Le tour de l’Europe du sexe (5): Les fameux bain turc

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le tour de l’Europe du sexe (5): Les fameux bain turc Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le tour de l’Europe du sexe (5): Les fameux bain turc
Après mon séjour dans la famille bulgare, je me rends à Istanbul en train. Je connais pas la Turquie mais je suis sûr que je vais adoré et que ça va me rappeler les années où j’ai vécu au moyen orient. J’ai hâte de retrouver les marchés aves ses odeurs et ses couleurs mais aussi l’hospitalité qui règne en maitre dans ses pays. Comme le trajet est assez long, j’ai le temps de me mettre dans l’ambiance.

Sur place je loge chez mon cousin qui fait sa coopération militaire là-bas. Je suis content de revoir Dan surtout que cela fait des années que nous nous sommes plus vu. Pour l’instant je n’ai pas trouvé de petits boulots sur place mais je n’ai pas de logement à payer et la vie est pas chère. Mais je compte aussi sur mon cousin pour me présenter des personnes qui pourraient m’engager au moins pour quelques heures.

Une fois enfin arrivé à la gare, mon cousin m’attend sur le quai. Nous allons chez lui à pied ce qui lui permet de me montrer des lieux à visiter mais surtout de me mettre directement dans le bain de l’agitation istanbuliote. Sur le chemin, je sens beaucoup de regard sur moi, c’est vrai qu’avec mon short et mon t-shirt psychédélique je fais un peu tache.

Une fois arrivé dans son appartement, un joli 3 pièces qui nous laisse avoir chacun notre chambre, il me fait le tour du propriétaire. Il me donne un double des clés et un petit papier avec son adresse écrit en turc et en phonétique mais aussi son numéro de téléphone et ceux d’urgence. J’ai prévu de rester une petite semaine chez lui alors je m’installe confortablement.

Une fois mon sac vidé, je sors faire un tour et surtout visité un marché pas très loin. J’adore déambuler dans les allées, découvrir des fruits et des légumes que je connais pas. Il y a aussi beaucoup de stand de traiteur alors j’en profite pour goûter certaines spécialité qui ont pas dépassées les frontières. J’achète aussi de quoi cuisiner pour préparer un bon diner à Dan pour le remercier de son hospitalité. Une fois qu’il est rentré, nous passons une excellente soirée à ressortir plein de vieux souvenirs jusqu’à 3 heures du matin.

Ce matin, je me réveille vers midi. Ca fait du bien de dormir et récupérer la fatigue. Mon cousin est déjà parti depuis un moment, je l’ai pas entendu. Il m’a prévenu qu’il rentrerait tard mais que le lendemain, vendredi, il travaille pas donc nous partirons pour un long week-end sur les bords de la mer noire, il parait que c’est magnifique.

Même si la journée est bien entamée, j’avale un café et m’habille pour aller arpenter la ville. Aujourd’hui je porte un jean et un t-shirt sobre pour moins attirer les regard que la veille. J’aime déambuler dans une ville sans but précis, ça me permet de faire des découvertes mais surtout de rencontrer la vraie population et non celle réservée aux touristes. Je passe d’une petite rue à l’autre, les personnes dans la rue me font beaucoup de sourire mais je sens quand même des regards se poser sur moi.

Au coin d’une rue, je tombe sur une maison qui à l’entrée complètement carrelé. Je me renseigne sur ce lieu et un homme, qui parle bien l’anglais, m’explique que c’est un hammam. Par contre, il me conseille d’aller plutôt en centre ville car celui est loin d’être grandiose et pas assez propre pour un européen. Je décide de quand même y aller car, justement, c’est le côté typique et local que je recherche dans ce voyage.

Je paye mon entrée au caissier qui me regarde comme une bête curieuse. Il me tend une serviette blanche, qui ressemble plus à un morceau de tissu qu’a une éponge, mais aussi un gant de crin et une clé de casier. En traversant les lieux, pour me rendre au vestiaire, je tombe sur une grande pièce avec une quinzaine de banquette agencées en rond. La plupart sont occupées par des hommes, de différents gabarits, ne portant rien d’autre que le morceau de tissu blanc autour de la taille, certains sont même complètement nus.

Des hommes frottent le corps d’autres grâce au gant de crin. Je sens tous les regards se tourner vers moi, je leur fais un grand sourire tout en les admirant. J’en vois un qui se frotte l’entrejambe, d’une taille plus qu’honorable, sans aucune discrétion, je dois avouer que ça m’excite. En plus les serviettes ne sont pas grandes donc suivant la largeur des mecs, elles découvrent plus ou moins leur corps. J’apprécie de plus en plus cette adresse.

Un jeune homme, veut d’un petit short et t-shirt blancs vient vers moi. Il se présente en me disant qu’il est le neveu du propriétaire et qu’il travaille ici. Il m’accompagne vers des cabines alors que je le détaille. Il doit avoir mon âge, il est assez fin mais pas mal musclé et, contrairement aux autres turcs que j’ai vu dans les bains, il est totalement imberbe. Il a des fesses plutôt plates mais je leur dirai quand même pas non. Je passe devant lui et je sens son regard se poser sur mon cul bien moulé dans mon jean.

Quand je le double, je remarque une belle bosse au niveau de son entrejambe, soit il bande déjà soit il est extrêmement bien monté. Il m’entraine dans une grande cabine avec une seule banquette au milieu et s’excuse, dans un anglais parfait, que la cabine est pas des plus propre (il a jamais vu l’état de mon appartement!).

Il retire le drap sur la banquette et le remplace par un propre en se penchant. Il fait ressortir son cul qui me semble bien plus rond et musclé que tout à l’heure. Le petit morceau de tissu qui l’entoure, se soulève et dévoile le bas de ses fesses. Je trouve beaucoup plus excitant de deviner le reste plutôt que tout découvrir directement. Ma queue est bien d’accord car elle commence à sérieusement se tendre.

Il ferme la porte en verre poli et s’approche de moi en m’expliquant qu’il a travaillé des années dans un grand hôtel en temps que masseur et que maintenant il aide son oncle. Il retire mon t-shirt tout en continuant de me parler, je me laisse faire en pensant que c’est une coutume locale. Il me demande si j’accepterai de me faire masser par lui. J’accepte du coup il s’agenouille devant moi et ouvre mon jean pour le retirer.

Il se retrouve nez à nez avec mon érection, en plus je porte pas de boxer aujourd’hui alors ma queue rebondit et vient taper contre mon menton ce qui le fait rire alors que je rougis. Il plie mes vêtements et quitte la cabine sans dire un mot. Alors que je me retrouve seul, comme un con, je fixe la porte pour guetter son retour. Je vois plusieurs ombres passer et même s’arrêter mais aucune pousser la porte pour me rejoindre.

Je décide de m’allonger sur le dos et recouvre mon intimité d’une petite serviette quand j’entends plusieurs voix parler en turc. Le ton monte de plus en plus et est suivi par un silence. Mon masseur revient enfin me rejoindre et s’excuse de l’attente. Il s’est changé et ne porte plus qu’un drap comme celui que l’on m’a donne à l’entrée.
Je lui demande pourquoi des personnes s’engueulaient dehors, il me répond de pas m’inquiéter. J’insiste alors pendant qu’il sort de l’huile de massage il m’explique qu’un homme lui a dit qu’il adorait mon petit cul et voulait passer un moment avec moi. Ma bitte se redresse mais quand il me dit qu’il déteste ses mecs, que se sont des malades qu’il faut enfermé, mon sexe se dégonfle.

Il pose ses mains sur ma jambe gauche et commence à masser. Les mouvements de ses doigts sont à la fois doux et puissant. Il remonte doucement vers mes cuisses en faisant des mouvements circulaire de plus en plus amples. Sa main glisse à l’intérieur de ma jambe, passe sous la petite serviette et se rapproche des mes couilles qu’il finit par soulever, ma queue se met à frétiller. Il fait la même chose avec mon autre jambe ce qui manque pas de continuer à m’exciter.

Ensuite il monte directement s’occuper de mon ventre et mon torse. Je vois qu’il prend un réel plaisir à faire passer ses doigts entre mes poils. Il se met au niveau de ma tête et se penche sur moi pour poser ses mains sur mes aines et les remonte tout doucement jusqu’à mes épaules. Entre son corps qui se pose sur le mien, l’odeur de l’huile de massage et ses doigts qui effleure ma queue, je contrôle plus les réactions de mon sexe. J’ai envie qu’il le prenne en main, en bouche ou dans son cul mais vu sa réflexion de tout à l’heure il faut que je me calme, surtout que ma queue se met à bien soulever la serviette.

Mais il m’aide pas du tout car il vient s’assoir sur mes jambes, du coup sa serviette se déplace et me dévoile une grande partie de son intimité, sans compter l’autre partie que je sens contre ma peau huilée. Il continue à s’occuper de mon torse avant d’attraper mon bras gauche et le tendre vers lui. Dans cette position, mes doigts sont sous sa serviette et à quelques millimètres de son entrejambe, j’ose pas les bouger pour le tâter.

Alors qu’il s’occupe de mon autre bras mes doigts tombent directement sur sa tige. Je jette un coup sur son pagne est remarque que non seulement il bande méchamment mais qu’en plus il est extrêmement bien monté, plus de 20 centimètres. J’espère que c’est moi qui lui fait cette effet car après que j’ai voulu qu’il s’occupe de ma bitte, j’ai envie de m’occuper de la sienne et de la sentir dans chacun de mes trous. Malgré sa serviette aussi tendu qu’une tente, il continue son massage comme si de rien était.

Quand il me demande de me retourner, je me sens soulager car je vais enfin pouvoir écraser ma queue contre la banquette et me calmer. Il s’occupe de mes épaules, grâce à l’huile ses doigts sont doux comme ceux d’une femme mais puissants comme ceux d’un mâle viril.

Pour s’occuper de mon dos, il revient s’assoir sur moi et je sens ses couilles lisses contre l’arrière de mes cuisses. bien que j‘appuie au maximum mon costume 3 pièces contre la banquette, j’arrive pas à débander. Je soulève un peu mon bassin pour mettre autrement ma tige mais il le prend comme une invitation à me masser la fesses, ça va devenir très complique de me calmer si ce n’est impossible.

Apres avoir complètement retiré la serviette qui me recouvre, sans même me demander, ses mains me malaxent les globes sans plus aucune délicatesse. Il m’électrise encore plus quand ses doigts parcourent ma raie de bas en haut. Il ne se gêne pas alors moi non plus, j’ondule du bassin pour l’inviter à aller encore plus loin. Ses mains me quittent et je sens qu’il verse de l’huile directement entre mes fesses. Une petite flaque se forme au niveau de ma rondelle alors que le reste coule le long de mes bourses et mes cuisses.

Il se remet à balayer frénétiquement mon oeillet, je me soulève de plus en plus pour bien me cambrer. Maintenant que je suis presque à genoux, sa main va du haut de mes fesses à ma rondelle puis descend sur mes couilles pour finir sa course sur mon gland avant de remonter. A chaque passage il s’attarde, de plus en plus, sur l’entrée de mes entrailles en formant des cercles pour m’ouvrir.

Je me cambre encore plus pour l’inviter à rentrer son doigt en moi et c’est ce qu’il fait pour notre plus grand plaisir. A chaque passage, il s’enfonce encore plus dans mon petit trou avant de retourner vers mon costume 3 pièces. Il sait très bien s’y prendre pour me rendre aussi chaud qu’une bouillotte. Maintenant, il rentre 2 doigts entre mes fesses, je pousse en arrière pour qu’il aille encore plus profondément en moi.

J’ai l’impression de devenir une vraie salope en chaleur, j’ai envie qu’il remplace ses doigts par son mat. Je veux sentir ce turc se planter en moi, je suis tellement chaud que je serai même prêt à satisfaire tous les autres hommes du hamman qui doivent m’entendre gémir de plus en plus fort. Mais pour le moment, il y a que ces doigts qui me visitent alors je décide de prendre les choses en main.

Je profite que sa main soit sur mon sexe pour me retourner et lui arracher le morceau de tissu qui l’empêche d’être complètement nu. Je découvre un pylône ferment dressé avec deux grosses couilles pendantes en-dessous que j’espère entièrement vider. Plus de temps à perdre, j’empoigne ce membre que je convoite depuis mon arrivée et le fait glisser, directement, entre mes lèvres. Je le fais coulisser en moi jusqu’à ce que son gland circoncis vienne taper ma luette.

Ensuite, je le recrache pour lécher, gober et aspirer ses couilles qui elles aussi sont lisses. Il se laisse totalement faire et fait tomber sa tête en arrière pour encore plus profiter de mes caresses buccales. Je retourne sur sa bite que j’essaye de prendre entièrement en bouche mais il est trop long et large pour que j’y arrive alors je l’humidifie entièrement pour le préparer à venir me visiter.

Comme il bouge toujours pas, je me remets sur le dos et vient me glisser sous son entrejambe. Mon nez glisse entre ses fesses et pendant que je m’occupe de ses burnes je profite de l’odeur poivré de sa peau qui m’excite au plus haut point. Je recule un peu plus pour aller titiller l’entrée de son cul et encore plus profiter de son parfum intime. J’ai à peine le temps d’effleurer sa rondelle qu’il se dégage bien que je le tienne fermement par les cuisses.

Il m’explique que dans son pays il y a que les pédés et les femmes de mauvaises vertus qui se font bouffer le cul. Qu’en plus il a peur d’être accusé de prostitution par les autorités qui sont très sévères à se sujet. Il continue en me disant que c’est pour ça qu’il a du mal avec les clients du hammam, qui pense que comme ils le payent, ils ont le droit de profiter de son corps. Je le rassure en lui disant que ce n’est pas mon cas et qu’en plus les autorités locales écouteront moins un étranger qu’un istanbuliote.

Rassuré, il me laisse continuer mon anulingus et à l’air de vraiment apprécier mes coups de langue. Il se décontracte de plus en plus et je sens sa rondelle s’ouvrir ce qui me laisse le passage pour le sodomiser avec ma bouche. Il commence à remuer son bassin et s’assoir encore plus violemment sur moi pour que ma langue le pénètre encore plus profondément. Même si ma bouche commence à fatiguer, je me laisse faire tout en le branlant lentement.

Vu comme il apprécie que je m’occupe de son petit trou, je suis sûr qu’il se laisserait aller pour me sentir en lui mais j’ai quand même peur d’essuyer un refus et que tout s’arrête maintenant. Alors je continue de lui bouffer le cul tout en le masturbant de plus en plus énergiquement. Je continue à lui faire du bien jusqu’à a ce que je n’arrive plus à respirer tant il est assis sur moi.

Quand il finit par se soulever, je me retourne sur le dos et ouvre mes jambes en grand pour l’inviter à venir me visiter. Il pose son gland sur ma rondelle mais je l’arrête pour qu’il aille chercher un préservatif dans mon jean. Une fois protégé et le morceau de latex recouvert d’huile de massage, il titille mon oeillet avant de me pénétrer d’un coup sec. Bien qu’il est lubrifié mon fourreau et sa queue, je le sens bien passer et je ne peux m’empêcher de pousser un fort cri.

Il a pas le temps de se planter entièrement en moi, qu’on frappe à la porte et une voix grave doit demander si tout va bien. Mon masseur lui répond en turc et attend de plus rien attendre pour commencer à me limer. Sa bitte est tellement imposante, sans compter que ça fait plus d’un mois qu’on m’a pas enculer, qu’un mélange de douleur et plaisir envahit mes entrailles. Plus il me ramone plus le bonheur prend le dessus.

Je suis les mouvements de sa queue avec mes fesses pour aller à la rencontre de ce grand et dur mat que j’enfonce le plus possible en moi. J’adore sentir ses grosses couilles venir marteler mes fesses mais aussi la sensation de me sentir rempli et comblé. Je me redresse, empoigne ses fesses pour encore plus l’enfoncer en moi et profiter de cette bitte qui me fait tellement de bien.

Au bout d’un moment, je lui demande de sortir pour me mettre sur le ventre. Une fois qu’il est bien calé en moi, je pousse le vice jusqu’à approcher ma main de son oeillet pour le doigter. Contrairement à ce que je pensais, non seulement il se laisse faire mais en plus il appuie sur ma main pour que mes doigts aillent encore plus loin. Alors qu’il me baise de plus en plus virilement, j’introduis un deuxième doigt en lui qui rentre tout aussi facilement que le premier.

Je vois son corps perler de transpiration sur le mien. J’adore voir le plaisir qu’il prend sur son visage. Mes fesses chauffent de plus en plus à sentir son mat me pilonner sans relâche. A chaque passage il titille de plus en plus ma prostate et je sens la jouissance, involontaire, prendre le dessus. Je cale le mouvements de mes doigts en lui sur ses coups de rein.

Je rage de ne pas pouvoir exprimer mon plaisir comme je le souhaite alors à la place je me mords les lèvres pour me retenir. Sans même me toucher, ma bitte est prise de spasmes en même temps que mes entrailles. Alors que j’expulse plusieurs giclées sur son ventre et le mien, je le sens, malgré la capote, se contracter en moi. Il décule d’un coup et alors que mon jus dégouline de son ventre au mien il m’arrose copieusement avant de venir s’affaler sur moi.

Pendant qu’il m’embrasse tendrement le cou, je sens nos deux corps glisser dû au mélange d’huile, de sueur et de sperme encore bien chaud. Il remonte sur moi et je suis étonné de voir sa bouche s’approcher de la mienne. Il commence par m’embrasser sensuellement et quand nos langues se mettent à danser ensemble notre baiser devient de plus en plus fougueux. Je passe mes doigts dans sa chevelure bouclée alors que lui caresse les poils de mon torse à la recherche de mes tétons.

Je suis heureux qu’il soit pas épuisé, du coup je descends mes lèvres sur son corps pour, moi aussi, m’occuper de ses tétines. Je sens son sexe se retendre contre moi, ma langue passe sur chaque centimètre de sa peau pour profiter de son gout poivré ce qui le fait encore plus durcir. Je me retourne pour me mettre en 69 sous lui, il glisse directement sa bitte dans ma bouche. Il attrape mes mains pour les poser sur ses fesses, j’ai compris le message et introduit directement 2 doigts en lui.

La réaction est imminente, sa queue, luisante de sa jouissance précédente s’enfonce dans ma bouche et dépasse ma glotte malgré mes hauts le coeur. Il se déchaine dans ma bouche encore plus que tout à l’heure dans mon cul. Il a plus aucune retenue et se met à gueuler des mots que je comprends pas. J’imagine qu’il me traite de cochonne et de pute ce qui me refait immédiatement bander.

Je rentre un troisième doigt dans ses entrailles, qu’elles accueillent avec facilité. Mon masseur plonge encore plus dans ma bouche à tel point que ses couilles reposent sur mon nez. Avec ma main de libre je me branle au même rythme qu’il baise ma bouche, j’ai envie de jouir en même temps que lui. Il défonce tellement ma gorge que je sens ma salive couler sur mes joues et mon cou.

Il se retient plus et fait de plus en plus de bruit. Dans un énorme râle il explose dans ma bouche. Une quantité impressionnante de sperme sort de son sexe et me remplie la bouche. Bien que j’en avale le maximum, il jute tellement que je sens sa semence chaude dégouliner de la commissure de mes lèvres. Alors que son sperme coule dans ma gorge, j’explose à mon tour.

Sa queue quitte ma bouche et il se retourne pour immédiatement la remplacer par sa langue. Notre pelle, au goût de son sperme, devient de plus en plus sensuelle. Je sens l’excitation et l’envie de le sentir à nouveau dans mon cul reprendre le dessus. Malgré mes caresses, j’arrive pas à le refaire durcir. Nous restons un moment l’un contre l’autre à reprendre nos esprits tout en caressant nos corps.

Au bout de quelques minutes, il se redresse et attrape ma main pour m’emmener dans une petite pièce voisine pleine de vapeur. Il m’allonge sur une table en marbre bien chaude et commence à frotter tout mon corps avec le gant que l’on m’a donné à l’entrée. Porter par le plaisir que je viens de vivre et l’endorphine diffusé dans mon corps, je me laisse faire et commence même à somnoler.

Une fois qu’il a finit son travail, il me laisse encore profiter du hammam quelques minutes avant de me conseiller de sortir pour ne pas me sentir mal après. Je vais m’habiller, toujours enivré par l’expérience que je viens de vivre. Mon masseur me rejoint dans le vestiaire et me demande si je compte revenir. Je lui explique que je pars le lendemain pour trois jours sur les bords de la mer noire mais que je manquerai pas de revenir le voir dès mon retour.

Quand je quitte ces lieux magiques je sens encore plus de regard sur moi qu’a mon arrivée. A ma prochaine visite même si mon masseur est pas libre, je suis sur de trouver des hommes avec qui m’amuser.
Après mon long week-end avec mon cousin, ce hammam me donne envie de prolonger mon séjour à Istanbul mais je finis quand même par quitter la Turquie pour continuer mon périple en direction de l’Ukraine afin de rejoindre la Pologne…

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