Les lettres d’une libertine – CASTORAMA (1/1)

- Par l'auteur HDS Breizfrissons -
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Récit libertin : Les lettres d’une libertine – CASTORAMA (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2020 dans la catégorie Plus on est
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Les lettres d’une libertine – CASTORAMA (1/1)
Pour celles et ceux qui suivent mes frasques libertines, celle que je vais vous écrire concerne notre dernière sortie en lieu original. Cela faisait quelques temps que nos rencontres étaient organisées au profit de petites pluralités de 2-3 blacks dans des chambres d’hôtel et je trouvais cette routine finalement beaucoup moins excitante.
J’en touchais deux mots à mon homme, à l’issu d’une de ces rencontres hôtelières sur le trajet du retour, les orifices encore bien ouverts et cérébralement comblée d’orgasmes par les jolis sexes qui m’avaient entrepris durant 90 minutes.
Une quinzaine de jours suivants, l’invitation me parvint par mail au boulot, alors que mon esprit était à tout autre chose.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------INVITATION AUX PLAISIRS (originaux)Thème : Le bon diamètre des chosesLieu : NIORTConsignes : Obéir aux ordres qui seront donnés pour bien mesurer les choses.
Dress-code : Bas couture « noirs », porte-jarretelles noir à 8 sangles, corset art-déco, manucure sobre et talons hauts. Lingerie sexy et petite robe qui se remonte facilement, pas de culotte. Rosebud avec pierre violette déjà inséré. Piercing clitoridien bleuDate et heure : Dimanche à 15h30 sur place – Prévoir 45min de trajet.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------J’avais eu le samedi pour me faire chouchouter par mon esthéticienne préférée (il faudra que je vous raconte d’ailleurs un jour) et parfaire la douceur de toutes les parties qui intéressent les hommes. On était dimanche matin, le petit jour se levait et mon homme était d’humeur coquine et titillait mon intimité depuis son réveil, sans doute que la douceur et la moiteur de la chose venait faire bouillonner ses hormones naturelles.
Sa bouche me dévora avec tendresse, lenteur et sa langue se fit sensuelle et exploratrice. Je m’ouvrais pour lui faciliter la chose et que chacun en profite au maximum. Il glissait de haut en bas, langue bien large pour se faire plus pointu et finir par titiller le clitoris et jouer avec mon piercing, puis repartait en s’élargissant. De temps à autre il s’insérait soit vaginalement soit dans les muqueuses excitées de mon anneau de bronze et venait frénétiquement bousculer mes sens.
Je ne résistais pas très longtemps à ce traitement, d’autant que 2 doigts venaient de s’y ajouter, jouant avec mon plafond vaginal. J’explosais d’un bel orgasme et emprisonnais la tête de mon mâle dans le tourbillon qui prenait mes cuisses.
Il se leva avec une très jolie érection matinale, me frustrant de la pénétration que j’espérais à suivre. « Tu auras la suite dans l’après-midi, c’était juste pour teaser un peu ma salope » me dit-il en passant dans la salle de bain.
C’est donc quelques heures après que je me retrouvais avec un petit courant d’air frais entre mes jambes gainées de nylon, sur un parking de Niort que je devinais goudronné, les yeux bandés depuis 10 min et les mains dans celles de mon homme qui me guidait à la voix.
Une porte métallique claqua à l’ouverture et une voix grave très virile nous proposa d’entrer rapidement. Une odeur d’essence ou de graisse ce fit sentir, mélangée à celle du carton. J’adore ces ambiances qui vous transportent d’un seul coup dans un voyage cérébral. Qui, combien, où venaient déclencher mon envie et titiller mon désir d’être la proie de mâles pour quelques instants.
Des mains me saisirent, libérant celles de mon homme et des gestes rapides, efficaces me positionnèrent en levrette debout, appuyée contre un support enveloppé d’un emballage plastique épais. Ma robe fut troussée, dévoilant mes bas et leur porte-jarretelle et mon intimité rapidement explorée par plusieurs mains. Deux ? non trois ! et 2 souffles dans ma nuque et mon visage.
Des bisous sensuels pour l’un, des gestes directifs pour l’autre. Mes seins furent sortis du corset sans ménagement et le redouté pincement de tétons ne se fit pas attendre, accompagné du traditionnel « tu aimes çà salope, tu es déjà trempée. T’inquiètes on va bien te baiser avec mon collègue ».
Puis une main fit pression sur mon crâne et alors que mon partenaire pris position assise sur l’emballage plastique, je descendais entre ses jambes pour découvrir avec ma langue un sexe hirsute mais sentant le propre, en demi érection surmonté d’un gland champignonesque.
Le « suces salope » fut de trop … je savais bien pourquoi j’étais là et je délivrais à ce mâle autoritaire la fellation d’anthologie qu’il ne devait pas vivre habituellement. Je m’appliquais à bien descendre sur la hampe jusqu’à la touffe et n’hésitais pas à lui faire vivre une gorge profonde, le sexe étant compatible avec ma capacité, enveloppant le tout de ma langue avant de remonter lentement mais redescendre plus prestement. Je sentais la membrure gonfler et se tendre à chaque enveloppement.
Puis d’un seul coup, un gémissement se terminant en grognement se fit entendre et une salve libératrice de sperme jaillie. Il n’avait pas pu tenir très longtemps et se déversait dans ma bouche en maintenant ma tête pour pas que je ne me dégage. Il était soit gros producteur naturel soit abstinent depuis plusieurs jours tellement la dose emplissait ma bouche. Au retrait de la verge qui mollissait à vue de langue, je recrachais la semence qui coula de mon menton vers ma poitrine, puis dans le décolleté, remplissant mon corset d’un chaud-froid collant.
Je fus relevée par les autres mains, et emportée vers un autre lieu à proximité. Mon homme me demanda d’escalader quelque chose et me positionner à quatre pattes sur un support dur et froid, croupe bien offerte. Mon bandeau ayant un peu glissé je découvrais que j’étais positionnée sur un espèce d’établi entouré de machines de bricolage neuves, la lumière de néon violente éclairait la scène.
Un liquide froid vint me rappeler que le 2ème partenaire était tout disposer à s’occuper de moi tandis que le 1er, venait à nouveau s’occuper de mes tétons douloureusement. Je saisi l’une de ses mains pour lui signifier de réduire significativement cette envie de torture. Ma fente s’ouvrit sous la poussée d’une belle membrure et la sensation d’être bien remplie vint affoler mes sens.
J’accueillais dans un feulement d’envie la chose, me cambrant pour qu’elle puisse entrer jusqu’au bout. Il était long et ses testicules vinrent enfin se poser sur le charnu de mes lèvres. Il était en butée et j’avais qu’une crainte c’est que ce partenaire soit un pilonneur.
Mais non, son retrait était doux et laissait une sensation de grand vide avant qu’il ne revienne, avec un mouvement ample et mesuré, en moi, frottant ma paroi anale garnie du rosebud. Ce mâle connaissait bien son instrument et les femmes. Il manœuvrait large avec un roulement de bassin venant amplifier mes sensations et élargissant ma fente, caressant mon plafond, appuyant sur la zone sensible. C’est moi qui partit, à mon tour, dans les tours d’un orgasme long et profond occasionnant un micro jet d’excitation sur le plateau de l’établi. Des spasmes venaient envelopper le sexe de mon partenaire qui manifesta sa satisfaction. « haaaaa je te sens palpiter de plaisir !! ».
Puis son pouce se fut inquisiteur, il venait prendre dans ma fente et autour de son sexe de quoi lubrifier mon anneau de bronze. Il retira avec douceur le rosebud qui s’y trouvait, puis le caressa, le creusa, plus loin puis plus large. Il répétait l’opération tout en reprenant son mouvement ample de bassin dans mon vagin, me replongeant dans un état de désir incroyable. Il était doué le bougre, mon anus s’ouvrait de plaisir et mon esprit réclamait cette large sodomie à venir.
Mes genoux donnant des signes de fatigue, je fus transportée dans des bras puissants sur le capot d’un engin, allongée sur le dos, des mains se saisirent de mes chevilles et vinrent écarter mes jambes. Mon passé de danseuse classique dans ces moment-là est très utile et je m’ouvre beaucoup ce qui excite fortement mes partenaires.
Le gland se positionna sur mon anus, un peu de liquide froid me surpris à nouveau et la colonne de chair s’enfonça en moi. Nos gémissements respectifs de plaisirs et de soulagement à cette pénétration intense vinrent résonner dans le silence.
Il ouvrait mes chairs comme rarement, je sentais la poussée dans le moindre recoin de mon fondement. Qu’est-ce qu’il était long et large. Heureusement que j’avais suivi la consigne de mon mari de mettre mon rosebud avant. Le gel était généreux, fourni par le 1er complice qui retrouvait sa forme et qui vient me donner à lécher son gros gland. Je vous laisse imaginer les commentaires salaces qui fusaient et ses mains maintenant fermement mon compas à son maximum.
Le travail anal se poursuivait et nous étions fusionnels, chacun ressentant la montée de l’autre dans la jouissance. Je déclenchais en premier mon explosion de plaisir, il se retira très vite de mon anus, le latex claqua et il m’inonda la fente et le bas du ventre d’une jolie pluie chaude. Un râle puissant vint clôre notre plaisir conjoint.
Le 1er partenaire étala la semence chaude sur mon bas ventre et tout en se branlant puis vint me présenter ses doigts à lécher « lèches moi ça, salope, c’est le jus de ton étalon ». J’y passais la langue mais pour tout vous avouer je n’étais déjà plus dans le trip, bien trop comblée par ce qui m’avait été offert via mes orifices.
Je fus surpris de recevoir, sans avertissement une 2ème salve de sperme sur la bouche, mon dominateur venant conclure son excitation par une 2ème éjaculation manuelle. J’en avais partout tellement la quantité était à nouveau au rendez-vous.
Le bandeau me fut retiré et je découvris que j’étais en plein milieu d’un rayon de machines-outils, allongée sur le capot d’un kasher, où des coulures de plaisir étaient visibles. Quel plaisir de fréquenter un magasin de bricolage ainsi alors que d’habitude c’est une vraie corvée pour moi.
Le 1er me souris et me félicita, le 2ème m’embrassa avec sensualité, un doigt venant titiller mon clitoris comblé.
J’ai depuis fréquenté, en horaires d’ouverture au public, ce magasin en compagnie de mon homme. Et à chaque fois que je passe devant le nettoyeur haute pression jaune, je ne peux pas m’empêcher de repenser à ce mouvement de bassin et cette membrure formidablement remplissante. Je suis sûre que mon homme le voit à l’étincelle de mon regard et au petit clin d’œil que je lui lance de manière complice. Et je dois dire qu’il ne m’y traine plus de force … je découvre le magasin différemment et j’ai quelques envies de tests coquins sur différents autres rayons !

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