Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable.

- Par l'auteur HDS Olga T -
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Récit libertin : Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable.
Pauline Bonaparte (1780-1825), princesse Borghèse, fut la sœur préférée de Napoléon. Elle fut aussi l'une des plus belles femmes de son temps. Sensuelle et libre, Pauline trompe ses maris... et ses amants !

Pauline était « une femme parfaite comme une statue grecque", écrit d'elle la comtesse Potocka. "Il est impossible de se faire une idée de sa beauté", surenchérit la duchesse d'Abrantès. Même son frère, Napoléon, avoue n'en pas connaître "de plus ravissante dans les disputes".

Pauline Bonaparte a une haute estime de sa personne. Et elle ne fait pas partie de ces jeunes filles qui ont froid aux yeux. Elle est belle, elle le sait : on le lui répète constamment. Très tôt, elle s’intéresse aux hommes… et elle les intéresse.

UNE JEUNESSE TUMULTUEUSE
Avec le reste de la tribu Bonaparte, « Paoletta » suit le « clan » lors de son exil en 1793.

Sa beauté remarquable lui vaut de nombreux prétendants : dès son adolescence, Pauline est très courtisée. Andoche Junot (1771-1813), alors aide de camp du général Bonaparte, se consume d'amour pour Pauline depuis qu'il l'a aperçue, naïade dénudée, s'ébattant dans les vagues de la plage d'Antibes. Mais Bonaparte ne veut pas de lui comme beau-frère.
Le conventionnel Louis Marie Stanislas Fréron (1754-1802), représentant en mission lors du siège de Toulon où s’illustra Bonaparte, fut son premier amant.

Fréron entretient une liaison passionnée avec Pauline Bonaparte, la jeune sœur de Napoléon, alors âgée de 13 ans, avec laquelle il envisage de se marier. Mais ayant appris que Fréron avait précédemment promis le mariage à une autre femme, Napoléon fit mettre un terme à la relation. La nombreuse correspondance entre les deux amants sera plus tard publiée dans la Revue rétrospective en 1834.

MARIEE ET INFIDELE
Pour couper court à ses idylles, Bonaparte fait venir Pauline en 1796 au château de Mombello, près de Milan, où il règne déjà comme un proconsul.

Admirée par tous les fringants officiers qui entourent Bonaparte, Pauline papillonne. Au point de se laisser surprendre en fâcheuse posture dans les bras d'un vigoureux militaire, compagnon d'armes et aide de camp de son frère. Cette fois, le général se hâte de conclure le mariage.

Bonaparte fait épouser en 1797 à celle qui s’appelle désormais Pauline, Charles Victoire Emmanuel Leclerc (1772-1802), l'un des meilleurs généraux de la République, après avoir refusé sa main au général Léonard Duphot, celui qui trouva la mort à Rome en décembre 1797, lors d'une émeute.

L'année suivante, en avril 1798, ils ont un fils prénommé Dermide, qu’elle perdra en 1804.

Selon Pierre Lunel (voir la bibliographie), Pauline aurait tenté, en vain de séduire le fameux Hippolyte Charles, l’amant de Joséphine. N’étant pas parvenue à ses fins et détestant la « vieille », elle fera partie, avec Joseph, de ceux qui dénoncèrent l’adultère de Joséphine à Bonaparte !

Toujours selon Lunel, Pauline trompait Leclerc sans vergogne. Parmi ses amants, on comptait les généraux Beurnonville, Moreau et surtout Macdonald, futur Maréchal d’empire. Il y aura aussi Auguste de Montaigu et l’acteur Rapenouille, alias Lafon.

Pauline accompagne son mari à Saint-Domingue, lorsque celui-ci commande l'expédition destinée à mater la rébellion menée par Toussaint Louverture, dans le but de réintroduire l'esclavage. Elle y retrouve son ex-amant Fréron, que Bonaparte a nommé sous-préfet à Saint-Domingue, pour se débarrasser de lui. Mais Fréron meurt de la fièvre jaune, deux mois après son arrivée sur l'île.
En dépit de la position de son frère, et du fait des absences fréquentes de son mari en campagne, Pauline se voit attribuer de nombreuses aventures à Saint-Domingue, avec des soldats du rang ou des officiers.

Dans ses Mémoires, Fouché, accusera Pauline d'avoir succombé « aux vives ardeurs des Tropiques et s'être plongée dans tous genres de sensualité ». Il lui prête des aventures galantes avec à peu près tous les officiers français de l'île, et même quelques-uns de leurs adversaires.

Ceux qu'il cite, en tout cas, étaient promis à bel avenir: le mulâtre Alexandre Pétion allait devenir président de la République, et l'ancien esclave Henri Christophe, roi d'Haïti !

Épouse infidèle, elle s'occupe néanmoins avec courage de son mari, qui avait contracté la fièvre jaune. Charles Leclerc meurt le 1er novembre 1802. Le désespoir de Pauline est spectaculaire.

Apprenant que le général Jean Joseph Amable Humbert (1767-1823), l'un des chefs de l'expédition de Saint-Domingue, a une intrigue avec sa sœur Pauline, Bonaparte le fait rentrer en France et démettre de tous ses titres. Humbert devient alors l'un des chefs de la piraterie des années 1800 dans la Caraïbe.

PRINCESSE BORGHESE
La situation de « disponibilité » de Pauline fait alors l'objet d'une recherche d'un nouveau mari par le Premier Consul et son frère aîné Joseph.

« Veuve joyeuse », Pauline collectionne en quelques mois les amants, à la grande colère de Napoléon : Macdonald et Lafon, avec qui elle a renoués, Decrès, Sémonville et Montholon. Le Premier Consul décide de la remarier au plus vite.

Le mari qui est retenu est Camille Borghèse (1775-1832), un prince romain possédant un riche palais, de vastes domaines et une belle rente. Après le mariage en 1803 à Mortefontaine dans la propriété de leur frère aîné Joseph, Napoléon achète la collection d'art des Borghèse qu'il destine au musée du Louvre. Borghèse y a été contraint par de graves difficultés financières, dues à la conjoncture politique autant qu’au train de vie de Pauline, et par les pressions de l’Empereur lui-même.
La mission de Pauline est de gagner à son frère l'affection des Romains. Elle y excelle. Bientôt, même Pie VII et le Sacré Collège chantent ses louanges: « À croire, constate un monsignore, qu'elle voulait se faire des amants du pape et de toutes les éminences. » !

La nuit de noces sera un désastre. Pauline découvre aussi la médiocre intelligence de son mari, « tête d'Adonis... mais vide! » Pire, c'est un pitoyable amant, dont elle ne tarde pas de se plaindre à ses proches: « J'aimerais mieux être demeurée veuve du général Leclerc, avec vingt mille livres de rente, que d'être la femme d'un eunuque. S'abandonner à lui, c'est ne s'abandonner à personne. » Pauline se lasse vite de Rome et vient habiter le château de Neuilly, où elle tient une espèce de cour, tandis que Camille Borghèse part pour l'armée.

Pauline perd son jeune fils Dermide âgé de six ans, qui avait toujours été de faible constitution. Le 2 décembre, elle se doit d'assister à Notre-Dame de Paris, en présence du pape Pie VII, au couronnement de son frère devenu Napoléon Ier mais aussi de sa belle-sœur Joséphine, qu'avec ses sœurs elle surnomme « la vieille ». Princesse Borghèse et princesse impériale, elle doit porter avec ses sœurs, la lourde traîne de la nouvelle impératrice. Les ex-demoiselles Bonaparte accompliront leur devoir sans grâce et avec une mauvaise volonté visible.
Pauline détestait Joséphine et ne s’entendra pas mieux avec Marie-Louise d'Autriche. Pauline, toujours jalouse, est méfiante à l'égard de la jeune impératrice de 19 ans. Cette attitude lui vaut un froid avec son frère.

FIDELE A NAPOLEON
La grande beauté de Pauline lui vaut une place à part dans la galaxie des « napoléonides ».

Si elle jouit sans réserve du pouvoir que son physique et son charme lui permettent d’exercer sur les hommes, c’est sans autre but que de satisfaire son désir de liberté. Elle ne renonce pas aux aventures amoureuses en se soumettant aux volontés matrimoniales de Napoléon. Si elle met sa personne au service des desseins politiques de son frère, c’est par manque d’ambition personnelle, mais surtout en raison d’une affinité élective comparable à celle qu’Elisa partage avec Lucien. Son besoin d’exclusivité, qui trouve son origine dans les attentions que Napoléon lui a très tôt prodiguées, a d’ailleurs engendré des conflits avec Joséphine ainsi qu’avec Marie-Louise, dont elle se sent concurrente. Étrangère aux enjeux du pouvoir et sincèrement attachée à sa famille, Pauline est un agent de liaison entre ses frères et réussit parfois à les réconcilier.

La relation de Pauline et de Napoléon est marquée par un lien profond de fidélité et de bienveillance, à la différence des autres frères et sœurs de Napoléon. Étant la plus grande admiratrice de Napoléon, elle lui reste toujours fidèle. Elle est la seule des Bonaparte — avec Madame Mère — à lui rendre visite durant son exil sur l'île d'Elbe. Elle utilise ses propres fonds pour améliorer le train de vie de Napoléon à Elbe (elle met à sa disposition ses diamants qui seront dans la voiture de l'Empereur à la bataille de Waterloo mais jamais retrouvés).

Après l'intermède des Cent-Jours et le désastre final de Waterloo, Pauline se réfugie à Rome, sous la protection du pape Pie VII. Le Saint-Père éconduit ceux qui s'étonnent de sa faveur: "Laissez-la en paix, c'est ma fille." Elle œuvre sans relâche à améliorer le sort de l'empereur déchu. Napoléon ne l'ignore pas: "Pauline, la plus belle femme de son temps, a été et demeurera jusqu'à la fin la meilleure des créatures vivantes." Elle envisage même de rejoindre son frère en exil à Sainte-Hélène. Elle n'en n'aura pas le temps.

Elle fut inquiétée pour avoir essayé de rapatrier son frère de Sainte-Hélène.

En 1822 elle a acheté la villa de Monte San Quirico, et, en même temps, elle a fait commencer les travaux de la villa de Viareggio : les deux résidences ont été la scène de la liaison passionnée avec le dernier de ses amants, le musicien Giovanni Pacini (1796-1867).

Dans ses dernières années, elle se rapproche du prince Borghèse, et, pressée par le pape Léon XII, vit avec lui à Florence. Sa santé décline et elle meurt des suites d'une longue maladie.

NYMPHOMANE ?

On a décrit Pauline comme la Messaline du Premier Empire. Accusée d’être nymphomane, elle fut incontestablement une hypersexuelle, qui eut le mérite, à une époque où cela ne se faisait pas, de ne pas se cacher, bénéficiant malgré tout de l’indulgence de l’empereur, pourtant peu tolérant envers les femmes adultères. Mais que ne pardonnait-il pas à sa sœur préférée ?

Pauline fut constamment infidèle et, selon les mémoires de la duchesse d'Abrantès, était capable de trois affaires simultanément. Elle était affligée de problèmes gynécologiques. Ils ont été exacerbés par sa « promiscuité bacchanienne » et ont persisté au point où un médecin a conseillé l'application de sangsues à la vulve. Il a été dit que son premier amant, Fréron lui aurait transmis la syphillis ou, en tout cas, une maladie vénérienne.

Peintres, cavaliers, officiers, ses amants sont « à la mode », comme ses vêtements. Le plus assidu d'entre eux, le Comte Auguste de Forbin (1777-1841), se voit confier la charge de chambellan pour justifier sa présence constante auprès de la princesse. Forbin avait quitté une première fois sa carrière militaire pour se consacrer à la peinture. En visitant l’Italie, il avait obtenu la protection de la princesse Borghese (sœur de Napoléon), dont il devint le chambellan en 1803 et l'amant jusqu'en 1807. Leurs amours furent abritées par le château de la Mignarde à Aix-en-Provence, où Pauline effectua des séjours, et au château de la Barben appartenant à la famille de Forbin, où un boudoir a été décoré pour elle par Granet.

A Forbin qui sera éloigné au Portugal sur ordre de l’empereur, succédera, dans le lit de Pauline, en 1807 Félix Blangini (1781-1841), ténor turinois de 26 ans
Pauline est une femme particulièrement volage : il suffit de tenir un rapide inventaire de ses amants et d’analyser les témoignages des délaissés pour comprendre que chez Pauline, la maxime « un de perdu, dix de retrouvés » est un véritable style de vie.

Pauline, nous dit Pierre Lunel, volait de cure en cure, « un prétexte pour se retrouver au lit nuit et jour ».

Enchainée à son rôle de femme frivole et scandaleuse n’ayant d’autre préoccupation que son propre confort et sa propre gloire, Pauline Bonaparte mérite un portrait plus nuancé. Pauline, derrière ce libertinage de façade, qui fait certes partie de son caractère, est une âme forte.

Pauline fut même accusée d’entretenir une relation incestueuse avec l’empereur et il a été dit que c’est Joséphine qui la détestait et qui, sachant que le divorce se profilait, aurait été à l’origine de cette terrible rumeur.

Comme avant elle la Pompadour, Pauline sera aussi une entremetteuse. Elle poussera une de ses dames d’honneur, Christine de Mathis, dans les bras de Napoléon. Et cela se passera après la séparation d’avec Joséphine et le mariage autrichien et, pour plus de discrétion, ça se passera chez Pauline ! Elle jouera à nouveau ce rôle de « pourvoyeuse » lors de son séjour à l’Ile d’Elbe.

Dans le chapitre qu’elle lui consacré (voir ci-dessous la bibliographie), Juliette Benzoni écrit que Pauline éprouvait « presqu’autant de plaisir à étaler ses amants qu’à les séduire ».

UNE PREDATRICE ?

C’est le terme qu’emploie Pierre Lunel, ajoutant que « la collection est impressionnante ». Il cite une liste non exhaustive de ses amants, certains célèbres, comme Clément Metternich, alors Ambassadeur d’Autriche à Paris, ou le prince polonais Joseph Poniatowski, qui sera tué à la bataille de Leipzig, D’autres sont moins connus comme le capitaine Jules de Canouville, le baron de Septeuil, le comte Casimir de Montrond (1768-1843), un diplomate proche de Talleyrand, qu’elle rencontre à Spa, le colonel russe Kabloukoff, le capitaine Jean-Baptiste Duchand (1780-1849). Il y aura même dans son tableau de chasse le tragédien Talma.

Pauline entretient ces relations successivement et parfois simultanément. Elle s’attache à certains de ses amants et sera très affectée par la mort de Canouville à la bataille de la Moskova, lors de la campagne de Russie. Canouville aura sans doute été le seul vrai amour de Pauline.

Il a également été dit que Pauline était bisexuelle et n’hésitait donc pas à avoir des rapports saphiques.

Malgré le nombre d’amants considérable qu’on lui prête, Pauline fut par exemple loin des exploits de la tsarine Catherine II. Elle a été qualifiée de nymphomane alors qu’elle était avant tout une hypersexuelle. Je renvoie aux nombreux textes que j’ai publiés au sujet de la différence entre nymphomanie et hypersexualité, qui repose en particulier sur le fait qu’une nymphomane multiplie les rapports sans être satisfaite et qu’elle ne parvient pas à maîtriser sa libido. Certes, je suis bien placée pour savoir que la frontière peut être poreuse et qu’il y a un risque réel de passer d’une hypersexualité qu’on essaie de maîtriser à une nymphomanie où il y a perte de contrôle.

Sans doute au cours de son parcours Pauline a-t-elle franchi plusieurs fois cette frontière.

Pauline me plait parce que, contrairement au reste du clan Bonaparte, elle était sincèrement attachée à l’empereur quand la fortune s’est retournée. Infidèle envers ses époux et ses amants, elle fut fidèle à Napoléon, y compris et surtout après sa déchéance.

J’ai aussi de la sympathie pour une femme qui assumait son hypersexualité. Fière de ses conquêtes, comptant sur l’indulgence de son puissant frère, elle affichait ses amants, sans soucis du scandale. Elle était toujours à l’affut de mâles vigoureux capables de la satisfaire, qu’ils furent célèbres ou puissants, ou anonymes. Sulfureuse, elle n’a pas hésité à avoir de liaisons avec des officiers peu connus, voire de simples soldats lors de la terrible guerre de Saint-Domingue. Ses liaisons avec des chefs rebelles, qui finirent par vaincre l’armée française et obtenir l’indépendance d’Haïti, firent scandale mais sont aussi significatives de l’appétit sexuel sans limites de celle que Napoléon avait surnommé la « petite païenne ».

LE SCANDALE DE LA VENUS VIXTRIS
Le sculpteur Antonio Canova (1757-1822) a immortalisé la beauté de Pauline Borghèse en une Vénus de marbre, couchée sur un divan, simplement vêtue d'un drap recouvrant ses jambes. Cette « Vénus Victrix » se trouve à la Galerie Borghèse à Rome.

Pauline représente la même féminité exacerbée que celle des « Merveilleuses » (voir à ce sujet les textes publiés sur Mme Tallien et Joséphine) et la Vénus Borghèse en est un parfait exemple. La sœur de Napoléon y est représentée à l'antique, semi-allongée et s'appuyant sur l'un de ses coudes. Cette pose est très académique et s'en dégage une grande noblesse, cependant elle fera scandale. Ce n’est pas la représentation à demie nue qui choque l'opinion, c'est la rumeur qui entoure sa réalisation. En effet, la princesse a posée nue pour Canova, pratique inconcevable à cette époque pour une personnalité de son rang.

PRINCIPALES SOURCES
Je renvoie plus particulièrement :
• au chapitre qu’a consacré Juliette Benzoni à Pauline dans son ouvrage « Dans le lit des reines » (Perrin, 2011) : « Les cavaliers de Pauline Borghèse, princesse de Guastalla »
• au chapitre que lui a consacré Pierre Lunel dans « Polissonnes » (Editions du Rocher, 2016) : « Pauline, coqueluche de l’empire »
Sur Internet, outre l’article de Wikipédia, j’ai consulté :
• https://www.histoire-image.org/fr/etudes/pauline-borghese-princesse-muse
• https://www.pointdevue.fr/histoire/pauline-bonaparte-la-venus-imperiale_1596.html
• http://plume-dhistoire.fr/pauline-bonaparte-flora-fraser/
• http://mosaique.forum-actif.net/t4330p435-napoleon-et-les-femmes. Ce texte détaille par le menu toutes les frasques de Pauline.

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