Ma Collègue (partie 3)

- Par l'auteur HDS Corey8 -
Récit érotique écrit par Corey8 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma Collègue (partie 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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Ma Collègue (partie 3)
Le temps s'écoulait, sans qu'il ne se passe plus rien, à mon grand désespoir...Quand un jour M.O est venu m'inviter à dîner un soir...Comme cela, je pourrais faire connaissance avec son ami, qui aime bien le foot comme moi ! J'étais très flatté de recevoir cette attention. On se mit d'accord pour le samedi suivant.

La date arriva, et je me présentais au domicile de ma collègue...Le couple était bien habillé, assez classe, surtout M.O qui portait un joli tailleur bien coloré avec un chemisier blanc transparent, sous lequel on pouvait entrevoir un magnifique soutien-gorge.

Les présentations faites, mes hôtes me firent visiter leur joli maison bien propre et entretenue, décorée avec soin. Puis l'apéro pu commencer, nous discutions de choses et d'autres, le temps passait très vite en leur compagnie...s'en suivit d'un repas très goûteux et gastronomique...pendant celui-ci, l'alcool aidant, J. me fît des allusions sur ce qui s'était passé avec sa femme pendant le travail, avec un air amusé et très intéressé, ce qui ne manqua pas de faire rire M.O. Moi, de mon côté, je devenais rouge et très mal à l'aise, pensant passer pour un pervers aux yeux de son compagnon !

Mais il n'en était rien car il commencèrent à m'expliquer que justement ils étaient à la recherche d'un profil comme le mien depuis longtemps, c'est-à-dire un jeune homme de bonne famille qui pourrait amener un peu de piment dans leur vie sexuelle ! Je m'en trouvais encore une fois très flatté même si je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait.

Sur ce, j'appris beaucoup de choses à leur sujet : J. me dit qu'il avait 50 ans et M.O 47, âge que je ne connaissais pas tant elle paraissait plus jeune, qu'ils étaient à une période charnière de leur sexualité et que c'était le moment d'expérimenter de nouvelles pratiques ! Elle m'expliqua qu'elle avait eu une vie amoureuse pauvre avec son premier mari, qui n'était pas souvent présent et qui la délaissait sur le plan affectif. C'est sa rencontre avec J. qui lui a changé la vie et qui la remit sur les rails du désir et du sexe pur et dur parfois aussi. Autre détail qu'elle me confiait, celui de sa ménopause précoce à 42 ans, mais qui heureusement ne lui avait pas entaché sa libido encore assez débordante apparemment pour son âge. Le couple y voyait maintenant des avantages : J. pouvait la saillir à n'importe quel moment du mois en l'absence de ses règles, et de ne plus devoir porter de préservatifs ou d'avoir besoin de prendre des contraceptifs oraux pour elle.

Toutes ces confidences me mirent en émoi et renforcèrent mon ego, moi le petit jeune ! Le dessert , excellent lui aussi, arriva quand ils me parlèrent d'un fantasme en commun très excitant ! Il voulait profiter de ma présence pour que je joue le rôle de voyeur, qu'il puisse faire l'amour sans retenue devant mes yeux !

L'idée ne me déplaisait pas, au contraire, et je me dis que j'allais passer un samedi soir extraordinaire. Mon accord donné, le couple était aux anges ! On termina le repas par une coupe de champagne, même si je ne pensais plus trop à boire avec ce qui allait arriver.

M.O. rangea sa vaisselle avant qu'on passe aux choses sérieuses...il était un peu plus de minuit quand J. la souleva par la taille et lui posa ses fesses sur la table...S'en suivit d'un roulage de pelles longues, baveuses et langoureuses entre les deux tourtereaux. L'homme commença à peloter la poitrine de son amie en prenant soin de lui retirer son chemisier et de dégrafer son soutien-gorge. Apparaissait alors une jolie petite poitrine, je dirais 85B, tout au plus. C'est vrai que je ne vous avais jamais parlé de ses seins lors de mes précédents écrits.

La langue de J. parcourait maintenant ses tétons érectiles qui devenaient tout durs et très longs ! Ils faisaient maintenant bien deux bons centimètres, moi je n'en perdais pas une miette. Il lui baissa maintenant sa jupe jusqu'aux pieds, découvrant comme d'habitude un string coordonné à son tailleur, la dame avait vraiment le goût pour s'habiller ! Du fait qu'elle avait des petites lèvres très longues et charnues, on pouvait découvrir un renflement assez important au niveau de son entre-jambes.

Moi, de mon côté, mon érection avait gagné et était maintenant à son paroxysme dans mon caleçon, ce qui me faisait mal...mais je n'étais pas au bout de mes surprises quand M.O. décida à son tour de déshabiller son amant pour le mettre à l'aise. Une fois, sa chemise et son jean retiré, je découvris qu'il portait lui aussi un string ! Elle le lui ôta de suite, et failli prendre un coup de pénis sur la figure, tant celui-ci s'est redressé d'un coup sec ! Elle m'avait une fois décrit son sexe mais elle avait minimisé sa taille je pense par rapport au mien. C'est vrai que la longueur devait être identique, quoique j'aurais dit peut-être un cm de plus en sa faveur, mais son épaisseur était énorme...les grosses veines bleues vraiment exubérantes, un gros gland turgescent et brillant, qui faisait quasiment deux fois le mien ! J'ai su après que sa bite mesurait six et demi de large au niveau de la hampe, alors que le gland était encore plus imposant, je vous laisse imaginer...et son scrotum ne dépareillait pas, il avait vraiment de grosses bourses, de gros testicules, un très joli paquet quoi!

Une fois J. à l'aise, celui-ci en fit de même avec sa compagne, lui abaissant son string, pour nous faire découvrir son sexe épilé magnifique comme d'habitude, ses petites lèvres marrons-violacées dépassant vraiment des grandes. Nus tous les deux, ils se tournèrent vers moi en me disant de me mettre à l'aise également, ce qui voulait dire que je mette aussi « à poil »...seulement voilà, j'avais perdu mon érection complexé par la vue du sexe de mon ami !

Cependant, je m'exécutais et je retirais mes vêtements , et j'abaissais mon caleçon d'un coup sec...mon sexe ne bandait plus mais aucune des deux personnes ne fit de remarque désagréable. M.O. commença alors à lécher les boules de son mari avec insistance, remontant ensuite sur sa hampe sans jamais atteindre le sommet dans un premier temps...on voyait qu'elle avait de l'expérience dans le fellation, puis elle finit par atteindre son gros gland, ayant du mal à le prendre correctement en bouche tant celui-ci était épais, elle s'amusait aussi avec le frein en passant le bout de sa langue juste à la naissance de celui-ci, au niveau de la base du gland...elle devait être une suceuse hors-pair, et J. très endurant car cela faisait bien dix minutes que la pipe avait commencé...Moi de mon côté, j'avais récupéré une érection très solide sans m'en rendre compte.

Les deux compagnons décidèrent ensuite d'inverser les rôles, M.O. était maintenant allongée sur le dos sur la table, quand l'homme commença à lui prodiguer un cunnilingus monstrueux, la tordant de plaisir ! Moi, j'étais resté loin de la scène par timidité et donc je ne voyais pas avec précision...J. m'interpellait en me disant de me rapprocher au plus près. Il la fouillait maintenant avec un doigt, puis deux, trois et maintenant quatre doigts pour préparer la pénétration avec sa grosse queue. M.O. hurlait de plaisir et semblait avoir atteint son premier orgasme de la soirée ! Je remarquais pas tout de suite que mes deux amis n’arrêtaient pas de mater ma queue en érection...en fait c'était le but recherché par le couple qui voulait être vu et procurer du plaisir à son voyeur.

M.O. toujours sur le dos, son compagnon pu lui mettre son pénis imposant dans son con, ce qui lui provoqua un grognement à son introduction. Heureusement, qu'il l'avait bien préparé avec quatre doigts ! Le couple matait toujours mon sexe, J. me demanda de me masturber devant eux, chose à laquelle j'avais pensé naturellement mais je n'osais pas...Il l'a pilonnait maintenant depuis quinze minutes alternant le rythme, moi je me branlais mais en faisait beaucoup de pauses, car ma semence pouvait sortir à n'importe quel moment, je n'avais pas encore vu à mon âge de spectacle aussi excitant...j'étais effaré par l'incroyable endurance de mon hôte alors que moi je luttais ! M.O., de son côté, gémissait et couinait, elle semblait avoir atteint un second orgasme !

J. se retirait du vagin de son amie, la grosse pine bien raide en ayant pas encore craché...M.O. se retourna naturellement et se plaça à plat ventre sur la table. Il pu recommencer un long cunnilingus, mais maintenant sa langue s'approchait de plus en plus de son périnée, pour atteindre ensuite son anus...il lui fouillait le petit trou avec le bout de sa langue en lui crachant aussi dedans, moi je n'en perdais pas une miette ! Je n'avais pas encore pu apercevoir son œillet au magasin, ce fût chose faite aujourd'hui...il était très beau lui aussi, pas du tout plissé mais bien charnu, brun aussi comme ses petites lèvres. J., aidé de cette préparation, pensé avoir fait le nécessaire pour pouvoir la pénétrer par l'anus...Il plaça son gros gland luisant de mouille à l'entrée de sa rondelle, il commença à pousser pour l'introduire mais M.O. faisait de plus en plus de grimaces. Sa queue était pourtant bien enduite de cyprine du coït précédent , mais ça ne voulait pas rentrer ! J. m'expliqua que souvent il arrive à la prendre « à sec » mais peut-être ma présence faisait que, elle n'y arrivait pas aujourd'hui... L'élasticité du sphincter n'est pas toujours identique selon les jours non plus apparemment…
J. parti alors en direction de leur chambre, avec une érection au top, pour aller chercher leur flacon de lubrifiant, il revient un moment après car il ne trouvait plus le produit, mais toujours avec la verge qui pointait à la verticale ! Une fois le produit en main, il pouvait badigeonner son membre et asperger le petit trou , ainsi que la raie de sa femme. La seconde tentative d'introduction fût la bonne, et le gland ainsi lubrifié pu rentrer sans trop de douleur dans le rectum de M.O.

J. besognait comme il se doit sa dulcinée, il retirait complètement par moment sa queue du trou, pour mieux la remettre. Moi, j'avais arrêté totalement ma masturbation, car je ne tenais plu. Elle couinait de plus belle, tant il lui claquait les couilles et le bassin contre son cul… elle venait d'atteindre son troisième orgasme au bout d'une quinzaine de minutes encore, lui n'avait pas encore craché !

En même temps qu'il retirait sa verge du fourreau, il me dit : viens voir ! Regardes son anus comment il est ouvert ! Effectivement, son petit trou était complètement déformé, bien béant du diamètre de sa queue de six bons cm et même sa moule était bien entrebâillée, il faut dire qu'il était vraiment bien monté !

Il dit à sa femme : «  tu vas me resucer pour que je vienne ». Il partit chercher dans la salle de bain un paquet de lingettes afin de pouvoir nettoyer la raie de sa femme, car du jus avait coulé du petit trou jusqu'à sa vulve...chose faite, il repartit une nouvelle fois le sexe tendu comme un arc en direction de la salle d'eau afin d'aller nettoyer sa queue souillée par l'anus de M.O. pour se refaire sucer comme il se doit...il revint quelques minutes après, la pine toujours à l'équerre...j'étais incroyablement étonné par l'endurance et la qualité d'érection de ce type !

M.O. entrepris donc le sucer , mais en le branlant en même temps très très énergiquement pour le faire cracher, le but étant de le terminer car il était maintenant plus d'une heure au matin...au bout de quelques minutes, J. cria «  ça y est ! Je vais venir », quand soudain elle eut l'idée qu'on se vide tous les deux en même temps sur chacun de ses seins, car elle adorait recevoir la liqueur bien chaude sur sa poitrine !

- Excellente idée, répondit-il !

On se plaça chacun d'un côté afin de pouvoir éjaculer sur un sein, et on commença à se masturber. Moi, j'étais prêt depuis longtemps mais j'attendais que J. gicle en premier connaissant son endurance...au bout de quelques secondes maintenant, il éjacula accompagné d'un gros râle de plaisir, ce bruit déclencha chez moi aussi ma jouissance !

Devant toute cette soirée riche en excitation, j’eus un très gros orgasme accompagné d'une très forte éjaculation ! Au moins 8 à 9 jets bien liquide et copieux, et expulsés avec force, sauf que mon compère placé juste en face de moi, reçu les trois ou quatre premiers sur son bas ventre et sur sa bite, les suivants moins chargés s'écoulèrent sur le sein que j'avais pris en charge.

- Oh le salaud s'exclama J. en voyant ses parties souillées par ma semence, alors que M.O. riait aux éclats en voyant le spectacle ! Elle nous dit : « ça c'est de l'éjaculation ! », en voyant celle de son homme.

Elle m'avait expliqué que justement elle regrettait le peu de jus de son copain. C'est vrai que moi-même je fus interloquer par sa jouissance, il y avait eu que deux ou trois petits jets de sperme tout au plus, sans vigueur...sperme vraiment très très épais et bien blanc mais bon sans quantité et des jets sans panache ! Je n'avais vraiment jamais vu ça même quand je me branlais avec des copains sur des « bouquins de cul »...nous étions tous inégaux devant nos éjaculations, certains émettent en abondance, d'autres moins...certains ont de la semence épaisse et bien blanche, d'autres comme moi plutôt liquide et transparente...mais voilà j'avais jamais vraiment observé ce genre de « décharge ».

J. se défendait en expliquant qu'il avait toujours eu très très peu de sperme depuis l'adolescence, mais qu'il avait réussi à avoir deux enfants très facilement avec deux femmes différentes, preuve que sa semence était très bien fécondante...mais pour les « jeux de sperme » dans le couple, c'est vrai que c'était pas top ! Cette défaillance contrastait beaucoup avec la taille de sa queue, le diamètre de ses deux testicules et le sentiment de puissance qu'il imposait...surtout qu'il n'avait pas encore débandé totalement cinq minutes après avoir juté ! Il me complimenta sur mon éjaculation qui était pour lui parfaite, et je le complimentai à mon tour sur son endurance et sa qualité d'érection. A ce sujet, je lui demandais s'il avait pris un quelconque médicament genre Viagra pour ce rapport sexuel tant il avait bien bandé et qu'il avait du mal à ramollir complètement ! Mais il semblait que non, il avait toujours eu de fortes aptitudes à bander naturellement et jamais connu de défaillances...d'ailleurs il m'expliquait aussi qu'une fois qu'il était excité et qu'il chopait le « barreau », il ne débandait jamais jusqu'à la jouissance et même encore après...je comprenais mieux pourquoi il pouvait se promener dans la maison avec la queue dressée pendant un rapport, et qu'il revenait dans le même état.

Nous voilà, tous en sueur, ayant passé une excellente soirée, nous nous levions quand M.O. nous dit : « j'ai une grosse envie de faire pipi !, ça vous plairait de voir les garçons ? ». C'est vrai que J. et moi-même avions été 2 fois au toilette pour nous soulager, et elle pas le moindre du monde mais nous connaissions l'endurance de sa vessie donc cela ne nous étonnait guère !

Nous répondions par la positive...mais J. ne voulait pas qu'elle le fasse au toilette et eut l'idée de se diriger vers une de leur salle de bain, celle qui disposait d'une imposante douche à l'italienne...on y rentrait tous les trois, les hommes se mettait chacun d'un côté de M.O., attrapant chacun une jambe en passant un bras sous chaque fesse, et elle se tenant à nos cous, de manière à ce qu'elle soit assis comme sur des toilettes. N'y tenant plus, elle pu se soulager...comme d'habitude, un jet transparent,violent et bien dru qui claquait contre le sol de la douche et qui nous éclaboussait les pieds et les mollets...quand la fontaine commençait à se tarir, son pipi coula en dessous de ses fesses nous mouillant aussi nos bras qui la soutenaient ! Le spectacle était encore une fois au rendez-vous, ce qui nous refila chacun une grosse érection, mais il était bien trop tard pour remettre le couvert et M.O. n'y tenait pas trop !

Elle me donna le nécessaire pour que j'aille prendre ma douche dans la second salle de bain, pendant qu'eux utilisèrent ensemble la première.
Sur ce, on se quitta exténués vers trois heures du matin, M.O. me disant au revoir en m'embrassant sur la bouche et en me disant :  « A bientôt ! ».

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