LE CHANTIER (6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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LE CHANTIER (6)
Qu’il fait bon de se prélasser dans son grand lit seul sans mon mari…D’un seul coup les choses me reviennent et mon cerveau se reconnecte quand je me fais prendre par les deux sexes de mon grand noir et de Petrov.
Comment suis-je revenue dans ma chambre ?
Je suis bien dans mon lit, mais dès que je bouge, j’ai mal partout.
Le moment fou de plaisir que j’ai ressenti avec les deux hommes alors que les quatre autres nous mataient me restera toute la vie dans ma mémoire.
Moi qui m’étais juré d’éviter de me laisser tenter de faire l’amour avec de nombreux hommes, j’ai, certes, réduit le nombre à deux, mais la manière dont ils m’ont manipulé continue à faire de moi une belle salope.
Heureusement qu’ils partent en vacances pour trois semaines, la tentation sera moins importance et refroidira peut-être mes avidités de sexe.
Je reste amoureuse de Petrov qui a dû partir pour son pays, mais mon grand noir prend soudainement une place très importante dans ma vie.
Certes, son sexe y est pour beaucoup, mais la manière qu’il a eu de me donner des ordres qu’un à un je me suis empressé de suivre m’interpelle. J’ai le sentiment que s’il était là devant moi comme une femme avide de son sexe, j’ouvrirais les cuisses pour qu’il me prenne.
Une bonne odeur de café monte jusqu'à la chambre.
Je ne suis donc pas seule. Je me lève avec, je dois le dire mal au cul endroit que la verge de Petrov honorait pendant que celle de mon bel inconnu noir me prenait dans la chatte.
Du bruit dans la cuisine, mon grand noir prépare un petit déjeuner sur un plateau.
Furtivement je retourne dans mon lit et je me calle dans les oreillers comme une chatte prête à ronronner.

• Bonjour Valérie, nous avons fait l’amour hier sans avoir été présentés.
Avant de partir pour l’aéroport Petrov m’a dit ton prénom, je m’appelle Christian et je suis guadeloupéen.
Je t’ai préparé un café, j’espère que c’est ce que tu bois.
• Merci, c’est ce que je prends.
• Comment je me suis retrouvé dans mon lit ?
• Je t’ai porté, tu as tellement joui avec nos deux sexes que tu as perdus connaissance. Nous avons dormi tous les trois et Petrov a évité de te réveiller lorsqu’il a été l’heure pour lui de partir.
• Et toi tu t’en vas.
• Oui, en fin de matinée pour Paris pour m’occuper de mon divorce.
• Je t’emmène, si vous partez, j’ai peur de m’ennuyer sans vous.
• Je dois voir pas mal de personnes et j’aurais peu de liberté, car je dois voir de nombreux amis.
• Je te conduis et j’irais voir mon fils à Brest.

Nous déjeunons et lorsqu’il enlève le plateau, je prends conscience que nous sommes tous les deux nus dans ce lit qui incitent à l’amour.
Lorsque je me penche pour saisir sa verge et la mettre dans ma bouche, je m’aperçois que se va être la première fois que je vais baiser dans notre lit conjugal.
Pour baiser, je baise en venant me faire prendre alors que je suis allongé sur lui et que nos bouches se trouvent avec avidité.
Mon sexe s’adapte à son pieu, je m’envole sur des sommets de jouissance sans tourner de l’œil.

Un dilemme s’infiltre en moi. Petrov ou Christian, Petrov et Christian, ce qu’il y a de sûr, c’est que Gaétan est sorti de mes plans sexes.

• Aide moi a fermé la maison et va chercher ton sac, nous partons dès que l’on est prêt.

Il est d’accord, nous prenons la route et lorsque j’arrive à Paris, je le laisse chez des amis.
Je prends la route de Brest où je vais chez mon fils et sa copine. Je fais sa connaissance et que je la trouve fort jolie.
Ils sont contents de me voir et nous passons une soirée agréable.
Je leur offre le restaurant où je fais quelques photos avec l’appareil que mes filles m’ont offert pour Noël.
Nous rejoignions l’appartement au centre de Brest.
Une grande partie de la nuit le couple qui est dans la chambre voisine de la mienne font l’amour assez bruyamment, surtout elle qui a des orgasmes assez démonstratifs. Je suis seconde par seconde ses envies et j’ai en retour l’aboutissement de ses jouissances, j’apprends ainsi que mon fils aime la sodomiser et aux cris de plaisir qu’elle pousse, c’est une habituée.
Tout ceci déclenche dans mon corps des rappels de ce que j’ai fait depuis un mois avec mes amants.
Pour la première fois depuis l’adolescence ma main rejoint ma vulve et je me masturbe.
Le lendemain mon fils et sa copine partent en voyage en Andalousie et je suis obligé de leur dire au revoir.
J’ai le blues, car je n’ai pas envie de rentrer à Toulouse dans cette maison vide.

Gaétan a souhaité que je réfléchisse à des économies potentielles.
J’ai eu une idée saugrenue, mais qui pourrait coller.
Nous employons une société pour entretenir la pelouse et la haie de thuyas, une pour entretenir la piscine, des artisans pour changer une lampe ou un joint. Si nous mettons bout à bout toutes ces factures, employer une personne à l’année pour tous ses travaux, permettrait d’économiser.
Alors, j’ai l’idée d’aller en Angleterre voir Gaétan et passer quelques jours avec lui.
La petite baise sur mon lit de plaisir avant son départ m’a laissé un bon souvenir malgré la puissance de son assaut bien inférieure à mes amants alors si je dois faire mon devoir conjugal, cela me permettrait d’attendre le retour de mes jolis sexes blanc et noir.
La perspective de prendre le tunnel sous la manche m’enchante, car je me suis toujours promis de le franchir.
Je sais qu’une fois sortie de la gare, il faut que je programme la ville de Broughton au nord du Pays de Galles où l’usine est implantée.
Je passe une nuit à Londres près du Palais de la Reine.

Le GPS me signale que je dois faire trois cents kilomètres. Le plus dur après être sorti du tunnel qui me fait penser au métro avec en plus le stresse d’avoir des tonnes d’eau sur la tête, c’est de conduire à gauche.
Je suis devant l’usine et lorsque à l’entrée, je demande à parler à Gaétan renseignements pris, les gardiens me disent qu’il est en vacances.
L’absurde de la situation, c’est l’adresse exacte qui me manque, car nous nous sommes toujours téléphoné.
Téléphoné ce que j’essaye désespérément de faire, mais comme il me l’a dit, il change de fournisseur.
Après bien des palabres le gardien obtient son adresse.
Je m’y rends et alors que je m’attends à trouver un immeuble, c’est une jolie villa devant laquelle le GPS dit que je suis arrivé.
Dans le jardin, il y a, une balançoire ou une jeune femme joue avec un petit garçon de deux trois ans et surveille une poussette dans laquelle un bébé est couché.
Je redémarre et je vais me garer derrière une voiture me permettant de tout voir sans être vue.
J’ai très rapidement l’impression d’être trompé depuis des années et que mon mari a une double vie avec une jeune anglaise.
Tout cela est confirmé lorsque je vois Gaétan sortir, la rejoindre et l’embrasser.
Je prends des photos nombreuses qui apportent la preuve de son infidélité.

Les preuves en main, je retourne chez moi.
Le lendemain, je prends rendez-vous avec un avocat pour qu’il entame la procédure de divorce à mon avantage bien sûr.
Il faut qu’il s’arrange pour que je garde ma maison.

Le premier soir sur la terrasse, je regarde désespérément le passage ou le bungalow est adossé.
Personne ne passe, hélas.
S’ils reviennent travailler le lundi plus de huit jours d’attente avant leur retour.
Ma main a suffi à me satisfaire au début, mais comme il m’est impossible de faire démarrer mon plaisir, j’en arrive à me frotter la chatte sur l’accoudoir du deuxième transat d’une place en rotin qui est près de la piscine.
Les aspérités du rotin agressent, mes petites muqueuses et j’arrive à démarrer. Pour arriver à me faire jouir, la position que je dois prendre doit être très surprenante s’ils ont me surprenaient.
Ce soir sous la quiétude de la lune, je me dirige vers la brèche nue simplement avec des nu-pieds.
Je colle mon oreille au caisson métallique, mais aucun bruit ne me parviens.
Je contourne et je retrouve le campement abandonné lors de l’orage qui m’a permis de connaître Christian.
Je m’assieds sur l’une des banquettes de voiture. Je frissonne, car le cuir froid me surprend.
Au bout d’un long moment, je me relève et j’appuie sur la poigner de la porte de la cabane à chantier.
Elle est ouverte alors j’entre.
L’odeur de sueur froide arrive jusqu’à mon nez et je ressens du plaisir à retrouver l’atmosphère où vivent mes sexes préférés.
Je veux prolonger le moment et je m’allonge sur le premier lit que je trouve près de moi.
Est-ce Christian, Petrov ou bien le guitariste qui couche là ?
Ce que je sais, c’est que la lune s’est cachée derrière des nuages et que je me retrouve dans le noir complet.
Alors que je pensais à rentrer le bruit de la porte qui souvent me fait sursauter.
Je reste prostrée pour éviter de montrer ma présence.
D’un seul coup, je sens une main sur ma jambe qui manque de me faire hurler.
La main remonte le long de ma cuisse et arrive à mon intimité que je sens énormément mouiller.
Deux doigts sont glissés en moi. Comme chaque fois dans ces situations mon cerveau dit non, mais ma chatte dit oui.
Comme depuis quelques jours ma vulve est devenue autonome, je ne dis rien attendant la suite de ce qui va m’arriver.
Pas de chance, un léger vent doit faire bouger deux tôles et le bruit le dérange.
Les doigts me quittent et la porte fait un bruit quand elle se referme.
Troublée, j’attends un retour hypothétique. À l’aube, je rejoins, ma chambre en plongeant une tête dans la piscine pour refroidir mes ardeurs insatisfaites.
Dans la journée, je passe un maillot de bain et je vais dans le bungalow. Il est toujours ouvert et rien ne me dit qui est la personne qui m’a rendu visite la nuit dernière.
Comme la veille, je retourne dans la nuit et je m’installe comme la veille.
Si le fantôme vient, je m’allonge et je laisse une de mes jambes tomber pour mieux dégager mon sexe et ainsi faciliter la pénétration.
J’attends une petite demi-heure et je dois m’être assoupie, car c’est la main cherchant ma jambe qui me ramène à la réalité, qui vient dans cette cabane la nuit est-ce un ouvrier revenu de vacances, un inconnu venu comme moi attendre un des ouvriers ou un fantôme qui a trouvé asile ici.
Les deux premières idées sont plausibles mais pas le fantôme, car tout le monde sait qu’ils se déplacent sans toucher les êtres vivants. La main qui remonte le long du corps est remplacée par des lèvres qui papillonnent jusqu’à ma cuisse pour atteindre mon vagin sont bien vivantes elles.
Avec mes mains, je saisis la tête qui est à ma portée et les cheveux touffus m’indiquent que mon visiteur est une visiteuse qui place ses lèvres au centre de mon sexe pour attraper mon clitoris.
J’ai la réponse à ma question, le sentiment de peur que je pouvais avoir me quitte pour faire place à de l’interrogation sur mon inconnu qui a quitté mon clitoris pour faire pénétrer sa langue au fond de mon vagin comme le ferait une petite bite.
Là encore, lorsque j’ai vu cette grue déposer l’algéco derrière ma haie jamais, il me serait venu à l’esprit qu’il m’apporterait de beaux amants noirs et blancs, la découverte de la trahison de Gaétan avec une anglaise et maintenant si je sais être patiente l’apprentissage des plaisirs entre femmes.
Ne pas effaroucher celle qui s’est sauvée hier comme une voleuse lorsqu’elle a entendu du bruit au risque qu’elle me quitte à jamais et que toute la vie, je sois frustré de ce plaisir inconnu pour moi à mon âge.
Je tire doucement sur les côtés de son crâne pour la faire monter jusqu’à ma bouche.
J’y arrive et la douceur du baiser que nous échangeons me change de la rudesse de ceux que mes hommes me prodiguent.
Ce simple baisé doublé du corps de cette femme qui se frotte au mien est suffisant pour que ma chatte se mette à mouiller de plaisir.
Les deux doigts qu’elle plonge en moi sont le départ d’un orgasme qu’il m’est difficile de décrire avec des mots tellement, il est douceur et dévastateur à la foi.
Je veux rendre à celle qui vient de me faire jouir le plaisir ressenti alors je la renverse au fond du lit le long de la paroi de métal et je fais un mouvement avec ma bouche pour rejoindre la fente que je trouve juteuse de ma petite-maîtresse.
Il y a bien longtemps que je me servais de terme de « maîtresse », mais c’est loin de maintenant où elle écarte ses cuisses pour que ma langue rende les mêmes honneurs à son clitoris puis le fond de son vagin.
Pour la première fois, je vais jouir une femme, mais ces derniers jours est pour moi une succession de première fois.
Nous nous lovons l’une contre l’autre nos ventres satisfaits des plaisirs que nous nous sommes procurés et nous nous endormons jusqu’à l’aube…

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