LE CHANTIER (39) - histoire érotique

Nous venons de monter dans l’appartement de Flavie, car je souhaite parler avec elle du problème qui me préoccupe concernant son opposition avec son groupe d’écologiste contre les camions qui doivent alimenter l’usine que j’ai eu tant de mal à faire implanter sur notre commune.

• Flavie, je te tutoie fait en de même, je te le permets.
Tu vois ce collier que j’ai autour du cou, Éliane ton amie à le même ainsi que trois autres filles, ce sont mes louves qui agissent pour mon bien et surtout pour le bien de la commune quand le besoin s’en fait sentir.
Regarde ce qu’il y a dans cette pochette.

Elle ouvre l’enveloppe et découvre les photos dont les trois sont explicites des jeux auxquels les deux femmes se livrent.

• Ou as-tu eu ces photos, Éliane m’a piégé.

Non, elle t’aime et elle a besoin de toi, l’erreur, c’est qu’elle t’a amené dans la demeure héritée de feu mon mari l’ancien maire qui avait interféré auprès de tes parents lorsque tu as été surprise avec Éliane et que tes parents voulaient la poursuivre pour vos relations avec toi.

• Ton père est toujours vivant.
• Non, je suis seule au monde.
• Alors sait que si ton amie qui est aussi la mienne depuis a été protégé c’est parce que le maire savait bien des choses sur une liaison qu’il avait avec une femme de la ville et que s’il l’embêtait il révélerait tout à ta mère.
Voilà pourquoi Éliane est restée à son poste alors qu’à ce qu’elle m’a expliqué c’est toi qui l’avais provoqué.
• Je suis tombée amoureuse d’elle dès que je l’ai vu.
Que veux-tu en échange de ces photos ?

J’ouvre mon manteau lui révélant la tenue achetée.
Elle est surprise.

• Dans cette ville, je suis la seule à être la dominatrice, il y en a une de trop entre toi et moi.
Conduit moi dans ta chambre.

Elle semble subjuguée, mais me prend la main et me guide jusqu’à sa chambre.

• À genoux Flavie, suce-moi la chatte, fais-moi voir si tu es aussi doué que ma petite Nadia qui est la reine du patelin depuis ton départ.
• Viens.
• Non, donne-moi ta cravache, j’ai oublié d’en acheter une à Toulouse avec ma tenue.
• Elle te va bien, je vais la chercher, je rêvais de trouver une femme susceptible de me dominer, je crois que je viens de la trouver.
• Attention j’aime aussi me faire baiser par des hommes, cette nuit Christian mon homme m’a honoré comme peu de mâles sont capables de le faire, si tu es sage, je te ferais goûter à sa queue noire qui es très gros.

La cravache s’abat sur son fessier encore couvert juste par jeu.
Je me retrouve une nouvelle fois à tomber sur un lit à écarter les cuisses pour dégager mon vagin que d’une langue experte elle laboure de droite à gauche et de bas en haut pour finir sur mon clito qui apprécie.

• Éliane m’a dit la vérité chérie, tu lèches comme une vraie salope, tu as dû beaucoup pratiquer pendant tes études.

Elle relève la tête et son regard est tout embué.

• Quand une jeune fille qui a du caractère se retrouve toute seule pour faire des études aussi longues, sa langue peut lui être très utile pour manger à sa faim, je compte sur toi pour éviter d’en parler à Éliane, sous certains côtés si j’ai senti qu’elle avait évolué positivement grâce à toi je pense qu’elle reste très possessive.

Elle retourne à sa tâche pour mon plus grand plaisir bientôt remplacé par un plaisir réciproque quand après cette déshabillée elle me met sa chatte sur mes lèvres alors que mes deux mains viennent m’aider à écarter ses lèvres vaginales me faisant découvrir en gros plan un clito surdimensionné ressemblant même à un petit sexe.
Je trouve très plaisant de le sucer et alors que nous jouissons une première fois, elle me fait venir jambes entremêlées afin que nos deux chattes soient en contact, elle place sa main entre nous et fait entrer son clito entre mes grandes lèvres qui l’aspirent comme l’aurait fait ma bouche.
Elle a rapidement un orgasme suivi par le mien, car son clito émoustille mes muqueuses.
Je jouis beaucoup ces temps si, mais Flavie était si experte que je passe presque deux heures à apprendre tout ce qu’une fille peut faire pour le plaisir d’une autre.
Nous récupérons.

• Valérie, je vais donner des directives pour suspendre les actions contre ton projet.
• Oui, pour la suspension mais tu vas pouvoir leur présenter la modification du projet avec l’accord d’Hilda, la propriétaire de l’entreprise.
• Que, proposez-vous ?
• La rivière passe à quelques dizaines de mètres du terrain où elle sera construite, elle prend en compte l’hectare supplémentaire et les déchets de bois seront acheminés par barges.
À deux endroits, le lit de la rivière sera raboté afin de faciliter la navigation et un tapis roulant approvisionnera directement l’unité de fabrication.
Le gain sur les camions rentabilisera rapidement l’hectare acheté.
• Considère que ton projet est adoptable par mon groupe écolo.
Je dois aller ouvrir mon officine.
J’aimerais faire partie de tes louves.
• Pourquoi pas mais cela se mérite et c’est les louves qui acceptent un nouvel élément, mais si c’est moi qui propose ta candidature comme je vais le faire pour mes filles qui ont aussi mérité de nous rejoindre, toutes les trois vous avez de grandes chances d’en faire partie ?
Moi aussi j’ai deux dernières choses à te dire, merci pour ce bon moment et les cours d’éducation sexuelle féminine que tu m’as donné.
Ces photos seront détruites par Nadia qui les a sur son portable.
Dois-tu voir Éliane ce soir ?
• Oui, pourquoi ?
• Venez, à ma villa des plaisirs Nadia y sera et vous les effacer ensemble.
Cette maison qui va devenir un lieu libertin dédier aux femmes et que je pense donner en gestion à Éliane.
Pourras-tu l’aider dans les tâches administratives, car tu as dû apprendre cela dans tes études ?
• Compte sur moi, je l’aiderais, cela me permettra de la tenir en main ou plutôt en croix.
• Merci, bien sûr maintenant que nous sommes tombés d’accord tu peux mettre ta tenue de dominatrice avec elle, mais souviens-toi que quand je suis là c’est moi la dominatrice.
Enfin et pour terminer, j’ai vu que tu avais déposé en mairie une demande d’extension de ta pharmacie sur le petit bout de terrain la jouxtant.
• Oui j’attends l’autorisation pour faire une demande de prêt.
• Pas la peine, aimerais-tu pouvoir faire plus grand encore ?
• Pas possible je risquerais de tout perdre.
Pourquoi me proposes-tu cela ?
• En venant j’ai vu le petit pavillon voisin à vendre et comme c’était devenu un squat, il faudrait le raser.
Pour le financement, j’achète le pavillon et je finance tous les travaux j’ai le cache pour le faire. Va rencontrer Mathieu et Luc les notaires je leur donne des directives pour qu’ils nous préparent les contrats.
• Les apôtres, ce sont aussi mes notaires.

Je manque d’éclater de rire, j’ignorais le surnom des deux frères dans la commune.
Un dernier baisé, tout est dit, je remets mon manteau et je retourne rejoindre Nadia.
Quand j’arrive à la villa Christian m’embrasse ainsi que Petrov qui finisse de poser la porte.

• Mon cœur, j’ai eu Criss qui m’a fait parvenir les plans des transformations.
Il faut que l’on voie le financement pour que j’engage les travaux.
• Engage tout ce qu’il suggère, Nadia te donnera ce qu’il faut pour payer en liquide. Je vais lui en parler en allant la rejoindre.
• Nous l’avons vu arriver, elle nous a embrassés et nous a dit qu’elle allait se baigner.
Dommage que l’on ait du travail, pas vrai Petrov.
• Tu as raison, ce sont toujours les mêmes qui bosse, déjà que cette nuit avec Maryse nous sommes restés éveiller une chienne ayant hurlé à la lune sans s’arrêter.

C’est rare, car j’ai perdu l’habitude d’être prude, mais le rouge me monte aux joues.
Quand j’entre, elle est là, mais nue se baignant.
J’enlève mon manteau.

• Te voilà enfin, qu’est-ce que sait que cette tenue, tu donnes dans le sado maintenant ?
• Attends que je la retire, je viens te rejoindre un bon bain va me détendre.

Pour la première fois, depuis longtemps je fais quelques longueurs.
Quand je m’arrête, je plonge et je longe le fond nageant en apnée comme j’aimais le faire petit enfant exaspérant mes parents qui trouvaient que j’étais au fond trop longtemps.
Nous sortons et c’est dans l’appartement que nous mangeons une boîte de petits gâteaux trouvés dans un placard par Nadia ayant cherché Aphrodite.

• Aucune trace, j’ai tout fouillé de la cave aux chambres.
Les fresques me semblent être des trompes l’œil pour chercher si un système est caché, mais à part l’ouverture des portes j’ai fait chou blanc.
Cela m’étonnerait que la troisième Aphrodite soit ici.
Mets dit moi pourquoi cette tenue ?

Je lui explique et lui demande de venir ici ce soir s’amuser un peu avec les deux filles et surtout voire comment Eliane se comporte après le retour de sa protégée.

• Tu as raison, je vais faire en sorte de provoquer Flavie pour l’amener là où tu sais et voir si sa jalousie peut de nouveau poser problème.
• En plus charge-toi d’une autre mission, j’ai proposé à Flavie qu’Éliane prenne la direction de notre bordel féminin, elle pourra démissionner de l’administration et avoir un revenue plus conséquent.
Chérie quand je parle de bordel, c’est de l’humour, évitez de lui dire un tel mot, elle partirait en courant et j’aurais beaucoup de peine à la perdre.
T’es-tu mise en contact avec Hilda comme j’ai demandé à Germaine de te le dire.
• Oui, elle réserve les places sur le vol pour Anvers où nous arriverons vers 17 heures avec une escale à Bruxelles.
• C’est parfait, enfin demain soir Christian m’a invité au restaurant, cela m’a beaucoup touché.
Et toi que vas-tu faire ?
• J’ai une cour d’auto-école accélérée sur circuit ce soir à 22 heures en conduite de nuit et demain sur route mouillée, je passe mon permis de conduire lundi après-midi.
• Es-tu sûr qu’après la conduite de nuit il te ramènera dans ton lit ?
• Mon lit son lit, peu importe, le principal est d’être couché et surtout que j’ai mon permis le plus vite possible, si en prime je prends du plaisir je pense que te connaissant tu seras enchantée.

Je la quitte après avoir refait un tour complet de la maison à la recherche d’Aphrodite sans rien trouver, comme elle me l’a dit.
Je suis couché ayant une nouvelle fois fait l’amour avec Christian, ce qui clôt pour moi une journée encore bien remplie.

Il est deux heures du matin lorsque je me réveille un flash étant passé devant mes yeux comme un éclair dans un rêve, je me lève, je mets mon manteau de fourrure et je passe par la porte entre mes deux maisons et j’entre, j’enlève mon manteau et je plonge…