COLLECTION ZONE ROUGE. Accident sur l’autoroute (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Accident sur l’autoroute (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Accident sur l’autoroute (1/2)
- Lucien, conduisez-nous chez les Dupond, nous sommes en retard à cause de la duchesse.
- Bien monsieur le vicomte Antoine, je prends par la route ou par l’autoroute ?
- Vous connaissez mon aversion pour les péages, payer une seconde fois après tous les impôts que ma famille a payés depuis la révolution me donne des nausées.
Mais il est déjà 20 heures et les Dupond ces nouveaux riches nous ont invité pour 21 heures.
Du temps de ma jeunesse nous pouvions arriver en retard mais depuis la mode des soufflés, Olga a horreur des retardataires.
Elle a peur que son soufflé tombe or chaque fois elle nous sert une espèce de bouilli au fromage.
Le plus drôle c’est qu’elle s’extasie devant.
Lucien, voilà enfin la duchesse avec son horrible cabot, nous prenons l’autoroute.

Ma femme arrive avec Louloutte son caniche nain qu’elle a fait toiletter cet après-midi pour que cette chose bizarre soit sur son trente et un.

- Louloutte avait des flatulences, je lui ai donné un médicament pour que ça passe.
Impossible que chez les Dupond elle lâche un pet pendant le souffler.
- Vous avez raison ma chère, si votre clébard émet un pet malencontreux pendant le repas, il serait capable de faire retomber le soufflé.
- Vous vous moquez Vicomte, je vous rappelle que je suis duchesse et que votre famille doit le respect à la mienne.

Mon cul, oui, certes ma femme est duchesse titre supérieure au mien mais si son père couvert de dettes de jeu avait continué avant de se tirer un coup de pistolet à poudre noire de cavalerie, j’ignore où elle aurait fini.
Ce pistolet avait servi à son ancêtre napoléonien pendant la bataille de Waterloo et par chance conservé dans sa famille car l’ancêtre avait montré son cul à l’ennemi.
Nous l’avons enterré avec.
Je sais ça vaut du pognon et du pognon nous en avons surtout que ce pistolet était-il authentique, personne pour nous le confirmer.
J’ai donc sorti sa fille de la merde où son suicide les avait menés et je me retrouve avec ma belle-mère chez moi.
Certes, il y a deux ans qu’elle vit au dernier étage de mon manoir bourguignon seules la bonne et sa fille peuvent dire à quoi elle ressemble.
Des terres et des fermages que le Duc possédait j’ai récupéré les deux femelles avec leur titre le reste est parti dans la faillite.

- Vicomte, comment trouvez-vous la nouvelle tenue, je me trouve parfaite pour nous rendre chez les Dupond !

Pour être parfaite, elle est parfaite.
Tailleur rose sur talon haut de bien 15 à 20 centimètres chemisier rose et surtout un chapeau comme aucune femme au monde en porte encore.
Elle passe son temps à me dire qu’elle est une femme à chapeau.
Elle me coûte une fortune en chapeau et institue de beauté.
Bien sûr, il y a les soins à Louloutte, le toiletteur vient trois fois par semaine dans ses appartements pour enlever trois poils au plumeau que son clebs a.
J’ai eu des doutes sur sa fidélité jusqu’à ce que je m’aperçoive que John c’est le nom du toiletteur était pédé comme un phoque.
Depuis en parfait hétéro je le fuis comme la peste, un jour où je l’ai croisé, il a essayé de me serrer.
Heureusement mes parents m’ont laissé un domaine dans les meilleurs crus de la côte chalonnaise de 56 hectares et nous avons du répondant financier.

Nous avons pris l’autoroute passant ce putain de péage quand alors que nous roulons dans ma Bentley à 200 000 € hors malus, Lucien derrière sa vitre nous séparant freine brusquement.
J’entends des bruits de tôles froissées autour de nous.
Par chance, aucune secousse me montrant que nous avons été percutés.

- Lucien, renseignez-vous nous allons être en retard.
- Oui monsieur, je vais voir.

Je referme la vitre de séparation avec notre chauffeur.
Ma voiture est une telle merveille que lorsqu’il referme sa portière un simple petit clap se fait entendre.
Il revient rapidement.

- Monsieur, un routier m’a dit qu’à sa radio ils lui ont dit qu’un accident s'est produit trois kilomètres devant nous.
- Reculer et faîtes demi-tour.
- Monsieur sauf votre respect nous sommes sur l’autoroute et le nombre de voitures au mètre carré nous empêche de bouger.
À sa radio ils lui ont dit que les voitures sont détournées vers la route que nous aurions pu prendre mais il y aurait cinq à six kilomètres de bouchons derrière nous.
Nous sommes là pour la nuit.
- Vicomte je refuse de passer la nuit dans la voiture.
- À combien sommes-nous de la sortie que nous devions prendre ?
- Je consulte le GPS monsieur.
- Madame, c’est impossible, nous étions à mi-parcours, six devant, un peu plus de cinq derrières.
Avec vos talons aiguilles vous pourriez faire 200 à 300 mètres guère plus.
- Surtout que Louloutte a horreur de marcher.
Ça m’épuiserait de la porter.

Je me cale mais avant j’ouvre mon bar et je nous sers un bon whisky bourguignon.
Je fournis de vieux tonneaux de mes meilleurs crus trop vieux.
Il y fait son whisky qui peut rivaliser avec de l’Écossais.
Écossais et gratuit, ça me parle aux oreilles, s’est ainsi que ma famille a fait fructifier notre domaine.
Bien sûr pour avoir autant de terre et surtout de vignes, il faut être un requin et dans la faillite de Duc père de Marie-Louise ma compagne, j’ai dû un peu précipiter leur chute.

- Duchesse, un whisky ?
- Vicomte, vous savez que je suis une femme sobre depuis que j’ai vu mon père se traîner à mes pieds pour que je lui dise où étaient cachées les bouteilles.
- Ferme ta gueule et bois et fait taire ton cabot, il me casse les oreilles.

Elle finit par prendre le verre et en boire une grande lampée.

- C’est un ingrat Louloutte, j’ai sacrifié mes vingt ans pour cet ingrat.
- Mais tu vas la fermer.
- Pourquoi déboutonnez-vous votre pantalon ?
- Pour passer le temps, tu vas sucer salope.
Depuis le temps que je me tape les bonnes, je rêve que votre bouche impeccablement maquillée me prenne et se la mette au plus profond possible alors suces.

J’ai sorti ma verge, l’idée m’est venue au début pour passer le temps.
La vitre de séparation est fermée et c’est avec délice que je vois son chapeau se pencher sur ma bite qu’il me cache et que je sens sa main l’empaumer.
J’arrache son chapeau pour mieux voir ma duchesse me sucer à gorge profonde exploit que peu de mes maîtresses sont capables de faire.
Si j’avais su je l’aurais brusqué plus tôt.
Il est vrai qu’elle refuse pilule, stérilet et autres contraceptions disant qu’une grossesse déforme ses rondeurs parfaites.
Je sais, le domaine, nulle crainte, ma succession est assurée.
Je viens de parler des bonnes mais il y a surtout Édith la femme de mon maître de chais.
Albert était mon compagnon de jeux et de cours fait à la maison par mon prof personnel.
C’est en faisant un caca nerveux avec mes parents que j’ai réussi à étudier avec lui.
Nous jouions ensemble jusqu’à nos 16 ans où ce sont les filles qui nous intéressaient.
Il y avait la fille de l’épicier de notre village qui venait livrer au domaine.
Nous en étions amoureux et s’était à celui qui la mettrait le premier dans son lit.
Plus malin que moi, c’est lui qui l’a couché et qui lorsqu’ils ont eu 20 ans, l’a épousé.
J’ai respecté leur amour, il faut dire qu’il était plus costaud que moi.
À 23 ans j’ai épousé celle qui a ma bite en bouche pour la première fois depuis notre union.
De plus, j’ai fait des études pour prendre la succession de mon patriarche.
Albert a succédé à son père dans notre chais mais rapidement ils avaient beau essayer d’avoir des enfants, aucune progéniture.
Je leur ai suggéré de faire des analyses.
C’est en pleure qu’Albert est venu me confier qu’il était stérile.
Si j’ai été un peu et même beaucoup un salopard avec le Duc sa femme et sa fille, j’ai vu là la possibilité de pérenniser mon domaine sans engrosser la duchesse.
Albert me conduisait sa femme toutes les nuits et je l’ai baisé en faisant ma maîtresse.
Elle est tombée enceinte et nous avons eu un fils Adrien.
À la mairie, avec l’accord de mon copain, discrètement, le pognon ça aide, le père qui l’a déclaré c’est moi.
ADN et reconnaissance, il a dix ans, lors de ses quinze ans nous avons décidé de lui apprendre qu’il sera le maître de tous ce qui nous appartient.
Je rêve à notre avenir pendant que la salope qui me suce arrive à me faire éjaculer.

- Avale.

Elle le fait à la limite des larmes.

- Louloutte et moi avons besoin de faire pipi.

J’ouvre la vitre en appuyant sur le bouton.

- Lucien pouvez-vous me dire où et à combien sommes-nous de latrine publique ?
- Attendez !
Nous venions de passer une aire de repos où il y en a.
- Vicomte, il est hors de question que je fasse pipi dans ce genre de lieu.
- Si votre chien et vous pissez sur mes cuirs, je vous fiche dehors.

La duchesse remet son chapeau rose.
Je la connais, elle est incapable de sortir la tête nue.
Là encore, elle a presque une modiste personnelle qui lui crée et lui fabrique.
Elle ouvre la portière et je la vois remonter entre les voitures et camions porte sa crevure dans les bras.
Je m’assoupis.

- Monsieur, je m’excuse, vous dormiez, je trouve qu’il y a très longtemps que madame la duchesse a quitté la voiture…

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