Titre de l'histoire érotique : Ju & Ali

- Par l'auteur HDS Totos -
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Ju & Ali Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ju & Ali
Un soir, soirée pyjama avec mon amie.
Je m'appelle Alisson, elle s'appelle Julie.
Nous sommes toutes les deux brunes, elle 1m64, moi 1m67. Des yeux verts pour elle, des yeux marron pour moi !
54 kg pour elle, 50 kg pour moi, 95C pour elle et 85B pour moi !
Brève description, mais assez pour nous imaginer.
On était assise sur mon lit.
- Je vais me faire lesbienne ! Lui dis-je.
- Tu aimes trop la bite, d'ailleurs, t'as peut-être raison ! À mon avis t'en as fait le tour !
Dit-elle en me taquinant !
- Mauvaise ! Non, j'en ai marre de me faire berner par les mecs.
- Tu te verrais avec une autre fille ? Bizarre !
- Ça pourrait être toi et moi !
- T'es complètement dingue. Me répondit-elle en rigolant.
- Mais non, réfléchis, qui me connaît mieux que personne ? Toi ! Et moi je sais que tu me feras jamais de mal !
- Vu ainsi oui, mais non ..
- Pourquoi pas ?
- Oh, arrête, tu me fais peur !
Dit-elle rigolant à moi avant d'ajouter;
- En plus, on sait toutes les deux que ça serait moi la dominante du couple.
- On serait en couple, tu serais ma petite chienne, tu me baiserais les pieds tellement tu serais amoureuse !
- Ne rêve pas non. Répondit-elle me regardant comme une imbécile.
- On parie ?
- Non, je ne parie pas !
- T'as peur ? Ça te coute quoi qu'on essaie ?
- Je rêve toujours de rencontrer l'amour...
- C'est peut-être moi ! Allaiiiiis !
- Non !
- Je te propose un truc !
- T'as quoi encore derrière la tête ?
- On fait un jeu, en 3 manches !
- Et ?
- Après on essaie ensemble !
- Pourquoi faire un jeu ?
- Celle qui perd aura un gage juste avant que l'on essaie ensemble.
- Ah oui ? Quel gage ? Demanda-t-elle.
- On à cas les décider ensembles !
Après avoir écrit chacun sur des papiers les "jeux" auxquels on allait se départager, il fallait décider le gage.
On écrit chacune plusieurs papiers, du gage simple au plus osé ! Évidemment, j'avais mis une majorité d'osée.
- Donc, je résume dit-elle.
- Oui, vas-y.
- 1. On se démarque bêtement au UNO ! 2. On part chacune avec nos voitures et c'est la 1ère arrivée au point défini qui gagne. 3. La première qui a 5 numéros de mecs à cet endroit-là.
Après une seconde de silence, elle ajouta ;
- On est d'accord ?
- Yes !
- Allais tire le gage que tu devras faire !
- Quoi ? Tu vas perdre me dit-elle !
Elle avait beau être plus discrète que moi, voir plus timide, lorsqu'il s'agissait de défis, elle était méconnaissable.
- Ok, je vais tirer. Que la meilleure gagne.
Tous nos petits bouts de papier était dans une de mes boites, je fermais les yeux et me mit à passer avec ma main dedans.
Je finis par en prendre un, j'ouvris les yeux et l'ouvris.
- Coucher avec un mec que la gagnante choisit.
On se regarda quelques secondes.
- Tu as écrit combien de gages osés ?
- Juste celui-là.
- On le retire ?
- Tu as peur ? Me demanda-t-elle me fixant droit dans les yeux.
- Non, j'ai juste pas envie de te voir te faire sauter.
- Je ne serais pas là, mon téléphone te filmera pour garder un souvenir. Me dit-elle me défiant.
- T'es trop sur de toi !
- C'est ce qu'on verra, on commence le premier défi ?
On sortit le UNO, et on se mit à jouer, je gagnais.
On partit chacune se changer pour se rendre au dernier défis en passant par le second.
- Tu mises tout sur les numéros ? Me dit-elle une fois qu'elle me vue changée.
- Quoi ? Je veux gagner ! Dis-je.
Mini jupe, tee-shirt décolleté et talon, si après ça je n’avais pas vite fait mes cinq numéros...
On rentrait dans nos voitures respectives et on démarrait, nous n’étions apparemment pas d'accord sur le trajet à prendre.
Je me dépéchais et une fois arriver là, elle m'attendait appuyer contre sa voiture avec un verre en main.
- Mais ?
- T'as toujours pris les détours ! Me dit-elle.
- T'aurais pu en profiter pour prendre des numéros. Lui dis-je pour la remettre en place.
- Je suis à deux.
- Grrr
On rentrait toutes les deux dans le bar, elle me regardait parler avec l'un, elle parlait avec un autre.
Puis elle vint près de moi.
- Gagnée ! 2 défis sur 3.
- ...
- Allais, vient on retourne chez toi pour ton gage !
- T'es sérieuse ?
- Yes !
- Tu ne vas pas me faire prendre quand même ?
- T'n’aurais pas hésitée si c'était moi !
- Ce n’est même pas vrai d'abord !
- T'es une mauvaise menteuse... Dit-elle en rigolant.
On repartit vers chez moi, j'enlevais mes talons, ils avaient fait que me ralentir et me faisait en plus mal au pied !
J'allumais mon ordi, connectais mon compte Facebook et la laissais fouillée dans mes contacts.
Après un bon quart d'heure, alors que je tournais en rond dans ma chambre elle dit :
- Lui !
Je courrais voir.
- Tu ris ? C'est pustule !
- Enh arrête, il en a plus tant que ça et en plus il t'aimait vraiment bien ! Me dit-elle.
- Trouve un autre...
- Je suis sur qu'il est puceau, en plus il pourrait stopper ça avec son fantasme.
- T'es une salope !
- C'est toi qui as voulu jouer, va lui parler.
Je m'assis face à mon ordinateur et ouvrit la conversation.
- Coucou...
- Oh ! Alisson, tu vas bien ?
- Ça va et toi ?
- Ca va aussi merci ! Je peux faire quoi pour toi ?
- J'avais envie de discuter avec toi... Dis-je lançant un regard à la fois énervée et abattue à mon amie.
- Ah non ! Dis-lui que t'as envie qu'il vienne chez toi !
- ...
- C'est gentil, quoi de neuf depuis le temps ? Me dit-il.
- Tu ne voudrais pas passer chez moi pour en discuter ?
- C'est bizarre, pourquoi tu voudrais que je vienne ? Tu ne m’as jamais parlé, ni regardé avant... Tu te moquais même de moi avec tes copines...
- J'ai envie que tu viennes...
- Non, tu n’es pas clair !
- Dis-lui. Me dit mon amie déposant sa main sur mon épaule et encore plus dans la conversation.
- J'ai envie qu'on se rapproche.
- Excuse-moi, mais ce n’est pas marrant ! Ça ressemble à une mauvaise blague.
- Non, je te promets !
- J'ai du mal à te croire.
- Balance la cam, qu'il te voient !
Mon amie se recula et s'assit sur mon lit.
J'activais la webcam et il acceptait.
Je me sentais prise au piège, on pouvait à présent se parler de vive voix.
- Oui ? Et quoi ? Tu as mis ta webcam, ça change quoi ?
- Que tu vois que c'est moi, que je ne rigole pas !
- T'es en train de me dire que t'aimerais que je couche avec toi ?
- O... Oui...
- Je ne te crois pas !
- Si tu ne viens pas, tu ne pourras pas le vérifier...
Il fixait mon image, mon Dieu qu'il était toujours aussi laid, il n’avait même pas l'air propre !
- Retire ton haut et je te croirais !
J'entendais un chuchotement ; "Allais".
Je retirais mon haut, lui affichant ma poitrine cachée par mon soutien-gorge rose.
- Waw ! Que t'es belle ! Mais pourquoi moi ?
- J'en ai marre de tous les mecs, je suis sûr que t'es pas comme eux...
- Je ne sais pas trop...
- Je t'envois mon adresse et mon numéro, c'est à toi de voir... Je coupe ici, je te laisse 5 minutes pour te décider, j'attends ton message.
Et je coupais tout prise de pression.
- Bien joué, tu as coupée court à ses questions, j'espère qu'il viendra, sinon je devrais te punir.
- T'exagères pas là ? Dis-je.
- Non, t'auras pas respectée ton gage ! Tiens, passe un peu ta main entre tes jambes, je suis sûr que tu mouilles.
Je passais sous ma jupe, écartais mon dessous et ... Je mouillais. Elle vit ma tête changer et se mit à sourire.
- J'espère qu'il va venir te sauter.
Alors que j'étais partie prendre à boire dans la cuisine, elle aussi, mon téléphone vibra.
- Je vais venir, je suis là dans 25 minutes...
Mon amie me regardait souriante et dit :
- Dis-lui que tu l'attends, que tu vas te changer vite pour être apprêtée pour lui.
Ce que je fis.
Elle m'emmena dans ma chambre et regardait dans ma garde-robe.
Elle sortit une de mes petites robes de vacances fortement décolletée et très courte, rose, des chaussures à talons blanches et un petit collier qui serre le cou blanc aussi.
Elle m'attachait les cheveux et me fit enfiler un string noir.
Elle m'emmena devant le miroir, j'avais l'air à la fois d'une petite fille qu'on avait apprêté et d'un autre côté d'une grosse chaudasse.
Elle plaçait son téléphone sur mon bureau, dans le coin de manière à avoir toute ma chambre.
Me fit un bisou sur la joue, avec un petit sourire narquois et parti.
J'étais là à tourner en rond et attendre, je reçus un message : "Je suis en bas de chez toi..."
J'activais la vidéo et allait lui ouvrir, il fit une drôle de tête en me voyant.
Il était tout gêné, stressé, je pris sa main et l'emmenait dans ma chambre, je jetais un regard vers le téléphone et me mit à l'embrasser.
Il ne savait pas y faire et s'arrêtait.
Je mis sa main sur ma cuisse, il la caressait, mais ne montait pas, ne descendait pas...
- Qui y a-t-il? lui demandait.
- Je suis un peu stressé...
Je pris sa main et la déposais sur mon sein, qu'il pouvait sentir à travers ma robe.
- Et là ?
- Toujours...
Je le fis se relever et je me mis à genou, abaissant son pantalon, il avait un vieux slip d'un vert indéfinissable que j'abaissais.
Je pus voir qu'il avait une fameuse touffe ! Il était tout tendu, je pris son sexe en main, qui avait une bonne taille, et qui était déjà dur et fit des vas et viens avec.
Je rapprochais ma bouche, et avec ma langue je passais dessus, dégoûtée par ses poils qui me caressaient le nez, la bouche..
Il avait du mal à se concentrer, c'était presque mignon... Il finit par cracher et en me retirant je reçus au visage.
- Excuse-moi, excuse-moi...
- Ca va c'est pas grave... Dis-je restant à genoux.
- Attend, je vais t'essuyer !
- Non, regarde-moi.
Il me regardait ne comprenant pas, j'avais son sperme sur mon visage et aussi sur ma robe.
- Tu me kiffais, non ?
- Oui... Dit-il gêner.
- Ça te fait quoi de me voir à genoux devant toi, ta semence sur moi ?
- C'est incroyable...
- Tu vois que je ne rigolais pas !?
- Tu... Tu veux bien retirer ta robe stp ?
Je me relevais et retirais ma robe la déposant sur le côté de mon lit, il me regardait, les yeux sortant presque des orbites.
- Je suis toute à toi... Lui dis-je en le poussant sur le lit.
Ses mains arrivèrent très vite sur mes fesses et je retirais mon string, il ne me restait que mes talons, il me touchait, mais maladroitement, timidement...
Je dirigeais sa main entre mes jambes, il finit par oser mettre ses doigts, ce qu'il fit très bien sans le savoir.
Il me chuchota à l'oreille.
- Est-ce que je peux aller avec ma langue entre tes jambes.
- Oui, tu fais ce que tu veux... Lui répondis-je calmement, excitée...
Il descendit entre mes jambes, et se mit à me lécher, c'était un peu brut et puis ça devint bon.
Si bon, que je gémissais, il en profitait pour essayer de forcer l'entrée de mon derrière.
- Non, stp...
- Tu as dit, tout ce que je voulais...
- Fais doucement stp.
Il se remit à me lécher à nouveau, je me remis à pousser de petit gémissement, et ses doigts poussaient toujours un peu plus l'entrée.
Je finis par jouir, comment avait-il pu me faire jouir ?
Et il se remit à ma hauteur, m'embrassant dans le cou, me doigtant le cul, je m'accrochais à lui, sentant mon cul se dilater.
Et je le ressenti bander, je lui donnais un préservatif, il se mit sur moi et se mit à me prendre...
Je jetais un regard vers le téléphone, honteuse, honteuse de coucher avec lui, d'avoir bon...
Et il finit par venir, il se laissait tomber à côté de moi, retirant son préservatif et me dit :
- J'aurais tellement voulu te prendre par-derrière...
Il avait l'air si déçu, j'étais toujours excitée, je me levais et partit dans la salle de bain.
Je revins avec une petite pilule et lui donnait.
- Mais ?
- Avec ça, tu pourras sous peu y aller... Dis-je.
- T'es certaine ?
- Vite avant que je change d'avis stp !
Il l'a pris.
- Lubrifie bien avant stp...
Il me fit me mettre à 4 pattes, je me retrouvais visage face à la caméra, il était derrière moi, il mettait ses doigts dans ma chatte.
Puis repartait écarter mon trou, je faisais des grimaces, après un moment il me dit.
- Je bande à nouveau.
- Viens...
Je sentis son sexe contre mon cul, il le poussait, m'arrachait des petits gémissement, des grimaces et il se mit à faire des vas et viens.
Je me mis à crié, il me brûlait l'anus, par le passé, j'avais accepté deux fois, la première j'avais pleurée comme un bébé et je m'étais dit que la seconde serait moins douloureuse, mais non...
Alors qu'il me sodomisait depuis un petit temps, il dit :
- J'ai mal au genou...
Il se couchait et je me mis sur lui, dos à lui, je le laissais gérer, j'en oubliais que j'étais face à la caméra.
Il me pilonna pendant je ne sais pas combien de temps, j'avais mal, je criais de vive voix.
Lorsqu'il sentit qu'il allait venir, il me remit à quatre pattes, il vint, et je me rendis compte qu'il n'avait pas de préservatif.
Il se déversa dans mon cul en me mettant une claque et disant.
- Enh putain la grosse salope.
Il restait en moi encore un peu, penché, et se retirait, je sentais son liquide couler de mon cul, j'osais plus bouger, ou j'y arrivais plus, je ne sais pas.
Je tournais la tête vers lui, il avait l'air satisfait et bandait toujours.
- Je saurais plus, j'ai mal... Je peux prendre une douche, après je rentrerais...
- Oui, vas-y...
- Reste nue que je te vois encore avant que je parte stp...
- Oui, d'accord. Dis-je épuisée.
Il sortit de la chambre et allait dans la salle de bain, comme je lui avais indiquée, je pris des mouchoirs et essuyait mon anus, mes jambes.
Je n'arrivais pas à penser. J'avais l'anus qui me brûlait !
Il sortit assez vite, je le raccompagnais à la porte, me cachant derrière, il me regardait.
- Merci... C'était comme j'imaginais, comme dans les films et je t'ai fait gémir...
Et il partit.
Je fermais la porte et m'assis par terre, quelques minutes plus tard, mon amie rentrait, elle me regardait.
Au sol, nue, elle souriait.
- On dirait que tu as pris cher ?
- ...
- Tu sauras qu'il ne faut plus parier avec moi...
On allait vers ma chambre et elle prit le téléphone, me fit m'asseoir à côté d'elle et je revis tout.
Je ressemblais vraiment à une traînée, je criais comme une truie qu'on égorgeait, il ne m'avait pas ratée.
- Ali ?
- Oui ?
- Mets-toi à genou et embrasse mes pieds, on va essayer ensemble, mais c'est moi qui dirige.
- D'accord Ju...
Je me mis à genoux et retirait ses chaussures, mon cul me faisait mal. Et je me mis à lui embrasser ses pieds.

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