COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4)
Après avoir découvert que j’étais masochisme, Vivian et moi venons d’acheter une ancienne maison viticole dans laquelle une cave voûtée va me permettre d’assouvir mes besoins de souffrances pour mon corps.
C’est involontairement que j’ai réveillé ces instincts que certains disent malsain mais qui me sont de plus en plus nécessaires pour atteindre des jouissances montantes crescendo au fil de ce que Vivian accepte d’inventer pour me satisfaire.
J’étais attaché dans une pièce dans notre appartement de Beaune quand mon homme est venu me chercher pour me faire faire une balade dans le coffre de notre voiture entièrement nue.
J’ai eu peur qu’il ne m’ait abandonné dans le bois où une première fois il m’a fait connaître des plaisirs et surtout la peur d’une course folle dans les orties et les ronces qui ont déchiré mon corps avant de me prendre sauvagement dans une clairière pour mon plus grand bonheur et aussi le sien.
Au même endroit où il s’est arrêté la première fois il m’a fouetté avec une brassée d’ortie avant de me remettre dans mon coffre et de me conduire à un endroit inconnu alors que je pensais rentrer à la maison.
Je suis persuadé qu’après cette promenade Vivian me ramène chez nous à Beaune mais nous roulons trop peu de temps pour revenir à notre point de départ.

Quand le coffre s’ouvre, que sans un mot on me fait descendre m’intimant l’ordre à coups de cravache de me mettre à quatre pattes comme une petite chienne docile et que l’on me fait avancer sur du gravier puis des pierres lises et froides pour mon plus grand plaisir, ce sont les marches que je descends qui commence à me faire penser ou Vivian me conduit.
La cagoule m’empêche de le voir et de voir si j’ai bien compris l’évolution de ma vie mais il semble vouloir que je la garde afin que le noir ou je sois plongé entretienne le mystère de ma nouvelle condition.
Il est vrai que depuis que nous avons acheté notre nouvelle maison et surtout sa cave il est venu régulièrement, m’écartant de son organisation.

Une porte qui s’ouvre me ramène dans le monde réel et je sens mes mains puis mes mollets qu’on attache avant que des bruits de moteurs me retournent et me font reposer sur ce qui doit être une planche sans aucune protection et qui agresse mon dos.
Les moteurs s’arrêtent quand mes bras et mes jambes sont écartelés légèrement relevé.

J’ai honte de la position que mon mari me fait prendre sans que je puisse m’y opposer.
Je suis écarté et offert à qui veut de moi, même si je reste persuadé que Vivian qui m’a de nombreuses fois prouver son amour se garderait bien d’ajouter à notre couple un élément extérieur.
C’est ce que je pensais jusqu’au moment où une langue vient me sucer la chatte et qu’il me semble qu’elle tourne différemment sur mon clitoris.

Quand je crie que je refuse qu’une tierce personne participe à nos jeux la cagoule étouffe ma voix et ce sont carrément quatre mains qui se plaquent sur mon sexe et ma poitrine.
La sensation de honte d’être offerte à qui veut de moi fait place au plaisir que l’on me procure et la jouissance qui m’emporte balaye toutes mes réticences et mes cris de refus font place à des cris de plaisir.
Les doigts qui viennent de pénétrer en moi sont d’autant plus existants que j’ignore à qui ils appartiennent, Vivian ma souvent doigté depuis le premier jour où il m’a fait l’amour et je sens qu’ils sont plus fins comme s’ils appartenaient à une main de femme.
Vivian a-t-il pris une maîtresse, considérant que je suis une femme de mauvaise vie depuis que je lui ai fait voir mes penchants masochistes.
Un jour va-t-il m’abandonné dans ma cave et vais-je mourir d’une longue agonie ?

La dure réalité de ma condition m’est rappelée quand un coup de cravache m’est asséné sur ma chatte sans défense suivie par ce qu’il me semble être des feuilles que l’on frotte dessus.
Au début, j’ai l’outrecuidance de penser que celui ou celle qui m’a frotté avec ses feuilles est loin d’être à la hauteur quand une brûlure monte crescendo car ces feuilles devaient être des orties.
Vivian doit avoir apporté ceux qui m’ont flagellé tout à l’heure et que je sens encore me chauffer le fessier.
Je sens que l’on m’enlève ma cagoule et enfin je vais pouvoir regarder comment Vivian a aménagé la cave.
Peine perdue, car la salle est dans le noir et même quand la porte se referme tout a été prévue pour que je ne vois rien.
C’est pendu que je sens de la chaleur venir sur moi par le haut, j’ignore combien de temps je vais rester dans cette position car mes muscles tétanisent mais le chauffage me permet d’attendre sereinement la suite.
Combien de temps ai-je dormi ?
Je me réveille quand un bruit bizarre se fait entendre et que les moteurs démarrent.
Les câbles se détendent me reposant les membres sans pour autant me permettre de me déracher, les bracelets étant hors de portée de main à main.
Je me rendors quand le mouvement des moteurs me remet en position d’extension.
Mes membres montent et descendent au gré des moteurs qui doivent avoir un cycle automatique aléatoire et c’est rapidement insupportable mais pour moi cet appareil est une merveille de technologie et les périodes de plaisir succèdent au moment où mon corps me fait mal de partout.
.
Dans la période où je la subis trois fois les moteurs me font décoller de la planche et mon corps flotte dans les airs mes membres me faisant mal à hurler surtout qu’en j’essaye de garder la tête relevée et qu’elle retombe malgré moi en arrière.
Qui a testé le mal et le bon est-ce Vivian car tout le temps où je suis placé sous la coupe de la machine je finis par avoir ma chatte qui s’échauffe et qui mouille.
Je suis dans l’incapacité de dire combien d’heure mon mari me laisse dans mon isolement mais quand j’entends la porte se rouvrir sans une nouvelle fois ne rien voir et après avoir retrouvé ma cagoule je sens que le système se remet en fonction et que je me retrouve couché au sol.
La cravache me rappelle à son bon vouloir et je sors de la cave à quatre pattes.
Je sens le soleil me chauffer je suis donc sortie mais la barre au sol d’une porte-fenêtre et le carrelage d’une salle avant de me faire monter des marches certainement en bois recommence à me faire mal aux genoux.

À l’étage où l’on me fait monter je sens de nouveau le froid d’un carrelage, une petite tape sur mon fessier me donne un ordre que j’ai du mal à comprendre.
Je sens le rebord d’une baignoire et j’entre dans l’eau qui est à bonne température.
Je mets du temps à comprendre que je suis libre car on m’a enlevé ma laisse ainsi que mon collier et je prendre le risque d’enlever la cagoule.
Je retrouve la salle de bain que j’avais vu lors de la visite et où j’avais eu un coup de cœur pour la cave où je viens certainement de passer quelques heures.
Je prends conscience que ce bain est le bienvenu car depuis que nous sommes sorties de notre ancien appartement de Beaune, Vivian m’a traîné au sol vers le garage au sous-sol, en forêt, sur l’allée certainement de l’autre côté de la maison car il me revient en mémoire qu’elle était gravillonnée.
Tout est à ma disposition, gel, savon moussant, je suis si bien que le temps paraît s’arrêter surtout que l’eau de la baignoire transparente doit être à température constante car depuis que je me suis plongé dedans elle a gardé sa chaleur.
Vivian doit aimer les systèmes automatiques comme j’ai pu le voir, pardon entendre les moteurs me changer de position dans ma cave, car mes bras et mes jambes retrouvent leur élasticité sous l’effet de jets puissants qui viennent de démarrer et qui massent mon corps.
Quand les jets s’arrête la fraîcheur qui monte du fond la baignoire m’oblige à en sortir.
L’eau est devenue presque glacée car je pense que le système doit injecter de l’eau réfrigérée.

Ma robe de chambre m’a été apportée et devant la grande glace je peux voir que ma chatte et mes fesses sont zébrées par la cravache qui m’a fait souffrir pour mon plus grand plaisir quand j’étais attaché et a sa merci.
J’entre dans notre chambre déçue que mon lit ou je peux être attaché soit remplacé par un modèle en bois massif certainement acheté chez un brocanteur et rénové par un ébéniste car je sais qu’un des plaisirs de Vivian est de chiner le dimanche dans ce genre d’endroit.
Sur ce lit je comprends ce que mon maître veut faire, il semble qu’il va séparer ma vie en deux.
La première partie quand je serai une femme respectable comme je l’étais avant de plonger dans la luxure et la deuxième celle qui deviendra sa chienne dans ma cave à la merci de tous ses vices.
Ses vices vont-ils jusqu’à me donner à un ou une autre car j’ai encore ancré en moi ses mains me palpant, me caressant allant même jusqu’à agresser mon intimité.
Ce que souhaite faire mon mari je vais le découvrir rapidement mais quand je le verrai car la maison est plongée dans le silence, qu’il soit certain qu’il n’aura de ma part aucune question.
Je m’isole divinement dans mes toilettes car depuis que j’ai quitté Beaune ce type d’endroit m’est inconnu et je me pose la question que se serrait-il passé si ce besoin je l’avais eu quand j’étais pendu par mes chaînes.

Sur le lit une robe longue est posé, c’est un véritable voile de couleur beige avec à son côté un écrin ouvert avec une parure de bijou.
Un meuble de maquillage me fait comprendre que Vivian doit m’attendre dans la maison et qu’il souhaite que je me fasse belle.
Depuis qu’il a déclenché mes instincts les plus bas mais ceux que je préfère, il me semble que nos cerveaux ont fusionné et que ses désirs ou mes désirs nous arrivent naturellement sans que nous ayons besoin de dire le moindre mot.
Je m’assieds, me coiffe, me maquille avec tous ce dont j’ai besoin et qui se trouve sur la table avec pour terminer une pointe de parfum tiré d’un flacon d’un Grand couturier et qui a un numéro entre quatre et six inscrits dessus.

Je mets la parure composée d’un bracelet, d’un collier et de boucle d’oreille que je place dans les trous que ma maman m’a fait percer quand j’étais petite.
Les choses sont bizarres car depuis que je mets des boucles mon cerveau à oublier le plaisir que j’avais eu quand le bijoutier me les a percés.
Maman avait été étonné qu’à aucun moment je n’aie pleuré mais ce que ce jour-là j’avais oublié de lui dire c’est que je venais de connaître mon premier plaisir de jeune fille sortant de la puberté.

Je regarde au sol mais Vivian n’a prévu aucune paire de chaussures, il veut que je le retrouve simplement vêtu de cette robe, plutôt de ce voile qui me montre la fente de ma chatte épilée au laser qu’il m’a offert il y a un an pour mon anniversaire.
Je suis couverte mais impudique, quand je me déplace sur les dalles en pierres du pays et que passant devant ma Psyché je pense à Esméralda de Notre-Dame de Paris.
Je m’arrête, tournoie plusieurs fois sur moi-même faisant voler mes voiles comme l’amoureuse de Quasimodo.
Le beau, le laid, le plaisir le mal tous les contraires s’attirent et j’en suis consciente depuis que j’ai accepté ma condition de femme esclave de son corps et surtout de son amoureux.

Je descends mais dans la salle Vivian brille par son absence.
La porte-fenêtre est ouverte et un store est déployé plongeant la terrasse dans l’ombre, je m’avance voyant qu’il a fait construire une piscine à l’emplacement où il y avait des buissons et une pelouse.
Je sors, Vivian est là.
Il a revêtu un smoking blanc relevant son teint hâlé, d’un coup je suis la femme la plus heureuse et amoureuse au monde, mon homme est resplendissant de beauté et c’est moi qu’il a choisi.
Il se lève, s’approche en tenant deux coupes de champagne dans ses mains.

• Bien venue chez toi mon amour…

Les avis des lecteurs

Je suis un monsieur, la suite est programmée pour dans quelques jours le titre "Mon nouvelle environnement"
Merci

Histoire Erotique
Madame, j'aimerai beaucoup que ma compagne comprenne mes envies SM comme l'a fait Vivian et qu'elle transforme un coin de notre maison pour y recevoir des hommes, des femmes ou des couples qui me feraient merveilleusement souffrir jusqu'à la jouissance.
J'espère qu'il y aura une suite



Texte coquin : COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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