Titre de l'histoire érotique : Femme BCBG, escorte, non, pute… (137) - histoire érotique

J’avais abandonné « Femme BCBG, escorte non pute » étant désespéré de la diminution du nombre de lecteurs.
L’un d’eux pourtant dans « La mort à quarante ans » a souhaité que je continue, je reprends l’écriture à la fin du chapitre 136, mais je vais faire un récapitulé des 136 premiers chapitres très rapides.

Je m’appelle Christine, au début de mes aventures, je suis une épouse mariée à Pierre pilote d’avion, un jour je vais me faire le tablier à l’institut non loin de chez moi par Virginie, quand ma libido est pour la première fois mise en éveil, le jour même j’apprends qu’il me quitte au profit d’une de ses hôtesses de l’air Véronique.
Pierre s’en va sans aucun problème matériel ayant hérité de mes parents morts sur un passage piéton à Paris et de la pension qu’il me verse.
Virginie me prend sous son aile, elle me fait connaître les plaisirs féminins et nous fait rencontrer deux hommes un soir dans une boîte, j’ai même oublié son nom pourtant, c’est le premier qui au matin me quitte me laissant un paquet de billets sur ma table de nuit.
Virginie pour cette soirée souhaite que je me fasse appeler Magali, elle-même se faisant appeler Valérie, c’est ainsi que la rejoignant mes billets en main, j’apprends que je suis devenue dans la même nuit une escorte donc une pute.
Je prends goût à ces baises tarifées découvrant le monde du sexe ou je m’éclate, car avec « petite bite, » c’est le nom que je donne à mon ex, les plaisirs qu’il m’apportait étaient restreints par sa manière de me baiser et la petite taille de son pénis.
S’ensuit un tourbillon de rencontre avec des femmes comme Véronique, l’hôtesse de l’air qui m’a pris « petite bite » que je séduis et qui devient, elle aussi escorte après l’avoir quitté, ce qui peut représenter une petite vengeance au départ de notre relation.
Au fil du temps comme le roi Midas qui transformait tout ce qu’il touchait en or, presque toutes les jeunes femmes qui m’approchent, je les transforme en escorte pour le plus grand bien de l’organisation de Virginie qui gonfle notre chiffre d’affaires, notre chiffre d’affaires suite à mes investissements dans son institut et dans son réseau d’escorte.
Pour les vacances, j’emmène toute la bande à Saint-Palais sur mer où je suis propriétaire d’une villa surplombant la plage.
Vacances, mais aussi bisness quand nous allons faire des passes avec Véronique, Marie Ange superbe noir que j’ai rencontré juste avant les vacances et Valériane maquilleuse d’une équipe de tournage d’un film porno que m’avait proposé Tof hardeur n’ayant qu’une couille le jour de mon anniversaire et que nous tournons dans cette maison.
Parmi les filles, il y a Madeleine que j’ai sortie des pattes d’un mec qui la battait et qui voulait la prostituer, je sais, elle se prostitue avec moi, mais notre réseau est une organisation de qualité passant par un site Internet.
Elle se serait retrouvée à tapiner dans des lieux sordides faisant de l’abattage alors que nous, nous rejoignons nos clients dans les meilleurs palaces à travers le monde.
C’est drôle, la liste des filles se complète avec Aline et Anne des jumelles, toutes deux au service de Virginie au début à Chennevières qui rejoignent nos rangs, je fais la connaissance d’Hubert, leur papa et surtout de Vi, la maman eurasienne comme ses filles, que son mari a ramenées clandestinement en France.
Il l’a sorti d’un bordel dont on imagine ce qu’elle devait faire avec les marins et autres hommes dans ces lieux si sordides.
Je sens que Vi est plus subtile que ce qu’elle paraît et elle ne rechigne jamais à garder Sindy, la fille d’Anne née de père l’ayant abandonnée et qu’elle sait que ses filles tapinent comme elle, mais dans de meilleures conditions et surtout plus que pour un bol de riz.
Pendant ces vacances et grâce au tournage du film, après les filles, ce sont les couples que je recrute ayant de plus en plus de demandes, en tête de ces couples, il y a Fabienne, professeur venant de banlieue et qui pour se protéger à forcer le trait sur la rudesse et la posture.
Je la libère de tous ses carcans et elle devient la plus grande salope de ma bande, si bande il y a.
Pendant les vacances, avec Virginie, nous embauchons Katia pour s’occuper de Sindy afin que sa maman puisse avoir du temps de libre, elle a une amie Ophélie faisant des études en informatique, jolie blonde que je mets dans mon lit.
Elle a perdu son pucelage sur la plage de Saint-Palais, un soir où nous l’avons dérangé en passant au bord de l’eau rejoignant ma villa par les escaliers découverts à marée basse.
J’ai toujours des idées tordues depuis qu’Igor à Moscou m’a payé 10 000 € pour avoir l’honneur d’être le premier à me sodomiser, Katia va avoir 18 ans au début du mois de septembre et j’ai demandé à Virginie d’organiser le dépucelage de la petite afin qu’elle débute dans la vie avec un gros pécule.
Ophélie a voulu venir, mais c’est comme moi son pucelage de l’anus qu’elle est d’accord de monnayer, mais surtout pour accompagner son amie.
Je suis rentré à Paris avec Virginie un peu plus tôt, à l’aéroport d’Orly, j’ai la surprise de rencontrer celle qui sert de liaison avec les filles quand nécessaire, Livia, ancienne championne de moto qui me donne le virus, je suis allée avec elle, chez elles près d'Honfleur.
La moto, c’est en pleine vitesse sur l’autoroute entre Orly et son appartement que les vibrations sur ma chatte nue me donnent des orgasmes que je retrouve sur la plage de nuit quand nous fillons à pleine vitesse.
Livia lesbienne depuis ses premières sensations sexuelles se donne à Corentin son copain d’enfance, pendant qu’il découvre leur corps de garçon et de fille, je fais la connaissance dans le café du village de Lionel.
Bel homme, je me serais facilement laissé séduire toujours à l’affût d’un joli coup, mais je découvre que c’est le curé du village qui refuse de venir me donner du plaisir.
Nous discutons et je comprends que Frédéric et Frédérique couple de nos amis de longue date que je prenais pour des clients au début de mes aventures d’escorte sont les parents adoptifs de Livia.
Je sens que des secrets sont encore à découvrir surtout que Lionel m’a donné rendez-vous à Paris à notre retour de Moscou, où nous venons d’arriver, nous venons de rejoindre l’hôtel ou dès notre arrivée Igor m’emmène chez lui pour me baiser.

Je suis rentré plus tôt de Saint-Palais avec Virginie et en attendant le retour de la bande, je travaille tous les soirs, le manque de fille à Paris fin août et mon retour à deux opportunités, je remplis ma bourse et j’enlève une épine du pied à l’organisation.
Je suis revenue plus tôt car sur Internet, j’ai vu qu’un pavillon mitoyen de celui de Virginie à Chennevières à vendre et malgré les gros travaux qu’il y a à faire Illy responsable de l’agence immobilière me le vend.
Illy, comme Livia, lesbienne qui attaque tout ce qui bouge, je suis obligée de la remettre à sa place, comme je l’ai dit, je joue mon roi Midas et se prenant d’amitié pour Madeleine l’accompagne pour rejoindre des clients.
Elle trouve à Madeleine une librairie dans le Quartier latin, notre amie se prostituant pour réaliser son rêve d’acquérir ce genre de commerce, elle qui vient d’un milieu modeste, mais qui a découvert la lecture.
Le couple est assez insolite, Illy frêle femme au petit sein alors que Madeleine a des mamelles qu’aucune de nous n'est capable de présenter.
Je suis en phase avec le chapitre 136 ou je suis dans les bras d’Igor, à un détail près, Anne a baisé sur le yacht des hommes à turban avec Adonis, magnifique black monté comme un taureau avec lequel elle se met en couple.
Dans une soirée de déprime, mon client m’ayant déçu, c’est moi qui me paye une pute noire pour 500€ elle aussi, ramassé dans la gare de Lyon, mais avec une bite, j’embauche Aliou pour s’occuper de ma maison et aussi de mes amis.
Les escortes boy sont de plus en plus demandées par ces dames devenant chefs d’entreprises ou cadres supérieurs qui ont besoin de baiser sans perdre de temps avant de retourner à leurs réunions.

Après avoir décollé d'Orly, nous arrivons à Moscou depuis peu de temps et j’ai déjà la bite d’Igor dans mon vagin, il me prend assis sur une chaise et veux me sodomiser.
Je suis partante, mais je dois m’occuper des filles qui doivent être prêtes pour que la soirée de dépucelage se passe sans encombre.
Surtout pour Katia qui doit perdre sa virginité le jour même de ses dix-huit ans qu’elle a franchis à 12 heures 30 dans l’avion.

• Calme-toi Igor, nous avons trois jours pour que nous nous donnions du plaisir, je vais voir les petites, à quelle heure doivent-elles être prête ?
• 20 heures, les clients sont déjà là dans diverses chambres, certains d’entre eux ont des logements en permanence ici quand ils sont à Moscou.

Je me rajuste, je me vois mal entrer dans la chambre des filles la chatte à l’air même si à Saint-Palais, j’étais souvent à poil, Igor passe dans une salle, la porte se referme derrière lui, ou va-t-il ?

• Regarde Christine, nous avons une magnifique corbeille de fruits à notre disposition, il y a même des fraises en septembre.
• Et la bouteille de champagne française, peut-on faire sauter le bouchon ?
• Ici, vous êtes pour la première fois en position d’escorte, interdiction de boire de l’alcool pour nos filles et tout à l’heure ce sera avec capote obligatoire, je ne serais pas là pour voir ce que vous faîte, sachez que l’organisation surveille les filles, celles qui ne suivent pas la déontologie sont remerciées.
• Comment faîte vous avez-vous des caméras dans les chambres ?
• Non, j’ai été avec des filles ne me connaissant pas, auquel j’ai proposé de boire une coupe, si elles acceptent, nous nous passons de leur service, il en est de même pour les capotes, baisé sans et c’est toute la chaîne de l’organisation qui est en danger.
• Je retiens la leçon, cette soirée va être la première de ma nouvelle vie, je vais demander à Virginie d’avoir ma photo et mes coordonnés sur votre site, j’ai vu les tiennes, j’aurais les mêmes.
• Seras-tu capable d’assumer ce soir, moi la première fois que je suis allée avec un client, le l’ignorais, c’est au matin que j’ai découvert les billets sur mon sac faisant de moi une prostituée ?
• Le regrettes-tu ?
• Pas le moins du monde, dommage qu’Igor veuille m’accaparer, j’aurais bien satisfait quelques bites pendant notre séjour.

Katia prend le bout de la laisse qui est toujours accrochée à mon mousqueton.

• Je vois, il a son petit chien.
• Plutôt sa petite chienne.

Les filles éclatent de rire, je vois leur décontraction alors que je suis anxieuse et si je me cachais sous le lit de la petite.

• Christine, pourquoi as-tu apporté deux poires de lavement, maman m’en faisait quand j’avais des démangeaisons dans ma jeunesse.
• Vos clients ce soir voudront vous sodomiser et il faut que vous soyez intégralement propre quand leurs verges pénétreront vos anus.
Je le fais systématiquement à Chennevières avant de partir à l’endroit de mon rendez-vous, j’ai même fini par y prendre du plaisir.
Voilà comment il faut procéder.
Eau chaude dans le lavabo.
• Tu veux que nous nous brûlions le cul !
• Tu as raison Katia, je veux dire eau tiède, remplissez là et introduisez la pointe de la poire dans votre fondement.
• Que madame parle bien, le fondement, dit simplement notre trou du cul.
• Katia, c’est comme cela que Lison t’a élevé !
• Ma mère, quand elle se fait mettre par Adonis, elle se fiche bien de l’endroit où tu vas nous mettre cette poire d’eau tiède.

Elle est futée la petite, j’ai moi-même surpris ses parents sur la table de la cuisine de Jacky, objet de perdition de nos familles.
Elles se relayent sur la lunette des toilettes gardant le plus longtemps possible le liquide avant de nettoyer la cuvette.

• Vous recommencez cinq fois, vous comprenez pourquoi j’ai fini par aimer ça.

Le temps passe, les filles s’habillent et à 19 heures 45 elles sont propres et habillées pour nous rendre dans la salle où les enchères vont avoir lieu…