La folie du pleutre 6

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La folie du pleutre 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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La folie du pleutre 6
En pleine nuit je me réveille en panique. L’angoisse qui me serre la poitrine est tenace, profonde. Je réalise combien je suis fragilisé : Monsieur David possède une photo de ma femme nue, visage découvert et qu’il a diffusée, le salaud, à des copains. L’usage qu’il peut en faire est terrible ! S’il le souhaite, il peut me faire chanter et obtenir tout de moi… et de mon épouse ! Je me rassure en réalisant qu’il ne projette que de la recevoir dans sa boutique mais avec des arrières pensées et des objectifs lubriques certainement. Le SMS arrivé par erreur sur mon portable en fait foi. Ce qui évidemment n’est pas fait pour me déplaire. Je me calme. Et de plus il a pignon sur rue comme on dit. Il se doit à son commerce et à sa réputation. L’excitation reprend le dessus et tout à l’heure, je vais lui « livrer » mon amour de femme. Je n’y peux rien, je bascule entre peur et envie de l’exhiber sans vraiment savoir par moment ce qui prédomine.
Je me tourne vers celle qui partage ma nuit. Elle a l’air d’un ange, endormie profondément. Son visage, encore enfantin inspire la douceur et l’innocence. Elle respire lentement, régulièrement. Je l’aime mais je ne peux m’empêcher de l’imaginer dans les mains de cet individu. Rêve-t-elle ? Est-elle submergée de songes érotiques, voire pornographiques ? Je ne peux le croire, tant elle semble enveloppée d’une sensualité sans fantasmes pervers. A moins que… Sa réponse, hier en parlant de séduire Monsieur David, me revient en mémoire et me trouble à nouveau : « Je ne sais pas, mais si tu m'aides… »Mille questions me viennent à l’esprit :- l’aider à quoi ?
- qu’entend-elle par séduire ?
- me laissera-t-elle l’habiller comme déjà je l’ai imaginé ?
- jusqu’où, moi, je serai capable de supporter cette épreuve qui normalement consiste en l’essayage d’une robe aux bonnes mensurations !

Mon dieu que je l’aime en cet instant. Le tourment qui m’habite balance entre la garder rien que pour moi, et la pousser malgré elle à la débauche. J’aspire pourtant à l’aimer à la folie et avoir avec elle ces deux enfants qui lui ressembleront et que nous élèverons ensemble. Cet amour n’a d’égal que la force du sentiment que je lui porte et la puissance de l’excitation de la livrer à cet individu, initiée à l’origine par ma propre veulerie et alimentée par ma lâcheté. Sans oublier que je balaie d’une simple pichenette tout remord car je ne m’embarrasse guère de ses envies et aspirations.

Je me souviens d’une anecdote survenue juste avant notre mariage. J’avais 19 ans elle en avait 18. C’était l’été et nous étions allés rejoindre mes parents dans le midi. Ils souhaitaient ardemment notre union. Il faisait très chaud ce jour là. Un oncle éloigné de maman était présent également. La soixantaine avancée, le sommet du crâne dépourvu du moindre poil, coupe à « la moine », avec quelques cheveux blancs autour des oreilles. Toujours mal rasé, un gros ventre, des jambes courtes et arquées venaient compléter le tableau peu avenant de ce monsieur, veuf et particulièrement aigri, comme nous l’avait laissé entendre maman. Elle n’a pas manqué de nous mettre en garde contre lui, sans vraiment oser avouer ce qu’il était capable de faire. Nous devions en faire l’amère expérience ce jour là ! Mon amour était déjà mal à l’aise en sa seule présence à ses côtés. Je ne l’étais pas moins !
Nous avions décidé de descendre en ville déguster des glaces chez un glacier réputé. Ma jeune fiancée portait un short blanc en lin, assez sage mais qui mettait en valeur ses jambes plantées sur deux chaussures d’été à cordes et à petits talons. On ne souligne jamais assez, la beauté et la sensualité d’un joli pied chaussé de souliers qui les laissent presque nus ! Pour le haut, elle avait choisi un teeshirt en fin coton rose qui laissait voir qu’elle avait passé un soutien gorge de la même couleur. Cette discrète transparence la rendait très sexy. Je crois bien qu’elle ne s’en rendait pas compte et moi, intéressé de la savoir ainsi attirer le regard des hommes, cela me rendait déjà fou d’excitation. Le fameux tonton n’a pas manqué de nous proposer de nous accompagner en voiture, après avoir pu rapidement jauger apprécier les atours de ma future épouse. Je m’étais installé à ses côtés devant, ma douce seule sur un siège arrière. Cet homme nous faisait peur.
Devant le glacier, bien sûr beaucoup de monde. La chaleur. Dans la file d’attente, le tonton ne se gênait pas de mater ma fiancée, sans aucune considération ni pour moi ni pour elle qui venait de remarquer ses regards appuyés sur son anatomie et surtout sur ses cuisses et son soutien gorge discrètement dessiné sous son fin teeshirt. Mal à l’aise, elle rougissait à chaque fois qu’elle surprenait le regard du vieux qui la déshabillait avec avidité. Ses yeux, son visage rougi et bouffi ne laissaient aucun doute sur la nature lubrique de ses sentiments.
Une fois servis, nous sous sommes attablés pour déguster nos glaces. Le glacier avait installé des tables hautes pour déguster nos glaces en restant debout. Comme il se doit, un grand verre d’eau glacée nous avait été servi avec les glaces. Presque arrivés à notre table, le tonton qui avançait aux côtés de ma belle, a trébuché et le verre d’eau qu’il tenait dans sa main est venu malencontreusement se renverser sur le devant du teeshirt, noyant tout le fin tissu. Le résultat, on le devine facilement tant il est évident ! La transparence immédiate du teeshirt laisse apparaître le soutien gorge blanc qui, imbibé d’eau, se retrouve transparent à son tour. L’effet est instantané, les seins apparaissent à la lumière de soleil et leurs pointes, érigées par le froid de l’eau glacée, donne au tableau un côté très sensuel et très esthétique. Le rose mouillé du teeshirt avait pris l’aspect couleur peau, sublimant la nudité du corps. L’incident a bien sûr attiré les regards alentours, tous braqués sur la poitrine de ma fiancée exposée à la vue de tous. Surprise, la petite pique un phare et tente bien, mais en vain, de masquer ses tétons exposés. L’eau bien sûr ruisselle ensuite sur le ventre et atteint le short qui à son tour devient transparent, suffisamment pour laisser voir le triangle foncé de la fourrure délicate et naturellement brune du pubis au travers de sa fine culotte. Quant elle s’en aperçoit, elle devient toute pâle et tente à nouveau de masquer la visibilité de sa chatte. Certains, autours de nous, laissent échapper un sourire, une réflexion grivoise qui ajoutent au malaise de ma chérie. Subjugué, je reste sans bouger, contemplatif.
Il faudra bien plus d’une demi heure pour que le vêtement sèche et retrouve son aspect normal, rempart de sa nudité. Elle a dû rester ainsi exposée presque nue pendant tout le temps de la dégustation. Et pour rejoindre l’auto du tonton, elle a été contrainte de marcher sans pouvoir se soustraire aux regards étonnés des passants et passantes croisés le long du chemin qui nous a semblé interminable. Je la voyais, morte de honte, prête à laisser éclater les sanglots qui s’amoncellaient dans sa gorge.
Inutile de préciser que le tonton n’a pas cessé de mater la poitrine pratiquement dénudée de ma douce et l’ombre de son pubis. Une fois arrivés à l’auto, le pervers a absolument voulu qu’elle vienne devant à ses côtés et l’aider, sans qu’il en soit nécessaire, à mettre la ceinture de sécurité. Il ne s’est pas gêné de lui toucher les seins et même de les caresser sans aucune retenue, alors qu’il guidait la ceinture pour la fixer. Ma fiancée, figée dans la peur n’a osé aucun geste de défense ou de refus, ce qui n’a pas manqué d’encourager le pervers. Moi, derrière j’ai assisté à ce mini viol sans aucune réaction non plus, incapable de la défendre, tellement j’avais peur de cet oncle.

En même temps, c’est vrai, cela ne faisait que me confirmer que je prenais un plaisir malsain à la savoir, jusqu’à en ressentir une excitation manifeste, le jouet de cet homme vicieux, soumise à ses vils penchants. Je réalisais aussi que cet incident n’avait pas été fortuit et que ce cochon s’était bien arrangé pour verser son verre sur le teeshirt de ma chérie. Il avait même poussé l’outrecuidance et l’irrespect de la féliciter sur la tenue de ses deux « nichons », selon son expression. Ma belle, toujours au bord des larmes, avait essayé de garder une attitude de fierté pour essayer de donner le change à la honte et l’humiliation qu’elle ressentait à cet instant. Elle est restée choquée plusieurs jours après cet incident, évitant de se trouver en présence de ce pervers.
Aujourd’hui encore le souvenir de cette aventure me donne une érection spontanée. Il faut bien dire que ma femme avait déjà cette poitrine exceptionnelle qu’elle a conservée.

Quand je me réveille, je suis seul dans le lit. Je l’entends qui nous prépare le petit déjeuner. La matinée est bien avancée. Je la retrouve radieuse et gaie et nous prenons le repas en amoureux. Mon idée fixe ne me quitte pas, et je sens que la tension monte au long de la matinée.
Je lui propose de descendre à Paris en voiture et avant, de déjeuner au restaurant. Cette proposition la rend folle de joie.

- Comment veux-tu que ne m’habille finit-elle par me demander ?

Je feins à nouveau la surprise.

- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Mais mon amour rappelle toi, c’est toi qui m’as proposé de choisir ma tenue pour aller changer et essayer ma robe. Tu ne veux plus ? Ajoute-t-elle avec une moue légèrement boudeuse.
- Ah mais oui. Je disais même que tu n’oseras pas me faire complètement plaisir.
- Dis toujours. Et puis c’est vrai que tu me veux belle pour cette robe et pour Monsieur David !

Et là, instantanément une érection me prends qui bien sûr ne lui échappe pas. Et la coquine ne manque pas de me le faire remarquer.

- Ecoute, je suis disposée à vraiment te faire plaisir quand je vois l’effet que produit chez toi cette idée. Je t’écoute, mais souviens toi que je suis très timide.
- Et bien, je voudrais que tu portes en dessous ta petite culotte shorty blanche et que tu mettes la robe avec laquelle nous avons fait les photos envoyées à Monsieur David.
- Hum cochon, je vois. D’accord ça me va.

Mon érection prend de l’ampleur rien que de réaliser qu’elle est complice de mon projet. Mais se rend-elle compte réellement de ce que je manigance, ce véritable complot avec mon complice ? Cette idée augmente mon excitation.

- Seulement, ma chérie, cette robe, et tu en as convenu toi même, ne supporte pas le port d’un soutien gorge. Je voudrais que tu n’en portes pas.
- Mon dieu ! Ce que tu me demandes là ! Tu sais combien j’ai honte quand on me voit les seins. Et en plus aller au restaurant seins nus ! Je ne pourrais pas !
- Tu vois ! J’avais raison !

Je la sens piquée au vif. Elle reste silencieuse, vexée et en même temps paniquée. Il me faut vite trouver une perfide astuce pour l’amener à se soumettre.

- Faisons un essai au moins. Passe ta robe avec le soutien gorge et nous verrons l’effet produit.
- Non ! Je sais que tu ne vas pas aimer. J’ai peur.
- Et bien tant pis, habille-toi comme tu veux, ce n’est pas grave.

Là, je vois que je marque le point décisif.

- Bon d’accord. Mais je l’emporte avec moi dans mon sac.
- Je t’aime. Mais, tu es sûre ?
- Oui, oui ! Bon, je vais me préparer. Moi aussi je voudrais que tu mettes la chemise et le pantalon que je t’ai offerts.
- D’accord.

Je réalise soudain le piège qui m’attend. Ce pantalon est bien léger et sûrement qu’il ne cachera rien des effets de mon excitation. Me voilà contraint à mon tour à une exhibition que je redoute. Mais tant pis, il faut jouer le jeu.
Une heure après elle me rejoint pour partir. Elle est superbe. Elle a laissé libres ses cheveux sur ses épaules comme elle sait combien j’aime sa chevelure. Par dessus sa robe elle a passé une petite veste de lin, ouverte sans boutons qui met en valeur cette robe si sensuelle. Je constate que ses seins sont libres. Je lui fais un sourire complice pour lui signifier combien je suis heureux qu’elle soit comme je le souhaite.

Il est 12H quand nous prenons la voiture pour Paris. J’ai réservé une table dans un bon restaurant… une brasserie près de la Gare du Nord ! Elle est bondée le midi… J’ai le cœur qui déjà bat à 100 à l’heure, et je crois bien qu’il en est de même pour elle.
A nous deux Monsieur David ! Dans quelques heures vous allez pouvoir constater in vivo que ma femme est très belle, désirable… et soumise.

(à suivre)

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