COLLECTION ZONE ROUGE. Mon bébé sans aucun tabou (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Mon bébé sans aucun tabou (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Mon bébé sans aucun tabou (2/3)
Ayant des problèmes pour avoir un enfant, je finis par concevoir un projet fou, m’amenant à tous les débordements.
Je n’ai pas pris conscience du risque que je prenais en faisant monter un jeune SDF chez moi.
Pierre est rentré et c’est moi qui me retrouve à la rue.
Pas entièrement, ayant encore ma voiture.

La rue où elle est garée est trop passante, je pleure toutes les larmes de mon corps.
Je suis connue dans mon quartier aussi je démarre sans savoir où aller.
L’idée d’aller passer la nuit dans la ruelle où j’ai baisé dans ma voiture avec le jeune homme devient une évidence.
Personne dans ce quartier ne me connaît et je pourrais me réchauffer grâce à la couverture qui recouvre le siège arrière.

C’est cette nuit-là que tout va basculer.
Dans la nuit je fais quatre fellations, je me fais baiser sur mon siège arrière par un homme avec l’une de mes capotes percées.
J’ai basculé quand le premier qui a frappé à ma vitre alors que j’écoutais ma radio m’a demandé si je suçais et trois des quatre hommes qui l’on fait mon donné 50 €.
Je suis novice dans la prostitution, suçant les trois premiers pour de l’argent devenant une pute.
Chaque fois je me suis fait payer après, un quatrième s'est présenté, alors que j’ai simplement baissé ma vitre.
J’ai avalé, il est parti en courant me flouant de mon fric.

Celui qui m’a proposé de me baiser, après cet incident profitant de mon inexpérience, je l’ai fait payer avant que nous passions à l’arrière.
Au matin j’étais à la tête de 250 €.
Dès que j’ai vu l’enseigne du café au coin s’allumer, je suis entrée dans le bar boire un café bien noir.
Derrière le bar où le patron officiait, je vois un tableau avec des clefs.

- Vous louez des chambres ?
- Oui, vous en voulez une ?
- S’il vous plaît, je peux vous payer en liquide ?
- Sans problème, combien de nuit ?
- Deux après on verra, je vais chercher mon sac, vous avez du savon ?
- Il y a une épicerie qui est déjà ouverte, vous trouverez tout ce que vous voudrez.

Quelques minutes après je suis assise dans le bac à douche de la chambre sordide que j’ai loué.
Le tube de dentifrice à moitié vide à force de me brosser les dents et le savon entièrement usé à force de le passer sur ma peau et sur ma chatte me sentant salie par ces hommes que j’aie subis contre de l’argent.
Il m’a fallu quelques heures pour prendre conscience que la seule façon de m’en sortir, c’était de continuer à faire la pute dans cette ruelle dans ma voiture.
Les hommes cherchant l’âme sœur semblant nombreux dans ce quartier.

J’ai dormi jusqu’à la tombée de la nuit et après mettre habillée, je suis sortie discrètement me faire des clients.
La deuxième nuit, j’ai gagné 500 € principalement en me faisant baiser acceptant même de me faire enculer.
Le client sympa m’ayant dit qu’une sodo, je pouvais prendre 50 de plus.
Il va falloir que j’investisse dans des capotes, mes clients n’ayant fait aucun souci pour que je leur en fournisse.
Ils doivent penser que j’ai peur qu’ils n'aient trafiqué les leurs.
Il faudra que j’achète de petites aiguilles, j’ai oublié d'en mettre dans mon sac, car malgré les malheurs que mon idée folle a entraînés, j'ai toujours en tête de devenir maman.
Ajouté à cela une pipe qui m’oblige à finir de vider mon tube de dentifrice et vous retrouvez au matin une pro de la baisse tarifée.
Je tapine plusieurs jours payant ma chambre chaque matin quand le patron me demande de prendre mes affaires et de vider son établissement ayant peur de tomber pour proxénétisme.
Il avait appris ce que je faisais la nuit par un de ses clients qui m’avait enculé et qui s’en était vanté devant lui.
Une fois de plus, il me fallait trouver comment m’en sortir, un autre hôtel m’aurait rapidement amené dans une impasse.
J’entre dans une agence et je loue un studio meublé dans un quartier plus appétissant que l’hôtel près duquel je tapinais.
Le nombre de jours et surtout de nuits à me faire des clients m’avait apporté assez d’argent pour payer la caution et deux mois de loyer.
Dans le même temps, je suis consciente des risques que je prends en baisant sans capote aussi je retourne voir mon gynéco pour obtenir une ordonnance pour passer un test HIV.

- Je vous demande ce test car j’ai surpris mon copain qui baisait dans notre chambre une femme qu’il avait draguée dans la rue et surtout sans capote.
Nous avions fait l’amour le matin même et étant incertaine de sa fidélité les jours précédents je préfère faire un contrôle.
- Je vous comprends pourquoi restez-vous avec lui ?
- Je n’ai aucune ressource depuis que je suis au chômage et aucun droit car depuis le nombre d’années que nous sommes ensemble j’ai toujours refusé d’avoir la moindre attache.
- Bien contrôlez, s’il y a problème je vous convoquerais.

Le soir à mon heure habituelle je gare ma voiture dans la ruelle et rapidement je me fais deux clients l’un que je suce et l’autre qui me prend dans la chatte sans capote doublant la somme que je perçois mais surtout pouvant être celui qui m’engrossera étant de nouveau dans une période féconde et ayant toujours en tête d’avoir mon obsession d’enfant.
Mon client venait de descendre et de s’éloigner quand une voiture avec un gyrophare bleu vient se positionner à ma hauteur m’empêchant de démarrer.

- Police des mœurs pouvez-vous descendre ?

C’est ainsi que je me retrouve au commissariat dans un bureau devant une femme flic.

- Il y a longtemps que tu tapines dans cette rue ?
- Plus d’un mois.
- Comment as-tu commencé et pourquoi ?

Je mets du temps à trouver les mots surtout que je veux éviter de lui parler de mon problème d’enfant.
Je lui parle simplement de l’adultère que j’ai commis et comment mon mec m’a mise à la rue ayant récupéré tous mes moyens de paiement qu’il approvisionnait.
Elle semble compatir mais elle doit faire son travail aussi remplit-elle la fiche faisant de moi une prostituée fichée aux mœurs et me donne une amende pour racolage.

- Pourquoi tapines-tu dans la rue, il y a d’autres moyens à notre époque de trouver des clients en restant chez toi à les attendre.
- Lesquelles ?
- Je suis flic pas un mac, je veux bien te mettre sur la piste, as-tu un ordinateur ?
- Non.
- Je vois que sur ta fiche tu as marqué une adresse dans un bon quartier de la ville cela pourra te servir, tu loues.
- Oui j’ai aménagé cet après-midi dans ce meublé où j’ai simplement déposé mon sac avant de rejoindre la ruelle où tu m’as arrêté avec tes collègues.

Elle m’a tutoyé alors je la tutoie sans qu’elle semble s’en offusquer.

- Je te propose la chose suivante, si je suis en service c’est pour donner suite aux ordres de te serrer ce soir afin de te ficher.
Dès que tu seras dehors car tu es libre ayant payé ton amende, attends-moi sur le trottoir à côté du commissariat le temps que je me change nous allons passer chez moi avant que je te ramène chez toi.
- Eh ! Les flics vont m’arrêter de nouveau pour racolage.
- Non, je suis là pour te protéger.

Je sors et j’attends au bord du trottoir.
Une voiture s’arrête à ma hauteur je suis persuadée que le chauffeur cherche sa route et va me demander un renseignement.

- Eh ! La pute, t’es gonflée de racoler devant le commissariat, tu montes ma bite est déjà en érection.

Je suis surprise mais pas tant que cela, depuis que j’ai accepté de vendre mon corps je me fringue de plus en plus de façons provocantes et ce soir j’étais particulièrement proche de la perfection dans ma tenue de fille de joie.

- Dégage connard, va te faire sucer ailleurs.

Ma réponse peut paraître surprenante mais les hommes qui me baisent souvent ont un langage peu châtié.
De plus en plus j’emploie leur langage montrant jusqu'où je suis tombée en acceptant tout cela pour avoir un enfant.
Il démarre en trombe bientôt suivie de la voiture de la femelle flic dans laquelle je monte.
Peu de temps après, elle s’arrête sur une place de parking devant une jolie résidence et me demande de l’attendre.
Elle ressort dans sa jolie tenue bon chic bon genre la rendant très féminine comparée à sa tenue de service asexué portant un carton assez volumineux qu’elle dépose sur le siège arrière.

- On est parti, je mets mon GPS, j’ai retenu ton adresse.

Comme elle la fait devant chez elle, elle trouve une place à quelques mètres de mon domicile.

- J’ai oublié de te demander, tu as un portable avec un numéro à ta disposition.
- Oui, depuis quelques jours j’ai gagné assez d’argent pour en acheter un.
- Tu loues un appartement tu achètes un portable sans compter les fringues que tu portes et qui doivent coûter bonbon.
J’aurais dû faire la pute au lieu de vous courir après, surtout pour moins de 2 000 € par mois.

Quoi lui répondre, si elle savait qu’en plus du fric que je me fais les baises sans capotes va peut-être me permettre d’enfanter si le sida m’évite.
Nous montons et elle pose sa boîte sur une chaise près de la table dans la chambre.

- Regarde, je t’offre mon ancien ordinateur portable avec imprimante et tout ce qu’il faut.
Je viens de recevoir la nouvelle série plus performante mais pour faire ce que tu vas faire il suffit largement.

Quand tout est prêt elle démarre…

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