Comment j'ai gagné mes galons de pute (5) - histoire érotique

<p>Rémy et Pierre ont continué à profiter de moi pendant quelques temps encore, mais toujours séparément. Et puis un jour — O joie! — alors que je quittais mon travail en milieu d’après-midi (Pierre avait été absent toute la journée et j’avais ainsi pu partir plus tôt), j’ai reçu un SMS de Rémy qui me disait simplement: « PIERRE ET MOI T’ATTENDONS POUR TE BAISER ». J’ai immédiatement trempé ma culotte! Coucher avec mes deux amants simultanément (ou avec deux hommes tout court, d’ailleurs) ne m’était arrivé qu’une seule fois, au début, avant que je devienne aussi le vide-couilles attitré de Pierre, mais j’en avais gardé un excellent souvenir. Rien que l’idée d’être de nouveau soumise aux caprices vicieux de ces deux hommes (je me doutais qu’ils allaient me traiter comme la dernière des traînées) me mettait dans tous mes états Au volant, j’ai redoublé d’attention car je me sentais fébrile. Ma chatte semblait vivre entre mes cuisses, je la sentais qui palpitait, brûlante et baveuse, prête à se faire fourrer. En plus, Rémy avait choisi une soirée où mon petit mari était (enfin!) absent pour la soirée et je savais que nous étions tranquilles jusqu’à au moins 23h. Il était à peine 16h, et moi et mes orifices comptions en profiter au maximum!

A peine avais-je franchi la porte d’entrée qu’un cinglant « à quatre pattes! » a retenti en provenance du salon. J’ai obéi et c’est donc dans cette position que je me suis rendue dans la pièce où Rémy et Pierre m’attendaient, tous les deux nus à partir de la ceinture. Je me suis approchée d’eux lentement, sans dire un mot. J’avais leurs couilles juste à bonne hauteur pour les cajoler comme une bonne petite salope, et c’est ce que j’ai fait! J’ai les ai léchées avec le bout de ma langue, puis je les ai couvertes de baisers humides. Pendant ce temps, les spasmes de ma chatte ont atteint leur paroxysme: je sentais le sang battre dans mes nymphes et mon clito tout gonflé m’envoyait des décharges électriques dans tout le ventre. J’étais violemment en chaleur et prête à n’importe quoi!

Leur verge s’est rapidement dressée sous l’effet de mes caresses.
-« Quelle docilité! » a commenté Rémy. Il a ajouté:
-« moi, je connais une petite pute qui a une grosse envie de sperme… On va te gâter, tu vas voir! Mets-toi à l’aise et commence par te déshabiller, on va te servir l’apéro… »
Me déshabiller, cela signifiait bien sûr me débarrasser du superflu pour ne garder que l’essentiel, c’est-à-dire mon porte-jarretelles, mes bas et mes chaussures…
Quand ce fut de nouveau au tour de Rémy de se faire dorloter les bourses, petit à petit ma langue est descendue sur son périnée. J’ai continué à descendre et ma langue a effleuré le bord de sa raie. Un goût un peu fort a envahi ma bouche, ça m’a excité et j’ai léché un peu plus profond. C’était clair: j’avais envie d’être vicieuse et de lui lécher le cul; je me sentais très salope et je voulais lui montrer à quel point je lui étais soumise. Cette pensée m’excitait énormément et j’espérais que Rémy s’apercevrait de mon désir, car à l’époque je n’avais jamais encore pratiqué cette caresse et je n’osai ni la faire spontanément, ni la lui réclamer. Mais Rémy sait à quel point je suis une chienne qui ne demande qu’à être guidée par son maître vers ses plus bas instincts. Très réceptif à mon initiative, il a ouvert un peu plus les jambes et a déclaré à son complice:
-« Dis donc, je crois que la pute a envie que je lui permette de me lécher l’anus… Pas vrai, salope?
- oui, s’il te plaît… » Ai-je confirmé.
Rémy s’est avancé un peu plus sur le bord du siège afin que j’aie sa rondelle juste au dessus de mes lèvres.
-« Embrasse-le d’abord… »
Le salaud, il jouait encore avec mes nerfs! J’ai donc déposé de petits baisers sur son anus, sans parvenir à résister au désir de passer rapidement ma langue dessus. La perversité de la situation me tournait la tête… J’ai commencé à me branler la chatte…
-« Ca a l’air de lui plaire! » a constaté Pierre.
-« Je suis même sûr qu’elle adore! » a renchéri Rémy.
J’avais effectivement le nez enfoncé dans la raie de mon amant et mes lèvres ne quittaient plus son trou: je l’embrassais avec passion, pressée de poursuivre mes caresses buccales un peu plus loin. Là aussi, Rémy l’a deviné:
-« Ce que tu peux être impatiente! Vas-y, salope, fais-toi plaisir… »
Je ne me le suis pas fait répéter et je m’en suis donnée à cœur joie! Après avoir pourléché son anus comme un chaton lape son bol de lait, j’ai introduit ma langue dans son anneau. Je le fouillais et je tentais de m’enfoncer le plus loin possible. En même temps, je pensais à ce que j’étais en train de faire. Je passais tendrement ma langue sur le cul de mon amant, je trouvais ça humiliant et doux à la fois, et puis aussi je pensais à mon mari que je faisais cocu avec son fils de la plus ignoble façon. J’avais la chatte en feu comme jamais! Je me branlai d’une main pendant que de l’autre je faisais rouler entre mes doigts ses testicules humides de ma salive. Ca a duré un peu, puis Rémy m’a dit:
-« Bon, ça suffit, tu t’es assez régalée. Au tour de Pierre, maintenant… »
Mon patron m’a immédiatement présenté son trou du cul en mettant ses mains sous ses genoux. Comme pour Rémy, je l’ai d’abord embrassé, puis j’ai léché son cul en me pâmant comme une salope. Rémy massait doucement sa queue gonflée à bloc en regardant la scène. Il a soudain lâché:
-« Désolé Pierre, mais j’en peux plus, j’ai tellement envie de lui juter dedans que j’en ai mal aux couilles… Faut absolument que je me les vide!
- mais je t’en prie, mon cher, soulage-toi…
- merci beaucoup... »
Puis à moi:
-« Amène ta bouche, sale pute… »
J’adore quand il me parle comme ça et qu’il m’utilise comme une simple vidange à sperme! Docilement, j’ai approché ma frimousse devant son gland violacé. Rémy a gémi et dès que j’ai vu le foutre sortir, j’ai bien ouvert ma gueule de salope pour tout récolter (ça faisait presque 24 heures qu’aucun homme ne m’avait giclé dans la bouche et ça commençait à me manquer!). C’est vrai qu’il avait les couilles pleines car il a déversé — pour mon plus grand bonheur — une sacrée quantité de sperme chaud et épais sur ma langue. Je m’apprêtais à déguster sa liqueur quand Rémy, m’a dit:
-« N’avale pas, salope! Pierre va d’abord achever de te remplir la gueule… tu vas adorer ce petit cocktail de foutre…»
Pierre a présenté sa bite et il s’est branlé vigoureusement au dessus de ma bouche ouverte et déjà pleine de la semence de Rémy. Alors que sa main parcourait sa tige bien bandée, Pierre me chuchotait des obscénités qui me faisaient dégouliner de la chatte:
-« Sale chienne, tu vas le manger, mon foutre… c’est pour ça que tu m’a bouffé le cul, hein? Pour que je te jute dans la gueule? »
J’ai hoché la tête.
-« foutue salope! Regarde-moi dans les yeux quand j’éjacule dans ta bouche! »
Pierre a fini par se laisser aller: il a joui et a rajouté son sperme salé et abondant à celui de Rémy.

Mes amants ont admiré quelques instants mes amygdales baignant dans le sperme puis Rémy m’a dit:
-« A ta santé salope! »
J’ai aussitôt obéi et j’ai avalé. C’était génial! J’ai adoré sentir cette grosse gorgée de foutre onctueux me couler dans la gorge, et je me suis caressée l’estomac pour leur montrer à quel point j’aimais qu’il soit plein de leur foutre. J’ai aussi aspiré leur gland pour récupérer le sperme qui restait dans leur urètre (ma carrière de salope m’avait déjà permis d’apprendre qu’il en reste toujours un peu!). Durant tout ce temps, je n’avais pas cessé de jouer avec mon intimité, mais je n’avais pas encore joui. Du coup, ma chatte criait famine et faisait ventouse autour des trois doigts que j’y avais introduit. Elle aussi voulait sa dose de jus de couilles!
-« Encore du sperme? » m’a demandé Rémy, voyant que tout ça me mettait dans le même état qu’une chatte en chaleur.
-« Oh ouiiii!! S’il te plaît…
- t’en voudras aussi dans tes autres trous ?
- Oui…
- où ça? Dis-nous où t’en veux, salope! »
J’ai hésité un instant.
-« dans ma chatte… j’aimerais tellement que vous la baisiez jusqu’à ce qu’elle déborde…
- et pas dans ton cul?
- si… si… dans mon cul aussi… remplissez-moi de sperme par toutes les ouvertures… » Ai-je soupiré.
Mes hommes ont eu un petit rire de contentement en me voyant si disposée à leur servir de vide-couilles.
- « Ok! » a repris Rémy « mais faut nous faire rebander avant… Allez, au boulot pétasse, suce-nous! » A-t-il conclu en me présentant sa queue molle.
Je ne me suis pas faite priée. A tour de rôle, j’ai pris leur verge flasque dans ma bouche. L’une et l’autre n’ont pas tardé à regrossir entre mes lèvres, mais ils ont néanmoins continué à se faire pomper pendant de longues minutes. Ils s’amusaient à enfoncer leur pieu loin dans ma gorge et j’en avais mal à la mâchoire, surtout avec celui de Rémy! Puis ils ont eu envie d’autres choses. Rémy et Pierre ont rivalisé de politesses mielleuses pour savoir qui allait profiter de mes orifices en premier, ce sur quoi ils ont décidé — pour couper court au débat — qu’ils profiteraient de mes trous tous les deux en même temps.
-« Tu vas connaître ta première double, sale chienne! T’es contente?
- oui, Rémy, tout ce que tu voudras, mais… »
J’avais toujours la même envie… Je me suis approchée des couilles de mon beau-fils si vicieux et — comme il me l’a appris — je les ai titillées avec ma langue, comme à chaque fois que j’ai une faveur à lui demander. En général, c’est pour avoir l’autorisation de le sucer, mais là, une autre idée me trottait dans la tête…
-« Quoi? » m’a demandé Rémy.
-« En haut, s’il te plaît, je veux le faire en haut… » ai-je minaudé.
Pierre n’avait pas compris:
-« Qu’est-ce qu’elle veut?
-« cette chienne veut se faire défoncer dans son lit conjugal… »

Rémy avait beau me répéter qu’une pute comme moi, ça se baise partout sauf dans un lit, je n’en démordais pas. Ca m’a toujours excité à fond de me faire sauter dans la chambre conjugale, et c’est souvent que j’invitais Rémy à venir profiter de mes trous dans notre lit, à mon mari et à moi. Quand il acceptait — ce qui était rare — je prenais toujours soin de m’installer du côté où dort mon époux et j’implorais Rémy de me baiser par le vagin, et sans capote… Cette lubie n’était pas nouvelle car bien avant d’être la pute de Rémy, je ne recevais mes amants que dans ma chambre. Il est d’ailleurs arrivé qu’une fois l’un d’eux refuse cette situation qu’il trouvait gênante: ça m’a coupé tout mon effet et du coup, quand il a voulu me prendre sur le canapé, je lui ai refusé l’accès à ma chatte! Mais ne voulant sans doute pas repartir la queue raide, il avait fini par céder et il m’avait ramoné longuement en me traitant de garce et de salope avant d’expédier sa purée au fond de ma matrice. J'ai joui comme une pute en sentant ses jets de sperme fouetter mon utérus! Le soir, j’adorais regarder mon mari, après sa longue journée de travail, se coucher avec plaisir à l’endroit où sa pute de femme avait pris le sien un peu plus tôt dans les bras d’un autre… Ce spectacle avait le don de rendre mon entrecuisse tout humide! Il y a quelques mois, je me contentais de me branler en silence, mais à présent, je rejoignais Rémy dans sa chambre dès que son père était endormi afin de lui faire profiter de ma moiteur vaginale…

Rémy a exposé brièvement la situation à Pierre, lequel a répondu d’un air nonchalant:
-« Si ça peut lui faire plaisir… »
En fait, je suis sûre que ce salaud brûlait d’envie de me faire subir les derniers outrages dans ma chambre de femme mariée! Rémy a donc accepté. Il n’a pas eu à le regretter: je me suis comportée comme une vraie pute soumise!

Rémy m’a faite me relever, il m’a obligée à me pencher en avant en appuyant sur ma nuque, puis il a introduit trois doigts dans mon vagin trempé tout en maintenant sa pression sur mon cou. Pliée en deux, Rémy m’a guidée vers les escaliers. Il me soulevait si fort par la chatte que, pour ne pas tomber, j’ai dû les monter en mettant mes mains sur les marches supérieures, comme une bête. A mi-parcours, Rémy a dû de mettre un quatrième doigt dans ma conasse pour maintenir sa prise, tellement celle-ci était enduite de mes secrétions intimes. Une fois dans la chambre, j’ai senti ma chatte couler un peu plus. Rémy m’a propulsée rudement sur le lit, je me suis retournée et j’ai docilement ouvert mes cuisses. Mes hommes ont admiré leur proie quelques instants avec un sourire mauvais. Je connaissais leurs projets à mon égard et — malgré mes provocations — je n’en menais pas large! Vu leurs mensurations et l’étroitesse de mes trous d’apprentie-salope, l’opération me semblait périlleuse: ils allaient me déchirer! Au moins, leur queue avait été bien lubrifiée par ma bave, ce qui me rassurait un peu… Et puis le cadre m’excitait et me rendait bien ouverte du cul et de la chatte!

Comme il se doit, Rémy a suggéré à Pierre de m’enculer en premier afin de m’élargir correctement le trou du cul. Rémy s’est allongé sur le lit, je suis venue me placer au-dessus de lui et il a aussitôt enfoncé sa bite jusqu’aux couilles dans ma chatte ruisselante. Une fois au fond, Pierre a commencé à forcer l’entrée de mon cul avec son gland. La grosse bite de Rémy dans ma chatte obstruait totalement mon anus, mais Pierre n’a pas renoncé pour autant et son gland a fini par rentrer dans mon boyau. J’ai hurlé:
-« Aaaaïe! Non, arrête, retire-toi, tu me fais mal…
- ferme-là, grosse pute, le gland est déjà passé; tu vas voir que le reste va rentrer sans problème! » A simplement répondu Pierre.
J’ai serré les dents. Pendant que mon enculeur s’introduisait lentement, Rémy me pinçait le bout des seins en me regardant d’un air à la fois tendre et sadique. Pierre s’est soudain exclamé:
-« Ca y est! J’suis au fond de son cul! »
Ils ont alors commencé à me labourer en cadence. La douleur, insupportable au début, est vite passée pour laisser la place à une sensation qui s’est révélée fabuleuse! Avoir une bite dans chacun de mes déversoirs à sperme me rendait folle: je sentais la chaleur de leur engin dans mes trous qui semblaient n’en faire qu’un seul, leurs mains parcouraient mon corps en insistant fréquemment sur mes seins, et un orgasme énorme grondait au creux de mon ventre. Je les encourageais à me baiser encore en leur disant qu’ils me remplissaient bien, que j’étais leur pute soumise et qu’ils pouvaient faire de moi tout ce qu’ils voulaient. Quand l’orgasme est arrivé, j’ai beuglé de plaisir en tremblant de tout mon corps! La jouissance m’a tellement assommée que j’étais presque inerte quand mes amants ont inondé avec leur sperme l’intérieur de ma chatte et de mon cul.

Mon inactivité ne s’est pas prolongée très longtemps: il a fallu que je leur fasse la toilette avec ma bouche. A genoux entre mes deux amants qui eux étaient debout, j’ai suçoté et aspiré leur bite jusqu’à ce qu’elles soient complètement flasques et que plus une goutte de sperme n’en sorte. Pendant que je tétais la queue de l’un, l’autre passait son sexe débandé sur mon visage. Rémy et Pierre plaisantait entre eux et me traitaient de pute, de pompe à sperme et de trou sur patte. Ces mots orduriers ainsi que le goût de ma chatte et de mon cul que je retrouvais sur leur bite m’enivrait. Sans qu’ils me l’ordonnent, je leur ai de nouveau léché le cul. En bonne pute adultère, je n’ai en effet pas pu résister à l’envie de le faire dans la chambre conjugale! J’ai même demandé à ce qu’ils viennent s’asseoir sur mon visage, ce qu’ils ont fait très volontiers: je ne m’étais jamais encore sentie aussi garce, et ça me faisait jouir…

Nous sommes ensuite redescendus dans le salon, à mon grand regret: j’aurais adoré leur lécher la bite, les couilles et le cul dans ma chambre durant toute la soirée… De retour dans le salon, même si mes baiseurs s’étaient déjà soulagés deux fois chacun dans la bassine à sperme que je suis, ça n’a pas été plus calme pour autant! Ils m’ont vraiment traitée pire qu’une pute, comme une esclave ou une poupée gonflable. D’abord, j’ai dû leur servir l’apéritif (il était encore un peu tôt, mais bon…) simplement vêtue de mon porte-jarretelles blanc et de mes bas beiges, ainsi que de mes escarpins. Du coup, ils en ont largement profité pour me peloter les seins, surtout quand je me suis penchée au-dessus de la table basse pour remplir leur verre. Rien pour moi bien sûr:
-« Que du foutre pour la pute! » avait décidé Rémy.

Ensuite, Rémy et Pierre se sont divertis en me faisant me courber en avant, les jambes bien écartées, pour observer leur sperme qui suintait de mes ouvertures. Ils ont collé leurs doigts dans mes trous et me les ont donné à lécher. J’ai dû aussi m’asseoir entre eux deux et ils se sont mis à me tripoter en insistant sur mes parties sexuelles. Dans le même temps, j’avais reçu l’ordre que mes mains ne quittent pas les leurs, sous aucun prétexte. Ainsi, pendant qu’ils me pelotaient ou qu’ils me pénétraient avec leurs doigts, je leur massais doucement les testicules. Je me sentais très fière de flatter ainsi, sans honte, les couilles de mes maîtres et j’ouvrais mes cuisses en grand pour mieux offrir ma chatte à leurs caresses.

Au bout d’un moment, tandis que Pierre agaçait mon clito avec ses doigts, Rémy — jamais à court d’idées — a demandé à Pierre s’il pouvait lui emprunter sa ceinture. « Bien évidemment » lui a répondu ce dernier. Rémy a alors ramassé et attaché les deux ceintures l’une à l’autre, puis il les a faites passer sous ses fesses.
-« viens me sucer la queue! » m’a-t-il ordonné.
Je suis aussitôt allée me mettre à quatre pattes entre ses jambes et j’ai pris sa bite molle dans ma bouche. Même au repos, c’était un beau morceau qui m’emplissait complètement. Rémy a attaché la double ceinture autour de ma nuque, en serrant bien fort de sorte à ce que j’aie le nez écrasé contre ses poils pubiens. Sa queue était enfoncée tellement loin dans ma gorge qu’il me suffisait de tirer un peu la langue pour lui lécher les bourses, ce qu’en bonne pute soumise, j’ai fait instinctivement. Pendant ce temps, Rémy a expliqué calmement à Pierre:
-« J’en ai marre de ne pas me faire sucer à fond par cette poufiasse sous prétexte que ma bite est trop épaisse. Je vais lui élargir un peu la gueule, comme ça je pourrais moi aussi lui juter dans la gorge. Y a pas de raison! »

Pendant presque une demi heure, la bite de Rémy est restée flasque dans ma bouche, en dépit de mes succions appliquées. Pendant que je le tétais, je respirais l’odeur qui se dégageait de ses poils, ça me rendait folle. Pierre était passé derrière moi et il continuait à jouer avec ma chatte et mon cul et j’ai encore eu un autre orgasme. Pendant que Rémy se faisait pomper la bite par mes soins en me caressant distraitement les cheveux, Pierre s’est amusé à m’insérer des godes de grandes tailles dans mes trous déjà bien dilatés. De la façon dont j’étais attachée au sexe de Rémy, je ne pouvais bien sûr par les voir, mais je pouvais sentir à quel point ils étaient gros! Le plus terrible (mais aussi le plus jouissif!) fut un énorme gode flexible doté d’un gland factice à chaque extrémité: Pierre en a rentré une dans mon cul et une dans ma chatte. J’émettais de petits cris étouffés tout en pompant Rémy qui a fini par rebander doucement mais sûrement. En réalisant que sa bite qui gonflait dans ma bouche allait finir par m’étouffer, j’ai commencé à paniquer. J’ai stoppé mes tétées, mais trop tard, sa bite a quand même continué à se raidir, apparemment heureuse de se sentir bien au chaud dans sa pompe à sperme. Très vite, je me suis mise à suffoquer, et ce n’était plus de plaisir que je gémissais, mais de peur. J’ai tenté de me dégager, mais la double ceinture maintenait ma bouche fermement rivée au sexe de mon amant. Ne pouvant me libérer de mon étreinte, le gland a fini par passer au-delà de la luette. Apparemment satisfait, Rémy a desserré la ceinture d’un cran afin de laisser un peu d’espace à sa bite qui a continué à grossir. Ne pouvant rien faire d’autre, je me suis calmée et j’ai commencé à contracter les muscles de ma gorge autour du gland qui bloquait mon oesophage. Rémy a grogné de satisfaction.
-« Oh! La petite salope! Elle me pompe le noeud avec sa gorge… »
Pierre — qui me faisait régulièrement pratiquer cet exercice — a confirmé:
-« Elle fait ça bien, hein?
- Putain, oui… Je ne vais plus jamais pouvoir m’en passer! Ooooh! Elle accélère… C’est fou d’aimer le sperme à ce point-là… quelle truie… Tu ne veux pas la baiser pendant qu’elle me trait la queue? Je sûr que cette chienne n’en sera que plus motivée…
- Ca va pas être possible: si tu voyais l’état de sa chatte, elle est tellement dilatée que je crois qu’elle n’est plus bonne à rien! On pourrait presque y aller à deux! Je vais plutôt l’enfiler par le cul…
- Bonne idée! » A approuvé Rémy.

Estimant que je le suçais bien à fond, Rémy a encore desserré la ceinture pour me laisser reprendre mon souffle et Pierre en a profité pour s’introduire dans mon rectum. Les salauds! Ils m’ont brutalisé les deux entrées de mon appareil digestif! Pierre s’est déchaîné dans mon pauvre cul tandis que Rémy titillait ma luette avec son gland. Visiblement très excité, il ne cessait de marmonner des propos grossiers:
-« t’aimes ça le sperme, hein? T’aimerais être nourrie au foutre? (« Oh oui! » ai-je pensé) T’inquiète pas salope, ça finira bien par arriver… vas-y, continue à me pomper, je vais tout te juter directement dans la panse… »

Je ne pouvais évidemment rien répondre, mais ces paroles enflammaient mon imagination: j’aime être traitée plus bas que terre! Je me contentais donc d’émettre des gémissements de chienne pour exprimer mon approbation et mon envie de sperme. Rémy a brusquement resserré la ceinture, sa queue a pénétré profondément ma gorge et j’ai senti les jets de foutre fuser dans mon oesophage. Hummmm! C’est si bon de se faire remplir comme ça quand on est une pute affamée! Rémy a gardé la ceinture bien serrée pendant toute son éjaculation. Il a relâché un peu, puis il s’est mis à débander sur ma langue. Progressivement il serrait un peu plus afin que la totalité de sa queue soit en moi. Rémy a soupiré:
-« Je crois que je pourrais passer des heures dans la bouche de cette pute… »

Pierre, qui n’avait pas arrêté de me pilonner le trou du cul, s’est soudain retiré en disant que lui aussi désirait se vider les couilles dans mon estomac. Rémy m’a délivrée afin que je puisse recevoir la semence de Pierre dans ma bouche. Ca m’a rendue un peu triste de quitter la bite adorée de mon homme (je m’étais bien habituée à sa présence!), mais je me suis consolée en me disant que c’était pour en sucer une autre! A l’époque déjà, j’aimais sucer des bites plus que tout au monde…

Le problème, c’est que cette fois la queue de Pierre est vraiment ressortie de mon cul dans un sale état. Pierre a dit à Rémy:
-« Je devrais peut-être aller me nettoyer un peu avant…
- pourquoi faire?
- Salaud! Tu ne veux tout de même pas que je lui fasse sucer ma bite comme ça!
- Penses-tu! Il en faut plus pour dégoûter une chienne de cette espèce! Tiens, regarde, même pas besoin de la forcer, cette pute! »
J’avais incontestablement englouti sans discuter le membre sali de Pierre dès que Rémy m’avait poussé un peu la tête dans sa direction. J’ai lutté comme j’ai pu contre mon dégoût mais j’ai quand même finalement été prise d’un violent haut-le-cœur qui m’a obligé à recracher la bite souillée. Rémy a attendu patiemment que je finisse de baver ma bile, puis il m’a caressé les cheveux et m’a dit doucement:
-« Allez, traînée, continue à sucer si tu veux du dessert… »
Des larmes plein les yeux, j’ai repris docilement la queue de Pierre dans ma bouche. Boulimique de foutre comme je suis, j’ai réussi à surmonter ma répulsion et j’ai soupiré de bonheur quand le dessert promis est enfin arrivé. Entre-temps, ma bouche avait rendu la bite de Pierre propre comme un sou neuf!
-« Sacrée putain! » s’est exclamé Pierre tandis qu’il finissait de s’essorer les couilles entre mes lèvres en pressant son gland, « rien ne l’arrête! »
Rémy a acquiescé:
-« Ouais, on n’a pas fini de rigoler avec elle! »

En tout cas, pour ce soir, c’était terminé: mes mâles étaient K.O. pour un bon bout de temps, l’heure tournait et je devais encore me rendre convenable pour mon époux, ce qui impliquait que je prenne une bonne douche et que je purifie mon haleine qui devait empester le sperme et l’excrément. J’ai pris congé de mes amants et je suis allée dans la salle de bain à l’étage. En me lavant, je n’ai pas pu m’empêcher de me branler le clito en repensant à toutes les cochonneries que j’avais faites ce soir et qui me confortaient dans l’idée que j’étais vraiment la reine des salope. J’en étais fière et je ne comptais pas en rester là: j’avais maintenant envie que Rémy m’utilise comme urinoir… Cette pensée a déclenché mon dernier orgasme de la soirée.

En attendant, j’ai accueilli mon mari avant d’aller rapidement me coucher. Il m’a suivie avec l’intention visible de me sauter. J’ai refusé en prétextant qu’il était déjà tard. Mais la vraie raison c’est que, vu comment ça m’avait excité la première fois, je m’étais jurée de ne plus effectuer mon devoir d’épouse qu’à la condition que mon vagin ait été préalablement lubrifié par le sperme de Rémy, ce qui après ma douche — pas de chance pour mon cher mari — n’était plus le cas… Rémy était bien sûr au courant: je lui en avais parlé un soir pendant que j’embrassais langoureusement ses couilles. Ce vicieux s’était tout de suite montré enchanté de mon initiative de garce et pour me récompenser, il m’avait laissé le sucer jusqu’au bout avec la permission de tout avaler! Rien de tel pour me motiver à trouver d’autres idées tout aussi vicieuses dont mon petit mari allait faire les frais…

J’ai continué à me faire prendre par tous les trous dans la semaine qui a suivi, tant à la maison qu’au bureau. Mon apprentissage continuait! Notamment, mes amants me donnaient amplement l’occasion de perfectionner ma technique dans l’art de la feuille de rose. Mes deux éducateurs avaient d’ailleurs chacun leur petite préférence sur cette question: si Rémy préférait mettre ses jambes sur les accoudoirs d’un fauteuil pendant que je lui léchais l’anus à quatre pattes devant lui, Pierre préférait se pencher en avant et se faire lécher avec moi à genoux derrière lui. Pour ma part, je m’en fichai, je me contentai d’obéir à leur caprice. Le principal pour moi était que — avec l’un comme avec l’autre — ce genre de pratique se terminait habituellement par une bonne giclée de foutre chaud dans ma gueule de salope, ce qui n’était pas pour me déplaire étant donnée ma fringale insatiable de cette soupe un peu particulière, mais tellement délicieuse!

Un soir, à table, mon mari a annoncé qu’il partait en déplacement 48 heures en fin de semaine prochaine. J’ai tout de suite regardé Rémy: son regard scintillait comme un enfant à qui l’on vient de faire un super-cadeau… En réalité, c’est moi qui l’ai eu le super-cadeau! Bref, le jeudi suivant — premier soir d’absence de mon mari — je suis rentrée dare-dare du travail, heureuse de pouvoir passer la soirée avec Rémy et impatiente de découvrir ce qu’il avait prévu de me faire subir. Il a bien sûr outrepassé toutes mes espérances!


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