Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ? le dépucelage du petit trou (4/6)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ? le dépucelage du petit trou (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ? le dépucelage du petit trou (4/6)
Jenny rangea son portable après avoir répondu au SMS de Paul.
Elle était toutefois jalouse de s’imaginer Paul en train de baiser la belle Nadia. La situation qu’elle vivait avec Charly et l’adultère de son mari l’excitait un peu plus, car à présent, elle était totalement libre de faire ce qu’elle voulait avec son voisin. Charly avait profité de son absence pour plonger dans la piscine en cette fin d’après-midi encore chaude. Jenny le rejoignit, ils étaient entièrement nus et jouait dans l’eau comme deux adolescents, s’embrassant, se caressant mutuellement.

Jenny venait de jouir et de faire jouir son amant et les vingt minutes dans l’eau leur avait donné faim. Ils enfilèrent un teeshirt et s’installèrent au salon pour manger quelques restes, en finissant les vins qui restaient du repas du midi. Charly avait tenu avant que Jenny se mette assise de lui enfiler un petit plug dans l’anus, elle savait donc qu’elle allait se faire dépuceler de ce côté dans quelques heures, peut-être quelques minutes. Les sensations qu’elle ressentaient au niveau de l’anus la rendait toute chose, elle serra les fesses pendant tout le repas, elle avait peur que le plug ressorte.

Jenny était prête à débarrasser la table lorsque Charly lui ordonna :— Installe-toi sur le fauteuil et masturbe-toi devant moi.
— Quoi ? Tu veux vraiment cela ?
— Ne discute pas bon dieu ! Fais ce que je te dis.

Ne voulant pas l’offenser, Jenny s’installa comme Monsieur désirait et entreprit ses caresses tout en maintenant son anus serré contre le plug qui commençait à la brûler légèrement. Elle ferma les yeux et repensait à leur première rencontre, elle se voyait encore le masturber en tenant sa belle et longue queue qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion d’avoir dans sa chatte qui mouillait de nouveau.

Charly et sa bite l’excitait, ses doigts allaient et venaient dans son vagin sans aucune difficulté, elle sentait le désir monter, elle frottait son clitoris après l’avoir délogé de sa coquille, le bout de son doigt l’astiquait. Elle ouvrit les yeux et vit Charly se branler doucement en la regardant, son pénis était encore en état de repos, elle pouvait imaginer la taille en érection. Il avait ce qu’il fallait et où il fallait, sa bite était énorme et elle voulait la gouter de nouveau et la prendre dans ses entrailles.

Jenny mouillait pour lui, elle avait envie de se montrer ainsi. Il avait bien remarqué cette coulée de mouille le long de sa cuisse :— Tu mouilles déjà... Tu vas devenir ma salope ce soir ?
— Hummm... J’aime... Oui ! Je vais être ta salope, je serai toute à toi. Approche-toi que je te suce…
Charly adorait entendre ce genre de phrase, de la part des femmes qui se soumettaient à ses caprices. D’avoir entendu ces mots et de la voir s’exciter ainsi, sa verge s’était transformée, elle était déjà grosse et dure comme une trique. Il se leva et la tira par les bras, elle se colla à lui, ils s'embrassèrent fougueusement, leurs langues s’entremêlaient. Puis il l’emmena dans la cuisine, il voulait la prendre sur une table.

Jenny s’agenouilla devant lui, prit sa longue queue dans la main et la dirigea dans ma bouche, il était énorme, elle avait toujours des difficultés à l’enfiler entièrement, il était prêt à exploser. À cet instant, il enleva sans ménagement le plug qu’elle avait toujours dans le cul, dans un bruit de succion et lui ordonna :— Mets-toi assise sur la table et écarte un maximum tes jambes— Oui Charly ! Baise-moi, défonce-moi avec ta grosse queue, tu me rends folle, je mouille pour toi.

Ces mots l’avaient excité de nouveau, il l’avait prise avec force, puis allait et venait en elle violemment, sa queue puissante pleine de sang lui perforait la chatte, à chaque coup de rein, ses couilles tapaient contre mes fesses, elle jouit très rapidement, il fut obligé de ressortir afin de laisser sortir les jets de liquide translucide qui giclaient à grand flux arrosant une grande partie, le sol de la cuisine, il en avait reçu jusqu’à mi-cuisse. C’était la première fois qu’elle jouissait de la sorte et surtout qu’elle éjaculait aussi puissamment.

Elle n’avait pas fini de couler, lorsqu’il la pénétrait de nouveau, elle le cramponnait, ses bras le maintenait, ses seins plaqués contre son torse, ses jambes s’étaient enroulées derrière ses fesses, il n’avait pu se retirer, il éjacula dans son préservatif qui lui comprimait la verge : —Emmène-moi dans la piscine. Lui dit-elle.

Elle voulait le conserver en elle encore un moment, il la porta, traversa le salon et la terrasse et toujours dans cette position, ils tombèrent tous les deux dans l’eau à 23° de la piscine. Ils reprirent leurs esprits, se remettant debout, elle lui enleva la capote et avala tout le sperme présent à l’intérieur. Ils s’embrassèrent de nouveau, firent quelques brasses pour se détendre, la nuit était tombée depuis quelques minutes déjà.

Nus l’un contre l’autre, Jenny lui demanda :— Tu crois que Paul va sodomiser Nadia cette nuit ?
— S’il lui demande, il l’enculera, elle ne refusera pas cette garce.
— Et moi, tu m’as dit que…— Laisse-moi me reposer un moment et tu verras que je ne vais pas m’en priver. Ton cul m’appartiendra désormais, je vais te dépuceler. Là ! Tu pourras dire que tu es ma salope. Dis-le— Oui ! Mon amour, je suis ta salope, je serai même ta chienne si tu le désire. Je serai ta soumise.

Ils s’installèrent à la cuisine pour prendre un alcool, un petit remontant, une mirabelle à 45° de 10 ans d’âge qu’elle conservait pour les invités de marque et Charly en faisait désormais partie. Le goût sucré du fruit et la petite brûlure au fond de la gorge, faisait de cette boisson toute son originalité. Ils prirent le temps de la consommer et de la déguster, il était temps pour eux de se coucher. Elle avait choisi de s’installer dans le lit conjugal, c’était une excitation supplémentaire et en voyant la verge de Charly dans la main de son maitre qui reprenait de la vigueur, elle avait bien deviné qu’elle reprendrait un coup de queue avant de s’endormir.

Jenny avait tiré entièrement le drap du dessus au pied du lit, ils se retrouvaient nus l’un contre l’autre sur le drap blanc recouvrant le matelas. Après quelques petits baisers, ils se positionnèrent dans un soixante-neuf, allongés de trois-quarts. Pendant que Jenny suçait sa verge et caressait ses couilles délicatement, Charly n'hésitait pas à aller de son clito à sa rondelle, suçait ses grandes et ses petites lèvres, revenait jouer à l'entrée de son anus, il força sa petite étoile avec sa langue bien raide et pénétra légèrement à l’intérieur de la peau lisse, elle offrait ses fesses, les jambes légèrement écartées, son nez planté dans la raie de son cul, il léchait et ses doigts assouplissaient le passage que le plug avait légèrement dilaté.

Avec sa mouille et la salive de l’amant, Jenny était prête, pas besoin de lubrifiant qu’elle avait prévu sur la table de nuit. Les trois doigts à l’intérieur de son rectum lui prouvaient qu’elle pouvait recevoir sa grosse verge dans son petit trou :— Mets-toi à quatre pattes, salope ! Le moment est venu que je t’encule.
— Oui ! mon chéri encule-moi…
Jenny s’exécuta, même si la réponse qu’elle avait fournie indiquait le contraire, elle appréhendait ce moment, elle avait peur d’avoir mal. Il lui suréleva la croupe et lui écarta bien les cuisses. Il s’était positionné derrière elle, entre ses jambes, il se pencha et cracha sa salive sur sa rondelle. Il entra dans sa chatte humide, cette pénétration la surprenait car elle pensait qu’il voulait la sodomiser.

Tout en la possédant traditionnellement, le va-et-vient de son index dans l’anus lui procurait d’étranges sensations. Jenny mouillait fortement, toujours à genoux derrière elle, il se retira de sa chatte et fit glisser sa queue dans la raie de ses fesses, à la recherche du sens interdit. Sa chatte était trempée, la cyprine coulait, son gland se trouvait à l’entrée de sa vulve humide, d’un coup de reins, il avait enfilé sa bite jusqu’à la garde une nouvelle fois dans le vagin. De le sentir s’agiter en elle, le désir de Jenny remontait. La main de son amant s’activait de nouveau sur son clitoris. Il était devenu très sensible, elle frissonnait de plaisir. Elle gémissait de bonheur ses petits cris s’amplifiaient dans la chambre.

Charly n’avait pas changé d’avis comme le croyait Jenny, même s’il continuait à la baiser normalement. Il savait qu’elle était prête à se faire sodomiser. Mais il voulait que sa jouissance soit proche, il sut que le moment était venu lorsqu’il l’entendit dire :— Vas-y mon chéri, tu peux y aller.

Ces mots l’avaient excité, il se retira de la chatte chaude et mouillée, cracha sur le gland de sa bite bandante et le présenta devant le trou étoilé. Très impatiente, elle saisit son pénis et le guida vers l’entrée interdite. Il lui semblait que sa queue était plus raide que tout à l’heure. Son petit trou se dilatait à chacune de ses poussées. Charly de sa main droite titillait son clitoris de plus en plus vite, elle était au bord d’une nouvelle explosion.

Il pressait sa queue de plus en plus, elle cambra ses reins puissamment, lorsque soudain, sous une nouvelle pression, le muscle anal s’était relâché et avala le gland gonflé de sang. Elle poussa un grand cri, dû à la brûlure qu’elle ressentit. Elle était prête à sangloter, ses petites plaintes n’inquiétaient pas Charly qui poussait toujours progressivement, sans relâche mais, sans lui demander si elle voulait qu’il se retire. S’apercevant qu’elle ne gémissait pas de plaisir, il ne bougea plus, elle crut qu’il allait sortir, ne voulant pas le décevoir, elle lui dit : — Continue, encule-moi, encule-moi...

Elle ressentit une douce chaleur l’envahir, lorsqu’elle avait pris l’initiative de pousser elle-même ses fesses contre sa queue. Contrairement à ce qu’elle redoutait, sa hampe s’enfilait aisément dans le rectum. La douleur disparait à chaque va et vient pour se transformer en plaisir. Sur un coup de reins violent de sa part, elle fut littéralement empalée, jusqu’à la garde. Sa verge tendue allait et venait en elle avec facilité, c’en était même déconcertant. Rassuré par son comportement, Charly prenait un rythme de croisière, ses coups de reins violents faisait pénétrer sa queue, telle un piston, s’enfonçant le plus loin possible dans ses entrailles. Elle avait passé sa main entre ses cuisses et avait attrapé ses couilles pour les malaxer. Charly en fut surpris, il commençait à râler. Il passa la cinquième et la pilonnait sans vergogne.

Elle avait atteint le point de non-retour, Jenny fut prise d’un orgasme foudroyant, une déferlante de mouille s’écoula en jets sortant de sa petite chatte. Voyant qu’il était parvenu à qu’il désirait, Charly ressortit sa verge, enleva sa capote et prit son plaisir en se déversant dans la raie de son cul. Il l’essuya sur une de ses fesses, puis il remit sa queue là où elle était, bien au chaud pénétrant avec facilité son anus dilaté. Ils s’étaient écroulés tous les deux sur le côté et étaient restés sans bouger. Sa verge toujours dans son rectum, elle diminuait peu à peu mais Jenny ressentait encore beaucoup de bonheur ainsi. D’un léger mouvement de bassin, il s’était dégagé, l’avait retournée et prise dans ses bras, en l’embrassant. Il était fier de l’avoir dépucelée du cul.

Charly était allongé sur le dos, Jenny de trois-quarts avait sa tête sur son épaule velue, la jambe droite allongée et la jambe gauche repliée sur le ventre musclé et poilu de son amant, de son maitre à présent. C’était dans cette position, qu’ils s’étaient endormis, épuisée par cette nuit d’amour et ce fut dans cette même position, blottis l’un contre l’autre que Paul, en rentrant le dimanche matin, les avait découvert dans le lit conjugal.

Paul n’avait pas pensé être aussi secoué en apercevant son voisin dans son lit avec son épouse mais cette vision l’avait toutefois émoustillé. Toute la soirée, il avait eu le sentiment que ce que lui avait dit sa maitresse n’était autre qu’un mensonge, enfin, il l’espérait de tout cœur. Il était pourtant là et était obligé d’admettre l’évidence, Jenny avait baisé avec Charly et pourtant cela l’excitait. Il n’était pas en colère, il était quelque peu déçu de ne pas les avoir vu faire l’amour, en quittant la chambre pour rejoindre Nadia en train de préparer le petit déjeuner. Les deux amants s’étaient levés, avaient enfilé un peignoir et allèrent ensemble dans la cuisine.

Sans attendre plus longtemps, Paul dit à Jenny en la fixant droit dans les yeux :— Je te présente ma nièce Gaëlle, elle vient habiter le petit appartement au rez-de-chaussée.

Si Charly avait bien reconnu Nadia qu’il voyait tous les jours, il ne dit rien, tout ceci l’arrangeait. Jenny de son côté, voyant cette jeune fille, sans maquillage, avec deux couettes, un teeshirt large et en jean-baskets, n’avait à aucun moment, fait la correspondance avec la jeune Escort girl de la veille. Elle ne savait pourtant pas que Paul avait une nièce, mais comme il ne parlait plus à sa famille, cela ne l’avait pas surprise :
— Enchantée de faire ta connaissance Gaëlle. Je te présente Charly, notre voisin et ami.
— Je vois qu’il est bien plus qu’un ami. Rétorqua Paul mais si c’est ton choix, je m’en accommoderai.
Jenny s’approcha de son mari et vint le prendre par le cou et l’embrasser sur la bouche, en lui disant au creux de l’oreille :— Merci mon amour de me faire ce cadeau, tu ne le regretteras pas.
— J’espère qu’une chose, c’est que je pourrai assister à tes parties de jambes en l’air ma chérie.



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