EVEIL ET MATURITE (5) - Clélia entre dans ma vie

- Par l'auteur HDS Midou32 -
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Récit libertin : EVEIL ET MATURITE (5) - Clélia entre dans ma vie Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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EVEIL ET MATURITE (5) - Clélia entre dans ma vie
<p>EVEIL ET MATURITE (5)

CHAPITRE 5 - CLELIA ENTRE DANS MA VIE


Je filai donc vers la Méditerranée.

Je réussis à trouver un petit coin de plage bordée d'un bois de pins. En bordure de la plage se trouvait une petite baraque faite de bois et de paille dans laquelle on servait des jus d'orange. Vers midi on y trouvait des sandwiches et des omelettes. Un vrai petit coin de paradis. J'y prenais tous mes repas. Je passais mes journées au soleil et dans l'eau et la nuit je dormais sous les pins.

Je réfléchis beaucoup avec le bruit des vagues se renversant sur le sable. J’avais 24 ans, je marchais brillamment à l’université. J’avais l’impression que jusqu’alors j’avais beaucoup joui dans ma vie mais quelque chose de fondamental y manquait. L’amour tout simplement. Je décidai de creuser ça et de réfléchir à mes buts de vie.

Le second soir de mon arrivée j'étais sur la terrasse de cette paillote de plage, terminant une omelette au jambon et regardant le coucher du soleil. Il n'y avait plus personne sauf un très jeune couple. Elle ne devait pas avoir plus de 18 ans, longs cheveux blonds coulant sur son dos hâlé, un petit nez mutin et de merveilleux yeux tout bleus, lui à peine plus âgé qu'elle et très joli garçon. Ils semblaient être bien ensemble mais à bien les regarder quelque chose me disait qu’ils ne s’aimaient pas totalement. Mais ils formaient réellement un beau couple.

Je me mis à les surveiller du coin de l’œil. Je vis plusieurs fois la main du garçon glisser sur l’une des cuisses de la fille. Elle le repoussait chaque fois mais sans grande conviction. Puis, à mon grand dépit, ils réglèrent leur note et quittèrent la paillote.

Je m'en allai, échaudé, vingt minutes après eux et allai m’asseoir dans le sable sec face à la mer. Le coucher de soleil était superbe et le ciel changeait sans cesse dans ses rouges, ses ors et ses bleus. Je restai longtemps assis seul au bord de l'eau à réfléchir au sujet de ma vie et de ce que je souhaitais en faire. Quand l'obscurité fut complète je rentrai vers les pins.

En approchant de mes quartiers dortoirs j'entendis un court gémissement de femme. Allais-je pouvoir assister aux ébats d'un couple ? Je marchai très doucement dans la direction du bruit et découvris tout à coup dans la pénombre à 30 mètres de moi un couple tout nu sur le sable. Je le reconnus immédiatement ! C'était le petit couple de la paillote, la fille avec ses longs cheveux blonds.

Je m’accroupis sur le sable et les regardai. Ils étaient beaux ! Elle était à quatre pattes et lui, à genoux derrière elle, la possédait follement. Qu'elle était jolie ! Ses seins ballottaient sous elle à la vitesse des coups de queue qu'elle recevait. De temps à autre elle poussait un petit gémissement. Et lui, derrière elle, quel beau petit mâle tout neuf et actif !

Je descendis la ceinture de mon short et ma bite en jaillit. Je me couchai dans le sable pour être moins visible et me mis à me masturber en les regardant. Leur orgasme approchait. Ils gémissaient tous les deux sourdement. Subitement il poussa un cri guttural que je connaissais fort bien. Il semblait jouir follement au fond d’elle. J'assistai à la fête de leurs sens. Que c'était bon de voir le plaisir de ces jeunes ! Que c’est beau un couple nu qui fait l’amour.

Quand leur jouissance se calma ils se désunirent et roulèrent tous deux à plat sur le dos dans le sable côte à côte. Maintenant je n’osais plus bouger. Ils étaient calmés et m’auraient certainement découvert près d’eux au moindre de mes mouvements. Il lui dit subitement :

On doit y aller. Sinon ma mère va s’inquiéter. Tu viens ?

Oh attends encore un peu. Pas tout de suite. On est bien.

Reste si tu veux. Moi j’y vais.

Je le vis se dresser, ramasser ses fringues et la quitter. Le mufle ! Il avait eu son plaisir et la plantait là ! Quel salaud ! Quel imbécile surtout !

Elle ne bougeait pas, couchée nue sur le dos elle avait ramené un de ses avant-bras sur ses yeux. Elle m’attirait. Le fait qu’elle soit si jolie et qu’il l’abandonne seule décuplait mes instincts protecteurs.

Tout doucement je me redressai et quittai un à un mes quelques habits, les laissant choir sans bruit dans le sable. Entièrement nu je la regardai en caressant un peu ma verge dressée. C’était agréable. Qu’elle semblait jolie dans la pénombre de la nuit.

J'approchai d'elle comme un apache sans faire le moindre bruit. Une fois debout tout à côté d’elle je la regardai un moment. Elle avait toujours un avant-bras couvrant ses yeux mais je vis maintenant que son autre main couvrait son mont de vénus. Elle devait avoir les doigts loin en elle. J’aurais parié qu’il ne l’avait pas fait vraiment jouir et qu’elle restait sur sa faim. Elle semblait plongée dans son monde intérieur, peut-être dans ses fantasmes.

Debout, j’enjambai son corps sans aucun bruit. Elle était maintenant nue entre mes jambes mais se croyait seule. Alors je me baissai lentement et posai les mains de chaque côté d’elle à hauteur des épaules puis descendis les genoux dans le sable de part et d’autre de son bassin. Une de mes cuisses effleura sa hanche et elle sursauta. D’un geste brusque elle ramena la main qui s’occupait de son sexe et dans son mouvement cette main frappa ma queue dure. Je posai les miennes sur ses épaules et la plaquai par terre. Elle ne pouvait plus bouger.

- Ne crains rien ! Je ne te ferai aucun mal ! Je te respecterai !

- Alors lâche mes épaules !

Je soulevai mes mains, me redressai et les laissai toutes deux envelopper ses seins nus. Qu’ils étaient fermes et jolis ! Que leurs tétons étaient dressés et durs dans ma paume.

- J’avais tellement envie de les caresser ! Que tu es jolie. Je vous ai regardé tous les deux.

Elle eut un long silence puis elle demanda :

- Tu étais là depuis longtemps ?

- Quand je suis arrivé il te prenait en levrette. Ca avait l’air de te plaire. Et puis je vous ai regardé jouir et puis… je l’ai vu te quitter. Quel mufle !

- Il n’est pas méchant mais … c’est vrai que j’aurais préféré qu’il reste.

Ma queue tendue caressait maintenant son ventre nu. Je sentis ses doigts s’enrouler autour d’elle et la découvrir. Que sa main était douce ! Une vraie main de fille. Elle empaumait mes couilles par moment et cela aussi était exquis. Il y avait une sensualité exquise dans ses caresses. Elle serra un peu plus ma queue et me dit :

- Tu es beau.

- J’ai envie de toi. … Tellement !... Je peux te prendre ?

- Oh non !

- Pourquoi ? Je serai doux et aimant.

- Je… je ne suis pas lavée.

- Mais !... Je le sais bien ! Je m’en fous ! … J’aime ça même !

- Mais… Il a joui en moi tu sais ! Je suis pleine de son sperme. Et tu aimerais me mettre quand même ta queue ?

- Oui ! Pour moi ça te rendra encore plus femme et plus excitante.

Elle considéra un moment ma réponse. A deux mains elle continua l’inspection de ma queue et de mes couilles. Ses caresses étaient douces. Puis elle me dit :

- Viens ! Prends moi !

Elle ouvrit les cuisses et je me glissai entre elles. Je sentis mon gland dans les replis chauds de son nid et me glissai dedans de toute la longueur de mon membre. On gémit ensemble de plaisir commun.

- Oh tu es gros !... Plus gros que lui… et tu vas loin en moi !

- Que tu es trempée ! J’en ai plein la queue et les couilles ! J’adore !

- C’est bon que tu m’aimes comme ça ! … Comme je suis !

Alors je la pris toute entière dans mes bras, enveloppant ses épaules et son joli cou gracieux, enserrant son torse dans mes bras écrasant ses seins contre ma poitrine. Qu’elle était petite, souple et féminine ! Quel corps gracieux.

Quelque chose se passa alors que je n’avais jamais vécu. Elle se fit liane, épousant mon corps et ployant avec lui. Sentant cela je me mis à m’enfoncer le plus possible en elle, écrasant son clitoris pour l’exciter plus encore. Elle gémissait. Elle se fit encore plus lascive et mes mains coururent dans son dos.

Quelle féminité ! Jamais je n’avais senti un tel désir d’union, un tel don sensuel. Et subitement, tout au fond d’elle, un gland ferme vint se frotter au mien. Elle se mit à gémir plus fort mais cette caresse si intime dans ses profondeurs féminines m’affolait littéralement. Je savais qu’au fond d’elle c’était sa matrice qui se frottait pleine de plaisir à mon gland et ça me rendait fou.

Elle s’agrippa puissamment à moi et je sentis tout son ventre chercher à avaler le maximum de ma bite. Un plaisir de paradis démarra tout au fond d’elle de cette caresse de sa matrice à mon gland. Il sembla couler dans ma verge puis dans mes couilles et envahit tout mon corps. Je la sentis gémir et jouir puissamment elle aussi et me mis à jouir follement en elle. Jamais je n’avais vécu une telle jouissance.

Lentement nos corps s’apaisèrent sans se désunir.

- Restes en moi. Je veux te garder encore. Tu m’as fait tellement jouir. Jamais personne ne m’a fait jouir comme ça !

- Pareil pour moi ! Aucune femme ne m’a jamais fait jouir comme toi ! Tu es un trésor de féminité ! Ton corps est si fait pour le mien !

- Oui ! C’est vrai !... Avec toi j’ai senti une complicité physique jamais vécue avec un autre.

- Tu es merveilleuse ! Quelle chance j’ai eue de te rencontrer ! J’ai envie qu’on reste ensemble ce soir !

- Moi aussi ! Je veux te garder.

Alors, avec ma queue toute dégonflée mais toujours logée dans son nid je posai mes lèvres sur les siennes. Elle accepta mon baiser et les siennes y répondirent fougueusement. Ce fut un long baiser avec des arrêts et des reprises plus folles encore. Ce baiser nous permettait de nous dire tous nos émois que des mots étaient incapables de rendre. Le plus extraordinaire était la profondeur de cette compréhension entre nous. Je n’avais jamais vécu ça avec aucune femme. Puis on s’apaisa à nouveau. Je ne parvins plus à rester en elle et elle me perdit à regret. Je la pris dans les bras et l’enlaçai tendrement.

- Ton copain de ce soir est important pour toi ?

- Non. Pas vraiment. C’est juste un copain. C’est moi qui l’ai attiré ici. J’avais envie de baiser.

- J’adore ta liberté ! … Et ton honnêteté ! … Il ne t’a pas fait jouir hein ?

- Ah tu l’as vu ? … Tu as vraiment assisté à tout !

Elle se lovait nue et chaude dans mes bras.

- Comment t'appelles tu ?

- Patrick! ... Mais tout le monde m'appelle Pat ! Toi c'est Clélia et lui Bertrand comme j’ai entendu quand vous étiez ensemble ?

- Oui ! C'est ça !... Ah c’était bon toi et moi !

- Merci de t’être si fort donnée à moi. Tu m’as fait vivre quelque chose d’unique.

- Toi aussi ! Jamais je n’ai vécu un plaisir aussi intense dans mon ventre.

- Je l’ai senti ! Quand le plaisir est monté en toi ta matrice est venue toute mignonne se frotter amoureusement à mon gland. Ca ne m’était jamais arrivé avant toi.

Il circulait entre nous tant d'amour dans une si tendre intimité. Puis elle me demanda :

- Tu aimais aller en moi dans tout le sperme de Bertrand hein ?

- Oui ! Ca m’excitait fort.

- Je l’ai senti. J’adorais ça ! … Dis moi que tu es bi !

- Oui !

- J’en étais certaine ! C’est merveilleux ! Je crois que je deviens amoureuse de toi. Tu n’as pas de petite amie j’espère ?

- Non ! Personne ! … Parfois une rencontre, comme toi avec Bertrand, mais rien de réellement important.

En nous rhabillant elle m'expliqua qu'elle passait ses vacances chez sa tante, une sœur de sa mère qui avait un appartement près de la plage. Elle me demanda où je logeais, et apprenant que je logeais sous les pins elle me demanda de venir chez elle. J'eus beau la mettre en garde contre la réaction de sa tante, elle ne voulut rien entendre et me glissa même à l'oreille :

- Demain elle part pour deux jours... alors je te donnerai encore mon con… et même mon cul... mais dans un lit et à nous deux ! Ce sera bon ! Je veux encore coucher avec toi Pat ! Tu m’as tant fait jouir. Et puis… je crois que je tombe amoureuse de toi.

- Moi aussi mon petit brin de femme ! Je sens que tu vas devenir très importante pour moi.

J’accompagnai Clélia et une fois devant son immeuble elle me fit entrer dans l’appartement et me présenta à sa tante, une femme ravissante, 35 ans, blonde aussi, qui me regarda avec insistance. Elle semblait chercher à savoir ce qu'il y avait entre Clélia et moi.

Elles m’indiquèrent la salle de bains au cas où j’aurais un besoin pressant durant la nuit puis m'installèrent dans la chambre d'amis. Je me glissai nu entre les draps. J'attendis environ encore une heure espérant sa venue. Mais Clélia ne vint pas me rejoindre et je m'endormis.

Le lendemain je me levai et allai dans la salle de bains pour prendre une douche. Cette eau pure coulant sur mon corps me faisait un bien immense après mes deux jours de plage et d'eau salée. J'en profitai pour me laver aussi les cheveux.

Tout à coup le rideau de la douche s'ouvrit et le ravissant corps nu de Clélia se lova contre le mien. Elle leva les bras et continua à me savonner les cheveux en me souriant d’un des plus jolis sourires que j’aie jamais vu. Qu’elle était jolie ! Ses jolis seins pointus se frottaient à ma poitrine y étalant ses grandes aréoles. Son ventre doux faisait rouler ma queue molle entre nous.

Mes lèvres cherchèrent les siennes. Pendant notre baiser bouche à bouche, son corps nu devint comme une liane autour du mien. Une image me frappa subitement « Je meurs ou je m’attache », la devise du Lierre. Elle semblait me le dire de tout son être. Moi je la caressais partout. Sa petite main douce palpait mes couilles et ma verge grossissait dans ses doigts savants. Sa main menue courait sur mes fesses et ses doigts glissaient subrepticement dans mon sillon. Subitement elle poussa un de ses petits doigts dans mon cul. Elle rit.

- Tu aimes ça hein ?

- Oui ma coquine d’amour !

- J'en étais certaine ! Tu m'as déjà bien appris qui tu es ! Je veux tout découvrir... Tout savoir !

- Je t'ai attendue hier soir !

- Je n'ai pas pu !... Sinon je serais venue tu penses ! Je... Je dormais avec Tantine.

- Mais... tu m'avais donné ton lit ?

- Non! J'ai un lit … une autre chambre ! Mais... Tantine aime que je dorme avec elle... toute nue !

- Toute nue ? … Tu couches avec ta Tantine ?

Elle rougit fort et se colla tout contre moi.

- Oui !... Je sais que tu peux comprendre ça puisque tu es bi aussi. Quand tu me l’as avoué j'ai compris qu'à toi je pouvais tout dire !

- Merci de ta confiance. Ca te plaît beaucoup ce que tu fais avec elle ?

- Oui ! Très !... Elle a un corps formidable ! Elle m'excite très fort ! J'adore être nue près d'elle ! Elle est très sensuelle tu sais. Et ça j’adore.

Elle nous rinça tous deux bien partout, ferma le robinet de la douche et m'entraîna dehors. Elle prit un essuie et me le tendis. Je me mis à essuyer son joli corps avec amour et émotion dans tous ses recoins puis elle me prit l’essuie des mains et sécha le mien. Elle tomba à genoux devant moi et se mit à me sucer le gland, puis toute la bite qui grandissait dans sa bouche. C’était si bon. Quand elle fut raide et bien dressée sur mon ventre ses lèvres la lâchèrent. Elle la regarda.

- Quel bel organe ! C’était si bon hier soir quand il fouillait mon ventre.

- Stop Clélia ! Si ta Tantine arrivait ?

Elle se releva et me sourit tendrement en m'enlaçant.

- Mais elle est là !

Elle me fit me retourner et, stupéfait, je vis devant moi Marie, toute blonde, dans l'entrebâillement de la porte. Elle était totalement nue et regardait ma bite dressée au bas de mon ventre. Au bas du sien il y avait une mousse de poils blonds fendue de rose. Clélia me susurra en se frottant nue à moi :

- N'aies pas peur ! Elle sait tout !... Cette nuit, quand je me suis glissée nue contre elle, elle m'a immédiatement déclaré que ma peau sentait l’homme et l’amour. Comme je n'osais pas répondre, elle a glissé une main entre mes cuisses et a mis un doigt dans mon con qui dégoulinait encore de vous deux ! Elle l'a alors ramené sous son nez, en a respiré l'odeur, puis l'a léché, et m'a dit: "Tu es pleine de sperme Clélia ! Raconte moi tout !"

- Et j'ai tout raconté, Bertrand, toi, tout le plaisir que tu m’as donné et même le fait que tu es bi ! Puis on a fait l'amour et... et elle a longuement été boire vos spermes entre mes jambes avec mon plaisir.

- Quand on s'est réveillées toutes nues l'une contre l'autre ce matin elle... elle m'a serrée dans ses bras et m'a dit qu'elle te désirait !... Quelle avait envie que tu la prennes. Alors je suis venue te dire bonjour sous la douche et te chercher. Mais elle n'a pas attendu que je te ramène. Elle est venue nous voir... Avoue qu'elle est très jolie !

Et elle me poussa doucement vers cette femme de 35 ans toute blonde et nue qui, elle aussi, avançait vers moi. Nous dévorions mutuellement nos corps des yeux pendant que Clélia me poussait vers elle.

Quand mon corps nu toucha le sien, je l'entourai de mes bras et tout son corps se colla sensuellement au mien. Elle leva son visage vers moi et me tendis ses lèvres. J'y posai les miennes et notre baiser devint immédiatement passionné. Je sentis alors les petites mains de Clélia se glisser entre mes cuisses, prendre mon gros membre, et en pousser le gland dans les plis mouillés et chauds du con de sa Tantine qui semblait me chercher. Je m’abaissai un peu en pliant les jambes et d'un coup toute ma bite entra dans le sexe de cette femme qui cherchait à l'avaler jusqu'à sa racine. Qu'il était bon ce ventre ! Les doigts de Clélia jouaient encore doucement avec mes couilles. Clélia nous dit :

- Voilà ! Maintenant vos deux sexes ont bien fait connaissance ! Vous allez vous prendre et bien jouir ensemble ! Moi je ne peux pas lui donner une belle queue comme toi et elle en a souvent envie et besoin !

Je répondis à Clélia qu'elle était la sensualité et le vice personnifié dans un ravissant petit corps de femme. Elle me répondit :

- C'est elle qui m'a rendue comme ça !

- C'est pas vrai ?

Marie approuva en me souriant et serra ma bite en elle. C'était comme si elle me la suçait avec son con !

- Eh bien Madame, si vous l'avez rendue comme ça, vous devez être encore pire qu'elle !

- C'est exquis d'être si intimement empalée sur un beau jeune homme qui vous appelle "Madame" !... Appelles moi " ma petite pute ", ou "ma poule" ou Marie ou simplement "Tantine" comme m'appelle Clélia !

- Tantine ! … Tu veux être ma poule et ma petite pute ?

- Oh oui !... Clélia m'a expliqué que tu es un amant si exceptionnel et si exquisément vicieux ! Ce que vous avez fait hier sur la plage me le montre si bien ! Et ta bite est grosse et longue ! Elle m'atteint bien loin, là tout au fond ! Oui je serai ta poule et ta pute ! Je dois rattraper Clélia avec toi ! Tout mon corps nu est à toi, seins, fesses, bouche, con et anus ! …

- Anus ?

- Oui ! Anus aussi !

Tout à coup Clélia attrapa ma bite trempée et l'extirpa du con de Marie.

- Dieu Tantine, que tu coules ! Elle dégouline sa bite ! Venez sur notre lit ! Vous serez mieux !

Elle nous poussa dans le couloir, puis dans leur chambre. Je regardai le lit défait... le lit d'amour des deux femmes. Le lit des lesbiennes et elles m’y invitaient nu avec ma bite tendue.

- Couches toi sur le dos Pat ! Je veux encore ta bite !

Je me couchai et Tantine m'enfourcha. Clélia passa sa menotte entre ses cuisses, ramassa ma bite sur mon ventre et la dressa à la verticale. Tantine s'empala dessus en gémissant et se mit à faire danser son corps. Clélia disait son émerveillement de nous voir accouplés.

- Oooh ma Clélia ! Merci pour ce mâle planté dans mon con ! Ton mâle à toi ! Celui qui a tant glissé dans ton joli con tout blond hier !

- Tantine ! C'est le tien aussi maintenant !

Clélia se mit à téter les seins de sa Tantine et à lui caresser le clitoris. Elles couchèrent tout un temps comme cela avec moi. Alors je n’y tins plus. J’attrapai Clélia par le cou et attirai sa bouche vers moi. Quels délices ! Quel cadeau mutuel ce baiser ! Comme nous nous disions l’un à l’autre nos émotions. Puis Tantine sentit mes gros jets de sperme gicler en elle et l'orgasme l'emporta elle aussi comme un fétu de paille. Les lèvres de Clélia me disaient toute sa joie de sentir tout ça.

Quand le plaisir s'apaisa dans son ventre, Clélia la poussa sur le côté. Marie s'écroula, heureuse, sur le lit contre moi et Clélia m'enfourcha à son tour sous le regard sidéré de sa Tante. Son jeune con s'ouvrit tout grand pour avaler ma bite encore trempée des jus de Marie et de mon sperme.

- Ma Clélia ! Tu couches avec lui ! C'est la première fois que je te vois accouplée à un garçon ! Que vous êtes beaux tous les deux faisant l'amour !

Clélia se pencha vers Tantine et l'embrassa fougueusement sur les lèvres. Mes couilles s'étaient bien vidées dans le con de Marie. J’étais si amoureux de Clélia que ma queue resta toute dressée en elle. Je pus profiter longuement de Clélia et de tout son corps. Puis mon sperme gicla contre sa matrice et l'orgasme l'emporta elle aussi dans sa tourmente de plaisirs.

Quand on retrouva notre souffle, les deux filles se couchèrent nues de chaque côté de moi et ramenèrent les couvertures sur nous. J'étais nu entre elles dans leur lit de lesbiennes ! Il y faisait si bon ! Puis elles me couvrirent de leur corps doux et chaud et on s'embrassa longuement sur la bouche tous les trois.

- Que c'est bon un garçon avec nous Tantine !

- Oh oui ! Et tu l'as bien choisi !

- C'est lui qui m'a choisie ! Oh Pat, heureusement que tu as osé me prendre hier après Bertrand ! Et c'est bon que tu saches tout de moi maintenant !

- Je ne sais pas tout !

- Mais si ! Que voudrais tu savoir de plus ?

- Racontes moi comment elle t'a séduite ta Tantine !

- Ouaaahh! Tu es vicieux !... Te raconter ça … maintenant… devant elle ?

Et Marie approuva comme moi, disant que ça l'exciterait et que ça lui rappellerait de merveilleux souvenirs. Alors Clélia empoigna ma verge à pleine main et, tout en me masturbant doucement, elle se mit à raconter.




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Texte coquin : EVEIL ET MATURITE (5) - Clélia entre dans ma vie
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