COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (1/2)
15 heures comme tous les jours de beau temps, j’entre dans le parc des Buttes-Chaumont près de chez moi.
15 heures comme toutes les fois où j’ai fini de frotter la maison de Mathéo, ce que je fais depuis presque vingt ans, date où nous avons emménagé étant follement amoureux.
15 heures ou 15 jours ou 15 mois que Mathéo oublie de me toucher alors que dans nos premières années, nous roulions partout où nous le pouvions pour qu’il me prenne.
Le lit bien sûr, la moquette souvent, plus pratique que le canapé trop exigu et où chaque fois, nous nous sommes retrouvés sur cette moquette sans l’avoir voulu, nous faisant éclater de rire.
Dans la cuisine, debout devant l’évier, une jambe relevée poser sur le plan de travail, son sexe me pénétrant divinement au fond de mon vagin, la sodo très peu pour moi bien que nous ayons essayé une fois.
La cuisine, lui sur une chaise et moi, m’empalant sur sa tige que j’avais préalablement sucée.
Sucée, un moment divin pour une femme amoureuse quand la tige de votre homme est peu tendue et que pour vous pénétrer, c'est la solution la plus efficace.
Mathéo qui m’a toujours refusé la maternité considérant que des enfants étaient la plaie des couples amoureux.
Mathéo qui malgré toutes les promesses faites de fidélité et autres conneries de ce genre à sa secrétaire comme maîtresse qu’il sexe le soir sur son bureau, comme il le faisait sur le bureau que je lui avais aménagé chez nous et où je le rejoignais du temps où il se souvenait que j’avais un vagin dégoulinant d’envie pour lui.

15 heures où je m’assois sur le banc, mon banc heureusement libre aujourd’hui, car les fois ou des personnes sont assises dessus, je suis frustré ayant le sentiment que le reste de ma journée va être fichu.
15 heures, mon banc, étant libre, me soulage, je remarque sur celui d’en face un jeune homme d’une vingtaine d’années semblant dévorer un livre, ignorant les gens qui circulent autour de lui.
Mathéo 2, il est aussi beau que Mathéo 1 qui à la longue m’a cocufié.
Mathéo 2, devant qui j’ouvre mes cuisses pour lui montrer ma petite culotte rose que je regrette avoir mise alors que sans, il verrait ma toison brune taillée tous les jours après mon retour du parc espérant que le sexe à qui j’appartiens se souviendra que j’existe.

Dommage, il se lève range son livre sous son bras et se dirige vers la sortie.
Je suis frustrée, tous ses efforts sur moi-même pour écarter mes cuisses vainement quand miracle, il fait demi-tour semblant avoir oublié quelque chose.
Il s’assoit à mes côtés et sans montrer qu’il me parle me demande.

• Combien ?
• Combien, pourquoi ?
• Arrête de me prendre pour un con, une femme qui écarte ses cuisses et qui montre sa culotte à un inconnu est une pute, combien ?
• Vous vous trompez, je suis une femme mariée et je vais sur-le-champ aller retrouver mon mari qui va venir vous casser votre jolie petite gueule.
• Admettons que je me sois trompé sur la pute, il faut bien commencer un jour, suis-moi si tu as écarté tes cuisses, c’est que tu as envie de sexe, j’habite à deux pas.

Il se lève et comme si j’étais un zombi, je me surprends à me lever et à le suivre.
Nous parcourons quelles centaines de mètres, il pénètre dans un immeuble plutôt crasseux.
Il est là au pied de l’escalier, quand j’approche, il me plaque contre lui, me faisant sentir son sexe bandé au maximum.

• C’est ça que tu veux.
• Oui.

Ce oui est dit dans un souffle comme si c’était mon dernier.

• Monte salope, jusqu’à la troisième porte de droite, roule ton cul comme une bonne pute sait le faire.

Je devrais faire demi-tour, mais j’ai en tête la vision que j’ai eue un soir où il pleuvait ayant fait quelques achats, comme des sous-vêtements affriolant pour espérer réveiller la libido de Mathéo.
Approchant de son bureau la porte étant entrouverte, je l’ai vu son sexe plongé dans cette salope de Corinne sa secrétaire qu’il venait d’embaucher et que j’avais vu lors du pot de départ à la retraite de Germaine son ancienne secrétaire à qui je pouvais n’avoir aucun doute sur la fidélité de mon mari vu son âge et surtout sa laideur.
Ils étaient tellement afférés à baiser que ce qui m’a marqué, c’est le sourire épanoui que me présentait Corinne les seins placés sur le bureau à chaque coup de bite qu’il lui prodiguait, jusqu’à ce qu’elle hurle son plaisir quand il a éjaculé en elle.
Avant que je tourne les talons un dernier point m’a offusqué, il la baisait sans capote et lui avait envoyé son sperme intégralement dans la chatte une dernière goutte tombant de son méat.

Alors, je monte moi aussi comme une salope, du moins c’est ce que veux que je sois pour ce jeune homme qui va même jusqu’à me mettre la main au cul semblant tâter la marchandise.
La porte, une clef dans la serrure, j’entre sans me faire prier.

• Déloque-toi, j’ai un coup de fil à passer, la salle de bains est à droite, ma chambre en face.

Encore dans les vaps, plus que lorsque je me suis levée pour le suivre, mes affaires tombent une par une et sans aucune pudeur drapée dans ma nudité dès que j’ai enlevé mon petit bout de tissu, je traverse le couloir pour pénétrer dans sa chambre.
Le lit recouvert de drap douteux, moi qui aime des draps de soie, Mathéo étant allergique à toute autre matière, mais je m’allonge me caressant la chatte d’envie.
Ce geste impudique est hors de mes habitudes bien qu’avant mon mariage, j’ai souvent pratiqué l’auto masturbation pour déclencher mon plaisir.
C’est dans cette position que le jeune garçon entre et me trouve les cuisses écartées et la chatte bavant d’envie surtout qu’il m’arrive entièrement nu.

• Putain salope, je vois que tu es une gourmande, je vois que tu es marié, tu aurais pu enlever ton alliance, il oublie de te baiser ou tu fais la pute pour satisfaire tes petites envies, car il semble quand je voie les fringues que tu portes que l’argent est secondaire.
• Arrête de me traiter de pute et viens me baiser, ne vois-tu pas que j’ai simplement envie d’une queue.

C’est ainsi que sans le moindre préliminaire, il se couche sur moi et que sa queue me déchire sans me faire le moindre mal, tellement j’attendais ce moment pour écarter mes cuisses pour me venger d’avoir été cocufié.
Il me baise dans la simple position du missionnaire, mais reste longtemps en moi pour que je prenne un pied plus fort que ceux que je prenais avec Mathéo du temps où il m’était fidèle et ou mon sexe était entièrement à sa disposition.
Quand il éjacule et remplit de son foutre la capote qu’il avait enfilée avant de se coucher sur moi, je pense que ce garçon est le deuxième homme qui pénètre en moi.
Il me fait jouir et je prends solennellement la décision que la porte que je viens d’ouvrir sera béante pour longtemps, Mathéo défonce sa pute, je me fais baiser comme une pute.
C’est comme cela que je m’endors repu du sexe de celui qui m’a ouvert la voie au plaisir défendu même si c’est moi qui ai écarté mes cuisses sur mon banc.

Une porte qui claque me fait remettre les pieds sur terre, je regarde ma montre en or de chez Cartier dernier cadeau d’anniversaire de celui qui avait peut-être des remords à me tromper avec sa garce de Corinne bien qu’à ce moment-là, je ne le sache pas.
Bientôt, dix-neuf heures, l’heure a filé sans que je m’en aperçoive, il est vrai que je dors peu depuis que je connais ma position de femme cocue.
Je retourne dans la salle de bains drapée dans ma nudité de femme infidèle et fière de l’être et la surprise, un petit mot avec quelques billets sur mes affaires.

« Ta prestation était parfaite, je pense que 150 € pour le temps que je t’ai baisé te suffiront, mais j’ai évité de te réveiller, tu dormais trop bien.
J’ai beaucoup apprécié que tu joues le jeu et que tu fasses semblant de jouir, la simulation était parfaite.
Je suis loin d’être riche, mais voici mon 06, faute d’avoir le tient et si tu es libre les semaines prochaines, je te dirais si moi, je le suis et nous nous retrouverons dans ma chambre pour un après-midi aussi torride que celui que tu m’as fait passer aujourd’hui.
J’attends ton appel, claque la porte derrière toi en partant. »
Je m’assieds sur mes affaires de honte les billets à la main.
Il a cru que je simulais et m’a vraiment pris pour une prostituée qui avait trouvé le coup du banc en montrant sa culotte pour appâter le client.
Entièrement dans les vapes, je me rhabille et comme le zombie que j’étais, il y a quelques heures quand j’ai quitté le parc, je place les billets dans mon sac que j’ai récupéré sous mes vêtements, je m’habille et quand je quitte l’appartement, je me surprends à glisser billets et papier avec le 06 au fond de mon sac.
En sortant de l’immeuble, il pleut et j’ai quelques centaines de mètres à faire pour rejoindre le parc, le longer et entrer chez moi.
Je suis de retour trempé depuis 20 minutes quand Mathéo arrive et me trouve sous la douche.

• Qu’est-ce qu’il tombe heureusement que j’ai le parking souterrain pour ranger mon 4x4, je serais trempé comme toi, quand je vois tes fringues ?

Son parking souterrain, son 4x4, son fric, que je te rapporte pour que tu glandes toute la journée, il oublie de le dire, mais je sais qu’il le pense alors que moi au fond de mon sac, je me suis vengé en gagnant 150 € pour la première fois de ma vie avec mon cul certes ou avec ma chatte même si ce sera la seule fois.
Je sors de la douche où en temps normal, avant qu’il me trompe, il m’aurait prise sur le lavabo, il se détourne et je le retrouve assis à table attendant que je le serve.

Une semaine et le scénario du maître de maison attendant que sa serveuse vienne lui remplir son assiette se reproduit aussi dans la nuit après une dernière tentative pour passer ma main sur son sexe flasque afin qu’il se redresse pour me prendre, il est 10 heures quand je récupère le numéro de téléphone et que j’appelle.

• Allô, oui, c’est Gabriel qui est à l’appareil.
• C’est moi.
• Ah ! Oui, je reconnais ta voix, la pute du parc, que puis-je pour toi.
• Je suis libre cet après-midi.
• Ok, 15 heures à l’appart la porte sera ouverte, tu te déloques dans la salle de bains comme l’autre fois et au lieu d’aller dans la chambre en face tu vas de l’autre côté, première porte à droite, à cet aprème.

Il raccroche, à l’heure dite, je pousse la porte et je vais me dévêtir, je pousse l’autre porte.

• C’est bien, j’aime que tu sois ponctuelle, entre, c’est bien 150 €.

Dans la chambre, couché sur un lit un peu plus propre que celui de la semaine dernière, un grand black m’attend aussi nu que moi et un sexe deux fois plus grand que ceux des Mathéo 1 et 2, il me tend trois billets de 50 € que machinalement, je prends et que je pose sur la table de nuit…

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