J'offre ma femme à mon pote (3)

- Par l'auteur HDS Olive -
Récit érotique écrit par Olive [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'offre ma femme à mon pote (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2015 dans la catégorie Plus on est
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J'offre ma femme à mon pote (3)
Quelques semaines se sont écoulées depuis cette première soirée lors de laquelle j'ai "involontairement" offert ma femme à mon pote, et la réplique du lendemain où il est passé récupérer quelque chose (ou plutôt terminer quelque chose apparemment...).
Ces images hallucinantes d'Elo jouissant comme je ne l'avais jamais entendu en recevant cette bite remarquable commencent à s'estomper doucement....
Non c'est pas vrai.
Mais alors pas du tout.
En vérité j'y pense tous les jours, d'autant que j'ai ouvert un blog avec les photos que j'ai faites ce fameux mendemain où je m'étais caché sur la mezzanine avec mon appareil photo !
Évidemment je dis que c'est moi sur les photos avec Elo....On a chacun ses petites tricheries !
Du coup j'ai des contacts du monde entier, tous voulant échanger ci ou là avec nous, mais je n'ose pas en parler à Elo.
Cela dit, notre vie sexuelle a clairement été reboostée par cette actualité : Elo est plus chatte que jamais, elle ne cesse de ma sauter sur le bout et de le câliner en toutes circonstances, je ne vais pas me plaindre !
Le week end dernier elle m'a même sucé dans la voiture sur l'autoroute !
Bien sûr on n'en est pas à "je me caresse pour les routiers" (ce qui ne me déplairait pas en vérité...) mais elle n'a pas renâclé quand j'ai remonté sa robe, dévoilant ainsi ce cul (qui je vous rappelle est bien la preuve de l'existence du grand architecte !), ce qui nous a valu quelques coups de klaxons complices.
Et voilà qu'hier (mardi) je reçois un nouveau message de Loïc, non pour s'inviter cette fois mais plutôt pour nous inviter à une soirée chez lui le week end prochain. J'en parle à Elo dès son retour, attentif à sa réaction....elle est troublée....je la connais, ce "si tu veux" distant ne vise qu'à masquer ce trouble. Moins on en parlera moins elle risquera de se griller !
Alors nous convenons d'y aller, thème de la soirée : "sois belle et t'es toi !".
C'est qu'il a des lettres en plus ce garçon.
Puis la semaine passe, s'approche le jour fatidique de la soirée chez Loïc, je sens un stress perceptible chez Elo dès la veille.
D'ailleurs samedi matin elle s'en va faire les magasins pour revenir à midi avec une petite robe d'été ni vulgaire ni affriolante, essayage : légèrement fleurie, couleurs estivales, tout ce qu'il y a de plus sobre.....sauf que sur elle c'est une tuerie : à mi-cuisses (qu'elle a joliment musclées et appétissantes), elle remonte à chaque mouvement....
Et, comble de malchance, les bretelles sont faites de telle manière qu'il n'est pas possible (tout du moins si on a un peu de goût !) de porter un soutien gorge en dessous.
Ses seins, que j'ai l'habitude de décrire comme petits, saillent au travers du tissu léger, arrogants en diable.
J'ai la bouche sèche en la voyant dans cette tenue, à la fois sage et si excitante pourtant, ce qu'elle ne manque pas de noter : "alors mon chéri, on dirait que ta petite femme te plait ?" dit-elle en s'avançant vers moi les yeux brillants.
D'une poussée elle me fait tomber en arrière sur le lit et, alors que mon vit désigne déjà un point haut dans le ciel, elle entreprend de me monter dessus.
Mais alors que je croyais avoir droit à mon petit cadeau, c'est elle qui monte, monte, jusqu'à me présenter son bijou nacré à lêcher !
"Eh, demain au moins tu mettras une c...." mais je ne peux pas finir ma phrase car on ne parle pas la bouche pleine !
Elo jouira deux fois sous ma langue (quand on aime on compte pas) avant de venir s'empaler sur mon sexe au bord de l'explosion.
Et heureusement qu'elle a joui avant car je ne tiens pas longtemps, excité à mort par son comportement des plus sexuels.
Alors que je jouis elle me regarde amoureusement mais je ne puis pas ne pas remarquer ce voile qui passe sur ses yeux, comme un brin de nostalgie....
Samedi soir, 21h30, chez Loïc.
On s'est bu un petit apéro pour se mettre en jambe avant de venir, aussi sommes nous plutôt gais pour engager cette soirée.
Au moment de sortir de la voiture je lui demande : "t'as mis une culotte quand même ?" mais c'est son rire et la porte qui se ferme qui répondent à ma question !
C'est une rousse ravissante, cheveux longs et yeux verts qui nous accueille : " Ahhhh, la star de la soirée !" dit-elle en regardant Elo.
Ah bon, ma femme la star de la soirée ? Ou peut-être dit-elle ça à toutes les arrivantes dans la soirée ?
La rousse, Cynthia, nous présente quelques amis et nous fait faire le tour du propriétaire, Loïc étant momentanément retenu au boulot nous dit elle.
Et quelle propriété !
On peut comprendre qu'il ait des obligations professionnelles si c'est ça qui lui permet de s'assurer ce train de vie : maison d'archi typique, de nombreux espaces isolés les uns des autres, différents niveaux, une piscine, mais attention pas rectangulaire, trop cheap, non, une forme....indéfinissable, en tous cas unique.
La soirée se lance gentiment, les invités sont assez sympas, Cynthia assure avec brio le rôle d'hôte, le champagne coule à flot.
Elo et moi faisons connaissance de quelques couples, buvons quelques verres et nous accordons quelques danses.
A cette occasion, je remarque que ma femme attire tous les regards, et pas seulement des hommes...
Et puis Loïc arrive enfin.
La star !
Tout le monde lui saute dessus, visiblement ravi de le voir, la soirée commence !
Hausse claire du niveau sonore, du niveau des rires, de la danse, du champagne, une vraie belle soirée bien réussie.
Cynthia revient nous voir régulièrement, attentive, et finit par m'embarquer Elo sous prétexte d'aller faire "des trucs de fille...".
Pas de souci, on se marre avec deux, trois gars que j'ai rencontré, il semble qu'il y ait des atomes crochus.
Puis la soirée se dépeuple un peu, mes nouveaux "potes" partis un par un, et je me rends compte que ça fait un moment qu' Elo n'est plus là.
Je rôde donc dans la propriété afin de la retrouver, dans la mesure où je ne vois pas Loïc non plus !
Et c'est Cynthia que je trouve finalement, qui me dit "ta femme est superbe tu sais....et quelle énergie, quelle puissance sexuelle....c'est toi qui l'a débridé comme ça ?".
Quoi ??? De quoi parle-t-elle ?? Je m'apprête à le lui demander quand elle me prend la bouche sans me demander mon avis !
Je la repousse et...
Non mais ça va pas ? Le fantasme de la rousse enflammée qui vous saute dessus à 2 heures du matin avec des visées claiement sexuelles alors que vous avez perdu le fil du compte des flutes de champagne, vous la repoussez, vous ?
Ben moi pas une seconde !
Je me suis laissé porter par son énergie et son envie, et tant pis pour le trauma du hérisson qui nous observait depuis l'autre bout du bosquet, j'étais ce soir là en pleine puissance ! Bien sûr il n'y a pas eu de préliminaires sensuels, nous nous sommes sautés dessus (au sens littéral du terme puisque je l'ai embroché alors qu'elle s'était accrochée à mon cou), mais une fois son premier orgasme venu je lui ai dégusté la moule jusqu'à ce qu'elle jouisse à nouveau, mains crispées sur ma tête, la bloquant contre son délicat petit bouton. Elle est ensuite venue sur moi et m'a fait monter la sauce en deux temps, trois mouvements, avec une agilité du bassin qui n'avait rien à envier à celle d'Elo...
"Je comprends....tout" me dit-elle à l'oreille, finissant de m'en lécher le lobe.
"tu es doué, ce serait dommage de ne conserver ça que pour ta compagne, non ?""A ton service" répondis-je alors.
"Et si elle faisait pareil tu dirais quoi ?""Je ne sais pas, ça dépend des circonstances, mais ce qui m'importe c'est son plaisir....""Viens."Cynthia me raccompagne dans la maison, qui semble assez vide maintenant, il ne reste plus que quelques personnes sur des canapés qui racontent leur vie ou décuvent en douceur.
Nous arrivons devant une porte sans poignée.
"Prêt ?" me dit-elle.
"Toujours !" je réponds fièrement sans même savoir de quoi il s'agit.
Cynthia tape alors de ses mains sur un rythme précis que je n'ai pas le temps d'analyser et la porte glisse en silence.
Derrière la porte, un premier espace assez sombre, dans lequel sont tapis plusieurs visages connus de la soirée, et au centre une arène....de baise !
Il s'agit d'un espace vitré, probablement constitué de vitres sans tain, au centre duquel trône un lit puissament éclairé, au centre duquel gît ma femme en pamoison, au centre de laquelle est fiché le sexe monumental de Loïc !
Vainqueur, souverain, impérial, il contemple les effets de son action sur Elo qui feule doucement au rythme lancinant des coups de reins pour l'heure modéré de Loïc.
Un système sonore restitue chaque son, mieux, nous sentons les effluves de désir, les phéromones des deux amants en plus de les voir ainsi s'aimer.
Je voudrais m'outrer, me scandaliser, mais je ne peux, ce que je vois est trop beau.
Ces deux là sont l'incarnation même du pourquoi d'un homme et une femme, la correspondance est manifeste et sublime.
Loïc force le mouvement, emmène Elo avec lui, ce sage missionnaire est avec lui ravageur et libérateur d'amour atavique de la femelle pour l'homme, Elo crie.
Alors que mon érection, pourtant soignée par Cynthia à peine quelques minutes plus tôt, renait, je m'aperçois que je ne suis pas le seul à être sous le charme de cette vision de paradis sur terre : nombre d'hommes seuls de la soirée sont la queue à la main et se caressent doucement, personne ne semble pressé, des couples se forment, se déforment et accueillent certain de ces esseulés....
J'assiste clairement à une partouze géante dont ma femme est l'inspiratrice, elle transmet son émotion et son désir à l'ensemble des personnes en présence, sous les assauts diaboliquement efficaces de Loïc.
Et, alors qu'hypnotisé je m'apprête à me branler bêtement, Cynthia me dit "laisse, je m'occupe de ça, c'est tout de même grâce à toi que nous vivons ce moment de joie collective...".
Elle s'agenouille et me prend dans sa bouche, d'abord délicatement, elle me lèche puis m'aspire les boules une à une, puis accélère, accélère encore.
Au moment de mon apogée elle me glisse un doigt dans le cul et m'avale, j'en crie tellement c'est bon, au moment même ou Elo, face à la vitre sans tain, jouit de tout son être, Loîc derrière elle, les deux semblant me regarder dans les yeux.....
Ce moment d'émotion pure passé, Cynthia m'explique : "Loïc est le meilleur amant du coin, tout le monde le sait, lorsqu'il repère une perle il organise une soirée comme celle-ci, les gens payent des fortunes pour venir à ces soirées, Elo et toi serez désormais invités d'office aux prochaines...."En repartant, bien plus tard, Elo épuisée à mon bras, je regarde à nouveau la piscine, ça y est : la forme est celle d'un cul féminin tout à fait remarquable.
Y'a pas à dire : le gars qui baise ma femme a du goût !

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