LA PARTIE DE POKER - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Plusieurs semaines après mon expérience de soubrette, Robert avait invité Richard un samedi soir pour une partie de poker. Cartes, Argent, Alcool, Cigare, la soirée s'annonçait longue. Ayant horreur des jeux de cartes, nous avions décidé avec Marielle d'aller au restaurant suivi d'un cinéma, et ensuite de retrouver nos maris en espérant qu'ils ne soient pas sur la paille, et que la soirée ne s'éternise pas trop longtemps. Nous étions toutes les deux très élégantes et pour ma part, j'avais mis un T-shirt multicolore "Shein" moulant imprimé léopard avec col V manches longues dont le tissu en polyester était entièrement élastique. Ma jupe était moulante style bohème à motifs cercles multicolores. Elle était mi-longue et aussi entièrement élastique. Habillées très, sexy, mettant en avant nos formes plantureuses, le jeune serveur du restaurant n'avait pu s'empêcher de nous draguer, nous offrant également un digestif.
Et comme je le soupçonnais, ma vicieuse de copine, profitait de la salle obscure pour passer sa main sous ma jupe moulante et de remonter jusqu'à mon sexe humide. Elle se pencha vers moi pour me souffler à l'oreille :
- C'est pour moi que tu as mis un petit string, ma petite soubrette...
- Non... Tu es vraiment qu'une sale vicieuse, c'est juste pour cela ne marque pas sous ma jupe élastique...
- Attention, soubrette, je m'appelle comment - demanda t'elle, en m'enfonçant deux doigts entre mes cuisses...
- Ohhhh, ouiiiiii Madame Marielle, dis-je en murmurant...
Elle continua de me doigter pendant une grande partie... Me laissant dans un état d'excitation totale à la fin...
Après le film, nous regagnions sa Mini dans le parking qu'elle avait pris garde de garer dans un endroit tranquille et isolé, et une fois à l'intérieur elle me sauta dessus en m'embrassant à pleine langue. Elle me roula une pelle tout en me caressant mes gros seins au travers de mon T-shirt léopard... Elle releva sa jupe en même temps, et poussa mon visage vers sa chatte. "Fais-moi du bien ma boniche et applique toi ...". Je m'appliquais à la sucer et la doigter en même temps afin de lui rendre la jouissance qu'elle m'avait donné pendant le film. Je m'occupais de sa chatte pendant de longues minutes avec mes doigts lui entrant jusqu'à 3 doigts et la limant comme le sexe d'un homme. Je l'entendais gémir et pouvais la voir se caresser sa poitrine massive tout en me tenant par les cheveux. Elle eu un dernier soubresaut, je l'avais fait jouir... Elle me releva me roula une pelle, que je lui rendais de tout mon corps... Étais-je en train de tomber amoureuse de ma maîtresse ? Elle mit le contact pour rentrer chez elle. Le trajet fut silencieux...

Une fois arrivée sur place, elle gara sa voiture dans la cour, il y avait plusieurs autres véhicules dont la jaguar de Richard... Nous entrions dans la maison, ils étaient 6 joueurs... Robert, Richard, le garagiste, Thierry et Jean-Marie, et pour finir ... Le Directeur du Cercle Hippique... Ils étaient tous là, ces hommes vicieux et pervers qui m'avaient à tour de rôle possédé pendant les derniers mois... Pour lesquels j'avais été leur jouet sexuel, leur esclave, leur poupée de chair... Tous autours de mon mari qui ne se doutait de rien... Le plus pervers de tous était le Directeur du Cercle Hippique, Christophe, qui était aussi le plus jeune, avec une petite quarantaine... et qui m'avait démontré qu'il était le plus vicieux... Les regards de tous ces hommes s'abattirent sur moi, et dans ma tenue super moulante, je pouvais deviner les pensées de chacun...
Nous les laissions jouer, chacun avec des fortunes diverses, mais il ressortait que Richard, Robert et Christophe étaient plutôt en veine. Au bout d'une demi-heure, le garagiste un peu ivre et totalement sur la paille quitta la table... Très agacé, il s'installa dans le canapé et continua à boire plus que de raison. Il nous faisait la conversation, que l'alcool rendait l'échange plutôt pénible. Marielle, lui fit comprendre qu'il était temps qu'il rentre chez lui. Il s'exécuta et partit sans rien dire... Ce fut le tour de Jean-Marie et ensuite de Thierry qui ayant tout perdu quittèrent aussi la maison. La présence de mon mari, leur laissant aucun espoir de pouvoir me posséder ce soir. La partie continuait, et Robert commençait à se trouver en position délicate. Richard s'était couché et laissait les 2 hommes finir le tour... Christophe venait de relance de 200 et Robert n'avait pas suffisamment.
- Le tapis est à 5000 Robert, je doute que tu puisses suivre même en "Cave Libre"- je sais ce que je peux te donner... Je suppose que tu es ouvert sur la devise ?
- Qu'est-ce que tu proposes ?
Robert se leva se dirigea vers nous, pris Marielle par la main, lui releva sa jupe en lui enleva son tanga. Il se rassit à la table et jeta la culotte sur le pot....
- Voilà, Euro ou Culotte, je suppose que cela ne te pose aucun problème... Pour voir...
- OK, voilà un jeu qui devient intéressant, et la culotte elle vaut quoi ?
- Tu fais d'elle ce que tu veux, pendant 1 heure...
- Ce que je veux... hummm, je suppose qu'elle est d'accord ?
- Tu l'as entendue protester ? .... Bon, alors tu te décides ?
- OK, j'accepte...
Christophe abattit ses cartes... Robert était blême... Brelan d'as, contre un brelan de rois... Il quitta la table en maugréant et alla se servir un autre verre de Whisky... Il ne restait plus que Christophe et Richard...
- On continue Richard, j'espère que tu seras plus en veine que ton pote ...
- Ne t'inquiète pas pour moi, et pour femme elle porte que des strings...
- Hummmm, je vois que tu fais monter les enchères...
Ils reprirent la partie avec plusieurs tours d'observation, on sentait la pression grandir, une tension sourde régnait dans la maison, plus un haut. Robert, Marielle et moi suivions la partie avec attention du salon... Les deux hommes buvaient beaucoup... Je prêtais particulièrement attention à Christophe et remarquais qu'il faisait attention afin de rester concentré... Au troisième tour, les enchères commencèrent à monter très fort, trop fort trop haut... Les deux hommes s'affrontaient, et c'était au-delà d'une simple partie de poker. L'homme d'affaires à qui tout réussi contre le sportif self made man, qui semble vouloir prendre sa revanche sur sa positon sociale... S'était à Christophe de miser... Il prit la culotte de Marielle et la jeta sur le pot...
- Le tanga de Marielle, contre le String de ta femme, avec les mêmes conditions et consommation sur place ...
Richard ne dit rien, il regardait son jeu, et fixait Christophe dans les yeux, qui lui souriait comme pour le provoquer ou le narguer... Je connaissais trop Richard, il était joueur, et ne supportait pas qu'on le provoque... Il se leva et se dirigea vers moi...
- Richard, c'est juste hors de question....
- Tais-toi ma belle, et fais moi confiance, je ne peux pas perdre...
Il me prit par la main et sur le même cérémonial que Marielle, relava ma jupe Shein révélant mes jambes gainées de bas, et m'enleva mon string. Il retourna à la table et jeta mon string au-dessus du Tanga de Marielle... Ma respiration s'était arrêtée, j'allais encore être à la merci de se pervers vicieux, et cela, avec le consentement de mon mari ??? Les cartes se dévoilèrent...

Richard, rejoignit, Robert sur le canapé, soulignant juste de manière laconique...
- Elle est à toi pour une heure...
Avec un grand sourire, Christophe avec nos culottes en main se dirigea vers nous, toutes deux assises dans le canapé faisant face à nos maris...
- Marielle, ma belle, si tu n'y vois pas d'inconvénient, je vais m'occuper ce soir de ta copine, tu passeras au club demain récupérer ta culotte. En attendant va t'asseoir en face et laisse moi avec cette bombasse...
Il s'assit à coté de moi, sous les yeux de nos hôtes et de mon mari... Sans tendresse, il me prit par les cheveux et me roula une pelle, tout en me pelotant mes gros seins au travers de mon T-Shirt Léopard. Son baisé m'envahit la bouche... Sa langue était partout... Il me malaxait les seins au travers de le tissu élastique, écartant mon pull au maximum afin de libérer mes gros seins...
- Elle a de belles mamelles ta jument, dit-il à Richard... Ca doit être une bonne laitière ta femme... Prends-moi ma bitte entre tes miches salope...
Je me mis à genoux devant lui, et plaçait sa bitte entre mes seins et lui appliquait une magnifique cravate de notaire.... Son sexe coulissait entre mes seins, gros dur, dressé, fier... Il continuait à parler à Richard... Me traitant de tous les noms, me comparant aux juments de son club, que je mériterais bien un bon dressage de pouliche.
- Tu vas me l'amener au club ta jument, je vais la dresser ta pute... Elle doit aimer la trique... Je suis sûr qu'elle aura un succès fou avec mes palefreniers, et si elle n'est pas sage, je la donne à mes chiens, ils adorent se masturber sur les jambes gainées de nylon de bourgeoise comme ta pouffe....
Il était juste en train de raconter ma dernière visite à mon mari, qui ne se doutait de rien et regardait sa femme en train de se faire partager en public. Il me releva et me demanda de le sucer... Je me remis sur le canapé, et à ma grande surprise, je regardais sur le canapé en face de Marielle, qui avait prit mon homme dans sa bouche alors qu'elle se faisait démonter par Robert. Christophe riait pendant que je le suçais... Se moquant de mon innocence et de ma surprise... Je luis appliquais une bonne pipe, pendant qu'il avait relevé ma jupe et me caressait les fesses... Goulue, gourmande, léchant de haut en bas, aspirant, mordillant son énorme dard, le préparant à me prendre...
- Quelle bonne suceuse... Elle a une bouche superbe ta salope... Oui continue beauté, butine moi, bouffe moi les couilles aussi, t'es une gourmande... Ohhhh, je vais te baiser la bouche...

Il me tenait par les cheveux et faisait coulisser son sexe dans ma bouche, cherchant à l'enfoncer au plus profond de ma gorge... J'étouffais, je baver... Il ne tarda pas à me relever et à me mettre à quatre pattes, et se plaça derrière moi pour me prendre en levrette sur le canapé. Il me plaça mon string dans la bouche, et me fourra une oie, comme la dernière fois, violemment, brutalement s'accrochant à ma jupe, et me claquant le cul pour me le faire rougir... Je voyais Richard toujours avec son sexe dans la bouche de Marielle. Apparemment, ce n'était pas la première fois, qu'il me trompait avec ma maîtresse... Il me saccageait les fesses, ressortant de temps en temps son sexe afin de le faire coulisser coincé entre mes grosses fesses... Ses mains étaient partout,, claquant mon cul, palpant mes mamelles pendouillantes, me tirant les cheveux...
- Allez, la jument, c'est bien, un bon petit dressage pour une bourgeoise pas farouche... Hummm, mais quelle bonne grosse salope ta bonne femme... Elle bouge bien sous l'homme...

Il me bascula sur le flanc. Tous deux couchés en position cuillère, il pouvait dans cette position caresser mes gros seins. Caresser n'étant pas vraiment approprié pour décrire la façon dont il me tripoter les seins.
- Regarde comme je suis en train de la traire ta pouliche, qu'elle bonne laitière...

Christophe accéléra les coups de reins... Alors que Richard, qui n'avait pas joui, releva Marielle qui se faisait sodomiser par Robert... Il la prit par la main et l'entraîna vers moi... Elle obéissait se rapprochant de moi allonger sur le canapé toujours avec Robert dans son anus en train de l'enculer.
- Gouine, ma femme, pendant qu'elle se faisait baiser par ce connard, je sais que tu en meurs d'envie.
Elle m'embrassa, plongea sa langue, dans ma bouche. Je lui rendais son baiser, j'étais en train de jouir comme une folle. Richard me caressait mes seins alors que Christophe comme un frénétique me labourer les reins et que Marielle me roulait une pelle ... Un dernier coup de reins et je sentis enfin le sperme de Christophe se répandre sur moi. Il finissait par jouir sur mon cul, et pouvait observer Robert faire de même sur sa femme.

Je me rhabillais rapidement, et sans un mot, Richard me prit par la main pour regagner la voiture... Une fois dehors, prés de la jaguar, et sans m'adresser la moindre parole, il me poussa sur le capot me releva ma jupe, arracha mon string souillé et me sodomisa. Je voyais, Christophe, Marielle, et Robert sur le balcon en train de nous observer. Moi soumise en train de me faire enculer dehors par mon mari, excité de la scène précédente.
- Tu as aimé qu'il te prenne cet animal, hein salope, t'es une vraie pute avoue le, tu aimes te faire sauter comme une chienne...
- Oui Richard, prends moi, défonce moi, lave moi de cette bête et me prenant à fond...
- Avoue que tu es une grosse pute...
- Oui, je suis ta grosse pute, répondis je en gémissant...
Il m'insultait, me fessait, m'enculait... Il était comme fou, et je jouissais comme une folle aussi, répondant à ses insultes... Enfin recouverte de sperme, je pus regagner la voiture et rentrer à la maison sans un mot avec mon mari...