LES ENCHERES AU CAVEAU

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LES ENCHERES AU CAVEAU Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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LES ENCHERES AU CAVEAU
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Plusieurs mois après le mariage, je me trouvais en ville pour déjeuner avec Marielle. Nous nous étions revus plusieurs fois car nos maris travaillaient sur un projet d'investissement ensemble et multipliait les échanges. Plusieurs diner soit chez nous soit chez eux, et j'avais bien évidement recroisé mes deux vieux amants qui en présence de mon mari étaient restés très courtois. Robert le mari de Marielle continuait à me courtiser, et je savais qu'il ne rêvait que d'une seule chose pouvoir me posséder d'une manière ou d'une autre. Mon mari n'était pas dupe, mais d'une part il adore me savoir désirer voir partager, et d'autre part ça l'arrangeait dans ses affaires. Je quittais mon amie et le restaurant quand je reçois un SMS de Thierry, sans ambigüité, il me demandait de le retrouver dans un parking du centre dans 30 minutes. Je raguais intérieurement mais n'avait pas le choix, il avait trop de photo de moi pour me permettre de ne pas l'écouter. Je garais ma fiat 500 verte toute neuve, dans le parking et l'attendait quelques minutes, quand il rentra dans mon véhicule.
- Salut ma belle, je vois que tu es en avance, pressée de revoir son vieil ami Thierry ?
- Dis-moi ce que tu veux Thierry je n'ai pas beaucoup de temps, je dois retourner travailler...
- Ahh oui le projet immobilier avec Robert, je sais oui ils m'ont demandé d'apporter des fonds, donc tu vois on va être associés on va pouvoir se voir plus souvent, dit-il en ricanant...
- Que veux-tu ?
- Juste t'inviter à une soirée, d'ailleurs voici le carton d'invitation
Je pris l'enveloppe, ouvrais et sortais un carton sur laquelle je pouvais voir deux photos de moi, l'une accroupie sur le canapé de Marielle avec Albert derrière moi entrain de me besogner, et l'autre au mariage coincé dans le pilori les fesses à l'air avec mes deux amants autour. Il avait floqué mon visage, et je pouvais lire ; Belle bourgeoise aux enchères le mercredi 14 mars à partir de 21H. 6 lots sont mis en vente : les seins et les cheveux, deux mains, la bouche, vagin et son cul. 20€ de participation, et 50€ supplémentaire pour regarder en cas de non-gain...
- J'espère que c'est une blague, tu ne crois pas une minute que je vais participer à cette mascarade- Bien en fait tu n'as pas trop le choix, je ne pense que le projet de ton mari pourrait aboutir si ces photos arrivaient à l'hôtel du département, qu'en penses-tu ? Et puis de toi à moi tu adores cela, j'ai bien bu la dernière fois, tu t'es évanouie tellement que tu jouis... En plus je t'ai préparé une belle combinaison avec masque pour conserver ton anonymat...
- Tu es juste un salaud, un animal...
- et oui mais en attendant c'est moi qui mène la danse, et pour te faire pardonner d'être si peu courtoise tu vas me faire une belle gâterie maintenant, ça va me mettre en appétit pour mercredi... allez la bourgeoise suce-moi maintenant, et appliques-toi à me faire une bonne pipe.

Il me prit par les cheveux et me dirigea violemment vers son sexe qu'il sortit de son pantalon me forçant à le prendre en bouche son membre flasque qui allait immanquablement gonfler entre mes lèvres... Je pris son sexe dans ma bouche et le suçais. Il me maintenait par les cheveux forçant à lui tailler à une pipe dans l'habitacle exigüe de ma voiture. Je faisais coulisser son membre entre mes lèvres qui avait gonflé sous la pression de ma langue. Il me faisait regarder le carton d'invitation pendant que je le suçais, multipliant les commentaires salaces "tu es vachement photogénique ma salope... enfin surtout ton gros cul... tu ne peux pas savoir comme tu m'as excité dans ta jupe écossaise poufiasse... tu vas faire un carton mercredi...." Il appuyait de plus en plus fort pour me le rentrer profondément jusqu'à m'étouffer.... J'essayais de le repousser mais il était trop fort, je le pompais de plus en plus vite, il ne tenait plus.... ça venait, il se tendait, il allait, il allait.... Il gicla dans ma bouche de longs jets, tout en me maintenant afin que je ne puisse recracher son sperme...Il me laissa comme cela quelques instants... et me relâcha enfin...
- tu es un porc !!!!!! Tu as joui dans ma bouche fumier....
- Nettoies-toi la bourgeoise tu as mon foutre qui dégouline partout... Et soit en avance mercredi que je puisse te préparer, si tu es en retard j'envoie le pire des clodos te chercher, et il pourra faire ce qu'il veut avec toi pendant le trajet tu as compris !!!!
J'acquiesçais, il sortit enfin de ma voiture.






J'étais piégée, et allais devoir me soumettre à cet odieux chantage. Je ne pouvais en parler à personne et me résignais à obéir. Le mercredi soir je me rendais à l'heure prévu au caveau. J'avais reçu plusieurs SMS graveleux de Thierry me promettant une soirée mémorable. N'ayant reçu aucune instruction sur le thème vestimentaire je restais le plus sobre possible portant un pantalon ainsi qu'un pull col en v noir sur des escarpins de 10 cm noirs également. Comme convenu j'étais en avance et Thierry m'accueillit, me matant de manière perverse et gourmande. Il emmena dans une petite pièce et me tendit un paquet.
- Voilà ton équipement pour ce soir ma pute, enlève tes fringues et mets cela mais garde tes escarpons...
J'ouvrais le paquet qui contenait une combinaison et une cagoule. La combinaison était toute en résille et d'une seule pièce. Elle était parée d'un dessin, effet tatouage, sur le devant et dans le dos, son entre-jambe était ouverte. D'une matière résistante et souple ce catsuit sexy arborait un décolleté profond avec une ouverture de l'entre-jambe, le tout avec une résille sexy.
La cagoule ouverte était fabriquée dans un tissu de dentelle extensible afin de s'adapter parfaitement à la forme de mon visage. Ornée de motifs floraux très féminins, elle abordait une coupe très fétichiste ne laissant à jour que mon regard et ma bouche ...
J'enfilais l'ensemble sous le regard vicieux de Thierry qui devait laissait libre cours à ses fantasmes les plus profonds ! Une fois entièrement parée je remis mes escarpins et regardait Thierry avec mépris - Voila je suppose que tu es satisfais maintenant, espèce de sale pervers...
- Pas tout à fait beauté, encore un détail...
Il s'approcha de moi m'attrapa par la nuque et me pencha en avant. Avec une paire de ciseaux il perça la cagoule sur le dessus de ma tête et me fit ressortir les cheveux afin de me faire une queue-de-cheval surgissant de la capuche.
- Voilà maintenant tu es prête comme une belle jument, tu as même la queue-de-cheval... Maintenant sois attentive au règles. C'est quoi qui mène les enchères, à chaque fois que je dirais " Belle dame donnez nous envie..." tu devras utiliser les objets sur le guéridon afin de les mettre en appétit... j'espère que c'est clair. Au moindre faux pas je t'enlève la cagoule et tout le monde te reconnaitra... Ensuite une fois toutes les enchères terminées tu devras t'occuper des gagnants.
- Tu es vraiment le pire des salauds, je me vengerai sois en sure- Oui bien sur ma belle, j'en doute pas... ahhh et pour finir tu dois atteindre au moins les 4000€, si tu ne dépasses pas alors tu devras me payer la différence en nature à la fin compris ...
Je ne répondais pas... le méprisant du regard, y mettant toute mon arrogance de bourgeoise humiliée...
- Allez, en scène maintenant on est attendu...
Il me saisit par la queue-de-cheval, et me passa autour du cou un luxueux collier en simili cuir et tissu en brocard noir et rouge, avec un anneau sur le devant sur lequel était attaché une laisse en métal avec poignet assorti au collier. Me tenant fermement en laisse il m'entraina vers le caveau...
Je rentrais dans le caveau sombre ou une vingtaine d'hommes étaient assis attendant. La pièce avait été séparée en deux avec un grand rideau afin de cacher les appareils. Une chaise avec un guéridon sur lequel se trouvait de multiples jouets érotiques, et un pupitre avec un marteau. Thierry me poussa devant ces hommes et me fit faire un tour sur moi-même. L'ensemble se mit à applaudir en scandant, des "splendides pouliches", "merveilleuse bourgeoise..." "Superbe canon..." pour les plus softs... Toujours maintenu par la laisse, Thierry me fit marcher au travers de l'allée afin de venir au plus près de mes futurs acheteurs... qui multipliaient les commentaires de plus en plus obscènes... Je connaissais la plupart des ces hommes, Jean-Marie, Robert le mari de mon amie Marielle, mais aussi assis à coté de Robert, le député du département homme d'une cinquantaine d'année bien connu à l'échelon national également. Je reconnaissais aussi certains clients de mon mari. Bref un panel d'homme aisé qui allait se taper une belle bourgeoise ou au moins la regarder se faire partouser...
Après plusieurs allers et retours, je regagnais le devant de la scène debout devant ces hommes surexcités dont j'allais devenir le jouet pour 6 d'entre eux... J'étais honteuse mais terriblement excitée. L'idée de faire vendre aux enchères comme un vulgaire m'excitait violemment...
- Voilà messieurs nous allons pouvoir démarrer les enchères, je vous rappelle les règles. Vous ne pouvez gagner qu'un seul lot qui sont : • Ses seins magnifiques avec sa queue-de-cheval dans lequel vous pouvez vous masturber : Mise à prix 50€• Deux lots avec ses 2 mains ou elle vous branlera : Mise à prix 100€• Sa bouche ou vous aurez droit à une magnifique fellation... et je peux vous dire que c'est une vraie experte : Mise à prix 200€• Sa chatte affamée et qui doit être déjà très humide : Mise à prix 500€• et pour finir son petit trou pour les amateurs d'anal : 700€• Chaque lot supérieur vous donnant droit bien évidemment accès aux lots inférieurs, c'est cumulatif...
• Pour les perdants ils auront toutefois le droit de mater cette belle pouliche avec nos 6 gagnants pour 50€...Je vous propose de démarrer car vous devez être tous très impatient.

Le premier lot, un 95C, entièrement naturel... Une bonne laitière, 3 enfants l'ont rendue encore plus pulpeuse. Belle dame donnez nous envie... Mise à prix 50€...

Les enchères commençaient, quelques hommes enchérissaient 60, 70, 80... Thierry enregistrait les montants, me poussant à des poses suggestives... Assise sur la chaise, je me caressais les seins, les pétrissant, jouant également avec ma queue-de-cheval... Les enchères s'accéléraient... Jean-Marie était actif, mais il finit par perdre ce tour au profit d'un homme médecin, que j'avais déjà consulté par le passé...
- Bravo, le premier lot est adjugé pour 170€ !!!! Second lot : sa main droite mise aux enchères 100€, Belle dame donnez nous envie...

Je prie un gode ventouse de couleur chair, qui était très doux au toucher avec à sa base une ventouse. Sa conception aux détails soigneusement renforçait son attrait naturel. D'une longueur d'une vingtaine de cm ou aurait dit un vrai pénis. Je m'efforçais de simuler une masturbation avec ma main droite, tout en tapotant le gode sur ma grosse poitrine. Une fois de plus les enchères s'enflammèrent... 110, 120, 150, 200.... Jean-Marie perdu à nouveau et je pouvais voir son agacement poindre...

- Bravo, le second lot est adjugé pour 250€ !!!! Troisième lot : sa main gauche mise aux enchères 100€, Belle dame donnez nous envie...

Je recommençais de ma main gauche à de simuler une masturbation. 110, 130, 170, 220.... Jean-Marie remporta le lot poussant un cri de victoire ...

- Bravo, mon ami ce lot est adjugé pour 300€ !!!! Votre main gauche belle dame a plus de succès que la droite. Lot suivant: sa bouche. Comme je vous l'ai dit c'est une vraie suceuse, une pro de la pipe, elle va vous butiner le gland comme jamais vous avez été sucé auparavant... enchères 200€, Belle dame donnez nous envie...

J'utilisais toujours le gode, assise sur ma chaise les jambes croisées, dans un style très BCBG pour les exciter encore plus, je mis le gode en bouche et simulais une fellation. De temps en temps je sortais ma langue la tournant autour de mes lèvres afin d'augmenter leur désir. J'ai eu succès fou... Tout le monde jouait de peur de n'avoir aucun lot à la fin. Ma bouche fut au bout de 10 minutes adjugées à 500 € à un homme qui tenait une grosse concession automobile dans la région à qui j'avais d'ailleurs acheté ma fiat 500.
Les hommes étaient de plus en plus surexcités, je sentais de la tension entre eux pour savoir qui allait remporter les deux derniers prix. Les autres resteraient sans rien peut être juste à me regarder me faire prendre par cette bande d’hommes en rut. Alors que Thierry démarra l’avant-dernière enchère, je m’étais mis debout leur tournant le dos, une jambe sur la chaise, et jouais avec le gode par derrière, le frottant sur mon corps sur mes fesses. Je le passait en dessous de ma combinaison et de simuler une branlette espagnole. Ils devenaient tous fous. Je devais me calmer avant qu’ils décident de me violer chacun leur tour, sans plus aucun respect des règles de Thierry.
- Regarder cette belle chienne, qui meure de désir… Elle est chaude comme la braise, elle a besoin de vos belles bites… criait-il en enchainant les enchères : 550, 600, 700 , 1200…
Robert et le député étaient les deux derniers… Ils misaient de plus en plus haut, pendant que je m’enfonçais le gode dans ma chatte jouant et me masturbant assis sur la chaise et jambes écartés. J’étais en train de jouir quand l’enchère atteint les 2000€. Robert stoppa. Stratégiquement, Il pensait qu’il allait gagner à ce prix le dernier lot…
Pour le dernier lot, je pris le dernier jouet, un plug anal en silicone bleu au design bijou avec strass d’une longueur environ de 7 cm. Leur tournant le dos je m’introduis le plus dans mon anus. Ils éructaient, j’entendais les hommes soufflaient comme des bêtes devant ce spectacle de cette bourgeoise en chaleurs entrain de mettre un gode dans son gros cul. A sa grande surprise Robert eut plus de concurrence que prévue… Un autre homme que j’avais déjà rencontré dans des soirées mondaines, fils d’une grande famille d’aristocrate, c’était réservé pour gagner le trophée ultime. Quelle grande déception pour Robert qui perdit l’enchère me laissant avec cet aristocrate décadent et grisonnant pour la modique somme de 3000€.

A la fin des enchères Thierry reprit le contrôle, et proposa comme lot de consolation de payer 50€ juste pour regarder, et 100€ pour regarder et me jouir dessus… L’ensemble des perdants payèrent. Thierry, écarta le rideau pour passer à l’étape ultime de la soirée, qui allait faire de moi la plus grosse salope de la région…
Généralement, on visualise une salle SM comme un lieu glauque avec des murs peints en gris, en noir ou en rouge, dans des caves. Cette pièce bien que dans un caveau était esthétique, est propre. Dans un coin: une grande plante verte donnait une touche rassurante, et le reste de la pièce était aménagé avec toute une série d'équipements. Le premier instrument était un espalier en bois de 2,5 mètres de haut. Chaque barreau permettant d’y attacher, à l’aide de chaînes ou de colliers. Le deuxième aménagement était des crochets et poulie au plafond ainsi que des anneaux dans les murs. Il y avait également un carcan style moyen âge sur pied en bois recouvert de cuir pour les emplacements des poignets et de la tête. Et pour finir un siège d'immobilisation. Sur le haut dossier, un collier permettait de le placer autour du cou. Le siège se divisait en deux parties écartées, de manière à découvrir entièrement les parties intimes. Des sangles permettant d'attacher les jambes à hauteur des genoux, et quatre anneaux fixent poignets et chevilles munis de bracelets prévus à cet effet. De forme triangulaire, ce fauteuil était au centre du caveau, et je compris que j'allais y passer un certain temps. Pour finir tout un équipement d'enregistrement vidéo était sur le côté du caveau avec une caméra sur pied, à fonctionnement continu et à grand angle auprès duquel Thierry s'affairait, proposant à ses clients l'achat de la vidéo pour la somme modique de 200€.

Les six gagnants m’entrainèrent au centre du caveau et me pousser vers le fauteuil dans lequel ils m’attachèrent. Mon cou et mes cuisses contraintes, laissant mes mains libres, pour remplir la première partie de mon contrat. Les mains se rependirent sur mon corps, les commentaires salaces. Je ne savais plus qui faisait quoi et qui avait droit à quoi… Ils s’organisèrent entre eux et décidaient de me prendre par ordre de priorité. Mes seins étaient pétris comme de la pate, alors que je prenais à pleines mains les deux sexes surexcités. Malgré leur âge, Jean-Marie et le deuxième homme bandaient comme des ânes. Pendant ce temps le médecin me pelotait mes gros seins, m'insultant copieusement.
- T'es une grosse vache, une bonne laitière ma pute je vais me branler entre tes grosses miches sale vache mameleuse...
Les trois hommes me caressaient de manière bestiale. J’entendais les commentaires des autres… « Quelle salope, poufiasse, grosse pute, grosse chienne, quelle jument…. », tout y passait… Le médecin grimpa sur le fauteuil et plaça sa bite entre mes gros seins serrant ma combinaison en résille afin de se branler entre mes seins. Vu son état d'excitation il n'allait pas tenir longtemps. Au bout de quelques minutes il se branla dans mes cheveux et jouit rapidement sous ma cagoule laissant les marques de son sperme sur mes cheveux et sous la cagoule de dentelle, dégoulinant de grande trace blanchâtre. Le droitier se déchargea sur mon visage alors que Jean-Marie prenait son temps continuant à me palper mes gros seins au travers ma combinaison. A son tour il plaça son sexe entre mes grosses mamelles.
- Fais-moi une branlette espagnole grosse pute, on t'avait bien promis avec Thierry qu'on te prenait tes grosses miches un jour ou l'autre me glissa-t'il à l'oreille.
Il savait donc qui j'étais, ce qui en soit vu son intimité avec Thierry n'était pas très surprenant. Il déchargea enfin entre mes gros seins et écarta le décolleté pour répandre son sperme en dessous de ma combinaison. Le quatrième homme me détacha de mon fauteuil et m'entraina vers le carcan. Il me coinça la tête et les mains et me remplit la bouche de suite, alors que j'étais entièrement contrainte. Me tenant par la queue-de-cheval il me baisait la bouche.
- Vas-y-suce moi bien salope, c'est vrai que tu es une vraie butineuse... Si tu me pompes bien tu pourras passer au garage je te ferais un bon prix. Ca se trouve tu es déjà cliente chez moi. Je vends la plupart de mes voitures à des bourgeoises comme toi. Et y en a des sacrements bien gaulés. La dernière je lui ai vendue une fiat 500 verte, une bourge de 50 ans, un vrai canon, tu lui ressembles pas mal.... Hummmmm oui suce-moi cochonne ....
Son gland était hypersensible et sensible aux pressions appuyées ainsi qu'à des frottements rapides. Je commençais par un mouvement lent, puis accélérez le rythme progressivement.
-oui lèche mes couilles oh c’est bon tu es merveilleuse, ouiiii remonte lentement tu fais vibrer ma queue oh c’est trop bon.
Je remontais doucement ma langue le long de sa grosse veine comme le long d’un cornet de glace. Son sexe sentait la pisse et avait un goût âpre. Malgré ma soumission je ressentais un pouvoir celui de tenir dans ma bouche le plaisir d’un homme. Je lapais sa tige enroulant ma langue tel un serpent suivant les réactions de son corps et ses indications. Ouvrant la bouche à fond je gobais son gland, faisant lâcher un cri de plaisir à mon amant.
-oh oui pompe moi ma grosse pute, t'es une bonne pompeuse.
J’ouvris la bouche et engloutit sa bite jusqu’à la garde. Pendant que je le suçais 2 hommes se dirigèrent vers moi en se masturbant et se répandirent sur mon visage alors j'avais la bitte de mon garagiste en bouche.
-Ohhh regarde-moi les cochons ils t'en ont mis partout, t'es toute sale maintenant, allez continue, oh oui mange-moi, tu es divine c’est la meilleure pipe que j’ai jamais eu, oh mon dieu que c’est bon t’arrête pas, doucement fais encore durer le plaisir oui comme çaJe remontais la langue de long de sa bite lentement jusqu’à son gland que je lapais, puis je le gobais et sans jamais toucher sa queue de mes mains je le pompais lentement sur toute sa longueur.
Sa queue grossit encore juste avant de se vider en grand jet puissant dans ma bouche m’inondant de sperme chaud et sucré que j’avalais sans réfléchir moi qui détestais çà je le bus jusqu’à la dernière goutte aspirant de toutes mes forces les dernières gouttes. Je venais de faire ma pipe du siècle à celui qui quelques jours plus tôt m'avait vendu ma voiture.
Je fus libéré par mes eux derniers clients, qui m'entrainèrent vers le fauteuil à nouveau. Ils m'installèrent et me caressaient laissant un grand nombre de perdant s'approcher afin de me gicler dessus. Au final je ne pourrais dire combien m'ont joui dessus à ce moment, mais j'étais recouverte de sperme sur tout mon corps... Le député me pénétra, me laissant assise sur le fauteuil en relevant mes jambes au-dessus de ses épaules. Il me besogna comme un marteau piqueur tout en plongeant sa langue dans ma bouche m'embrassant comme un serpent. Pendant ce temps l'aristocrate me palper les seins et dirigeait son sexe vers ma bouche. Je le prie entièrement et recommençait une pipe au grand gagnant de la soirée, qui allait finir par m'enculer devant tous les autres. Bénéficiant d'un moment de répit, Robert s'approcha et écarta ma cagoule au niveau de la bouche et se branla énergiquement. Il gicla en dessous de ma cagoule sur mon visage, ce qui était le seul lot de consolation.
- T'inquiète pas ma salope je finirais bien par t'avoir un jour ou l'autre, et ce jour tu vas en prendre plein le cul...
Savait-il qui j'étais, l'avait t'il découvert? J'espérais que non... L'obscurité, recouverte de sperme, mon masque... je devais pourtant être difficilement reconnaissable...
Me deux amants me reprirent à deux multipliant les positions, et pour finir ils me prirent en double pénétration toujours assise sur le fauteuil il me prenait comme des bêtes, baisant mes deux trous comme des animaux en ruts. Tirant sur ma combinaison qui se déchirait de plus en plus entre les cuisses, sur mon gros cul ou laissant apparaitre mes grosses miches, j'étais totalement défaite, démontée violemment par ses deux grosses bites. Thierry s'approcha à son tour pour me jouir dessus. J'avais explosé le plafond financier donc aucun lot de consolation pour lui...
Ils finirent par me jouir dessus, l'un dans ma chatte l'autre dans mon cul.
- Voila salope on t'a saillie comme une jument, prends notre semence la bourge ouiiiiiiiiii....... Tu es notre vide couille !!!!!
Ils grognaient en se vidant en moi sans même prendre la peine de se retirer pour jouir en dehors...
C'était enfin fini, les hommes quittaient la salle en silence me laissant seule avec Thierry. J'étais recouverte de sperme la combinaison entièrement détruite, défaite, humiliée, soumise, prise par toutes les façons possibles, juste une usine à sperme.
Thierry fit les comptes pendant que je me nettoyais et me rhabillais, j'avais explosé les compteurs en atteignant presque les 12000€ et gagné une vidéo de mes exploits...

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