COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (34/36)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (34/36) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (34/36)
En moins de douze heures, je viens de passer de jeune mariée à femme d’ancien sénateur pour dans ma nuit de noce à finir en chef de gang.

Le sénateur, que ses hommes avec Abby, a été conduit à l’hôpital victime d’une attaque cérébrale certainement dû à ses maux de tête à répétition.
Du moins c’est Abby qui est infirmière qui me le dit.
Je viens de refermer le passage derrière moi ce qui va me permettre de reprendre mon plan là où je l’avais laissé quand mon mari s’est écroulé.
Tout m’est facilité grâce à ces conduits qui m’amènent dans la salle des poubelles de ma résidence d’où tout s’est enclenché pour moi.
Beau travail de Fred, tout est graissé, huilé, nettoyé, la lampe torche me permet de trouver la grille de ce qui pourrait être un conduit de ventilation aérant cette cave.
Ils ont pensé à tous, dans le boyau à la moitié du chemin, une lampe de rechange est accrochée au mur, il est vrai que pour une personne comme moi franchir ce passage dans le noir pourrait être stressant.
Dans l’immeuble, à part Abby qui est jeune, le sénateur s’était entouré d’autres personnes âgées à motricité mobile réduite un peu comme lui et qui lui évitait toutes mauvaises surprises.
La seule petite difficulté c’est de sortir du conduit, une porte aurait certainement pu paraître suspecte.
Par habitude, je sors du gilet de Johnny bel gueule mon portable, quelle conne, je l’ai éteint.
Je récupère mon trousseau de clefs, celle de chez Abby et celle de chez moi dans celle de sa veste.
Je regarde mes pompes à l’italienne, le beau gosse s’était sapé pour mon mariage, mais je rigole sans faire de bruit, elles font au moins deux pointures de plus que mes chaussures blanches.
Je me marre tout en me demandant comment il a fait pour entrer dans les miennes et comment il a marché de ma limousine à ma chambre avant de se changer.
Je rigole de nouveau, mon beau-père faisait du 45 lui certainement du 40, il doit flotter dans ses fringues en ce moment.
J’espère qu’il a peu de kilomètres à faire pour retrouver la belle blonde que le sénateur avait renvoyée se coucher sans qu’elle ne moufte.

Je monte jusque chez celle qui m’aide à faire basculer ma vie, bien qu’avec ce que j’aie déjà récupéré je pourrais vivre mieux que bien.
Mais ça je l’ai su après avoir vu tomber mon beau-père par déçu la rambarde de chez le sénateur des mains anonymes lui ayant saisi les chevilles et l’ayant fait basculer.

Je reste quelques secondes chez Abby, juste le temps de récupérer les trois cahiers vierges achetés à la librairie près du centre de la ville.
Quatre à quatre, je monte jusque chez moi maintenant, j’espère une seule chose, que mon mari soit encore vivant.
Non pas que je sois contente de garder mon déchet, mais j’aurais espéré que notre union soit plus longue avant cette échéance.
Je vois déjà les ragots qui vont courir, je l’ai tué pour capter son héritage, même si c’est un peu vrai.

La porte, le bureau, le tableau, le coffre, 24-8-11-13-10-26.
Ouf, ça s’ouvre, je prends ma mallette, je vais pour prendre les registres.
Bizarre, un seul cahier relié, pourtant j’en avais vu trois !
Dans un premier temps, j’ai envie de mettre les trois achetés, mais en fin de compte, un seul suffira.
J’ouvre le cahier renforcé, tous les chiffres sont là, je constate qu’il commence au 3 janvier 2019, où peuvent être les cahiers précédents.
Sous ce classeur, plusieurs petits cahiers d’écolier, ils sont tous numérotés.
Je prends le 1, je l’ouvre, je commence à lire.

« J’écris ces lignes sur ce cahier après avoir eu mes premiers problèmes de maux de tête.
J’ai peur pour la première fois de ma vie que ce que j’ai vécu disparaisse avec moi.
La vie est bizarre, je suis parti au Vietnam comme chef de section.
J’étais amoureux d’une jeune fille, qui s’appelait Jenna, c’est là-bas en pleine débâcle que j’ai reçu une lettre me disant qu’elle en épousait un autre.
De retour, je l’ai retrouvé, grâce à mes copains Bob et Fred et j’en ai fait une pute, la première qui nous a rapporté de l’argent.
Nous avons continué mais la vie a voulu que des personnes voulant se servir de mon acte de bravoure, veuille que je prenne leurs destinées en mains et faire de moi un sénateur.
Acte de bravoure que je me suis attribué… »
Je connais un peu la suite et le temps tourne.
Je les mets dans ma mallette avec deux liasses de billets de 100 $ et juste deux lingots d’or.
Dans les heures prochaines, je peux être amenée à corrompre l’un ou l’autre et je suis loin d’être sûr que Tex mon amant inspecteur respecte sa parole de me laisser l’argent du coffre quand il verra que les registres ont disparu.
Rapide malgré mes fringues trop grandes, un instant je suis tentée de me changer mais ou cacher les fringues de Johnny, Tex risque de faire une perquisition pour trouver les registres.
C’est la même chose pour le logement d’Abby, il sait que je suis devenue son amie, il a assez de photos qui lui prouvent.
Coffre refermé, direction le local à poubelle, tout est calme dans l’immeuble, je me faufile après avoir refermé le passage.
Chemin inverse, je referme la porte et pour éviter toutes traces, j’ouvre ma mallette et la place à l’intérieur.

Devant la grille, je trouve la goupille l’enlève et ouvre la grille.
Là encore, Fred a bien travaillé, tout est bien huilé.
Refermer, ma main peut passer remettre la goupille, ainsi si nécessaire, je peux rentrer.

Pour une nuit de noce, ce fut une belle nuit de noce.
Le jour commence à poindre.
Je rejoins la route me cachant derrière un arbre.
La mustang brille par son absence.
Une voiture passe, elles sont rares.
Pour mes noces, je n’ai pas mis de montre, mais le jour qui arrive me fait penser qu’il doit être près de quatre heures du matin.
Il faut que je rejoigne Hawthorne le quartier de mes parents.
Un instant j’ai l’idée de retourner chez le sénateur pour récupérer le vélo d’Abby, mais si je sais pédaler, plus de 10 kilomètres ce n’est pas une solution.
Cent pour cent, il est là en secours mais démarrer mon portable équivaudrait à dire où je suis et permettre à la police de me localiser si tenter que Tex est pensé à cela, je me fais peut-être du cinéma, Hollywood n’est pas si loin que ça.
J’ai prouvé que je suis pleine d’imagination le dos au mur, n’ai-je pas balancé mon pourri de beau-père par-dessus la rambarde au risque d’apprendre que j’aurais pu tuer mon petit amour d’Abby.

Je vois une voiture qui arrive, immédiatement je sais qu’elle est celle qui va me sauver.
C’est une vieille Buick de la même couleur que celle dans laquelle Bill mon jeune amant m’avait dépucelé.
Une fraction de seconde, je me demande comment il a fait pour me trouver, mais quand elle passe devant moi sans s’arrêter j’ai le temps de voir que c’est un black comme Trevor.
Hélas, elle ne s’arrête pas.
Ouf, les feux arrière s’allument, elle recule.

- Excusez mademoiselle, j’ai vu un homme, je n’en prends jamais.

Il est vrai que mes fringues un peu grandes ont dû faire penser au garçon d’une quarantaine d'années que je n’étais pas la belle poupette que je sais être.

- Vite, vous pouvez m’ouvrir, rouler, je vous expliquerais.

Je joue les jeunes filles effarouchées, je devrais aller dans les studios d’Hollywood, je ferais carrière.
Il me fait monter.

- Ou allez-vous ?
- J’habite Lynwood, je rejoins ma femme et mes enfants après avoir fini mon travail de nuit dans la centrale électrique voisine, je peux vous déposer un peu plus loin.

Une nouvelle fois, je phosphore à cent à l’heure.
Quel homme peut résister à une pute qui lui propose une petite partie de jambes en l’air.

- Je te supplie, je suis une escorte, je me suis enfui de chez mon mac, il me prostituait contre mon gré.
Regarde, je lui ai volé ses fringues.
Si tu me conduis, ou je vais pouvoir récupérer des affaires et disparaître je peux te faire une petite gâterie.

Je lui mets ma main sur la cuisse après m’être rapproché, ces voitures sont tellement larges.

- Ma femme va s’inquiéter.
- Tu lui diras que ton moteur ne démarrait pas, fait le coup de la panne, d’une autre façon que si elle avait été avec toi dans ta voiture.
- C’est d’accord, je vous conduis.
Vous me promettez que vous me sucerez.
- Dans le bordel où il me faisait travailler Bob on m’appelait la reine de la pipe ou de la bouffarde.
Il se bousculait pour que je les pompe en leur caressant les couilles.
Je vois que tu bandes, tu vois je te fais déjà de l’effet.
Là, tu tournes à droite, dans trois kilomètres tu sors par la Bretelle, tu pourras t’arrêter où je te le dirais.
Il y a une petite impasse, je te soulagerais là-bas.

Je rigole en moi-même, je fais ressusciter mon beau-père pour réussir à retourner chez moi avant que Tex vienne voir pourquoi la mariée est peut-être déjà en noire.

- Voilà, je suis presque arrivée, tourne dans cette petite rue au bout tu pourras faire demi-tour.

Je lui sors la queue, elle est presque plus grosse que celle de Trevor, Abby en tomberait peut-être amoureuse.
Mais je n’oublie pas qu’il l’a trompé dès le premier soir ou elle lui a elle-même sucé sa queue.

- Comment appelles-tu ?
- Bill mademoiselle.

J’allais pour le prendre en bouche, j’ai un hoquet, une Buick, Bill, le monde est tellement petit.
Heureusement que la verge qui entre dans ma bouche est noire, j’aurais eu l’impression d’être revenue quelques années en arrière, pardon quelques mois.

C’est lorsque je l’ai jusqu’à ma glotte que l’idée me vient, Bill que je suce va m’être utile plus qu’il ne le croit…

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