ET TOUJOURS EN ÉTÉ 08 LA FOIRE AUX ESCLAVES

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 08 LA FOIRE AUX ESCLAVES Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 08 LA FOIRE AUX ESCLAVES
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 08LA FOIRE AUX ESCLAVES

On revenait vers la maison, on en oubliait de récupérer nos vêtements Samuel me suivait en rigolant. On arrivait à la maison.

Moi : Et tu l'avais mis ou ton tube !
Samuel : Dans ma poche !

Je me retournais brusquement vers lui.

Moi : Mais on est à poil !

Il rigolait, je gardais toujours une main sur mes fesses, et tout en montant à l'échelle je continuais à râler.

Moi : Ça fait vraiment un mal de chien ton truc.

Dans la maison on ne faisait plus de bruit jusqu'à notre chambre. Je me lavais le cul pour tenter d'apaiser la douleur qui ne passait pas. Mais le plus étrange c'est qu'au moment ou je glissais un doigt dans mon cul ça me soulageait. C'était presque jouissif. J'ai eu du mal à m'endormir mais ensuite j'ai bien dormi.

Le lendemain matin j'avais encore mal au cul. Mais je me sentais bien, super bien !

Ma mère voulait me voir et me faisait appelé par Mamata qui faisait ça d'une manière très protocolaire. On était dans la baignoire mais Mamata entrait sans s'en formaliser, et nous non plus. Elle nous a vu nus, l'un comme l'autre plus souvent que notre propre mère.

Samuel : Dis Mamata, je peux y aller aussi ?
Mamata : Certainement pas ! Madame a bien précisé qu'elle ne voulait voir que Monsieur Jonathan.

Samuel faisait la gueule et râlait dans sa barbe. Voyant cela …
Mamata : Mais ne vous inquiétez pas Monsieur Samuel, votre maman y sera aussi et si personne ne vous raconte je vous raconterai tout.
Moi : Mais tu ne sais pas ce qu'elles me veulent ?
Mamata : On ne m'a rien dit !

Au moment ou elle sortait de la salle de bain …
Mamata : Par contre il me semble avoir entendu le nom de Mlle Sarah !


Samuel : C'est le grand jour frère. Tu vas te marier.
Moi : Tu crois ?
Samuel : Ne fait pas l'idiot, ça ne peut pas être autre chose. Tu en dis quoi ?
Moi : J'ai mal au cul !
Samuel : Toi tu es toujours en train de râler pour rien … Pfff …
On s'habillait rapidement puis on descendait. Samuel était plus excité que moi. Attention là je ne dis pas que je n'étais pas content, j'étais très content mais un peu plus retenu. Lui il se lâchait il trépignait à l'idée qu'on allait me fiancer.

Moi : A voir dans l'état ou tu es, je me demande comment tu seras quand ce sera ton tour …
On arrivait dans le salon. Ma mère et ma tante étaient sur la terrasse on s'en approchait mais Mamata apparaissait devant nous …
Mamata : Monsieur Samuel, s'il vous plaît !

Le ton de sa voix était autoritaire, elle parlait bas mais avec force. Samuel n'osait pas insister, elle lui indiquait une place juste derrière le rideau, là il pourrait tout entendre mais ne serait pas vu.

Moi : Maman, ma tante, vous m'avez demandé ?
Ma mère : Assieds-toi mon chéri nous avons à parler …
Je m'installais on me servait mon petit déjeuner.

Ma mère : Tu as bien grandi mon garçon, maintenant tu es un homme.

Je gonflais le torse. Ma tante s'en amusait. Un murmure se faisait entendre juste derrière le rideau.

Ma mère : On voulait te parler de nos voisin … Ma tante : C'est une très gentille famille et nous avons remarqué …Ma mère : Que tu t'entends bien avec leur fille …Ma tante : La jeune Sarah …
Mais elles avaient répété ou quoi ? C'est pas possible ! On entendait un fou rire juste derrière le rideau.

Ma tante : Samuel arrête de faire l'idiot, et comme nous ne pourrons pas nous débarrasser de toi tu ferais mieux de venir nous rejoindre.

Il apparaissait à la porte fenêtre, il se donnait un air penaud, la tête basse mais il gardait un petit sourire, celui qu'il fait quand il prépare un mauvais coup.

Samuel : Je passais pas là par hasard maman je te jure …
Je pouffais de rire.

Ma tante : Et tu t'imagines sans doute que je vais te croire ?

On reprenait. Il s'agissait bien de me demander si l'idée d'épouser Sarah ne me déplaisait pas trop. C'est à ce moment que Samuel s'est mis à ricaner bêtement.

Moi : Si tu continues toi, je viendrais moi aussi me moquer de toi quand ton tour viendra …
Je repartais finalement avec un large sourire, je n'avais plus mal au cul avec tout ça. C'était d'accord, la demande officielle serait faite le dimanche suivant, c'est nous qui irions dîner chez les voisins. Il n'y aurait pas de surprise, tout était déjà arrangé, c'était juste pour la forme.

Un peu plus tard mon grand père venait me voir.

Gp : Alors mon bonhomme, maintenant tu es un homme, et aujourd'hui c'est le grand jour. Un jour mon grand père est venu me voir comme je le fais aujourd'hui, j'allais ma marier, il m'a expliquer qu'il me faudrait un serviteur personnel pour s'occuper de mes affaire. Prépare-toi nous partons au village .

On aurait dit que tout était organisé, ce jour là il y avait une vente d'esclave au village. C'était seulement un village mais il y aurait une grosse vente. Avec toutes les propriétés aux alentours il y avait beaucoup de clients et c'est vrai aussi, tout avait été prémédité. Le jour ou on m'en parlerait, le dîner chez nos voisin, le jour de la vente au village ...

Le village avait pris ses airs de fêtes. Plusieurs vendeurs parmi les plus réputés du pays.

Mon grand père : C'est donc un homme de maison qu'il te faut, il travaillera à la maison et c'est lui qui fera ton ménage, ta lessive et je ne sais quoi … Un homme, une femme ce serait déplacé.

On approchait d'un stand, ils étaient tous présentés nus. Mes yeux me ressortaient de la tête, j'étais embarrassé. En fait je ne savais pas comment réagir. J'avais le droit de les regarder, les clients ne s'en privaient pas. J'étais un client aussi. C'était pas un peu vicieux, voyeur, que de regarder tous ces hommes nus, il étaient présentés à leur avantage. Chaque vendeur espérait en tirer le meilleur prix.

Je regardais comment les clients, mon grand père se comportaient et je faisais de même. Rapidement je sentais ma queue qui se réveillait. Elle ne s'était pas fait remarquer celle là depuis la veille ou Samuel m'avait enculé. J'avais bien encore un peu mal au cul mais sans plus. Je sentais une grosse molle qui se balançait dans mon pantalon, comme à leur habitude mes couilles s'étaient contractée, et laissaient toute la place pour ma queue que je sentais de plus en plus lourde.

Mon grand père se déplaçait tranquillement entre tous ces vendeurs, il s'arrêtait régulièrement pour me présenter et je recevais des félicitation pour mon prochain mariage. J'étais donc le dernier à être au courant ?

Les femmes qui étaient à vendre n'étaient pas présentée nues en général, elle avait une sorte de robe sommaire qui leur couvrait depuis les seins jusqu'aux cuisses.

Certains clients voulaient en voir plus et c'est sans malice ou plutôt d'une manière que je trouvais finalement très perverse qu'on soulevait la robe pour montrer la ' marchandise ' autant de face que de dos, ou ouvraient le haut de la robe pour montrer les seins de la fille.

Je trouvais ça sordide, ce genre de marcher ne me plaisait pas. Il y avait tous ces hommes nus, a vendre. Ces femmes qu'on exhibait, a vendre aussi … Je me disais que celui qui serait choisi aurait de la chance, il serait bien traité, c'était déjà une bonne chose. Le premier qu'on me proposait était de taille moyenne, relativement mince, il avait une musculature discrète.

C'était ce genre de personnes que mon grand père me proposait. Pour moi ils étaient tous pareil, pour ce que je voulais en faire, ça n'avait pas grande importance en fait. Quand je remarquais de l'autre côté de la place un esclave en vente, les enchères allaient commencer. Je flashais sur lui.

Moi : Grand père c'est lui que je veux !
Mon grand père : Un combattant mais que veux tu en faire mon bonhomme ?
Moi : C'est ça que je veux je te dis !
M g p : C'est pas ce qu'il te faut.
Moi : Mais c'est pour moi qu'on est venu, si tu ne veux pas écouter mon avis, c'était pas la peine de me faire venir !

Mon grand père se rendait compte que j'y tenais et c'est vrai que c'était pour moi qu'on était venu.

Les enchères avaient commencée et le prix montait vite, d'où il était mon grand père enchérissait. On traversait la place. Il voulait me faire plaisir et à partir de là il avait décidé de l'acheter.

Il était magnifique. Il était comme le gros balaise qui travaillait à la maison, il me semblait même plus balaise encore. Ses épaules étaient larges et musclés. Mes yeux parcouraient son corps, je n'avais plus de gêne, il était tellement beau et je me régalais de ce que je voyais. Ma queue protestait. Il me regardait, il avait les yeux noirs et son regard était différent de celui des autres esclaves que j'avais rencontré et j'en avais rencontré je vous le jure. Il y avait je ne sais pas quoi, de la force, de la folie, de la révolte, j'étais fasciné. Son visage était carré mais il y avait aussi de la douceur. Il ne souriait pas on lui avait sans doute dit de paraître mauvais, sa carrure le classait dans la catégorie ' combattant ' . Certains organisaient des combats avec ce genre d'esclave, les combats faisaient l'objet de paris lucratifs, et pouvaient même aller jusqu'à la mort d'un des participants.

Ses bras étaient musclé, mais ses proportions étaient harmonieuses. Mon regard descendait le long de son bras, de son avant bras lisse, il était imberbe sur presque tout le corps, ses mains étaient fortes et je remarquais que par moment il les refermait, il fermait les points. C'est normalement interdit ça mais on le laissait faire, on le lui avait peut être même demandé.

Son torse était large, de face il y avait de gros pectoraux et quand il bandait les muscles de ses bras ces deux gros muscle prenait du volume et semblaient durcir. Je n'avais plus que l'envie de le caresser et de voir par moi-même si tout cela était aussi ferme qu'on pouvait supposer. Le ventre était plat comme une tablette de chocolat, elle en avait la forme et la couleur. J'avais envie de mordre dedans. Son dos était à l'image de son ventre, ferme et musclé.

Ses fesses étaient ronde, soutenues par deux jambes aussi stables et solides que des colonnes dans un monument antique. Quand il se décontractait et ne bandait plus ses muscles, tout restait bien en place et cette silhouette qui semblait presque difforme devenait alors d'une élégance incroyable. Il était simplement merveilleusement beau.

De face c'était une queue incroyable qu'il exibait. Droite, bien droite, longue qui se terminait par un renflement. Son gland un peu plus large que le reste de sa bite lui donnait des proportions idéales. Il ne manquait rien, deux belles couilles pendaient juste derrière cette bite qui était certainement la seule partie de son corps qu'il ne devait pas bander, surtout pas en public, ce ne serait pas convenable. A part sur la tête ou ils avaient laissé quelques millimètres de cheveux son sexe était la seule partie de son corps ou il restait encore un peu de poil, je ne savais pas si c'était naturel ou pas mais il était tellement beau.

J'étais bouleversé. J'avais envie de toucher, de m'assurer que tout ça c'était vrai, je ne sais pas quel âge il avait, il était annoncé pour vingt deux ans mais il ne faut pas toujours croire les vendeurs, il n'y a pas plus voleur que ces gens là, comme disait souvent mon grand père.

Ma queue se manifestait de plus en plus, je me contrôlais. J'avais de plus en plus de difficultés à me contrôler mais j'y parvenais encore.

C'est pas facile tous les jours vous savez !

Je n'ai jamais porté de sous vêtements, c'est pas comme si je me trouvais pour la première fois comme ça. Un homme qui se trouverait dans ma situation sans y être habitué ne pourrait pas se contrôler, ça c'est sur. Je me souvenais du spectacle la veille au soir près de la rivière et c'est cet homme que j'imaginais à la place de Sekou et c'est moi que j'imaginais dans ses bras.

Je bandais. La je ne contrôlais plus rien. Heureusement c'était mon costume du dimanche, la coupe est différente de ce que je porte tous les jours, moins large, moins ample et retenait mieux ma réaction tout en la dissimulant un peu plus... Un peu plus seulement. En baissant les yeux je remarquais que c'était pas si discret que ça finalement. J'allais me sentir gêné quand je remarquais que la plupart des hommes avaient la même réaction que moi.

Mon grand père continuait les enchères qui montaient. Heureusement la famille est riche ! De nouveau je me perdais dans mon rêve, j'admirais ce corps magnifique, j'avais envie de toucher, mais ça je n'aurais jamais osé !

C'est ce que demandait à faire un acheteur, il ne se gênait pas de tâter les fesses, les épaules et les bras avant de renchérir, il ne faisait pas semblant, il ne voulait c'était évident et proposait d’emblée une somme nettement supérieur au montant des enchères du moment.

Mon grand père me regardait en soupirant . '' Tu le veux vraiment ?''. Je faisais oui de la tête... Adorable avec moi, mon grand père renchérissait également et faisait comme l'autre acheteur qui lui lançait un regard de tueur.

L'autre enchérissait encore un peu, mon grand père suivait et finalement remportait les enchères. On nous livrait notre achat après l'avoir recouvert d'une tunique qui le couvrait jusqu'au genoux.

L'homme qui venait de perdre l'enchère venait vers nous, il avait l'air visiblement agacé et je dirais même en colère.

L'homme : Qu'est-ce qui t'arrive Benjamin, tu n'achètes pas ce genre de marchandise d'habitude ?
Benjamin : ( c'est mon grand père ) C'est pour mon petit fils, il va se marier tu sais !
L'homme : Il lui faut un valet pas un combattant ! Je voudrais te proposer quelques chose.
Benjamin : Tu vois ça avec mon petit fils, c'est lui qui décide.

Il se tournais vers moi.

L'homme : Je te propose un combat mon gars, tu as acheté un combattant, ce serait le moment idéal pour voir ce qu'il vaut et si tu as fait un bon investissement. Si tu gagnes, tu gardes ton combattant et je te verse une bonne prime. Si tu perds je garde ton combattant et je te rembourse ton achat … Alors tu en dis quoi ?



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