COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (19/21)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (19/21) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(19.0 / 10)

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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (19/21)
La chantilly, depuis que j’ai rencontré Baby, pour sa grand-mère et Daniel pour Émilie et David ses parents, architecte de son état journalier, elle prend beaucoup d’importance.
Pour commencer sur les choux à la crème péché mignon de mon amour naissant mis dans son frigo par belle-maman.
Belle-maman loin de là, il faudra d’abord que je termine la tournée jusqu’au 31 juillet avec maman et Cécilia notre jeune vedette avant de revenir à Bordeaux m’amuser avec l’homme de ma vie.
Qui l'eût cru lorsque je l’ai vu dans sa piscine se laissant caresser par Bijou puis sur sa queue que je badigeonne avant de la sucer pour la nettoyer.
Lorsque nous sommes entrés dans son appartement sa queue ma prise me faisant jouir.
Je le pompe en gorge profonde en rajoutant de la chantilly l’aidant à coulisser dans ma bouche jusqu’à ses couilles avec le goût sucré jusqu’à son éjaculation.
Je mange et je bois en même temps.
Jusqu’à ce que nous nous blottissions dans les bras l’un de l’autre au cours de cette nuit malgré les grandes baies vitrées que j’ai devant moi me montrant que c’est la pleine lune.
J’en veux encore, mais je sens qu’il faut qu’il recharge ses batteries.

- Dis, ta grand-mère, ça semble un sacré numéro.
- C’est peu de le dire, si je te racontais ce que je sais de sa vie, j’en serais au début quand je devrais te ramener à ton bus qui t’emmènera loin de moi.

Je me loge plus amoureusement dans ses bras.

- Si tu as le temps et si tu veux que je reste, on a le temps, c’est notre journée de repos et nous repartirons demain soir pour rejoindre Agde et jouer après-demain à cinq heures.
- Alors voilà, Baby, pardons, ça m’arrive encore de dysfonctionner.
Mamy donc avait 16 ans quand elle a rencontré un jeune homme un peu basané venant du soleil levant.
Elle en est devenue follement amoureuse au point, quand ils ont fini leurs études de le suivre au Qatar où son père possédait des champs de gaz et de pétrole.
Elle a vécu dans un palais des mille et une nuits.
Il l’avait épousé en France au grand désarroi de son père étant de religion différente de la leur.
Ce que je sais c’est qu’à un moment la situation s'est calmée entre eux.
Un jour j’ai entendu maman dire qu’elle était peut-être la fille du père avec lequel elle avait des rapports sexuels.
La jeune Française faisait scandale car il semblait qu’elle avait la cuisse légère.
Je veux bien le croire quand je vois à son âge comment elle gobe les jeunes garçons les uns après les autres.
Elle venait d’apprendre qu’elle était enceinte quand le père est mort et que le fils a pris la charge du harem de son père et de sa femme.
Les puits donnaient à fond et leur rapportaient de quoi vivre largement.
Un harem, il a eu le sien géré par ma grand-mère.
Dans ces lieux, elles vivaient entre elles et dans le libertinage lesbien.
Maman en a été témoin élevé par ces femmes.
Il y a eu la guerre du golfe et la mort de son mari au champ d’honneur.
C’était en 1990 et maman et grand-mère ont quitté le pays revenant en France.
Son mari mort, Baby, pardon Mamy est retournée défendre ses droits d’héritage qui par chance ont abouti en 1995 après un changement de loi dans ce pays.
Elle a rapidement libéré les femmes de son beau-père et de son mari et a vendu tous ses champs pétrolifères et gaziers à notre grande compagnie nationale.
Elle est blindée de fric, tu as vu, elle roule en Ferrari.
- Elle a dit qu’elle retournait à Biarritz.
- Elle habite là-bas.

Depuis qu’il me parle, je lui caresse la queue, il bande de nouveau.

- Attends, je parle, ça donne soif.
- Regarde comment j’aime boire le champagne.
Allonge-toi !

Je fais ce qu’il me dit.

- Ah ! c'est froid.

Daniel m’a versé du champagne à la hauteur de mon nombril.
Il a posé sa bouche sur ma chatte entre mes cuisses buvant directement à ma source.
Champagne et cyprine, sa langue lapant tout ce qu’il peut caressant mon clitoris qui après la surprise du froid se met à s’exciter.
Dans le même temps, il me met le goulot vers ma bouche et m’abreuve à l’aveugle.
Le liquide coule dans ma bouche hors de ma bouche.
Sur mon nombril hors de mon nombril.
Dans ma chatte, dans la bouche de mon amant mais aussi dans les draps qui doivent être maculés.
Une nouvelle fois, cette situation bien nouvelle pour moi m’apporte une jouissance qui me donne autant de plaisir que celui que Daniel a pris quand il a giclé dans ma bouche.
C’est sa bouche sur ma chatte que je m’endors repu de sexe et de champagne même si ce sont quelques gorgées que j’ingurgite.

J’ai chaud, je brûle, j’ouvre un œil c’est le soleil qui me chauffe la moule.
Daniel gît à mes pieds ayant bougé dans le sommeil qu’il a submergé lui aussi.
J’ai envie d’aller faire pipi.
Faisant attention je me lève sans le réveiller et je cherche les toilettes.
Non, là c’est la cuisine.
J’ai soif.
J’ouvre le frigo.
Celle que j’espère être ma future belle-mère sait cajoler son bébé.
Rien que des choses fines.
Plats préparés fins, types lotte, coquille Saint-Jacques ou cenelles de homard.
Ce qui me surprend c’est le champagne.
Sept bouteilles plus celle qui me tend le ventre le sucre me collant la peau, il y a de quoi s’amuser.
Aucune bouteille d’eau.
Je trouve un verre, le robinet et c’est avec délice que je bois cette eau même un peu tiède.
Comme un chat, Daniel est dans mon dos.
Il m’enlace, je tourne ma tête et je l’embrasse.
Sa verge est sur mes fesses.
Quel homme, il bande.
Il m’entraîne sur la table me réfrigérant les seins sur le plateau transparent.
J’écarte mes cuisses, sa verge retrouve mon fourreau qui est déjà dès le matin.
Pardon l’après-midi la fatigue nous ayant gagnés nous obligeant à récupérer.
Il me laboure à deux vitesses, vite, moins vite, plus vite voire à la vitesse de sa Porche hier sur l’autoroute.
Bref, j’adore être un peu bousculé jusqu’à un nouvel orgasme.

- Veux-tu du café ?
- Oui, mais avant emmène-moi sous la douche, avec tes bêtises je colle de partout.

Il vient de me faire jouir et bien que nous soyons ensemble dans sa baignoire.
Je prends conscience que le concept de cet hôtel particulier a dû être conçu par lui et ses équipes.
Tous les meubles, le lit, dans la cuisine, la table et les chaises sont dans la même matière transparente.
La baignoire est identique au reste du mobilier on doit nous voir dans toute notre nudité.
J’en ai vu à la télé dans une publicité sans savoir qu’un jour ce serait moi qui serais dans l’une d’elles.

- Raconte-moi, nous avons déliré hier avec le champagne pour mon plus grand plaisir.
Je te demandais si ta grand-mère habitait à Biarritz.
Oui, quand elle a définitivement quitté le Qatar, elle s’est installée à l’hôtel du Palais bien connu sur la côte à Biarritz.
Elle a une suite à l’année avec une vue sublime sur la grande plage dans ce genre de vaisseau qui est inscrit au monument historique.
- C’est à quelle distance, de Bordeaux ?
- 200 kilomètres.
- Elle a dû rentrer tard avec Baby.
- Un peu plus d’une heure.
- C’est impossible, les limitations de vitesse.
- Elle a gardé un petit pied à terre à Doha et sa Ferrari y est immatriculée.
- Les Pv arrivent là-bas et l’administration est incapable de faire quoi que ce soit.

Nous sortons de l’eau, il m’essuie, je l’essuie.

- Viens sur la terrasse je vais t’apporter ton petit déjeuner.

Quand repassant par la chambre, il me fait passer la porte-fenêtre la vue que je découvre est inimaginable.
Quelle chance je vais avoir quand il aura mis un genou au sol pour m’offrir ma bague, de vivre dans une telle maison et surtout une telle vue…

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Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (19/21)
Histoire sexe : Une rose rouge
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