L’Initiation de Béatrice 03 PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Récit libertin : L’Initiation de Béatrice 03 PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’Initiation de Béatrice 03 PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE
L’Initiation de Béatrice 03

PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE

Alors que je vais sur mes vingt deux ans, je drague Béatrice une gamine dix huit ans,
me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les pelouses
du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa
virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse.

Lorsque trois-quarts d’heure plus tard nous reprenons le chemin de la ville, elle est
collée à moi sur le scooter et ses doigts se sont immiscés dans ma braguette. Elle me
masturbe sans vergogne et j’ai beaucoup de mal à garder l’équilibre. Arrivé devant son
domicile, je l’accompagne jusqu’au couloir de son immeuble car elle habite au deuxième
étage. Le couloir est sombre et elle m’attire à elle. Puis retroussant sa jupe, elle
vient se frotter à moi. Je ne peux m’empêcher de la peloter, m’apercevant qu’elle n’a
pas remis sa culotte. Elle dégrafe ma braguette et sort mon pénis de son étui. Avec la
masturbation du trajet, il est fin prêt pour un nouveau coït et c’est sans préparation
que je l’enfile dans sa moule qui n’attend que cela. Adossée debout contre le mur du
couloir, Béatrice se laisse prendre sans aucune retenue. Elle ne se rend pas compte
qu’à cinq heures du matin, des locataires peuvent entrer ou sortir de l’immeuble.
Heureusement je ne tiens pas très longtemps et je lâche mon sperme dans le ventre de
la jeune fille au bout de quelques minutes. Elle monte l’escalier en murmurant une
chanson, apparemment satisfaite de sa première nuit de luxure.

Je fais exprès de ne pas la voir de la semaine, prétextant des obligations
professionnelles. Par contre je lui propose de l’emmener en week-end le samedi
suivant. Pour rassurer sa famille, je lui suggère de leur annoncer que nous allons
camper dans la forêt de Fontainebleau avec une vingtaine de jeunes gens, garçons et
filles. Le samedi en soirée, je viens donc la chercher avec mon engin équipé de
sacoches et d’un porte-bagages. Sa famille ne fait aucune difficulté et c’est avec
décontraction que nous nous retrouvons sur la route pour rejoindre une auberge des
bords de Seine, un peu avant Corbeil. Nous arrivons sur le coup de dix-neuf heures
trente et, suite à un solide repas, nous prenons possession de la chambre que j’avais
réservée au début de la semaine. C’est une grande chambre campagnarde au joli décor
champêtre. Un grand lit haut face à une monumentale armoire rustique équipée de trois
grandes glaces. Un cabinet de toilette très complet, comprenant un bidet, une
baignoire et un lavabo, ainsi qu’un W.C., complète l’équipement de la chambre. Il est
presque vingt et une heures et en un tour de main nous sommes nus tous les deux et
dans les bras l’un de l’autre. Nous n’allons pas ressortir de cette chambre avant onze
heures quarante-cinq le surlendemain matin. C’est-à-dire, qu’à part deux ou trois
heures de sommeil, nous avons fait l’amour durant presque quarante heures sans
beaucoup d’interruption.

Béatrice est déchaînée et veut tout apprendre. Je lui propose de me faire une
fellation ce qu’elle accepte dans l’instant. Étonnant non ? Il y a un grand nombre de
femmes qui s’y refusent ou qui le font du bout des lèvres. Ma belle enfourne ma verge
avec la plus grande décontraction et il ne faut pas lui donner beaucoup d’indications
pour qu’elle me suce avec une grande dextérité. Je me laisse faire avec délices,
appréciant les lèvres et la langue qui s’occupent si bien de ma tige rigide. J’ai
prévenu Béatrice que lorsqu’elle sentira ma sève envahir ma colonne de chair et
s’apprêter à fuser, elle n’est pas obligée de l’avaler et qu’elle peut la retirer de
sa bouche à ce moment. En fait, lorsque mon conduit urétral est parcouru par le
liquide séminal et que je sens que mon foutre va jaillir, Béatrice, tient avec vigueur
ma pine entre ses doigts et se l’enfonce au fond de sa gorge. Je pousse un rugissement
lorsque je décharge dans la jolie bouche qui avale sans rechigner mon épaisse liqueur,
ma jouissance à ce moment étant à son comble. Ma diablesse est ravie de m’avoir fait
jouir de la sorte, elle se love contre ma poitrine et se frotte contre mon corps,
m’appelant de tous ses sens à faire l’amour. Heureusement que je peux m’occuper
d’elle, avec mes mains et ma bouche en attendant que ma verge soit de nouveau en état
de fonctionner, car elle m’a proprement vidé les couilles la garce.

J’enfouis ma tête entre ses cuisses et j’inspecte la forêt de poils noirs et frisés
qui recouvre le bas-ventre de mon impudique brune et bien au-delà, les poils débordant
sur les aines et sur les fesses, laissant un gros sillon de poils frisés et brillants
dans la raie culière et autour de la pastille violacée de l’anus. Je n’ai jamais vu
une pilosité aussi abondante et je suis attiré par l’odeur qui s’en dégage. Les
odorantes effluves de la vulve de ma tendre compagne sont particulièrement épicées.
Comme je le lui ai demandé, elle ne s’est pas essuyée, lorsque, à notre arrivée, elle
s’est rendu aux toilettes ; sa fente sent un peu sa miction urinaire avec en sus une
odeur de fauve et de femelle en rut. Mon nez hume l’odeur forte qui s’en dégage alors
que ma langue goûte la liqueur qui sourd abondamment de sa grotte. Je lape la mouille
savoureuse, introduisant ma langue au plus profond du vagin, écartant les grosses
lèvres de sa vulve, raclant les parois qui transpirent le suc onctueux et délicieux
que je savoure. Les muqueuses congestionnées de son vagin sont d’un beau rouge sombre
alors que le tourillon roide du clitoris pointe effrontément hors de son capuchon. Je
le prends délicatement entre mes lèvres, faisant faire un bon de carpe à ma belle
dévergondée.

Je la maintiens entourant de mes bras le haut de ses cuisses, tout en glissant un
doigt dans la fente gluante de mouille pour bien l’en enduire ; je l’introduis
aussitôt après dans l’œillet plissé de son trou du cul tout en suçant le bourgeon du
clitoris, arrachant des gémissements ininterrompus à la jeune fille qui jouit par ma
bouche et souffre à la fois de l’introduction de mon doigt qui fore son fondement sans
ménagement. Pourtant elle ne proteste pas lorsque je pousse un second doigt que j’ai
humecté préalablement de sa mouille dans le délicieux petit anneau de vénus, décoré
d’une jolie couronne de poils frisés noir de jais que j’écartèle des deux doigts et où
je glisse ma langue, crachant ma salive dans l’antre obscur que j’espère déflorer
avant longtemps.

Béatrice se laisse étonnamment manipuler sans aucune gêne. J’ai l’impression que je
peux disposer de son corps et de ses endroits les plus intimes sans qu’aucune pudeur
ne l’effleure. Elle est d’une disponibilité incroyable. Elle me laisse goûter son
entrecuisse, ma bouche et mes doigts allant dans sa connasse béante. J’écarte les
bourrelets charnus de ses grosses lèvres pour plonger dans les plis et replis des
muqueuses vaginales dégoulinantes de son jus gluant. Je vais à sa rosette froncée, mes
doigts écartelant ses sphincters anaux pour forer encore dans le goulet étroit,
déflorant ainsi le conduit rectal inviolé et arrachant des gémissements à mon amante
complaisante qui se dévergonde aussi complaisamment.

C’est à ce moment d’ailleurs que son audace me surprend quel que peut, car alors que
je suis au-dessus d’elle, elle se glisse sous moi et prenant mon sexe entre ses
lèvres, elle m’offre d’elle-même son premier 69 sans qu’elle sache ce que cela
représente. Elle gobe ma bite jusqu’au fond de sa gorge, puis de ses doigts et, de ses
lèvres, elle le masse, l’aspire, le lèche me faisant grogner de contentement à la
superbe fellation qu’elle m’offre. Bientôt, sentant que mon pénis est de nouveau bien
raide et ainsi prêt à foutre la femelle libidineuse, je me redresse et retournant ma
partenaire sur le ventre, je la soulève pour qu’elle se mette à genoux sur le lit,
puis écartant les globes charnus de ses fesses rondes, j’introduis mon vit dans la
cavité baveuse de mouille jusqu’au col de l’utérus. Je ramone pendant quelques minutes
les muqueuses enflammées et humides faisant couiner ma maîtresse d’une satisfaction
voluptueuse. C’est alors que je lui glisse à l’oreille.

- Ma Chérie ! Tu veux bien que je te fourre mon sexe dans ton derrière ? Je sens
que tu es prête et j’en aie très envie tu sais.
-
Béatrice s’est immobilisée, alors que ma pine la remplit toute. Elle me répond d’une
petite voix tremblotante.

- Tu vas me faire mal mon Amour ! Mais si tu en as vraiment envie, je veux bien.
Fais doucement Mon Chéri ! J’aie peur !

Je l’embrasse dans le cou, puis me retirant de son vagin, j’appuie mon sexe sur la
rondelle encore fermée. Trempant un doigt dans sa chatte béante, je transporte le plus
de mouille que je peux et l’introduis dans l’œillet qui se contracte autour de mon
doigt. Je susurre à l’oreille de ma soumise.

- Décontracte toi ma Chérie ! Quand je rentrerai mon sexe dans ton derrière,
pousse comme si tu allais à la selle, cela te fera moins mal. Je te promets, je ferai
le plus doucement possible et je m’arrêterai à chaque fois que tu me le demanderas.

Après avoir badigeonné l’intérieur de l’anus rebelle, j’engage mon pieu dans le trop
petit orifice qui peine à s’écarter. Ma partenaire souffle fort sous la pression du
membre qui cherche à l’enculer. Le gland perfore d’un coup le sphincter anal faisant
pousser un glapissement de douleur à ma femelle résignée. Mon gland me fait mal
tellement il est resserré par le muscle non encore distendu. Aussi, voulant faire
cesser cette douleur, je m’enfonce brutalement dans la gaine trop étroite. Cette fois
je me sens plus engagé, mais ma partenaire hurle en me suppliant de me retirer. Je
sais que j’ai fait le plus difficile et il n’est pas question que je me retire de ce
croupion que je suis en train de déflorer. Je masse les épaules et le cou de ma
suppliciée et lui murmure.

- Je t’aime mon Amour ! Tu es très courageuse. Bientôt tu vas voir tu n’auras
plus mal. Je suis certain que tu vas même avoir du plaisir. Mais il faut que ton cul
s’habitue à mon sexe. C’est difficile la première fois, mais au bout de plusieurs fois
c’est toi qui me demanderas de t’enculer tellement tu vas y prendre de plaisir.

Béatrice sanglote, mais elle ne me demande plus de me retirer. Aussi progressivement
je m’enfonce très doucement dans l’adorable pétard, déflorant avec jubilation cette
oie blanche que je suis en train de dépraver et d’amener à la plus grande perversité.
Je regarde avec avidité les cuisses écartelées et le haut des fesses rebondies qui
laisse entrevoir le cratère que je suis en train d’ouvrir sous mon membre qui
s’enfonce dans l’œillet cette fois complètement distendu. Ma verge s’enfonce encore un
peu plus dans les entrailles du rectum nouvellement défloré et je sens mon gland
s’humidifier cette fois naturellement par les muqueuses anales qui réagissent au
frottement continu de ma chair. Ma chérie à la tête appuyée de côté sur ses avant-
bras, son buste à l’oblique et son derrière haut levé alors que je suis à genoux
derrière elle. Elle soupire en séchant ses larmes. Apparemment la douleur intense de
la défloration de sa pastille rectale s’est calmée. J’en profite pour m’enfoncer et me
retirer délicatement de la gaine endolorie, retirant un plaisir incommensurable à ce
coït rectal doublé d’une satisfaction intellectuelle à savoir que je perfore pour la
première le petit trou du cul de ma jouvencelle. Puis je m’active de plus en plus
rapidement et je perfore le plus loin possible le rectum jusqu’aux intestins de ma
proie consentante. Béatrice vocifère cette fois sous les coups de boutoirs que
j’assène dans son fondement. Elle hurle, elle bave et sanglote d'un atroce plaisir
hystérique, son corps se couvre de sueur et se contorsionne frénétiquement comme une
anguille. Je pilonne son cul sans interruption alors qu’une écume jaunâtre ressort de
son croupion à chaque fois que je me retire presque jusqu’au gland hors du cratère
grand ouvert à présent de son œillet dilaté. Une agonie de jouissance qui la convulse
alors qu’un hurlement coupé de rires aigus, sort de ses lèvres ainsi que des
sanglotements et des bramements stridents. Elle jouit de douleur et de palsir cette
fois sans discontinuer.

Je sens ma sève qui court dans le conduit séminal de mon membre, je me retiens le plus
longtemps possible, mais soudain, dans un rugissement, je sens mon foutre qui jaillit
au plus profond des entrailles de Béatrice et je m’écroule sur son dos, n’en pouvant
plus de décharger dans ce cul si longtemps convoité. Elle halète comme une damnée sous
les convulsions qui l’ont saisie lorsqu’elle a prit son pied. Le plaisir inouï qu’elle
a retiré de sa première sodomisation où la douleur ressentie se mélangeait à
l’excitation sexuelle qu’elle ressent l’ont épuisée. Elle m’entoure le cou de ses bras
et m’embrasse furieusement tout en me lançant.
- Oh ! Mon chéri ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !............
à suivre…

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Texte coquin : L’Initiation de Béatrice 03 PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE
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