L'assistante intérimaire 3 (ou l’éducation de Faouzzia)

- Par l'auteur HDS Misn1 -
Récit érotique écrit par Misn1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'assistante intérimaire 3 (ou l’éducation de Faouzzia) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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L'assistante intérimaire 3 (ou l’éducation de Faouzzia)
Un pote de ‘cul’ (un bon et tendre coup Lyonnais, mais c’est une autre histoire) m’a bien laissé les clés de l’appartement chez un voisin. Il est près de 20h et l’on rentre seulement de notre tournée des chantiers. Faouzzia, comme je m’en doute a pas mal de plannings à reprendre dès demain et devra s’absenter pour la journée; Mais pour l’instant, ce qu’il faut reprendre - et vite ! - Ce n’est pas son TAF, mais son début de sodomie interrompu, là où elle l’avait laissée dans l’escalier de service, 2 jours auparavant... Thierry avait bien tenté le ‘coup-au-cul’ si j’ose dire, mais devant les protestations et la peur de la petite, l’entrée du trou de notre jeune beurette - jamais défloré par l’arrière - semblait fermé, infranchissable.
Mais pour l’instant, nous avons faim et sommes un peu crevés de nos tournées, alors proposai-je, direction le resto puis ensuite le sauna mixte et libertin pour nous ‘détendre ‘ un peu. Après un repas léger, mais tout de même arrosé, nous arrivons un peu chauds au sauna ; Gais, joyeux, en nous tenant tous les trois par la taille, Thierry et moi malaxant chacun une fesse de Faouzzia disposée entre nous.
Le mec de l’entrée nous remet nos serviettes, non sans nous préciser que ce soir, c’est échangiste…
Nous sommes simplement revêtus de nos serviettes, c’est drôle, car même si nous avons eu quelques échanges bien chauds, aucun ne nous ne s’est encore vu complètement à poil (rappelons-nous… Thierry baisait Faouzzia la bite sortant de la braguette tout en gardant son pantalon). Nous venons juste de rentrer que rapidement je m’aperçois que les nibards de Faouzzia, gros et bien mis en évidence puisqu’elle n’a plus que sa serviette autour de la taille, attire les convoitises. A peine plongés dans le jacuzzi, déjà 1 couple nous emboite le pas. Le mec est plutôt moche, petit, chauve, glabre et maigre ce qui met en évidence, par contre, une bite d’autant plus gigantesque, très blanche, très veinée et ré haussé d’un gros gland rouge et circoncis ; Quant à sa compagne, c’est un petit bout de femme aux cheveux courts, pas trop mal foutue de tronche, mais qui fait contraste avec Faouzzia, en effet, elle est complètement plate, mais à l’air très coquine, voire même vicelarde et branché SM puisque je remarques plusieurs piercings sur sa langue, son nombril et ses grandes lèvres, alors qu’elle a gardé un ceinturon de cuir autour de la taille.
Elle vient, d’ailleurs se mettre dans le jacuzzi, juste à côté de la petite :
-‘Salut, vous venez d’arriver au moins ? Nous, on est habitués des lieux ici, on est de Montpellier...
Et tout en discutant et pendant que son mec, JP, qui bande fort la caresse, elle commence à passer sa main sous le cou de Faouzzia et lui faire quelques bises. La petite, à mon grand étonnement n’est pas farouche et ne se défile pas. C’est alors qu’une troisième compagne bien grassouillette, vraie blonde et souriante, nommée Marion, arrive dans le bassin… Un quart d’heure plus tard, nous avons tous fait connaissance, et Faouzzia est déjà tout occupée à rouler des pelles avec Annie, toutes deux, n’ont pour autant pas lâché les mecs, puisqu’elles administrent de leurs mains libres et en cadences, des branlettes à Thierry et JP. De mon côté, Marion ne perd pas son temps, plantureuse et à poil, elle est très attirante (je dois dire que je kiffe bien les femmes un peu enrobées… Pour les hommes, c’est le contraire, allez savoir !) et je ne peux résister à l’envie de lui passer mes pattes avides de caresses, un peu partout : D’abord un doigt dans la bouche, en entrant-sortant, histoire de simuler les aller-retour d’une queue, et puis ensuite sa poitrine moelleuse et ses tétons pointés, gros comme des stylos, que je pince, à sa demande, très fort .
Son cul ensuite, en commençant pas ses jambons, bigs-fesses potelées et charnues, énormes, comme celles d’un gros bébé peint par Botterro, plein de tendresse à donner et à recevoir. Mes caresses lui font de l’effet, puisque immédiatement elle relève son bassin. J’ai compris le message ; mes 2 mains passent alors sous l’eau pour l’embrocher avec mes doigts : le majeur dans sa chatte afin de lui frotter le point G que je trouve facilement, et le pouce dans son cul, histoire de lui faire deviner mes gouts et intentions pour l’enculade. Bien chauffée, celle-ci s’approche de moi pour me rouler une pelle. Là, mes mains, ma bouche sont tous occupés… Seul, mon sexe, bandant bien fort est encore orphelin… Mais pas pour longtemps, car JP a vu ma gaule qu’il vient branler, en toute solidarité masculine !
C’est sûr, ou je ne m’appelle pas Michel, notre quarteron d’amis est mûr pour une partouze. Ayant envie de nous sécher et surtout de continuer nos ébats à l’aise, nous quittons le jacuzzi pour rejoindre une grande cellule à câlins…
Bien secs et au chaud dans la chaleur et la pénombre, toutes nos belles bites sont dorénavant ‘au garde à vous’. Les mecs restant debout, afin de nous faire administrer de bonnes pipes par nos charmantes compagnes de soirée...
Humm ! Comme c’est bon… Mais, question existentielle… Laquelle suce le mieux ?
- La bouche de Marion, à mon humble avis est la plus experte : Lentement mais surement, elle suce en fait un peu comme un mec, c’est-à-dire en serrant juste ce qu’il faut les dents sur mon gland et surtout ma tige, En partant de la base et en remontant le long de la colonne. Elle salive beaucoup et sait également aspirer comme il faut pour pomper le jus. Pour moi, c’est certain, c’est la meilleure suceuse de la soirée, je serai bien tenté de décharger dans sa bouche accueillante et douce, mais il faut savoir garder le jus pour la suite...
- Faouzzia, du fait sans doute de son jeune âge, est la moins expérimentée, mais elle a de l’avenir... Elle pompe sans retenue c’est vrai, mais ou trop lentement et sans pression sur ma tige ou trop rapidement, ce qui fait que je ne sens pas grand-chose après la fellation de Marion. C’est sûr qu’elle y met du cœur à l’ouvrage ma jeune recrue et veut tirer le jus, mais elle manque encore un peu de pratique la petite. Erreur de jeunesse !
- Annie, est très spéciale dans son genre, et use bien entendu de ses artifices et ses bijoux, en l’occurrence son piercing pour titiller mon frein et mon méat. Le contact du clou en acier me fout presque en état de jouir. Salope! Tricheuse ! Je me dis dans ma tête, tu veux tirer mon sperme et que je décharge sur ta langue cloutée. Mais ‘retiens-toi, retiens-toi, mon mimi ! Pas encore !’ Je me dis, il faut te refreiner pour la suite…
Bref, après les nombreux échanges de bouches de Mesdames sur nos queues, il est temps aussi pour nous les mecs, de fourailler ces 3 femelles en chaleur! Et notamment Faouzzia, pour laquelle je n’ai pas perdu l’idée, qu’il fallait que son cul y passe absolument ce soir ;
Pour moi – c’est une question de principe - La petite a besoin d’un (ou de plusieurs) sexe dans son cul – et le plus tôt sera le mieux - Ainsi, plus tard, elle ne sera plus effarouchée… Je leurs avait promis un ‘sexe coaching’, il faut que j’aille au bout de ma mission et que ces 2 petits effarouchés repartent ‘le slip sur la tête’ à l’issu de leur court séjour avec ma pomme.
Mais par qui la faire monter ? Pensai-je :
- Option 1 -Thierry ? Non, dans l’escalier ça s’est mal passé, et puis il a la bite courbée vers le sol, ce qui n’arrange rien ; Il faut mieux qu’il assiste.
- Option 2 - Moi ? Non plus, ce n’est pas la meilleure idée, d’abord je suis son chef, alors il faut mieux que je dirige les opérations… Une idée germe donc dans ma tête…
- Option 3 - Je pense à cet affreux JP, petit, chauve et moche, mais gaulé comme un âne, avec son chibre blanc, gigantesque et son gland rouge, énorme et circoncis… Il devrait faire l’affaire, d’autant plus qu’il a l’air expérimenté.
Transmission de pensée ? Je ne le sais, mais alors que je suis perdu dans mes pensées, nos trois compagnes sont disposées à 4 pattes, en face à face et se tapent un plan ‘gouines’ en s’embrassant et se roulant des pelles goulument. Elles n’attendent qu’une chose, que nous nous disposions derrière elles et que nos bouches les chauffent un peu plus. Je choisi Marion-la-grassouillette, Thierry opte pour Annie-la-cloutée et… Bingo ! Ce que je voulais - JP se place derrière le cul clos et verrouillé de Faouzzia-la-novice.
Tout de suite, nos langues s’activent sur les chattes pour des cunnis bien doux et appuyés. Marion est une véritable fontaine, et je sens sa mouille couler en bouche comme une liqueur savoureuse et baveuse sur mes lèvres trempées de son plaisir. Thierry n’est pas en reste et fouraille la chatte piercée et le cul d’Annie en s’aidant de ses doigts, à la limite du first, ou carrément en frottant sa langue à fond sur les lèvres cloutées. C’est sûr, depuis des jours et des jours qu’il a envie d’enculer ce petit con, il ne devrait pas tarder à ouvrir les hostilités du côté du postérieur de cette coquine plate, il est vrai , mais en chaleur.
A quatre pattes derrière nos femelles, nos chibres sont dressées et prêtes dans leurs raideur impressionnantes à toutes les enfourner, alors qu’elles s’embrassent et se caressent les nibards …
Toujours préoccupé par ma mission de faire sodomiser Faouzzia, du coin de l’œil, je matte l’affreux JP afin de voir s’il chauffe bien ma petite protégée.
Et c’est plutôt un bon début. D’abord, ce que j’espérai, il prend tout son temps et en bon connaisseur à du deviner qu’il s’agissait d’une première sodomie pour la petite. Sa langue, longue et toute aussi rose foncée que son gland, prend le temps d’administrer une douce caresse, d’abord sur le sexe, mais rapidement sur le pourtour de l’anus. Faouzzia ondule du cul et de jouissance à venir, c’est bon signe, et même si la rondelle reste fermée, il y a du mieux par rapport à ce que j’avais vu 2 jours auparavant.
C’est qu’il s’y prend bien ce JP… Et quand il sent de la résistance, il mordille tendrement les fesses de la novice, puis revient vite se concentrer sur le trou clos et serré.
Ce jeu ne dure pas longtemps et comme tous les culs des amateurs (-trisses) de plaisirs, celui-ci se relaxe et s’ouvre sous la longue langue pointée et active de JP… Charmante assistante… Il a senti l’ouverture le bougre, et tout lentement se redresse derrière Faouzzia pour lui loger maintenant, un doigt, puis deux dans le fion épilé mais un peu plus dilaté.
Comme je m’y attendais, c’est Thierry qui saute Annie le premier !
Ce con ! Il est bien comme au bureau, un bon petit employé modèle, toujours là pour rendre service le premier ! Sa gaule, toujours arquée vers le sol, encule le cul cambré et bien orienté vers son gland. L’épouse de JP prend vraiment son pied avec Thierry, d’ailleurs, tout en se faisant mettre, ses doigts s’activent rapidement à la fois sur ses piercing et sur clito gonflé.
C’est le moment pour moi aussi, et ‘une fois n’est pas coutume’, je décide d’enfourner Marion d’un grand coup sec et rapide au lieu de rentrer doucement dans la grotte graisseuse à souhait. J’appuis donc mon gland sur l’entrée et part sans m’arrêter à la découverte du tuyau glissant, avide et propre de Marion. J’adore, détail agréable, qui plus est, elle s’est parfumé le cul et n’est pas complètement épilé. Mon entrée tout en force arrache des petits cris à ma belle : ‘Plus fort, encore, défonces moi mon gros cul, avec ta queue d’étalon’… Ces encouragements ne font que multiplier mon envie, et je passe aux choses sérieuses en la fouraillant à fond de train…
Reste Faouzzia et JP, et cela, tourne maintenant au supplice du plaisir. Le gros gland rouge est juste posté à l’entrée du cul de la petite et millimètres par millimètres, JP rentre à la vitesse d’un escargot baveux. C’est gagné, je le sais car Faouzzia apprécie la torture en ondulant des fesses ; JP prend tout son temps … Patience et longueur de temps font des miracles et alors que cet imbécile de Thierry avait fini par dégouter la petite des plaisirs de l’enculage en s’y prenant comme un vrai bourrin dans l’escalier de service,
JP, avec toute sa mocheté, MAIS, son expérience d’homme mûr et libertin a réussi à convertir Faouzia et lui faire sauter ses dernières barrières, très rapidement..
Le gland imposant est maintenant passé ; Le plus dur, s’y j’ose dire est fait. Et la grosse tige de JP est maintenant enfoncée de 10 bons centimètres dans l’anneau corporel. L’autre moitié du chibre, tout aussi longue et fortement enflé de plaisir, chemine encore et tout aussi lentement dans le cul dilaté. Faouzzia, en a les larmes aux yeux, mais la connaissant bien, je sais qu’il s’agit de plaisir et qu’elle ne force pas sa nature.
Dans la pénombre, je fais signe silencieusement à Thierry de mater un peu ce qui se passe du côté de sa petite collègue. Il sourit, moi aussi, la première mission de ‘sexe coaching’ est réussie… Alors tous, nous attendons un peu. Les soupirs de JP et les cris de plaisir de Faouzzia ne tardent pas à nous alerter que leur jouissance est là. Thierry et moi, n’avons plus qu’à accélérer un peu le rythme et tous les 6, prenons notre pied ensemble en déchargeant des jets longs et tenus dans les culs serrés et humides de nos maitresses d’un soir…
Tout à l’heure sera un autre jour et après une bonne nuit, enlacés avec mes tendres employés, tous les trois dans le lit King size, je conduirai Thierry dans les dunes …
Le lendemain matin, c’est Faouzzia qui se lève la première, à son sourire et ses bisous à Thierry et moi, nous savons qu’elle est heureuse, même si une longue journée l’attend au bureau de Montpellier ; -‘Faut que j’me sauve’ nous dit-elle, en buvant son café ; ‘ je prends la voiture, à ce soir. Après le bureau je repasserai au chantier de Lattes, ne m’attendez pas forcement pour diner’…
Nous voilà seuls avec Thierry, mine de rien, je m’approche de lui sans véritablement pensez à un plan cul… Il est torse nu.
Ce petit branleur au bureau, je l’avais mal jugé, mais vu de près il est plutôt bandant. Je lui pose une main sur le dos, les épaules, les cuisses. –‘T’es bien gaulé’, je lui dis, ‘tu sais que t’aurai pas mal d’émules au masculin du côté des dunes…’
-‘Je sais, il me répond, mais en fait Chef, j’ai jamais franchi le pas, à part quelques plans branlettes au club de sport sous la douche, et lorsque j’étais ado… Mais rien de bien sérieux, en fait pour tout dire, les mecs ne m’attirent pas plus que cela.
-‘Ah oui ? je lui rétorque, Et bien vas falloir remédier à ça, c’est déjà pas mal tes plans branlettes, mais comme Faouzzia, vous les jeunes restés bloqués sur des à priori, dans votre tête, même si vous en avez envie. J’appelle ça de la mauvaise conscience ; Alors ne restes pas sur une fausse note, crois-moi, t’es jeune, profites de la vie et des gens. On fait tellement de belles rencontres et pas seulement pour des plans baise !
Tiens, tu sais ce qu’on va faire après le boulot ? On va aller se balader dans les dunes, ça ne t’engage à rien... Penses à Faouzzia hier, elle aurait juré jamais au grand jamais de se faire enculer !
Tu connais la suite... Comme quoi il faut tout tester dans la vie et ne jamais dire : ‘Fontaine, je ne boirai pas de ton eau…’
… Mes arguments l’on convaincu, comme à son habitude, il ne répond pas, sourit et me lâche simplement :
- La promenade de santé, habillé ou à poil ?
- Gardes au moins tes tongs ! Je lui réponds, il y a des épines dans le sable.
En fin de matinée, après avoir revu quelques dossiers à l’appartement, nous nous accordons donc notre petite ‘pause-balade’ cul ; Mais, en bon chef je tiens à ne pas participer à son initiation ; Et comme dans le TGV, je le brieferai et les choses se feront toutes seules, enfin je l’espère …
Le soleil tape fort, et même si l’on est en pleine semaine, les dunes sont pas mal fréquentées en cette fin de matinée. Des mecs de tout âge ont posé leur serviette avant la baignade, font leur jogging ou baladent leur clébard.
Planqué derrière une dune et à plat ventre sur ma serviette, j’observe maintenant Thierry. Il s’est dessapé et se balade tranquillement. Un amateur ne tarde pas à l’aborder, le mec est plutôt efféminé, très brun avec des cheveux gominés, une peau superbe et épilé. Sans doute un transexuel en cours de métamorphose car il a des petits seins qui pointent ;
Ce jeune mec devrait séduire mon Thierry. Le connaissant et craquant souvent pour le même style de femmes jeunes et féminines, ce petit transexuel au corps fin devrait le faire bander sur le champ. Même s’il a gardé un slip dissimulant difficilement un sexe vraisemblablement fin, long et déjà excité. Thierry ne se fait pas prier et s’est allongé sur le dos avec Moogly dans le sable.
Il se laisse faire et son compagnon aux petits seins pointés s’affaire maintenant sur lui en lui administrant une pipe du tonnerre. Le type est jeune, mais contrairement à mon employé- novice, il se débrouille comme un vrai chef. De loin j’entends Thierry l’encourager.
–‘T’es le meilleurs, mon pote, ta bouche est bonne, bonne ! Mieux que toutes les gonzesses que j’ai pu me taper. Je vais te prendre, tu me fais bander tu veux ? Ma grosse queue n’attend que toi. ..’
Mais à mon grand étonnement, le mec lui fait non de la tête, en fait, je crois qu’il a une autre idée, celle d’enculer mon employé bien excité, Vu sa grosse tige recourbée vers le sol ...
Content, je suis content, car je ne me trompe pas et ce que je souhaitai pour Thierry se déroule à quelques encablures de moi ; Magie de Cap d’Agde !
Du coup, bien caché dans ma dune, à une quarantaine de mètres de la scène de cul, j’ai sorti ma paire de jumelles de mon sac, pour y voir de plus prêt. Et sous mes yeux ébahis, je vois que le mec, tendrement, a retourné Thierry sur le ventre et s’est collé à califourchon sur son cul, non sans avoir défait son slip, libérant un sexe grossi de plaisir ;
Là, c’est sûr, mon Thierry va se faire défoncer et déflorer du derche. Le mec est doux, et tout comme JP la veille avec Faouzzia, est tout en tendresse. Mine de rien, il s’est penché sur Thierry et alterne massages et bisous dans le cou, tout en appuyant son gland fin sur les fesses écartées. De loin, et même avec les jumelles, je ne les distingue pas bien, mais à entendre les cris et les soupirs de mon responsable des RH, je sais que sa jouissance est là.
C’est sûr, Il se fait enculer par le mignon et tendre Moogly...
La suite est classique, le mec le défonce bien, longuement, pendant plus de 10 minutes. Thierry apprécie, enfin je crois. En tous les cas, il a retenu mes conseils.
Opération sexe coaching réussie, mission accomplie je me dis dans ma tête. Quoi de plus important que d’initier les jeunes au plaisir ? Et transmettre son savoir à la jeune génération.
Heureux d’avoir fait une bonne action, je peux maintenant quitter la dune du Cap d’Agde en laissant derrière moi mon employé modèle tout concentré à son plaisir et avec le sentiment d’avoir, durant ces 2 jours, fait 2 heureux de plus !

… /… Prochaines histoires (sans doute et à votre demande, mes récits d’armée et de régiment), mais après mon retour de vacances vers le 10 octobre...
Bonnes vacances (ou bonne rentrée) à tous. Pleins de bisous à tous les lectrices et lecteurs ‘d’HISTOIRES-DE-SEXE’.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cool tes histoires
Celle de faouzzia m a vraiment fait rever
A mardi pour du vrai
Et viens avec faouzzia si tu veux !!!
Michel dit le belge



Texte coquin : L'assistante intérimaire 3 (ou l’éducation de Faouzzia)
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