La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 341)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 341) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 341)
Suite de l'épisode N°335 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -

Marie la cuisinière du Château de Monsieur le Marquis d’Evans, vient d’attacher la chienne-esclave Thaïs MDE dans une soi-disant poissonnière-saumonnière géante, qui n’est en réalité qu’une ancienne baignoire en métal sur pieds qui a été détournée de sa fonction première et installée sur des réchauds à gaz posés à même le sol. La soumise est dans l’incapacité de bouger, ayant les jambes et les bras à l’extérieur de la baignoire et ceux-ci sont attachés sur les pieds de cet équipement ménager un peu particulier qui était au départ rempli d’une eau transparente assez chaude. Maintenant, la soumise trempe dans une eau moins limpide qui contient à la fois, l’urine de Marie s’étant soulagée avec un grand plaisir pervers sur le visage de la soumise à sa merci. Mais aussi tous ses sucs de femelle qui ont coulé de sa chatte humide lorsqu’elle s’est fait lécher longuement par l’esclave qui avait la tête enfouie entre ses lèvres béantes. Lèvres largement écrasées sur Thaïs MDE qui s’activait de sa langue de petite chienne bien dressée et qui s’appliquait de son mieux pour procurer un orgasme à celle qui la surplombait et pesait de tout son poids sur le visage confiné de la chienne, l’empêchant ainsi presque de respirer.

Marie ayant repris ses esprits après avoir savouré le plaisir de sa jouissance vient de décider de nourrir quelque peu celle qui est entre ses mains et à sa disposition totale pendant quelques heures, ayant décidé d’en profiter pour lui mijoter quelques spécialités qui si elles ne sont pas très académiquement culinaires seront visiblement d’une perversion excitante. La cuisinière commence par tendre une tomate à Thaïs MDE qui n’ayant rien mangé depuis la veille s’empresse de croquer à pleine dents dans le légume bien mûr, dont les sucs et pépins dégoulinent aussi sec sur ses babines et les doigts de Marie.

- Tu vois comme je suis gentille, la chienne, je m’occupe même de te nourrir. Très souvent, les chiens et chiennes qui pour quelque raison que ce soit ne sont pas présents à l’heure des repas spécialement prévus pour les esclaves, doivent se passer de manger et attendre le repas suivant. Mais il est vrai que depuis ton arrivée, tu n’as pas vraiment pu encore rentrer dans le rang de toute la « meute » des plus anciens qui vivent à plein temps au Château… Toi, la chienne ayant été contrainte de suivre les consignes et l’emploi du temps qui a été fixé pour toi par Monsieur le Marquis en personne avant ton arrivée. Ton séjour au Château destiné à parfaire le plus rapidement possible ton dressage n’est pas non plus une cure d’amincissement forcé avec mise à la diète, donc il est de mon devoir de te nourrir et de t’abreuver convenablement pour que tu restes en bonne santé.

Marie se retourne et revient avec pour la troisième fois un grand verre d’eau servi dans une haute chope de bière. Elle attrape aussi une tomate de plus dans un saladier juste à côté.

- C’est bon pour la santé les légumes. Ouvre la bouche. D’abord, tu vas me finir cette tomate en premier lieu et la suivante.

Marie écrase carrément ce qu’il reste de la tomate un peu blette sur le visage de Thaïs MDE, et de ses grosses mains, repousse les morceaux de chair rouge qui ne sont pas tombés dans l’eau vers la bouche grande ouverte de celle qui impassible se laisse faire baissant les yeux, ne voulant pas prendre le risque de croiser le regard de la cuisinière sadique. Marie prend la deuxième tomate qui est encore plus mûre que la première et fourrant carrément son doigt dans la chair rouge, elle fait gicler l’intérieur sur le visage maculée de la soumise impassible.

- Attend, je vais te donner un peu de couleurs aux joues et aux lèvres. Tu vas voir que mon rouge à joues et mon rouge à lèvres naturels sont très efficaces. En cette saison hivernale, il est plus difficile d’avoir des cerises ou des mûres pour te maquiller. Je pourrais encore trouver sur le marché des myrtilles qui teintent la peau en bleue très vite, mais cela ne convient pas dans la recette que j’ai mise au point. Alors tu vas te contenter de tomates bien mûres et bien juteuses.

Marie écrase l’intérieur de la tomate sur les joues de Thaïs MDE qui est bien incapable de bouger et qui se demande bien à quoi elle peut ressembler, d’autant plus que du fait du bain très chaud dans lequel elle se trouve, elle sent sa transpiration dégouliner sur son visage à grosses gouttes, subissant plus par obligation et abnégation envers le Maître Vénéré qui l’a remise entre les mains de Walter, le Majordome, et de Marie, la cuisinière, que par plaisir d’être ainsi souillée. Elle se dit cependant que ce n’est que de la tomate après tout, un aliment dont elle se régale en toute saison et qui parcourt l’intérieur de son corps et de son estomac sans le moindre souci quand elle y réfléchi bien. Pensant aussi qu’elle ne doit pas faire vraiment la dégoutée de se savoir juste badigeonnée sur le visage d’un produit si naturel, alors que lorsqu’elle va chez l’esthéticienne régulièrement, cette dernière lui colle parfois sur le visage des épaisseurs de crèmes dont elle ignore totalement la contenance et les produits chimiques qu’elles peuvent contenir, se laissant faire pour bénéficier pleinement de ce que l’on appelle un soin du visage. Marie continue, de tomates écrasées sur le visage en tomates éclatées qui giclent de partout, en donnant parfois des petits morceaux de chair rouge à manger directement, becquée par becquée, à la soumise qui avait déjà la peau rouge avec la chaleur qui irradiait du bain, mais qui est maintenant « rouge tomate » du sommet du crâne jusqu’au cou.

- Voilà, c’est bien la chienne… mange tout ce que je donne à manger sagement car tu es une bonne chienne bien sage qui fait ce qu’on exige qu’elle fasse toujours … et puis lèche mes doigts, car j’en ai partout à cause de toi. Tu es une bonne chienne en chaleur peut-être, mais une vraie cochonne qui mange salement et s’en met partout sur le museau. Tu ne penses pas tout de même que je vais salir mon beau tablier propre pour m’essuyer les mains. A vrai dire, tu es si enlaidie transformée en sauce tomate, si tu te voyais ! ah, ah, ah, … (ajoute Marie d’un ton sarcastique) … Mais cela me plait de te voir ainsi, un simple jouet dépourvu de la parole et désarticulé, qui est entre mes mains, assujetti à tous mes caprices et capable d’accepter tout ce que je lui fais subir sans rien dire et sans se plaindre. Je te demanderai bien de me lécher encore la chatte car tu m’excites d’être aussi docile, molasse, stupide, soumise carpette que l’on peut piétiner sans relâche, mais très sincèrement tu es vraiment trop dégoutante pour l’instant pour que je te permette de poser tes sales lèvres remplies de sauce tomate sur mon beau bouton de fleurs.

Thaïs MDE préfère ne pas penser aux propos humiliants et encore plus erronés de la cuisinière, ayant fini par se rendre compte de ses côtés particulièrement pervers et sadiques qui cherchent sûrement à l’aiguillonner jusqu’au bout pour la tester ou pour la pousser à la faute, avec l’arrière pensée de pouvoir la punir encore plus. La soumise qui cherche avant tout à satisfaire le Maître à qui elle a juré fidélité et obéissance absolue se dit qu’il vaut mieux qu’elle relativise la situation dans laquelle elle se trouve qui n’est pas si terrible quand elle y pense et que l’humiliation n’a de valeur que si elle la ressent ainsi au lieu de ne voir là qu’un jeu sans grandes conséquences et aussi une expérience à vivre un peu particulière mais d’un autre côté assez excitante ne serait-ce que par l’étrangeté de la situation et sa totale acceptation à se plier aux lubies bizarres de Marie. Après tout, elle a juste un peu de jus de tomate sur le visage et les cheveux. Elle a plus souvent été aspergée sur le visage par le sperme onctueux du Maître Vénéré et elle trouve cela très plaisant de pouvoir être le réceptacle de la Divine semence s’il plait au Maître qu’il en soit ainsi et s’IL daigne consentir à se répandre sur elle.

Et puis, Thaïs MDE se rappelle que, dans le temps, nos grands-mères utilisaient des décoctions faites de produits naturels (fleurs, fruits, herbes) pour se nettoyer et s’entretenir visage et corps, se rappelant même qu’elle a vu sur des images des personnes qui se mettaient des rondelles de concombre à même les yeux pour les faire dégonfler, et que dans les balnéothérapies, on couvre les corps d’algues fraiches. Thaïs MDE à cette idée se décontracte un peu se disant qu’après tout si cela amuse Marie, elle peut bien servir de cobaye et de divertissement pour celle qui se démène tous les jours dans les cuisines du Château. La cuisinière termine d’écraser la dernière tomate qu’elle a à la main sur les lèvres de Thaïs MDE, lui laissant petit à petit manger les derniers morceaux qui lui colle aux doigts. Elle lui tend la main droite pour se la faire nettoyer et lécher un peu, rentrant ses doigts les uns après les autres dans la bouche de Thaïs MDE et s’essuyant sur sa langue, son palais et ses lèvres. Marie attrape ensuite un nouveau quatrième grand verre d’eau.

- Maintenant, il te faut boire, car tu transpires beaucoup. Ouvre la bouche.

Marie fait tomber l’eau dans la bouche de la soumise qui rapidement se trouve pleine à ras bord, car elle n’a pas pensé à déglutir au fur et à mesure que l’eau s’écoulait et s’est vite sentie débordé par le liquide qui lui emplissait la bouche.

- Mais, enfin bécasse que tu es ! Il te faut avaler au fur et mesure, sinon tu vas finir par t’étouffer. Tu ne crois pas que je vais rester là pendant des heures à te faire boire. Il me faut finir de préparer la soupe des esclaves pour ce soir, qu’est-ce que tu crois ! Et puis, il y a aussi le personnel à nourrir quotidiennement. C’est un vrai travail de longue haleine qui m’occupe bien tous les jours quand il s’agit de nourrir tout ce petit monde, mais j’ai de nombreuses compensations et pas mal de petits plaisirs sensuels, comme celui que tu viens de me donner juste avant, avec toutes ces petites chiennes en chaleur qui peuplent le Château et qui ne sont bonnes à mes yeux qu’à lécher ma mouille. Par-dessus tout, Monsieur le Marquis est vraiment un patron très agréable et très bon, qu’il me plait de servir et de choyer avec une loyauté sans borne, comme je le fais depuis mon arrivée au Château de la famille Evans.

La cuisinière force Thaïs à finir le verre d’eau, ne lui laissant guère de répit pour déglutir et avaler ce qu’elle lui fait boire, alors même que la soumise commence à se sentir déjà bien remplie avec ce quatrième verre ingurgité en si peu de temps, bien qu’elle sache que de grosses gouttes continuent toujours de couler de son front et de ses cheveux trempés de sueur et sûrement de toutes les autres pores de sa peau, trempant toujours dans le bain chaud supportable mais tout de même à la limite du bouillant.

- Après les bonnes tomates, que dirais-tu d’un « petit » concombre. Regarde comme c’est mignon un beau concombre bien lisse et bien formé.

Marie attrape le menton de Thaïs MDE qui est dégoulinant de jus de tomate et oblige la soumise à lever la tête pour lui montrer le spécimen si large qu’elle a du mal à en faire le tour avec la paume de sa main et d’une longueur dépassant les 30 centimètres.

- Tu ne trouves pas, la chienne en chaleur, que cela ressemble à quelque chose d’autre de très tentant … surtout qu’il est bien gros, bien long et bien dur, celui-ci. J’ai choisi celui-là exprès pour toi, tu vois comme je suis gentille avec la petite chienne que l’on m’a confié, il te faudra me remercier à la fin d’autant plus que je suis sûre que tu vas aimer la suite de ma recette de cuisine.

Marie attrape le concombre et le promène sur les lèvres de l’esclave, qui est fortement excitée cette fois de la symbolique de ce légume résolument phallique, n’osant cependant pas mordre dedans ou faire riper ses dents sur la peau, tandis que la cuisinière le pointe vers sa bouche, poussant sur ses dents et gencives et voulant la forcer à ouvrir plus grand la mâchoire. Imitant le geste d’une bonne pénétration buccale, Marie se plait à rentrer le légume et à le voir sortir, le rentrant avec difficulté cependant car vu la grosseur du concombre, celui-ci a bien du mal à trouver sa place entre les lèvres pourtant grandes ouvertes de Thaïs MDE, qui commence à sentir son bas-ventre se tendre du désir de se voir aussi forcer dans ses parties plus intimes. Elle s’étonne elle-même de son désir, qu’elle trouve pervers et presque indécent, car elle n’a jamais été pénétrée de sa vie par un légume, autre que la racine de gingembre que lui a fait déjà connaître la veille le Majordome. Et pourtant à cet instant, elle désirerait tant que Marie, partie dans sa lancée, aille plus loin. La soumise par instinct primaire et animal se tend presque dans ses liens relevant le bassin comme pour s’offrir encore plus à une pénétration vaginale qu’elle espère, ayant abandonné toute pudeur pour ne plus s’abandonner qu’au désir qui la prend de l’intérieur de son bas-ventre, de pouvoir vivre cette expérience que lui a fait miroiter Marie, mais sans rien lui promettre vraiment.

- Et bien, dis donc, la femelle, de plus en plus excitée à ce que je vois…. Tu le voudrais bien dans ton con, mon gros con…combre !!! Tu es une vraie petite vicieuse, toi ….. Je m’en doutais depuis le premier soir où tu es arrivée au chenil, tu mouillais comme une vraie salope dès qu’on y mettait le doigt. Mais tu ne t’imagines pas que je vais tremper mes mains dans ce jus plutôt sale dans lequel tu patauges, juste histoire de te faire goûter au plaisir… Chienne en chaleur, tu es ... Eh bien soit ! Je vais t’en donner pour ce que tu es, bonne petite salope de chienne juste bonne à se faire baiser …

‘A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 341)
Histoire sexe : Une rose rouge
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