LE ROUGE A LEVRES

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LE ROUGE A LEVRES Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE ROUGE A LEVRES
Ce matin, je finissais de me préparer. Richard devait partir prendre son avion pour la Pologne afin de visiter notre centre opérationnel. Nous avions déporté un grand nombre de nos activités dans ce centre Near-Shore qui nous permettait de dégager de bonnes marges opérationnelles. C’est d’ailleurs l’étude d’extension du centre pour lequel il était à la recherche de nouveaux investisseurs est en discussion très avancées avec le mari de Marielle. J’avais prévu d’ailleurs de passer voir Marielle le midi afin de lui rendre ses affaires et notamment sa culotte que j’avais chèrement gagné lors de ma visite au club quelques jours auparavant. J’étais enfin prête dans mon nouveau tailleur pantalon d’un chic incomparable. Le look du tailleur était adapté au milieu professionnel, mais aussi pour des occasions plus mondaines. J’avais opté pour une couleur vive avec un pantalon large de couleur bleu électrique garantissant une vision bourgeoise et illuminée et dont la taille haute mettait en valeur ma forte poitrine au travers d’un chemisier blanc à col montant fermé et une coupe cintrée. Mes escarpins étaient masqués par les pattes amples et longues du pantalon ne dévoilant que leur pointe, et j’avais relevé les manches de ma veste afin d’accentuer le coté Business Woman.
Notre maison sur trois niveaux se composait d’un plein pied en deux zones, un espace parent avec chambre, dressing, salle de bain, et un espace à vivre avec salon, espace dînatoire et cuisine, en continuité avec des accès aux jardins, terrasses extérieures et piscine et une grande baie vitrée sur l’espace cuisine et dînatoire. Le premier étage était pour les enfants avec trois chambres et une salle de vie home cinéma. Le sous-sol avec bureau, chambre d’ami, cave et garage donnait un accès direct au portail et l’allée de la propriété.
Je sortais de notre chambre pour me faire un café, et donner mes instructions à Jérôme notre paysagiste qui passait une fois par semaine et qui était occupé à faire la première tonte de pelouse du printemps et remettre en fonction la piscine pour la saison à venir. J’observais Richard du coin de l’œil, qui découvrait ma tenue espérant que cela réveille son désir pour moi éteint depuis la partie de poker.
- Ton Taxi arrive bientôt mon chéri, tu as le temps pour un café ?
- Oui bonne idée, mon taxi arrive d’ici 20 minutes. Au fait, Robert devait me déposer mon projet d’extension avec ses commentaires avant de partir, mais il est en retard si tu peux juste le récupérer et me le déposer au bureau dans le coffre s’il te plaît… - Oui, mais il doit arriver quand, car je suis un peu à la bourre ce matin, j’ai une réunion à 10h30 pour finaliser notre prochain événement partenaire ?
- D’ici 30 minutes, mais trop tard pour moi…
Nous étions dans la cuisine tous les deux en train de boire notre café, Richard m’observait comme il savait le faire, suscitant ma gêne. Il se rapprocha de moi, plaquant sa main sur mes fesses pour me palper mon cul au travers de mon pantalon bleu électrique…- Plutôt bandante ma mâture avec son nouveau tailleur…- Hummm, amour, quand même, tu me regardes enfin, tu m’as pourtant ignoré…- Oui ma salope, mais je n’aime pas te voir jouir avec des petits jeunes…- Ahhhh bon pourtant t’aime bien me voir me faire prendre par d’autres…- Oui, tu sais que j’adore te voir te faire baiser, mais t’as pas le droit de jouir… Car avoue-le ma belle tu as joui avec ce rustre, ça se voyait dans tes yeux et tes gémissements, une vraie chienne en chaleur…- Oui il m’a fait jouir, mais surtout parce que tu me regardais, et je sais combien t’aimes me regarder me faire baiser par d’autres… - Hummmm, t’es vraiment la reine des putes, d’ailleurs, tu sais quoi ma salope, pour te faire pardonner, tu vas me vider dans ta bouche avant que je parte…- Viens dans la chambre, sinon Jérôme va nous voir…- Justement, c’est ta punition, sucer ton mari devant le jardinier… Dépêche toi t’as 5 minutes ma bourgeoise…Il me prit par la nuque et me roula une pelle, fourrant sa langue au plus profond de ma bouche. Il joua avec ma bouche comme un serpent, vicieux. L’extrémité de sa langue pénétrait dans chacune des cavités de ma bouche. Il rentrait et sortait sa langue en permanence comme un serpent afin de pouvoir humer les odeurs de son environnement. La sensation de pénétration de ma bouche était fascinante. Il dégustait, nettoyait ma bouche comme un prédateur affamé. Pendant que je m’appliquais à le sucer avec gourmandise, il sortit son sexe. M’attrapant par les cheveux, il me força à m’agenouiller devant lui et me fourra son sexe dans la bouche… Enfin, mon homme me désirait à nouveau. Les 1200 euros dépensaient dans ma tenue n’allait pas être inutile. Après plusieurs semaines d’abstinences, je me retrouvais enfin avec sa grosse bitte dans ma bouche, et je sentais son envie débordante.
- Vas-y ma cochonne, prends-moi bien dans ta belle bouche fais ta bourgeoise, suce-moi, ouiiiiiiiiii comme ça bien au fond …… Oh putain t’es vraiment la reine des butineuses… Tu l’aime ma bitte hein salope, elle est meilleure que celle de ton rustre de cavalier… Haaaaaaa, Redresse-toi un peu que je te palpe tes belle mamelles….
Il était gonflé de sperme et de désir, et me limait la bouche comme un fou, me tenant par la nuque d’une main et me palpant mes seins au travers de mon tailleur de l’autre. J’étais affamée, gourmande, anxieuse, mais abandonné depuis trop longtemps. Je le suçais comme notre première fois 25 ans plus tôt. Comme une forcenée, je voulais lui vider les couilles, qu’il se soulage en moi, qu’il me gicle dessus, qu’il me viole la bouche. Je l’avalais, l’aspirais, le léchais… Quand son liquide se répandit enfin sur moi, sur mon visage, de grand jet me recouvrèrent. Je le buvais, le dégustais, comme une liqueur rare, comme un nectar divin… Je l’aimais comme une folle, et je savais que lui aussi… J'en avais partout sur le visage dans la bouche sur mes cheveux, et pour finir, il s'essuyait le sexe dans mon carré roux définitivement sali par son sperme.
- Richard, tu es terrible, tu sais que je n'ai plus le temps pour une douche maintenant...
- C'est parfait comme cela ma salope, tu vas garder les traces de sperme toute la journée en pensant à moi... Bon, mon taxi arrive faut que je file, et fais attention au jardinier, il a tout vu, il doit bander comme un âne maintenant.
- Chérie, tu es vraiment un sale vicieux- C'est pour ça que tu m'aimes, mais toi aussi, tu es une vraie cochonne... N'oublie que Robert doit passer d'ici 10 minutes, et prépare ton petit trou pour vendredi, tu m’as donné une envie folle de t’enculer dès que je vais rentrer… bisesIl partit me laissant seul. Je filais à la salle de bain pour me nettoyer. J'en profitais pour récupérer la culotte de Marielle cachée dans mon tiroir de lingerie, et faisais une toilette rapide...
- Y-a quelqu'un ???
C'était Robert qui venait d'arriver...
- - Oui, entre-je suis juste dans la salle de bain, j'arrive fais toi un café...
Je continuais à me maquiller rapidement, et sortie de ma salle de bain pour traverser ma chambre... Je sursautais en voyant Robert, la devant moi en plein milieu de ma chambre, avec la culotte de Marielle que j'avais posé sur le lit dans sa main...
- Robert tu m’as fait peur que fais-tu dans ma chambre ?
- Et toi tu peux m'expliquer ce que tu fais avec la culotte de ma femme pleine de sperme sur ton lit ?
- Robert, je vais t'expliquer, ce n'est pas ce que tu crois, j'ai juste récupéré la culotte chez Christophe à la place de Marielle, et je dois lui rendre aujourd'hui...
- Ahhh bon et tu vas me faire croire que tu as fait ça gratuitement, car il a dû te faire dérouiller sévère le cavalier... C'était quoi le deal, c'est avec toi que ma femme passe ses pauses déjeuners.... Oui, c'est ça, tu te payes ma femme, salope, alors tu n’en es pas assez de te taper tous les mecs de la région, en plus tu me piques ma femme, et il est au courant ton mec...
- Robert, calme-toi, d'abord, je te prie de reste courtois et polie...
- Courtois et polie, en plus, tu me prends de haut... Tu te tapes ma femme, et tu me snobes... Viens ici, je vais t'apprendre la courtoisie moi... Et tu as intérêt à être docile si tu ne veux pas que reparte avec mes documents signés et que le projet de ton mec s’arrête aussi sec...
Il me saisit par l'épaule, et m'attira vers lui... Debout prés de mon tiroir de lingerie encore ouvert, il fouillait dans le tiroir retournant mes culottes et mes portes jarretelles pour se saisir de plusieurs dessous et les jeter sur le lit.
- Sacre collection de dessous ma belle, je vois pourquoi ton mec cherche du fric, tu dois lui couter une fortune en petite culotte. Remarque à chaque fois que je t’ai vue remonter ta jupe tu portais un modèle diffèrent, on va tester ceux-là aujourd’hui...
Il avait choisi deux portes jarretelles l’un léopard et l’autre bleu ainsi qu’une culotte blanche entièrement en dentelle brodée originale et exclusive combinant des entrelacs de fleurs stylisées et une bordure géométrique puissante très tendance.
Il me poussa sur le lit entièrement allongé sur le ventre et s'assit sur mes cuisses afin de me maintenir tranquille et immobile. J'essayais de protester, mais il m'enfonça la culotte de sa femme dans la bouche afin de me bâillonner...
- Je suppose que tu dois reconnaître l'odeur de la chatte de ma femme et du sperme des mecs qui t'ont baisé au manège... Ohhhh mais dis-moi, c'est quoi ces traces dans tes cheveux... Je n'y crois pas, tu t'es fait asperger avant que j'arrive, t'es recouverte de sperme ma pute... Parfait parfait, comme t'es déjà bien chaude de la bouche, je vais m'occuper du reste, mais avant je veux que tu restes bien docile... Voyons ce qu'on a...
J'essayais de me débattre agitant mes bras afin de le déstabiliser, mais assis sur moi, je ne pouvais pas faire grand chose. Il s'empara de mes bras, et me les attacha dans le dos avec un de mes portes jarretelles. Il fit de même avec mes jambes utilisant un autre porte jarretelles pour m'attacher fermement mes jambes. Il prit ensuite une ma culotte en dentelle qu’il plaça sur mon visage afin de m'aveugler. Pour finir et afin d’accentuer encore plus mon humiliation, il me recouvrit mon visage d'un bas qu’il déchira au niveau du nez, pour me maintenir la bouche bâillonnée avec le slip de sa femme, mon aveuglement avec ma culotte mais aussi me permettre de respirer... Il se relava me laissant sur le lit immobilisé, attachée, à sa merci, complètement vulnérable... Il me releva également, j'étais debout dans ma chambre ficelée comme une oie... Me tenant d'une main par la veste de mon tailleur. Je sentais qu’il me regardait, me scrutait me matait comme une proie, me sentait, reniflant mon odeur comme un prédateur se préparant à utiliser sa proie. Il s'amusât alors à me peloter ma poitrine pulpeuse au travers de mon chemisier blanc... Il commentait tous ses gestes de manière vulgaire, me traitant comme un animal, une proie capturée dont il allait faire son amusement...
- Je vois que madame à fait les boutiques... Super tailleur, le bleu te va à ravir... T'es vraiment une belle génisse, on va voir si tu préfères les caresses de ma femme ou les miennes… Bouge la tête et gémis pour me dire que t’aime ca ….
Sa main se plaqua sur mon entre-jambe baissant d’autorité le zip de mon pantalon et passant sa main entre mes cuisses… Je sentais la pression de mes doigts sur ma chatte au travers ma culotte. Il me massait le sexe, alors que je ne pouvais me défendre. La pression était jouissive, quand un de ses doigts s’immisça en dessous de ma culotte me pénétrant la chatte pour jouer de mon désir… Debout au milieu de ma chambre, je me faisais doigter par le mari de mon amante, qui avait par le passé déjà abusé plusieurs fois de mon corps en feu. Je sentais le désir monter en moi et me tortiller répondant aux caresses bestiales sans vraiment le vouloir… il devait s’en apercevoir… Il m’inviter me demandant de confirmer…. J’oscillais la tête et me gémissement ne laissait aucun doute sur mon état ….
- Mais tu es entrain de jouir salope, t’es vraiment la pire des cochonnes… Je vais bien m'occuper de ton cul ma pouliche, une petite correction pour commencer afin de te faire pardonner de ta faute salope, ça va te faire du bien...
Il s'assit sur le lit et m'allongea en travers de ses genoux, plaçant mon fessier à portée immédiate de sa main pour m'appliquer une véritable fessée. Je m'agitais et gémissais sous mon bâillon, mais de son bras libre, il me maintenait en l'enroulant autour de mon bassin. Ma position était très embarrassante, car très infantilisant et humiliante. De grandes claques dure, et forte s'abattirent sur mon pantalon, très nombreuses... J'essayais de me débattre, mais attachée, je ne pouvais que remuer mon corps... Il plaça alors mon postérieur en équilibre sur l’un de ses genoux et rabattit son autre jambe mes cuisses, m'enserrant et m'interdisant ainsi tout mouvement. Je ne pouvais plus remuer et encore moins à échapper à son étreinte. Il continuait sans jamais dépasser mon seuil de tolérance alternant le rythme et la force des claques. Taquinant ma croupe avec de bonnes volées de claques, suivies de caresses, de manière que je ne sache plus vraiment où j'en étais. Je lâchais prise au moment où il arrêta me relava pour m'entrainer avec lui dans la cuisine en sautillant restreinte par mes portes jarretelles fermement accrochées à mes chevilles. Sa main continuait à s'abattre sur ma croupe afin de me motiver. Une fois dans la cuisine, il me coucha en levrette sur le rebord de la table de la cuisine visage tournait vers l'extérieur.

Outre la connotation très animale de ma situation, j'étais totalement soumise et n'avais que peu de possibilités d’action avec cette position. Étant de dos, bâillonnée, aveuglée et attachée mains et chevilles, je ne pouvais ni voir ses réactions et ses gestes. Il passa ses mains autour de ma taille afin de me déboutonner mon pantalon qu'il fit glisser à mi-cuisse, me laissant que mon string Lise Charmel bleu Splendeur Soie et Coloris fidj. Je l'entendais fouiller dans mon sac à main que j'avais laissé sur la table...
- t'es vraiment super appétissante ma génisse, un beau gros fessier pareil ca ne peut pas être que réservé à une seule personne... D'ailleurs, on va faire un peu de pub pour ton gros cul cochonne.
Il avait pris mon tube de rouge à lèvres dans mon sac, et m'écrivait sur les fesses et le bas de mon dos en riant aux éclats... Je sentais son écriture sur le haut, ainsi que sur la gauche et enfin sur la fesse droite. J’essayais de deviner ce qu’il pouvait écrire, et me doutais que cela devait être graveleux… Je reconnaissais un « A » un « I », un « G » un « O » un « P »… Mais impossible de deviner….
- Attends-je vais prendre ton gros cul en photo maintenant, et je suis sûr que tu vas avoir beaucoup d'amateurs... En attendant je vais déjà envoyer ça à Marielle, elle devrait reconnaître ton cul...
J'avais beau gémir et essayait de me débattre, j'étais de toute façon complètement soumise, comme un objet qu’il allait sûrement utiliser de toutes les façons possibles... Je l'entendais dégrafer son pantalon et sentis enfin son sexe contre moi. Il jouait avec son gland sur l’entrée de mes orifices. Titillant mon vagin, essayant de simuler une sodomie en pressant son gland sur mon petit trou, serrant son sexe entre mes fesses pour le faire coulisser et se masturber… Il me pénétra d'un coup sec... Son sexe en moi me fourra la chatte. Il me maintenait par la veste de mon tailleur et me buriner comme un taureau. Sa main continuait à claquer mon cul. Me tirant aussi par mon bas de nylon afin de relever mon visage et accentuer ma position, alors que son dard explorait ma chatte dans des va-et-vient ininterrompus. Il me perforait, me buriner me baisait comme une chienne, comme sa génisse... Tout en m'insultant...
- Bouge ton gros cul ma pute, remue-moi ces grosses fesses... T'aimes ça te faire prendre comme une grosse vache, te faire saillir, elle ne te baise pas comme cela ma femme avoue...
Je ne pouvais répondre, mais continuais à gémir. Je subissais les assauts de ce marteau piqueur, un bourreau vicieux qui me faisait jouir comme la belle salope que je suis. J’en prenais plein la chatte. Il explorait tous les recoins de mon vagin. Son pouce se posait sur mon anus, me titillant alors que son gros dard continuait à me saccager. Je perdais le contrôle, je me laissais aller, me laissait prendre, perdant le contrôle de mon corps et de mes sens. Plus que son sexe en moi ma position de soumise m’anéantissait. Son pouce était maintenant au fond de mon anus jouant avec mon cul alors que son membre continuait à me perdre. Mes gémissements se transformaient en soupir de jouissance, je me perdais et m’évanouissais progressivement…
Il continua à me défoncer pendant plusieurs minutes, lorsqu’au travers d'un grognement ultime, il se déversa enfin sur mes fesses... Je sentais le liquide se répandre sur moi mais n’était plus en mesure de discerner la moindre chose, si ce n’est ce liquide sur moi et les mains de mon agresseur sur ma croupe marquait de rouge à lèvre…- Oups je crois que j'ai un peu salie ton tailleur de bourgeoise ma salope... Hummmm t'es vraiment toujours aussi bonne... Garde la position, pendant que je me rhabille... Et t'inquiète pas, ce n’est que le début...
J’étais presque dans un état second mais pouvais quand même sentir son sexe baveux se frotter sur mes fesses et sur mon pantalon afin de se nettoyer.
- Oulalalalalala, tu es une vraie artiste, une danseuse du cul … Je crois que ton fan club est vraiment très impatient... Sois docile et ne t’inquiète pas les instructions sont clairement affichées sur ton gros cul de pouliche. Au fait ta maitresse vient de me répondre, apparemment tu as rendez-vous avec elle ce midi, donc interdiction d’effacer le rouge à lèvre ….
Il m’appliqua une claque sur mon fessier offert. Non mais quel salaud il me laissait dans cette posture avec mon jardinier... Qu'allait-il penser de moi... J’avais tellement joui que je n'essayais même pas de me soustraire à mon étreinte de tissus, qui de toute façon était serrée trop fort... Sa main se reposa sur mes fesses pour me caresser pendant de longues minutes, doucement sans un bruit comme une berceuse… Je m’assoupie. Lorsque dans mon demi-sommeil je sentis dans une présence autour de moi... Un souffle rauque juste derrière moi, et enfin une grosse main m'appuyant dans le dos afin de me garder en position de levrette sur le bord de la table... Je dormais, somnolais mais comme dans un rêve j’’entendais et écoutais docilement… - Bonjour chère Madame, quelle élégance, quelle posture, Alors voyons ce qu'il y a au menu. Jolie tatouage sur votre fessier, votre rouge à lèvre est absolument exquis… ne bougez pas ma beauté que j'arrive à lire... " JE SUIS UNE SALOPE …ANAL GRATUIT... GROS CUL À PRENDRE… "... Quel programme, et bien s'il n'y a que ça pour vous faire plaisir... Et quelle élégance, une vraie bourgeoise bien mise, qui rêve de se faire enfourner…
Un doux rêve, j’étais dans un état de béatitude. Possédée, prise, violée, défoncée, et totalement ouverte et offerte pour l’acte suivant. Mais, mais, mais ce n’était pas Jérome qui me parlait, aucun accent régional, pourtant cette voie m’était tellement familière, je rêvais surement d’un amant passé… Un sexe inconnu, s'empara de mon anus, sans aucun préliminaire, gros dure, majestueux, je me faisais enculer par un inconnu.... Il me parlait, le même langage que Robert, m’insultant, continuant à me faire rougir les fesses… Je me fie à nouveau défoncer en levrette. Sodomiser, enculer, sa main droite tirant sur le bas pour me relever alors que sa grosse main gauche s'attaquer à mon chemisier afin d'ouvrir et libérer mes gros seins... Il écarta mon soutien-gorge laissant mes grosses mamelles pendouiller comme une bonne laitière. Il s'empara de mes seins alors que son sexe ravageait mon petit trou... Une furie un animal en rut, il me faisait jouir comme une démente me laissant désemparée et défaite. Il continuait à me parler tout en me dévorant…- Hummmmmm ma tata, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas profité de ton beau gros cul…. T’as pris un peu de poids ma salope depuis la dernière fois, par contre tes mamelles sont toujours aussi pulpeuse ma belle vache…. Ouiiiii bouge ton corps ma grosse pute de tantine…. Ouiiii comme ça bouge-moi ton gros derche…. Tu reconnais ma belle bite ma bourge… Oui bouge… Dis moi que ton neveu t’a manqué !!!!
Sebastien !!!! C’était Sébastien… Mon neveu avec qui j’avais rompu depuis plusieurs années, il profitait de ma situation… Il abusait une fois de plus de sa tante, tel le cochon vicieux qu’il avait toujours été… Que faisait-il la, comment pouvait-il savoir que je serais dans cette position, une nouvelle machination ou juste un rêve et je confondais Robert ou Jerome avec mon neveu… Tout en continuant à m’enculer il déchira mon bas au niveau de la bouche afin de m’enlever la culotte de Marielle… m’intimant à confirmer que j’aimais cela…- Oui prends moi, défonce-moi, j’aime trop ta grosse queue, j’ai besoin que tu te vides en moi… Ahhhhhhhhhh, tu me rends folle….
- Continue ma tata, bouge-toi bien, remue-moi ton gros fessier… Hoooooo, t’es toujours aussi bonne… toujours aussi bien habillée, ton look de bourgeoise sur ce corps de grosse vache m’a tellement manqué….
J’étais soumise et anéantie, et avais perdue cette maitrise intellectuelle ou maintenant seul les sens pouvaient encore répondre… Couchait en levrette, mains et chevilles solidement attachées, pantalon juste baissé à mi-cuisse, offerte comme un objet, une poupée… Il sortait son sexe de mon anus pour me l’enfonçait dans ma chatte et me baiser come une folle, et retournait dans mon petit trou pour me limer de plus belle … Son sperme enfin se répandit au fond de mon cul.... Il se vida de chaque goutte, grognant sur mon corps défait… Il tapota son sexe sur mon gros fessier outragé rapidement et méthodique pour enfin partir me laissant seule. Je restais effondrée sur la table, endormie, heureuse, remplie et recouverte du sperme de mes violeurs. Je repris mes sens sans avoir vraiment la notion du temps avec une envie profonde de revivre ce moment tellement intense et unique. Il me fallut quelques minutes pour enfin me libérer, me retrouvant seule dans la maison, tout le monde était parti. Était-ce vraiment mon neveu qui venait de m’enculer. Pourquoi était-il la aujourd’hui ? Était-ce une machination ? Je n’avais que des soupçons… Cependant je savais que l'homme qui venait de m'enculer de façon si intense allait surement revenir rapidement...

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Texte coquin : LE ROUGE A LEVRES
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