La sexualité compulsive de Florence : La découverte de la jouissance (Partie 1/ 15)

- Par l'auteur HDS Perruche -
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La sexualité compulsive de Florence : La découverte de la jouissance (Partie 1/ 15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La sexualité compulsive de Florence : La découverte de la jouissance (Partie 1/ 15)
J’aime le sexe, pour moi c’est une source d'épanouissement et de joie de vivre. Je suis une femme qui profite bien des plaisirs charnels, qu'offre la vie. Je ne suis pas une collectionneuse d'hommes, mais parfois si l'occasion se présente, je n'hésite pas, car je suis bien dans ma tête et bien dans mon corps. Cela fait-il de moi une salope ?

À l’époque, j’avais encore un corps d'ado, certes bien formé, mais au comportement adolescent, tant physiquement que cérébralement. Une longue chevelure presque brune descendant jusqu'au creux des reins, un joli fessier pas encore totalement rebondi et la poitrine qui n'avait pas encore pris tout son volume, un petit 85B. J'ai perdu mon pucelage en dernière année au collège, avec un redoublant qui en avait un an de plus que moi. Jusqu’en classe de 3ème, je n'avais eu que des flirts d'ado.

Je sortais avec Olivier depuis le retour des vacances de Pâques. Au départ, nous étions encore vierges, c'était un flirt avec quelques caresses intimes, nous avons découvert ensemble nos corps si différents. Après trois mois, nous nous apprécions et tout naturellement, nous avons voulu aller plus loin. La semaine précédant le brevet, prétextant une révision, ses parents étant absents, il m'a amenée chez lui et dans son lit de 90 cm, nous avons connu notre première fois. Après nous être embrasser de longues minutes, tout en nous caressant mutuellement, nous nous sommes retrouvés entièrement nus, c’était nouveau pour moi. Nos attouchements et nos caresses nous ont beaucoup excité malgré notre innocence sur les rapports sexuels et notre timidité à l'acte, je me suis allongée et j’ai écarté les cuisses afin qu’il vienne me posséder.

Olivier m’a pénétrée sans difficulté, j’étais trempé de désir, je n’ai pas vraiment souffert, néanmoins, je n’ai pas eu le plaisir escompté. Par contre lorsqu’il a fini par éjaculer en moi, c'était vraiment génial de sentir ses giclées de sperme envahir mon ventre. Je prenais un contraceptif depuis peu et lui aussi était puceau, nous n’avions pas jugé utile, d’utiliser un préservatif. Le feu du désir l’avait emporté sur la raison. Depuis, j'ai été bien plus rigoureuse sur le port du préservatif avec presque tous mes autres partenaires. Pourtant, je vous avoue préférer, sans me voiler la face, sentir un homme éjaculer puissamment au fond de mon vagin, cela me procure un plaisir que supprime la capote. Cependant, il faut toujours préserver sa santé et celle des autres.

Les grandes vacances nous ayant séparés, à la rentrée en seconde, Olivier était dans un lycée différent, notre histoire c'était éteinte. J'ai renouvelé l'expérience en cours d'année scolaire, ça ne restera pas un souvenir impérissable, mais pendant les vacances d’été, j'ai eu de bien meilleures sensations, très plaisantes avec un jeune qui m’avait draguée sur la plage. À partir de cet été, j'ai eu plusieurs petits copains qui se sont succédés au lycée.

Doucement je m'enhardissais, je prenais confiance en moi, j'adorais le plaisir que procuraient les caresses sur moi. Durant les deux années suivantes, j'avais connu cinq garçons à qui j'avais offert ma féminité. Le premier fut Clément, le midi au self, j’étais à table avec lui et je sentais qu’il me désirait mais sa timidité le bloquait quelque peu, j’avais moi aussi envie de lui, il me plaisait bien, j'ai un peu bousculé les choses. Je lui ai caressé la main puis j’ai pris son pouce à l'intérieur de mon poing en simulant la pénétration en me penchant à son oreille :— Viens allons aux toilettes. Lui dis-je directement.

Il n’en revenait pas, il me regardait me lever, laissant nos amis sur place et partir vers les sanitaires. J’ai cru un moment qu’il n’oserait pas me suivre mais je fus vite rassurée lorsqu’il arrivait en même temps que moi dans cette petite cabine étroite.
Toute la matinée, j’avais pensé à ce moment, j’étais dans un état d’excitation sans pareil. Une fois la porte fermée, nous nous sommes embrassés pendant que je lui baissais son pantalon, il me pelotait les seins, j’étais très excitée, je mouillais fortement, je venais d’enlever mon string sans délicatesse et je dis à Clément :— Mets-toi assis sur le chiotte et étends tes jambes.

Je le dominais, sa bite était bien droite et tendue, il ne disait rien. Je me plaçai face à lui, les cuisses écartées, enserrant les siennes. Je pris sa verge dans ma main et la guida entre mes grandes lèvres et dès que son gland était en place sur ma vulve, je m’étais assise en l’enfournant entièrement d’un seul coup. Je montais et descendais lentement au début puis en accélérant le mouvement, nos respirations s’accéléraient, nous gémissions fort, tous les deux, sans rien se dire, au risque de nous faire entendre mais cela n’avait pas d’importance. Je sentais sa bite raide en pleine érection dans ma petite chatte pendant qu’il me malaxait les seins et me suçait les tétons érigés par l’excitation :— Hum ! Ta bite est bonne ! C’est bon ! Oui ! Encore !

J’aurais aimé que ce moment se poursuive bien plus longtemps, mais après quelques minutes à ce rythme soutenu que j’imposais, et en entendant mes mots, il donna un grand coup de reins, malgré sa position délicate et éjacula bien trop vite, à mon gout, dans son préservatif.

Dans ces toilettes du lycée mal odorante, pendant les l'intercours et à midi, avec Clément puis Romain, David et Florian, j’avais connu des parties de sexe brèves mais intenses. J’avais trouvé le moyen et l’endroit idéal pour satisfaire mes besoins de me faire baiser sans jouir vraiment mais en prenant du plaisir. Nous avions trouvé plusieurs positions malgré l’étroitesse des lieux, les possibilités étaient grandes. Penchée en avant, le visage contre le carrelage mural, les fesses tendues en arrière. Romain placé derrière moi me pénétrait en me tenant fermement par les hanches. Ou debout devant le lavabo et toujours par derrière, m’écartant le string, David me pénétrait. Ou encore à genoux sur la cuvette rabaissée, les coudes reposant sur la chasse en faïence la tête sur mes avant-bras, Florian me prenait en levrette. Malheureusement, ces quatre garçons étant encore des novices, éjaculaient bien trop rapidement dans leur capote, je ne pouvais donc pas profiter plus longtemps de leur bite que je sentais ramollir trop vite dans mon vagin.

Après deux mois de relation, je venais de quitter Florian comme je l’avais déjà fait avec Clément, Romain et David, je me trouvais sans petit ami, en attendant celui que j’aimerais vraiment. Au lycée, la discrétion n'était pas la qualité première de mes petits copains, une bonne partie du lycée sut que je me faisais baiser dans les chiottes et j'eus de nombreuses sollicitations que j'ai refusé, néanmoins j'étais très fière de savoir que de nombreux lycéens avaient envie de mon corps.

Kevin était un garçon que je voyais une fois par semaine au gymnase, il était grand fort mais ne me plaisait pas spécialement, cependant avec lui, ce fut totalement différent. Nous rangions tous les deux, les tapis de sol lorsqu’il se plaça derrière moi :— Il parait que tu es une belle salope, enfin c'est ce qui se dit dans le bahut. J’ai envie de te baiser là sur les tapis. Me dit-il en me plaquant fortement contre lui.

Impossible pour moi de décrocher un mot, je sentais sa virilité contre mes fesses.
Lorsqu’il me dit :— Mets-toi à quatre pattes. Poursuivit-il, tout en descendant mon short.
J’obéis à ses désirs, j’étais pris dans un tourbillon de désir, je mouillais, ses ordres me fragilisaient mais en même temps m’excitaient fortement. Je m’étais laissée emporter dans ce local du gymnase. Kévin était bien plus résistant que mes autres partenaires, car après m’avoir baisé, il me dit :— Je vais t’enculer maintenant.

Ce n’était pas une question, la salope qu'il pensait que j'étais ne pouvait que se faire enculer ! Je n’avais pu refuser, depuis longtemps déjà, je voulais tester. Ce mâle dominant m’avait sodomisé pour la première fois, je n’en avais pas gardé un souvenir impérissable. Néanmoins, j’avais adoré lorsque j’avais ressenti, après qu’il ait retiré sa capote, son éjaculation chaude qui coula dans la raie de mes fesses. Je venais de baiser avec un type avec lequel je n’avais jamais flirté, je n’ai pas le souvenir de l’avoir même embrassé.

Ce ne fut que durant l'été suivant, qu’enfin je connus vraiment ce que signifiait jouir. C’était lors d'un concert, je retrouvais un copain, j’avais prévu de sortir avec lui mais les choses furent différentes. Ce soir-là il était accompagné de plusieurs autres amis et Julien, son frère, était beau gosse, le look, un brin Bad boy et était bien plus âgé que moi. Comme je n’arrêtais pas de le regarder avec envie, il m’avait draguée et j’étais folle de joie lorsque à la fin du concert, après avoir pris un rafraîchissement, il me proposa de me raccompagner chez moi, je m’étais empressée d’accepter.

Sur la route, je fondais sous ses paroles, j’étais subjuguée par ce garçon. En chemin il fit une halte dans un chemin désert de campagne à la lisière d’un sous-bois où nous étions à l’abri des regards, je savais que nous allions faire l’amour et j’en étais ravie. Sous ses baisers tendres et délicats, ses mains parcourraient tout mon corps, ses doigts étaient magiques, j'étais en effervescence, bouillonnante sous ses caresses, j’étais trempée d’excitation. Je n'avais pas fait le moindre geste pour l'empêcher de retirer mon tee-shirt puis mon short. Mon soutif et mon string avaient rapidement suivi, je me retrouvais nue dans cette voiture.

Je n'avais jamais connu un garçon aussi habile de ses doigts, un virtuose qui jouait avec mes seins, mon clito et ma chatte la symphonie du plaisir ! Et ses mots qu'il me murmurait à l'oreille me remplissaient de joie :— Tu es la plus belle, tu es faite pour l'amour. Tout en appuyant sa main sur ma nuque.
Suce-moi ! Me dit-il.

Je n’avais rien répondu et je m’étais penchée sur son sexe en érection, je n'avais pas hésité une seconde, je m’étais empressée de lui montrer mon savoir-faire, même si mon expérience était infime. Tout en le léchant le long de sa hampe, je le branlais délicatement en passant mon doigt sur son gland, il gémissait, haletait, je comprenais ce qu’aimait les garçons. Puis ma langue avait remplacé mes doigts, je plaçai son gland entre mes lèvres et en serrant celles-ci, je l’avais avalé en faisant des va et vient sur la longueur de sa verge et puis la sortant entièrement, j’embrassais de mes lèvres et ma langue léchait la terminaison de son gland rosé.

A entendre ses commentaires, j’avais compris que je faisais bien mieux que de me débrouiller. Je faisais le maximum pour le satisfaire, j’avais vu sur des vidéos où certaines femmes introduisaient entièrement le sexe mâle dans leur bouche. Sans qu’il me le demande, Je m’étais même étouffée en le prenant en gorge profonde, mais j'avais tenu bon, je n'avais jamais eu entre mes lèvres une bite de 19 cm ! J'étais la plus heureuse des filles et très excitée de l'entendre me dire :— Toi t’es bonne, une vraie bouffeuse de bite, bien salope.
J’étais fière de moi, j’avais réussi mon examen de passage avec un garçon plus âgé, cet homme me faisais craquer et lorsqu’il m'a dit :— Je vais te baiser de partout.
— Oui Julien ! Vas-y ! Baise-moi la chatte, prends-moi le cul, je suis toute à toi.

Ce jour-là, Julien m'avait démontée sur la banquette arrière. En missionnaire, jambes pendantes à l’extérieur, en le chevauchant lorsqu’il s’était allongé à ma place ou en levrette, le torse sur le tissu des sièges, et hors de la voiture à genoux la tête posée sur sol, les fesses tendues vers le ciel. Lorsqu’il finit par me sodomiser, la douleur fut forte et poignante malgré la préparation, sa verge était bien plus grosse qu’un pouce ou deux de ses doigts.

Cependant le plaisir avait très vite remplacé la douleur, je ressentais beaucoup de plaisir à chaque fois qu’il entrait entièrement sa longue bite, au plus profond de mon fondement. En une heure, dans cette voiture, j’avais joui quatre fois et même du cul !
J’étais même quasiment tombée dans les pommes lors de mon orgasme final, après être longuement resté tout entier dans mes entrailles.

La source de mon orgasme était autant physique que cérébral. Mon excitation était-elle que je perdais pieds et lâchais prise. Ma jouissance me procurait comme une décharge électrique qui se traduisit par divers phénomènes physiques visuels, mes seins gonflèrent, les tétons s'érigèrent un peu plus, le clito subit les mêmes effets et mon vagin s’inondait, j'avais également la chair de poule. J’avais aussi pour la première fois, apprécié le gout du sperme quand Julien après avoir retiré sa capote était venu introduire sa bite entre mes lèvres pour éjaculer puissamment son jus dans ma bouche, le trop plein débordant sur mon visage !

Bien sûr nous avons remis ça par deux fois, toujours dans sa voiture en campagne, j'avais encore à chaque fois pris beaucoup de plaisir. Ces multiples orgasmes de suite me firent prendre conscience que je ne pourrais plus me passer de ces instants magiques.
Avec Julien, je compris plusieurs choses : les mots utilisés par mes partenaires me faisaient chavirer, j’étais dans un tel état lorsqu’il m’avait dit "je vais t'enculer" que ces mots me firent l’effet d’une décharge de 220 volts. Mais également j’avais besoin de recevoir la semence des mâles avec qui je baisais, que ce soit sur les fesses, sur le ventre, sur mes seins, entre mes cuisses et dans ma bouche, je m’en délectais. Je savais dorénavant que j’avais un réel besoin de baiser pour renouveler ces plaisirs intenses et revivre ces jouissances que je ne parvenais pas toujours à avoir lors de mes masturbations.

Ce fut comme cela que j’étais définitivement devenue accro au beau sexe viril.
J’allais pouvoir en profiter pendant mes années de fac que je vous raconterai dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.

Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. J’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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