La pulpeuse Nathalie : Très jeune elle aimait déjà le sexe (partie 1/9)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La pulpeuse Nathalie : Très jeune elle aimait déjà le sexe (partie 1/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pulpeuse Nathalie : Très jeune elle aimait déjà le sexe (partie 1/9)
Nathalie, cette secrétaire comptable de 35 ans était une femme que l’on peut décrire comme moderne. Avec son BTS secrétariat, compta/gestion, elle fut embauchée depuis une dizaine d’année chez « EMDEC & associés » un cabinet d’expertise comptable. Elle était mariée depuis 7 ans à Vincent son patron, un homme de 40 ans associé à Richard du même âge et de Florence l’amie de ce dernier.

Nathalie était pulpeuse, elle n’était pas une femme ronde comme l’on entend souvent, se terme utilisé et galvaudé pour désigner des filles dites pulpeuses. Non ! Nathalie était mince avec des formes généreuses bien reparties et formant un corps bien équilibré et tout en féminité. Tout le contraire d’une silhouette très musclée et avec peu de hanches, ou par opposition d’une silhouette ronde et sans forme. Sa poitrine se voulait généreuse avec ses bonnets de 90C, sa taille était plutôt fine contrastant avec ses fesses bien rebondies. Ses longues jambes étaient surmontées par des cuisses épaisses mais bien galbées ne tassant pas sa silhouette. Au final loin d’avoir des mensurations parfaites, son corps était plutôt féminin, bien proportionné, et très sexy.

Son visage rond et sa coupe de cheveux au carré, auburn asymétrique arrivant à peine à ses épaules, avec une large frange tombant sur le côté droit du front lui donnait l’allure d’une femme jeune et dynamique. Sa bouche était l’un des éléments les plus appréciés des filles pulpeuses. Elle était charnue, gourmande et souriante, un peu comme celle d’Angelina jolie. Ses yeux étaient profond d’un bleu nuit, surmonté de sourcils épais mais bien épilés, le tout sur un petit nez légèrement en trompette. Elle était tout simplement, ravissante.

Comme son mari d’ailleurs qui était un homme, large d’épaule mesurant 1,83 m. Avec l’âge, ne pratiquant plus de sport régulièrement, il avait pris quelques kilos. Il avait un peu de ventre et avait des petites bouées sur les hanches mais rien de bien catastrophique. Surtout que son visage était resté assez jeune et plutôt joli. Avec une tête carrée, une fossette au menton, des lèvres fines bien dessinées et un nez grec, il donnait cette impression de virilité qui plaisait beaucoup aux femmes. Ce couple s’aimait, ils étaient toujours ensemble et s’entendaient à la perfection tant sur le plan professionnel que sentimental. Sexuellement parlant, Vincent et Nathalie vivaient leur amour tout à fait normalement. Avec lui, elle était devenue une femme aimante et comblée.

Dès l’âge de quatorze ans, le 20 juillet 1997, Nathalie perdit son père dans un accident du travail, il venait de fêter ses 40 ans. Sa mère Viviane, avait déjà à cette époque envie de divorcer car elle avait un amant, un employé de la même entreprise. Très occupée par son travail et souvent de sortie, Viviane qui n’avait que 37 ans après l’accident, délaissait sa fille en pré adolescence. Nathalie étant très proche de son père, plongea brutalement au fond du gouffre, elle ressentait comme une énorme solitude. La rupture fut trop violente, elle ne comprenait pas, : « Pourquoi m’a-t-il abandonnée ?» Elle était même arrivée à en vouloir à son père qui lui faisait subir cette injustice. Elle vécut ainsi pendant deux années, se sentant seule et délaissée par sa mère.

En septembre 1999, Viviane qui connaissait son nouvel amant depuis un an, présenta à sa fille : Manuel, son futur conjoint. Elle avait pris la décision, elles iraient toutes les deux habiter chez lui, dans sa maison. Manu, 42 ans, était d’origine portugaise, il était divorcé et avait la garde de sa fille. Il avait la corpulence d’un homme sportif avec un léger embonpoint. Son visage exprimait la joie, son sourire et ses yeux marron, surmontés de sourcils épais, rajoutaient une certaine jovialité dans ses expressions. Sa fine moustache noire ne cachait pas sa bouche et ses lèvres fines. Son nez était court et bien droit, indéniablement, c’était un bel homme. Quand Nathalie regardait Manu, avec ses attitudes et son physique, elle croyait voir son père. Sa fille Audrey ressemblait lui ressemblait, elle avait quatorze ans également. Nathalie fut installée dans une chambre individuelle, aménagée dans le sous-sol, d’une maison sans grand standing, une construction bien conçue des années 1970, comportant un RDC sur un grand sol.

Niveau scolaire, Nathalie à seize ans retrouva tous ses amis et professeurs. Elle fut réintégrée au lycée où elle était déjà scolarisée avant de déménager. Audrey qui ne suivait pas la même filière, n’était pas dans le même lycée. Les deux jeunes filles devinrent très vite amies. Elles se confiaient et s’amusaient comme des adolescentes. Si les journées, à l’école ou pendant les loisirs, loin de l’environnement familial, étaient plaisantes. Un an plus tard, les soirées à la maison l’étaient un peu moins. En effet, Manu, la soupçonnant de le tromper, criait après Viviane qui rentrait tard, elle s’absentait beaucoup comme elle l’avait toujours fait lorsqu’elle était mariée. Elle se défendait en étant provocatrice et insultante. Il ne semblait pourtant pas méchant mais ses rapports avec sa conjointe n’étaient pas des plus parfaits.

Contrairement à Audrey, Nathalie n’était pas pudique. Ayant gardé ses anciennes habitudes, elle montait se laver à l’étage, en petite culotte et soutien-gorge et en redescendait nue, sous la serviette de bain. Manu savait, pour l’avoir déjà observée, qu’elle ne fermait jamais la porte vitrée de la douche. Il s’arrangeait pour entrer dans la salle de bains, lorsqu’elle s’y trouvait. Afin de ne pas être suspecté de ces agissements, il s’excusait en quittant la pièce d’eau, et disait en riant « j’ai vu ta poitrine et tes fesses. » Il profitait de toutes les occasions, pour l’observer et admirer ses rondeurs, elle était déjà formée et pulpeuse.

Elle ne voyait aucun mal dans son comportement, elle l’aimait bien et aimait surtout se sentir désirée, il était gentil avec elle. Souvent les soirs, il venait dans son atelier au sous-sol admirer son bateau qu’il réparait. Avant de remonter se coucher, il ne manquait jamais de lui dire un petit coucou dans sa chambre, elle attendait ce moment avant de se coucher.

En général, à cette heure-là, elle était à son bureau, faisant ses devoirs ou devant son écran. Il lui déposait un baiser affectueux sur le dessus du crâne, tout en lui lissant les cheveux et lui souhaitait bonne nuit. Lui aussi avait besoin d’affection, elle était habituée et l’embrassait sur la joue, en le prenant par le cou et restait ainsi quelques minutes. Depuis qu’elle s’était rendu compte qu’il regardait ses seins par l’échancrure de son teeshirt de nuit, elle en portait avec un plus grand décolleté. Un soir, il lui avait même dit : « Tu as de beaux seins, je les ai vus ». Elle était tellement fière, qu’elle le remercia et l’embrassa une nouvelle fois sur la joue.

Le lendemain, Manu s’était une nouvelle fois disputé avec Viviane. Nathalie concentrée sur son travail, ne l’entendit pas entrer. Il pénétra dans sa chambre discrètement, passa ses bras musclés autour de son torse en lui bloquant ainsi les siens. Avec non nez, il lui écarta sa chevelure et déposa un baiser délicat sur la base de sa nuque. Surprise elle sursauta, immobilisée elle ne pouvait que tourner la tête, elle vit dans ses yeux un regard livide. Celui d’un homme fautif. Elle posa ses mains sur les siennes sans essayer de les enlever en disant simplement :— Tu m’as surprise.
— Excuse-moi Nathalie, si je t’ai fait peur. Je n’ai pas voulu te faire de mal.
— Je le sais bien Manu mais il ne faut pas…Lui répondit-elle en lui enlevant délicatement les mains de sa poitrine.

Nathalie avait ressenti dans son ventre un certain plaisir d’être admirée, caressée et embrassée. Il lui avait même semblé, vu l’érection de son téton, qu’elle avait ressenti un certain désir lorsque sa main s’était éternisée sur son sein gauche. En réalité, elle attendait le soir pour recevoir un peu d’affection que seul Manu lui portait dans cette famille. Même si Viviane s’occupait d’elle, elle ne la considérait pas comme sa fille.

Ce soir-là, elle eut des difficultés à s’endormir. Elle repassait la scène et trouva cette situation étrange, tout en se caressant en pensant à cet homme de l’âge de son père. Il ne devrait pas agir ainsi avec une adolescente mais Manu lui apportait un peu d’amour. Elle s’était masturbée comme depuis un bon moment en se mettant au lit, en pensant à cet homme qu’elle aimait en secret, elle en était devenue jalouse de sa mère.

Les choses s’accéléraient, quelques mois plus tard, elle avait seize ans Manu était légèrement ivre ce jour-là, il était entré dans la salle de bain après que Nathalie ait pris sa douche et l’avait prise par la taille et lui déposa un baiser sur ses lèvres avant de lui dire qu’elle était belle. Elle n’avait pas réagi tout de suite, par peur d’être surprise, s’apercevant que sa mère n’était pas dans les parages, elle tendit sa bouche et lui rendit un baiser furtif. Manu l’avait embrassé cette fois sur la joue et était sorti de la salle de bain en la regardant dans les yeux et en mettant son index devant ses lèvres l’implorant de ne rien dire.

Nathalie comprit les attirances de Manu pour elle et ne savait plus comment agir car elle avait une nouvelle fois ressenti, elle aussi un grand désir d’être nue devant cet homme qui pouvait être son père. Mais la raison fut plus forte, depuis ce jour, à l’avenir, elle porterait un jogging et ne se dévêtirait, juste avant de se coucher. Manu avait continué de venir la saluer avant qu’il se couche mais s’aperçut qu’elle devenait très méfiante. Il fit très attention à ne pas la blesser. Il aimait cette gamine et elle s’en apercevait tous les jours un peu plus. Mais les petites intentions et les bisous qu’il lui faisait lui manquait, elle était en manque d’affection.

Nathalie avait un petit copain à l’époque, elle aimait se faire peloter, sentir ses doigts à l’intérieur de sa culotte et caressait également le sexe de son ami mais sans jamais franchir le pas. Elle n’aimait pas assez ce garçon si gentil fut-il, elle ne se sentait pas encore prête.

Pendant plusieurs mois, rien ne vint perturber sa vie dans sa famille recomposée. Manu devenait plus attentionné avec elle qu’auparavant, sans aucun geste déplacé, jusqu’en novembre, alors qu’elle venait d’avoir dix-huit ans, elle était devenue une très belle jeune fille, son corps s’était encore transformé. Elle avait pris ses formes définitives. Sa poitrine était devenue magnifique et ses fesses étaient cambrées à souhait.

Le jeudi après-midi, sachant que Manu était en RTT, elle avait séché les cours. Viviane étant au travail et Audrey encore en cours, elle rentra du lycée et alla directement dans sa chambre en levant le bras, saluant Manu. Elle savait qu’il viendrait l’espionner, elle avait laissé la porte de sa chambre entrouverte et se changea sans pudeur dans sa chambre. Manu n’avait pu s’empêcher d’aller embrasser sa belle-fille. Il resta immobile et l’admirait par l’entrebâillement de la porte, afin de ne pas se laisser surprendre. Il l’espionna pendant plusieurs minutes, le temps qu’elle se dévêtisse.

N’ayant que peu de rapports sexuels avec Viviane, à son goût. Il assouvissait ses pulsions devant des films X. Ce jour-là c’était du direct. Il commença à mettre sa main sur son sexe au-dessus du pantalon, tout en la regardant, elle était devant la glace de son armoire, elle s’admirait et se caressait. Nathalie avait deviné sa présence, elle avait retiré son soutient gorge dévoilant ainsi sa poitrine ferme et généreuse, elle voulait perdre sa virginité aujourd’hui et avait choisi de l’offrir à Manu. Elle était pratiquement nue, son string blanc, ne cachait pas grand-chose de ses fesses rebondies en évidence.

Elle était magnifiquement sexy. Il fut vite en pleine érection. Il ne savait pas ce qu’il lui avait pris à cet instant mais tellement excité par la déesse qui se trémoussait devant lui, il pénétra dans la pièce sans frapper. Nathalie fit la fille surprise, se retourna et elle se protégea le sexe de sa main gauche et sa poitrine avec son bras droit, la main sous son aisselle gauche.
— Non ! Que fais-tu là Manu ? Je préfère que tu sortes.
— Ne crie pas Nathalie, je ne te veux aucun mal, tu le sais bien. Je veux seulement te regarder.

Il s’avança, la main toujours sur son pantalon, elle était toute tremblante. Cette fois, elle ne pouvait plus reculer, elle avait ce qu’elle désirait depuis longtemps. Dès qu’elle fut à porter de main, il la repoussa délicatement dans le coin de la chambre. Elle était coincée ne pouvant s’échapper. D’un geste calme, délicat mais ferme il lui enleva son bras qui protégeait sa poitrine tout en le maintenant afin qu’elle ne puisse le remettre. Elle ne savait pas quoi faire, elle ne voulait pas montrer son impatience mais ne pouvait refuser, elle se laissa faire. Il lui caressa les seins et exerça une pression sur les tétons.
— Que tu es belle, tu es devenue une vraie femme, laisse-moi te regarder, laisse-moi te toucher, je t’aime tant.
— Moi aussi Manu mais ce n’est pas bien.

Elle gémissait en lui disant ces mots, tout en sentant le désir monter en elle. Puis il l’enlaça en plaquant son sexe contre son ventre et ses deux mains posées sur ses fesses. C’en était trop, elle était toute excitée, ne disant rien lorsqu’il la plaqua contre le mur et lui embrassa le sein.
— Tu as déjà fait l’amour Nathalie ? Je vais te montrer.
— Et si ma mère revient ?

Cette phrase fut prononcée faiblement avec une voix tremblotante, elle avait les larmes aux yeux mais son désir était plus fort encore, elle ne savait plus comment faire. Tout en la gardant au plus près de lui, Manu l’attrapa par la taille et l’embrassa sur la bouche, elle lui rendait son baiser, il n’eut pas à forcer le passage de sa langue. Elle sentait la bosse qu’elle avait sur le ventre, elle n’en pouvait plus, elle glissa sa main dans son boxer et commença à le caresser, elle avait l’habitude avec son petit copain mais cette verge semblait plus grosse et plus tendue. Elle prit plaisir à ressentir son désir sur son ventre. Elle était heureuse d’être dans cette situation qui l’excitait fortement. Surpris de sa réaction, il baissa son short laissant sortir sa verge dure et bien droite :— Oui Nath, caresse-moi et je ne te ferai rien d’autre.
— Si Manu dépucelle-moi, c’est toi qui dois le faire.

Sans attendre la réponse, elle prit son pénis dans la main et le branla doucement, il se pencha sur elle pour l’embrasser, elle lui tendit les lèvres tout en continuant sa masturbation. Manu pris sa verge et la plaça entre ses cuisses en disant :— Laisse ! Je vais te pénétrer, tu es toute trempée.

Il glissa sa verge entre son string et présenta son gland sur sa vulve mouillée, il allait la pénétrer, le pénis appuyait sur le clitoris de Nathalie qui mouillait fortement. Elle comprit qu’il allait aller trop loin en la dépucelant ainsi sans capote, elle se mit à dire : « STOP ! » Surpris de sa réaction, il comprit, il glissa sa verge entre ses deux jambes refermées et s’y masturba en faisant des aller et retour contre sa peau puis éjacula sur ses cuisses.

À cet instant précis, Viviane revenait à la maison en criant :— Y a quelqu’un ?
Manu pris au piège, lui dit avant de sortir : — Ne dis rien s’il te plait…— T’inquiète, mais tu reviens ce soir.
Nathalie le prit par le cou lui déposa un baiser sur la bouche.



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