les routiers (2eme partie et fin)

- Par l'auteur HDS Bernard399 -
Récit érotique écrit par Bernard399 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : les routiers (2eme partie et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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les routiers (2eme partie et fin)
Ils se sont placé autour de moi, tout en se branlant Émile dit : « allez les mecs, sortez vos bites »
Ils ont ouverts leurs braguettes et ont sortis leurs matos, « à toi, Henri »dit Emile de plus en plus excité « donne la lui », Henry ne s’est pas fait prié, il s’est planté juste devant moi, un fameux paquet était a ma portée, j’ai gobé sans attendre sa bite molle, elle a durci rapidement , henry dit « mmmmm, elle a une bonne bouche »quand il a été bien raide, il se retira et dit « à toi George » un petit trapu a pris sa place, 50 ans bien tapé, gros bide, bite plus petite, mais bien épaisse , je fis une bouchée de ce nouveau sucre d’orge, Je devenais de plus en plus excité.
Puis ce fut le tour de Fabien de placer son membre dans ma bouche, Fabien était le plus jeune une quarantaine année , le plus poilu aussi , pendant que je suçais avidement Fabien, le dernier male du nom de Marcel pris ma main gauche, car la droite était occupée a soupeser les boules épaisses du pomper, il y mis sa bite et j’ai senti qu’il désirait avant sa pipe, une bonne branle, j’ai directement activé mon poignet en tenant fermement sa grosse bite, j’ai senti de suite que c’était la plus grosse et la plus épaisse, Dés que son membre fut bien raide, j’ai changé ma bouche de bite, j‘avais bien tâté de la main, j’avais affaire à un solide morceau, un bon 22x6, il y avait juste la place dans ma bouche pour la glisser, un régal, pendant que je pompais les deux mecs devant moi à tour de rôle, des mains se baladaient sur mon corps, pelotage des fesses, caresse des testicules, petite branle rapide, titillement de ma rondelle, pincement tétons, ils marmonnaient des mots crus tout en se branlant, j’entendais : salope, petite pute, elle est bonne, ainsi que des râles de males, mon excitation montait et ils le sentaient ……les cochons
Moi aussi je sentais qu’ils voulaient plus, sans doute aussi l’effet de « meute » j’étais le « gibier » et j’aimais cela.
Des phares de temps en temps passaient furtivement sur le groupe, malgré que nous étions caché par les remorques, George dit: « allons dans mon bahut les mecs, nous seront plus à l’aise »
Marcel agrippa mes cheveux et dit « viens par ici, salope » nous nous sommes diriger vers une remorque, George ouvrit l’arrière, il alluma une petite lampe au plafond, nous sommes monté dans le camion,
Toujours agrippé à mes cheveux, le bras musclé de Marcel me dirigea au milieu du camion, je me suis remis sur la couverture position à genoux.
Emile toujours nu resta près de moi et m’obligea de nouveau à le pomper, pendant que ma langue courrait sur le gland humide, j’ai remarqué du coin de l’œil que les 4 autres se mettaient à poils, j’adore mater des mecs virils à poil, très excité j’ai enlevé la bite de ma bouche et j’ai dis « oui, mes chéris vous êtes beaux à poil »
Ils se sont dirigés vers moi, bites à la main et Marcel dit « te tracasse pas, c’est surtout à poil que l’ont va te faire déguster, salope, on arrive », ils y a eu un bruit général d’approbation.
Henry est passé derrière moi, s’est couché sur le dos, mis la tête entre mes cuisses, a commencé à lécher mes boules avec la langue, les 4 autres se sont présentés debout devant moi bites gonflées de désir et le pompage a recommencé pour ma plus grande joie , je virevoltais entre les glands humides et gonflés de désir, j’ai senti que Henry changeait de place, il a reculé légèrement, il est maintenant à hauteur de mon cul, ses mains ont écartés mes fesses, cela libera ma rondelle, et le cochon y glissa la langue, j’ai frissonné de bonheur, je me suis laissé aller sur son visage, il gémit car il savait que j’appréciais sa caresse. Il savait y faire le coquin !
George a dit, « vas y Henry mouille la bien »
Je suçais et branlait comme un fou car je savais ce qu’il m’attendait, les males rugissaient de plaisir.
Emile dit « Cela suffit Henry, laisse la place » « oui, dégage Henry, ont va la prendre » dit une autre voix, Fabien dit « attend Emile », j’ai ce qui faut, Fabien se dirigea vers ses habits et reviens avec un tube de vaseline, il pris une noix sur un doigt, les autres me firent coucher sur le dos, deux bras poilus et musclés tenaient mes jambes écartées, j’étais bien ouvert, mais un peu stressé en me souvenant de leurs calibres je dis « allez doucement les mecs » « pas de soucis » dit Marcel « nous avons l’habitude des salopes comme toi » et il rit grassement.
Fabien déposa la noix sur ma rondelle, je mouillais comme une cochonne, j’avais envie de males en rut et j’allais être servi, Fabien tout poil dehors se mis à genoux, mis son gland devant mon trou et me dit « alors, chérie envie d’une bonne bite » le salaud, il savait que cette parole allait me rendre fou, je dis « oui, mon cochon prend moi comme une salope » et doucement il me pénétra, j’ai ressenti une petite douleur, puis un plaisir, il s’enfonça plus et le plaisir m’envahi complètement « ouiiii chéri lime-moi » ce qu’il fit sous les encouragements des autres qui me mataient en se branlant, Marcel ( la grosse bite) vient sur ma figure déposer ses couilles, je les ai léchées comme il faut, il a gémit, sa tête est partie en arrière de plaisir.
Fabien a crié « au suivant » je râlais de plaisir, la tournante commençait.
Emile m’a enfourché, ma labouré la rondelle, j’avais le feu au cul, ses coups de reins étaient très rapides, j’aime être prise, je gémis de plus en plus fort, Marcel se retira pour mater le groupe bite à la main, je n’en pouvais plus, j’ai repoussé Emile et me suis mis à 4 pattes fesses en l’air. J’ai dit « venez les mecs, prenez-moi comme cela défoncez-moi, je veux de la bite »…
George n’en pouvait plus non plus, il dit « à moi, je vais la défoncer » et il me défonça d’un coup de rein, sa queue bien épaisse se fraya un passage entre mes cuisses, heureusement les autres avaient déjà bien limé pour agrandir le trou, il fit quelques vas et vient et trop excité éjacula en hurlant de plaisir, dés que George s’est retiré j’ai dis « allez au suivant bourrez-moi, mes salauds » Henry le bon lécheur me rempli de nouveau, il s’agrippa à mes hanches, mes gémissements redoublaient « tu es une bonne salope » dit Henry je répondis dans un râle « oui, je suis une bonne salope »
Henry dit « à toi Marcel déchire-la »
« Oui, vient Marcel bourre-moi avec ta grosse bite j’ai envie d’un vrai male, encule-moi».
D’un bon Marcel est arrivé entre mes cuisses et ma pénétrée, mon dieu, quelle queue, elle a eu difficile à entrer malgré le sperme humide de George qui traînait sur mon trou, mais une fois dedans, un délice, le rythme aller retour de ses coups de reins, un vrai régal, j’étais aux anges, un vrai mâle me prenait.
Henry, Emile Fabien sont devant moi et me remettent à tour de rôle leurs bites en bouche, George est assis dans un coin, il joue doucement avec sa bite molle, un léger sourire aux lèvres, je pense qu’il est content de sa performance et profite du spectacle.
J’entends Marcel rugir de plaisir, fameux baiseur le Marcel et quel coup de queue, de temps en temps il me tape sur les fesses, il a des mains de vrai male, je l’encourage un peu « bourre-moi, ouiiiiii, j’aime ta bite, salaud, vas-y, fais-moi ma fête»
A force de bien pomper les 3 autres males, j’ai senti que leurs glands étaient gonflés de désirs et de jus, ils allaient décharger, je me suis activé encore un peu et ils m’ont déversé tour à tour leurs jus dans la bouche, dans des gémissements de plaisirs et quelques mots vulgaires « sale pute » « pompe encore salope » « t’es bonne », à peine le dernier a éjaculé que je sens mon ‘pilonneur’ se raidir d’un coup, il se retira de mon cul et dans un râle lâcha sa semence sur mon dos avant de s’écrouler de bonheur.
Ils m’ont remercié en cœur, m’ont dit de ne pas hésiter à repasser de temps en temps sur ce parking car ils aimeraient encore être vidangés, Je suis rentré doucement en voiture chez moi les fesses en feu, la bouche avec un arrière goût de males, et heureux de cette nuit de folies avec des routiers.

Oui, j’ai vidé 5 hommes et j’ai aimé cela un soir sur un parking.

Oui, je suis une salope et j’aime la bite.

Bernard

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