LE CERCLE HIPPIQUE

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LE CERCLE HIPPIQUE Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE CERCLE HIPPIQUE
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous étions au mois de janvier, plusieurs semaines après mon expérience au caveau, il faisait un froid sec, quand mon amie Marielle me demanda de récupérer des affaires à son cercle hippique. En vacances pour 2 semaines à l'île Maurice, elle s'était apparemment brouillée avec le directeur du centre et ne voulait plus y remettre les pieds. Je soupçonnais une affaire plus personnelle, connaissant mon amie ainsi que la réputation de dragueur du directeur. Je profitais d'un rendez-vous matinal se terminant plus tôt, je fis un crochet par le centre. Arrivée sur place, le centre était désert en cette fin de matinée froide, je garais ma voiture à proximité, et je me dirigeais à pied vers le club house. Malgré le froid sec et ma prudence, je salissais mes escarpins dans ce chemin malgré tout un peu boueux. Il faut dire que ma tenue de bourgeoise en tailleur chic avec jupe de cuir noir fourreau fendue et veste en imprimé léopard, n'était pas vraiment appropriée. Comme dans tous les clubs hippiques les chiens traînés dehors et tournaient autour des visiteurs. Ayant peur des chiens, je me méfiais, car de plus l'un d'eux un gros dogue allemand me semblait particulièrement agressif. Je rentrais dans le club house et cherchais le directeur qui était au fond dans son petit bureau.

- Bonjour, je suis Patricia l'amie de Marielle, elle m'a demandé de venir chercher quelques affaires.
-Je sais qui t'es, ses affaires sont dans la pièce du fond !!!!!

Je reconnus le directeur de suite. Il avait participé aux enchères et avait remporté le second lot. Il était le seul que je ne connaissais pas, je priais intérieurement pour qu'il ne me reconnaisse pas, car en plus, l'homme avait l'air d’une humeur massacrante. Je me dirigeais vers la pièce sans discuter, sentant le regard de l'homme sur moi. Un chien me suivait, sorte de petit bâtard qui n'arrêtait pas de me renifler les jambes pendant que je parlais à son maître. Une fois dans la pièce, je cherchais les affaires de Marielle qu'elle m'avait décrites. Le chien m'avait suivi, et frottait à mes jambes me reniflant avec sa truffe humide sur mes bas, il commençait sérieusement à m'agacer, je le repousser avec un petit coup de pied. Il revient à la charge, mais ce coup-ci s'accrocha de ses pattes avant à ma jambe et commença à se masturber !!!! Je criais, en lui redonnant un autre coup de pied, mais cela ne l'empêcha pas de revenir. Je le repoussais ce coup-ci encore plus fort, de mon autre jambe afin qu'il reparte d'où il venait...-Non, mais vous voulez que je vous aide à frapper mon chien comme ça,…Criait le directeur qui venait de rentrer dans la pièce apparemment alerté par mes cris…- Mais c'est votre chien, qu'il faut calmer avec un comportement comme ça, il faudrait même songer à le castrer !!!!
- J'y crois pas, tu te pointes ici déguisée comme une bourgeoise en rut, au point d'exciter mon chien, et tu voudrais en plus que je le castre, c'est toi qui mérites plutôt une correction dit-il en se rapprochant de moi jusqu'à venir à mon contact, pendant que son chien s'était à nouveau accroché à ma jambe. Le chien se branlait frénétiquement accroché à ma jambe gainée par mes bas qu'il déchira avec ses griffes... Le directeur était à côté de moi. Il m'avait attrapé par les cheveux afin de m'intimider et de me dominer pour me faire peur...
- regarde-toi sale pute... Ça t'excite de voir mon chien se branler sur toi.... Oui, vas-y mon beau fais toi plaisir... Il a bon goût mon chien, t'en penses quoi salope ??? T'es encore plus cochonne que ta copine...

Il me tenait fermement par les cheveux... Pendant que son chien continuait à me détruire mes bas... Je sentais les coups de reins de son chien frotter sur ma jambe. Le directeur m'avait enlevé mon manteau qu'il laissa tomber par terre, et de sa main libre, il écarta ma veste léopard faisant ressortir mes gros seins au travers de mon pull col roulé Wolford en laine super moulant...

- Mais dis donc j'ai l'impression qu'on se connaît tous les deux... Tu me rappelles quelqu'un cochonne, viens par là ma belle que je vérifie quelque chose sur l'ordi...

Il m'entraîna vers l'ordinateur du fond de la pièce, me força à m'asseoir devant, et activa une vidéo. Je savais très bien de quoi il s'agissait. Il démarra la vidéo et mis en pause pour faire un gros plan sur moi en plein milieu du caveau en train de me caresser mes gros seins.

- Mais dis donc ca me semble très ressemblant tout ca, c'était donc toi la bourgeoise anonyme, mais tu as du te faire un paquet de fric ce soir là... Va falloir me donner un extra maintenant ma beauté...
- C'est vrai que tu as des belles grosses miches de bourgeoise... T'aimes bien que je te malaxe tes mamelles ma salope... Hummm pas aussi grosse que ta copine, mais quand même un bon bonnet c.... J'adore ça ma grosse vache...
Son chien s'acharnait sur ma jambe me griffant les bas tout en grognant de plus en plus fort... Il se vida sur ma jambe marquant mes bas de son liquide canin blanc qui dégoulinait sur mon escarpin...
- putain, mais quelle grosse salope regarde ce que tu as fait à mon pauvre chien sale pute... T'es vraiment une sale raclure !!! Regarde-toi maintenant de quoi t'as l'air... Tu n'as pas honte ma salope... Fous toi à 4 pattes pouffiasse, on va s'occuper de tes fesses...
De force, me maintenant par les cheveux, il me forçait à me mettre à 4 pattes sur le sol en béton sale et froid... Il remonta ma jupe en cuir laissant découvrir mon gros cul protégé par ma culotte en dentelle et mes portes jarretelles noires mettant en valeur mes formes généreuses... Il me tenait fermement par les cheveux...
- prépare-toi, ta croupe va déguster... Allez Brutus viens mon beau, elle est prête juste pour toi....
- non mais ca ne va pas arrêtez cela immédiatement, vous êtes complètement fous !!!!
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il me bâillonna avec sa main, tout en tapotant sur mes fesses en appelant son énorme chien que je voyais se diriger vers moi...
- vient mon Brutus, elle est à toi....
- non, je vous en prie, je ne veux pas... Laissez moi partir... Pas un animal, je ferais tout ce que vous voulez...
- Tu promets d'être docile ??? Si tu ne m'obéis pas, alors je te fais fourrer comme une oie.. t'as compris salope ????
- oui, je vous en prie ne le laissez pas me pénétrer, je serais docile, je le promets, mais ne me brutalisais pas...
Il me releva et tapotait sur mes fesses découvertes, juste protégées par mon tanga, en appelant son chien. Je sentais le gros chien derrière moi sa truffe me sentant les bottes souillées par le premier chien. Il me lapa les bottes plusieurs fois et soudainement sauta sur moi,. Il était sur ma jambe, son maître était à coté de lui pour le guider, le caressant en lui parlant.
- Oui, vas-y mon beau, elle est pour toi, c'est ta chienne, à toi. Remue tes fesses pour moi ma belle...
J'obéissais à ses ordres bougeant mes fesses pendant que son dogue s'était agrippé à ma jambe, ses pattes avant accrochées fermement à ma cuisse, abîmant irrémédiablement mes bas et ma jupe en cuir qui m'avait coûté une fortune.. Le directeur se positionna devant moi et sorti sa bitte bien tendue et bien dure.
- Suce moi pétasse, ta copine m'a dit que tu étais une pipeuse de première.
Je me penchais et ouvris ma bouche, et sans avoir le temps de faire quoi que ce soit je me retrouvais avec sa bitte entre mes lèvres, en train de me faire violer la bouche par ce membre hors norme. Il me tenait par les cheveux et me baisait la bouche, alors que sa deuxième main était passée en dessous de moi en explorait le dessous de mon pull col roulé Wolford Blanc pour me palper mes gros seins.
- Hummm, j'adore tes mamelles ma salope, grosse comme je les aime, juste ce qu'il faut pour mettre ma bitte au milieu, mais c'est vrai que tu suces divinement bien, elle ne m'avait pas mentie ta copine... Elle m'avait bien dit aussi que tu serais une bonne docile qui ferait tout pour payer les dettes de sa meilleure amie... J'étais donc tombée dans un piège tendu par Marielle, qui m'avait vendue sans me le dire afin de payer cet odieux personnage qui allait me baiser par tous les cotés, et me donner en pâture à cet homme, jusqu'à sa jouissance...
Les coups de reins de son chien se faisaient rapides, le directeur me tenant par les cheveux m'avait relevé la tête et me forçait à l'embrasser... Le chien commençait à grogner et je sentais sa truffe qui se frottait à moi, alors que son maître avait replongé sa bitte dans ma bouche de bourgeoise... Je sentis alors son liquide se répandre sur mes jambes et ses coups de reins ralentir... Il avait enfin joui...
- Bravo ma grosse jument, on va pouvoir passer à la dernière étape... J'espère que tu n'as pas oublié tes petits gants en cuir de bourgeoise, car tu vas en avoir besoin si tu ne veux pas te salir les mains... Tu vas me nettoyer les étables et t'occuper de mes chevaux, on va voir si tu es une bonne palefrenière... Il n'allait pas m'humilier jusqu'à ce point... De force, il me releva me tenant par les cheveux, m'emmena vers mon sac à main afin que je prenne mes gants que j'enfilais, et me tira par les cheveux sortant vers l'extérieur pour se diriger vers les écuries... J'étais toujours ma jupe retroussée recouverte par le liquide de ses deux chiens me coulant dessus, avec ma veste ouverte et dans un état lamentable et mes gros seins à découverts ayant relevé mon pull et baissé mon soutien-gorge. On marchait lui devant et moi derrière maintenue par les cheveux et nous croisions son commis d'écurie, un petit jeune un peu dérangé qui travaillait dans le club...
- Alban, viens avec nous, tu vas maintenir 'prince', pendant que je me tape cette belle jument, et qu'elle s'occupe de le brosser... Si tu travailles bien, tu pourras lui caresser ses gros nichons pendant que je l'encule... J'essayais de me sauver en criant ma protestation, mais il me rattrapa rapidement m'attrapant par les cheveux et me menaçant de me donner une correction... Il s'était équipé d'une cravache et commença à fouetter mes fesses avec cette trique en cuir... Alors que je criais en plein milieu de la cour sous les coups secs, il demanda à son palefrenier de me bâillonner avec ma culotte. Le petit Alban ne se fit pas prier, et m'arracha mon tanga de toutes ses forces et me le plaça dans la bouche !!! J'étais à leur merci, leur jouet, ou plutôt leur jument qu'ils allaient saillir comme des bêtes en rut, et tout cela organisé par ma meilleure amie...

Ils m'entraînaient vers les écuries me poussant à l'intérieur d'un box ou un étalon noir magnifique se trouvait...
- je te présente "prince", c'est mon plus bel étalon et va falloir que tu t'occupes bien de lui pendant que je te saute...
Alban tenait le cheval par la bride pendant que le directeur me poussait vers son train arrière...
- prends la brosse en main salope et nettoie le bien... Tu sortiras pas d'ici tant qu'on n'aura pas tous giclés !!! Et applique toi si tu ne veux pas goûter à ma trique ... Compris !!!!
J'acquiesçais toujours bâillonnée avec ma culotte, et dirigeais vers la croupe de cet étalon, qui tapait du sabot sur le sol. Alban le tenait fermement, et je le brossais rapidement. Je le caressais tout en faisant attention à ne pas prendre un coup de sabot. Derrière moi, le directeur s'occupait de ma croupe et agenouillait devant mon cul, il me léchait ma chatte avec sa langue gourmande. De temps en temps de grandes claques s'abattaient sur mon cul me rougissant les fesses.
- hummmm, t'es vraiment une grosse truie en chaleur, regardes l'effet que tu fais a prince... Avoue morue que ça t'excite... Hooooi, j'en peux plus faut que je te baise...
Il se releva me saisit les hanches et enfonça son sexe bien dure en moi... Il me martela la croupe tel un dément, pendant que je continuais à brosser son cheval, en continuant à me claquer mon gros cul qui n'en pouvait plus. Il me baisait encore et encore, accroché à mes grosses loches pendouillant, alors qu'Alban, qui nous regardait, avait sorti sa queue et se branlait en me regardant...
- elle t'excite cette bourgeoise heinnn mon Alban ??? Tu la trouves à ton goût ??? Tu peux lui toucher ses grosses miches de bonne laitière si tu veux... Allez vas y fais toi plaisir...
Tenant toujours prince par la bride, il abandonna sa queue et me palpa les seins...
- ohhhh patron ils sont beaux ses seins, pas aussi gros que madame Marielle, mais ils sont généreux... Elle est mamelleuse patron hummmm elle m'excite...
- moi aussi, t'as raison, j'en peux plus non plus, faut que je l'encule la pouliche avant qu'elle me vide les couilles... Tu veux ma bite dans ton gros cul morue... Demande le moi si tu ne veux pas que je te corrige...
Une grande claque s'abattit sur mes fesses me forçant à accepter cette sodomie décadente dans cette situation tellement perverse. J'étais prise au piège de cet homme en train de brosser un étalon, de me faire peloter ma magnifique poitrine par un palefrenier simplet et en attente de me faire enculer par l'énorme bite du directeur!!!! Il me sodomisa sans retenu, plongeant sa grosse bite dans mon petit trou, sans ménagement... J'étais enculée par cet homme vicieux et tellement pervers qui me violait mon gros cul tout en me fessant ma croupe toute rouge... Il m'enleva ma culotte de la bouche m'attrapa à nouveau par les cheveux, et me poussa vers son cheval...
- Continue à le brosser si tu ne veux pas que je te fasse nettoyer l'écurie !!!!

J'obtempérai une fois de plus, passant ma brosse le long du dos de prince de deux mains toujours protégées par mes gants en cuir noir... Alban avait attaché la bride de prince au box et continuait à me peloter mes gros seins pendouillant pendant qu'il se branlait de l'autre main. Pendant ce temps, la bitte du directeur continuait à me dévaster le cul de plus en plus fort...
Alban continuait de se masturber me regardant m'occuper du cheval et me faire enculer en même temps... Il approcha sa bitte de mon visage...
- patron, je peux lui gicler dessus à cette morue ???? Sur ces grosses miches ????
- oui, vas-y mon grand, tu l'as bien mérité... Gicle sur cette pouffiasse elle attend que ca...
Il me gicla dessus, sur mes seins de grande trace me recouvrirent, ce qui excita le directeur qui sortit enfin sa bitte de mon anus et se répandit quasi en même temps sur mes fesses toute rouge...
- hooooo putain, mais tu es vraiment la plus grande salope que je me suis tapée... Quelle cochonne, une vraie truie... Nettoie-moi le sperme d'Alban qui traîne par terre, prends avec tes gants et étale moi ca sur ta jupe en cuir ma morue ... Grouille toi salope !!!
J'étais à genoux par terre ramassant le sperme du palefrenier que j'étalais sur ma jupe en cuir complètement détruite des assauts des chiens... C'est a ce moment qu'un liquide chaud m'aspergea le visage... Ca sentait l'urine, c'était chaud et mal odorant. Je relevais la tête surprise, et je vis Alban devant moi le sexe en main en train de m'uriner dessus... De grands jets sur mon visage les cheveux les seins... Partout... Il me pissait dessus... Le directeur éclata de rire...
- haaaaaaa j'avais oublié de te prévenir, c'est comme un petit animal, il marque son territoire...
Entièrement inondée d'urine, recouverte de sperme sur les seins, mes fesses, ma jupe et mes bas... Ma veste déchirée ainsi que mes bas et les restes de ma culotte que le directeur m'avait placé sous mes bas.. Il me raccompagna à ma voiture... Pendant que je montais dedans, il m'appliqua une dernière grande claque sur le cul.
- ramène ton gros cul ici la semaine prochaine, afin que je continue ton dressage de pouliche!!!!! Et va prendre une douche t'es couverte de sperme et tu pues la pisse....

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