelques billets régissant la situation.
J’avais dix-huit ans quand j’ai baisé ma première pute à Toulon dans le quartier de Chicago quand je faisais mon service militaire.
Depuis régulièrement je vais, pardon j’allais dans les quartiers chauds me payer des chattes pour me vider les couilles.
J’arrive à mon âge et ces quartiers je les évite la police traquant les clients de ces filles de bar ou de rue.
Heureusement est arrivé Internet et ces sites se multipliant au fils des besoins des hommes sans grand risque, je suis devenu un consommateur à des passes contre de l’argent.
Je gagne bien ma vie et j’en commande en moyenne une par semaine.
J’ai des moyens mon entreprise de travaux publics va du feu de Dieu et dégager 2 à 3 000 € m’est facile pour un célibataire comme moi.

- Je pars.
- Tonton.
Ah, je jouis !

Je décharge sous les cris de plaisir de celle que j’ai fait jouer sur mes genoux sans savoir qu’un jour je la baiserais dans cet hôtel contre monnaie trébuchante.

- Ramassez votre fric et tirez-vous.
Il se peut que je vous rappelle dans les jours prochains, j’ai beaucoup aimé vous baiser.
Dites, c’est combien pour vous sodomiser ?
Car je pense qu’en bonne pro vous acceptez la sodomie.
- Tonton.

Elle se lève, ramasse son sac et sors en courant laissant sa paye sur le sol sans fermer la porte.

C’est le dimanche que je retrouve mon petit bébé d’amour.
C’est ainsi que je la nomme depuis qu’elle a grandi sans savoir que je retrouverais ma filleule en pute au bout de ma queue.
Chaque dimanche, je mange chez ma sœur depuis des années.
Elle me serine pour que je trouve une gentille petite femme qui me fera des enfants.
Mais moi vous savez ce que j’aime depuis la première fois où Miquette m’a dépucelé dans sa chambre où elle tapinait à Toulon.

- Parrain s’il te plait.
- Tu as quelque chose à me dire.
- Tu sais !
- Non.

C’est entre deux portes que nous échangeons ces quelques mots.
Nous passons à l’apéritif.

- Tonton vient, je veux te parler.

Nous sortons sur la terrasse ensoleillée en ce mois de juillet.

- Voilà, j’ai arrêté, va sur le site, mon annonce a disparu.
- Pourquoi as-tu fait ça ?
- Pour éviter ces repas du dimanche et pouvoir m’émanciper de la manière dont ma mère a construit sa vie.
C’est une morte vivante et je veux me sentir vivre.
J’en ai ras la casquette de leur repas du dimanche avec son sempiternel gigot qu’elle a toujours fait trop cuire.
- À table, le gigot sera trop cuit si vous traînez dehors Christian.
- Oui Annabelle on arrive.

Nous nous installons depuis 20 ans qu’elle est mariée, je m’assieds à la même place rejointe par ma filleule quand elle a été en âge de manger avec nous.
Elle porte une jupe écossaise comme la petite fille sage que je connaissais avant de la baiser dans son rôle de prostituée.
Elle porte un chemisier dont je connais bien ce qui le remplit bien que dans la chambre elle l’a gardé.
C’est sur cette terrasse qu’elle se met les seins nus pour se faire bronzer et que je pouvais les admirer dans toute leur splendeur.
Je suis sur son côté, elle a ouvert son chemisier et je vois le bomber de l’un d’eux me faisant envie.
Je suis à la limite de bander bien que je l’aie fait jouir.

- Avant de commencer, Paul et moi avons une annonce à vous faire.
- Tu es enceinte.
- Comment le sais-tu, nous avons passé une échographie il y a deux jours car j’avais un retard de règle ?
- C’était pour plaisanter.
Bravo Paul à 40 ans, j’ignorais que tu en avais encore dans les couilles.

Mon beau-frère toujours égal à lui-même ferme sa gueule.
Depuis que je le connais il est l’homme le plus discret de cette maison.

- Magalie, tu as 20 ans, dans peu de temps, tu vas rencontrer un gentil garçon qui t’épousera et te fera des bébés.
On se serrera un peu, jusque-là.
- Non Annabelle, tu as l’habitude de tout décider à la place des autres, mais là il y a des choses qui te dépassent.


Je vois Magalie se décomposer, elle doit se dire que je vais tout dire à sa gentille maman sur les passes qu’elle fait pour briser les tabous de cette famille.
Sur un million, combien de chance avait elle de tomber sur le seul client qu’elle devait éviter.
Pouvait-elle savoir que je me contentais de pute pour ma sexualité.

- Non Annabelle, sur la terrasse nous finalisons mon projet devenu le mien.
J’ai vendu un bon prix mon entreprise de travaux publics pour en racheter une autre à Marseille.
Sans savoir que vous auriez besoin de place, Magalie a accepté de venir vivre au soleil dès la rentrée.
Je l’ai inscrite à la fac et elle s’occupera de son parrain.
C’est vrai ma gentille filleule.

J’ai dans la main une petite culotte rose avec laquelle je joue, seule Magalie peut la voir.
Elle rougit.

- Oui tonton, je vais bien prendre soin de toi.
- Voilà tout est dit sœurette.

Tout est dit, pas entièrement.
Magalie a arrêté ses études pour deux choses.
Elle est mon bras droit aux chantiers et enceinte de notre fils que nous allons appeler Christophe.
Magalie voulait que le prénom de son fils soit proche de celui de son père.
Bien sûr on a caché à Annabelle que Tonton et filleule couchaient ensemble.
Pour tous, Magalie est sortie un soir a rencontré un homme qui l’a engrossé sans laisser d’adresse.
Et parrain a accepté de l’élever.
Elle arrive tout à l’heure pour m’aider jusqu’à la naissance de son neveu ayant elle-même eu une fille Juliette restée à Paris avec son père.
Ni vu ni connu, nous allons la gruger et comme tout à l’heure, je prendrais Magalie en levrette notre position favorite.
Ça nous rappelle de bons souvenirs.
Une dernière chose, j’avais gardé les billets, ils ont servi pour meubler la chambre de bébé.
S’il savait comment sa jolie maman les avaient gagnés.

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