Françoise-01
Récit érotique écrit par Dansoum [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Françoise-01
Françoise-01
Cela faisait déjà six mois que j’étais veuf. La relation avec ma conjointe qui s’était échelonnée sur 20 ans avait été très heureuse. Après sa mort, les premiers mois avaient été très difficiles, mais revenu de mes émotions je me suis enfin décidé à placer une annonce sur des sites spécialisés afin de trouver une femme qui puisse partager mes goûts bdsm.
Est-ce que tu existes?
Tu es une femme bien dans sa peau, au passé réglé, tu as le sens de l’humour, sans tabou, tu aimes la nature et tu n’es pas compliquée. Par contre tu es très coquine et tu aimes expérimentée toutes les facettes du bdsm. Tu aimes vivre les émotions que ce jeu peu te procurer, tu aimes jouer et en expérimenter tous les aspects. Tu as envie d’une relation à long terme basée sur l’honnêteté, la confiance, la complicité, alors nous sommes peut être compatible.
Si mon annonce a suscité de l’intérêt chez toi, alors contacte-moi…
Pierrexxxxxxxxxxx@hotmail.com
PS : recherche une non fumeuse.
Pendant de longue semaine il y a plusieurs candidates qui se sont manifestées, j’en ai rencontré plus d’une, mais aucune ne correspondait à mes attentes. Je ne voulais pas entreprendre une relation qui n’était pas authentique et vécu pleinement. J’étais découragé. Je me défoulais de temps en temps en me faisant un self-bondage, cependant mon côté Maître me manquait.
Pendant toute cette période il y avait aussi ma belle-sœur qui m’appelait de temps en temps pour prendre de mes nouvelles. Quelques fois nous allions prendre un café. Elle me tournait autour discrètement, sans me faire trop d’avance directe. Elle pensait surement que cela serait déplacé d’insister. Elle essayait de me séduire progressivement et subtilement, mais je la voyais venir de loin, son désir de me conquérir se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle voulait prendre son temps pour ne pas m’effrayer ou me choquer. Elle se disait sûrement que c’était délicat de sortir avec le compagnon de sa sœur décédée.
Même si elle avait six ans de plus que moi et qu’elle était dans la cinquantaine, c’était une très belle femme, par contre il n’y avait pas plus vanille qu’elle. Je ne voulais pas entreprendre une vie vanille au détriment de mon côté bdsm. A chaque fois que je la revoyais je faisais mon indifférent. Je ne lui laissais aucune place pour l’espoir. Elle pensait sûrement que je souffrais trop de la perte de ma conjointe pour voir qu’elle essayait de nouer des liens affectifs avec moi. Un soir de mai, mon téléphone sonne…
-Hello-Hello Pierre, c’est Françoise.
-Ha! … Comment vas-tu?
-Très bien et toi.
-Ça va.
-Heu… dit moi… est-ce que demain tu aimerais aller déjeuner avec moi, il faudrait que… Que je te parle…
Je sentais un trémolo dans sa voix. Cela n’était pas de bon augure. Je la voyais venir, elle n’était pas trop subtile. Elle voulait sûrement tenter sa chance de façon plus directe maintenant. Six mois déjà que sa sœur était décédée, alors elle se disait surement qu’il ne fallait pas rater sa chance avant qu’une autre me mette le grappin dessus. Mais moi je ne voulais pas d’une relation vanille.
Mon côté bdsm me manquait beaucoup trop, et pour l’avenir je voulais vivre sans contrainte et de façon libre. Si je ne trouvais pas la femme idéale pour moi, j’aimais mieux rester seule et pratiquer le self-bondage de temps en temps pour atténuer ma frustration. Il fallait que j’essaie de me débarrasser d’elle le plus subtilement possible pour ne pas lui faire trop de peine. Ce que je voulais moi, c’était une relation avec une femme ouverte d’esprit et qui partagerait ma vision du monde bdsm.
-Heu… très bien…-Tu passe me prendre chez moi, on pourrait aller au restaurant chez Nickles à la Place -Versailles.
-D’accord, je passe te prendre à 9h00?
-Ça me va, à demain alors.
-Bye… à demain.
J’avais raccroché. J’étais dans de beaux draps. J’appréhendais ce déjeuner du lendemain. Comment lui faire comprendre qu’elle ne correspondait pas à la femme que je recherche. Il fallait que je sois franc avec elle. C’était dommage, une si jolie femme, et pourtant nos esprits n’étaient pas compatibles…
Cela faisait déjà six mois que j’étais veuf. La relation avec ma conjointe qui s’était échelonnée sur 20 ans avait été très heureuse. Après sa mort, les premiers mois avaient été très difficiles, mais revenu de mes émotions je me suis enfin décidé à placer une annonce sur des sites spécialisés afin de trouver une femme qui puisse partager mes goûts bdsm.
Est-ce que tu existes?
Tu es une femme bien dans sa peau, au passé réglé, tu as le sens de l’humour, sans tabou, tu aimes la nature et tu n’es pas compliquée. Par contre tu es très coquine et tu aimes expérimentée toutes les facettes du bdsm. Tu aimes vivre les émotions que ce jeu peu te procurer, tu aimes jouer et en expérimenter tous les aspects. Tu as envie d’une relation à long terme basée sur l’honnêteté, la confiance, la complicité, alors nous sommes peut être compatible.
Si mon annonce a suscité de l’intérêt chez toi, alors contacte-moi…
Pierrexxxxxxxxxxx@hotmail.com
PS : recherche une non fumeuse.
Pendant de longue semaine il y a plusieurs candidates qui se sont manifestées, j’en ai rencontré plus d’une, mais aucune ne correspondait à mes attentes. Je ne voulais pas entreprendre une relation qui n’était pas authentique et vécu pleinement. J’étais découragé. Je me défoulais de temps en temps en me faisant un self-bondage, cependant mon côté Maître me manquait.
Pendant toute cette période il y avait aussi ma belle-sœur qui m’appelait de temps en temps pour prendre de mes nouvelles. Quelques fois nous allions prendre un café. Elle me tournait autour discrètement, sans me faire trop d’avance directe. Elle pensait surement que cela serait déplacé d’insister. Elle essayait de me séduire progressivement et subtilement, mais je la voyais venir de loin, son désir de me conquérir se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle voulait prendre son temps pour ne pas m’effrayer ou me choquer. Elle se disait sûrement que c’était délicat de sortir avec le compagnon de sa sœur décédée.
Même si elle avait six ans de plus que moi et qu’elle était dans la cinquantaine, c’était une très belle femme, par contre il n’y avait pas plus vanille qu’elle. Je ne voulais pas entreprendre une vie vanille au détriment de mon côté bdsm. A chaque fois que je la revoyais je faisais mon indifférent. Je ne lui laissais aucune place pour l’espoir. Elle pensait sûrement que je souffrais trop de la perte de ma conjointe pour voir qu’elle essayait de nouer des liens affectifs avec moi. Un soir de mai, mon téléphone sonne…
-Hello-Hello Pierre, c’est Françoise.
-Ha! … Comment vas-tu?
-Très bien et toi.
-Ça va.
-Heu… dit moi… est-ce que demain tu aimerais aller déjeuner avec moi, il faudrait que… Que je te parle…
Je sentais un trémolo dans sa voix. Cela n’était pas de bon augure. Je la voyais venir, elle n’était pas trop subtile. Elle voulait sûrement tenter sa chance de façon plus directe maintenant. Six mois déjà que sa sœur était décédée, alors elle se disait surement qu’il ne fallait pas rater sa chance avant qu’une autre me mette le grappin dessus. Mais moi je ne voulais pas d’une relation vanille.
Mon côté bdsm me manquait beaucoup trop, et pour l’avenir je voulais vivre sans contrainte et de façon libre. Si je ne trouvais pas la femme idéale pour moi, j’aimais mieux rester seule et pratiquer le self-bondage de temps en temps pour atténuer ma frustration. Il fallait que j’essaie de me débarrasser d’elle le plus subtilement possible pour ne pas lui faire trop de peine. Ce que je voulais moi, c’était une relation avec une femme ouverte d’esprit et qui partagerait ma vision du monde bdsm.
-Heu… très bien…-Tu passe me prendre chez moi, on pourrait aller au restaurant chez Nickles à la Place -Versailles.
-D’accord, je passe te prendre à 9h00?
-Ça me va, à demain alors.
-Bye… à demain.
J’avais raccroché. J’étais dans de beaux draps. J’appréhendais ce déjeuner du lendemain. Comment lui faire comprendre qu’elle ne correspondait pas à la femme que je recherche. Il fallait que je sois franc avec elle. C’était dommage, une si jolie femme, et pourtant nos esprits n’étaient pas compatibles…
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