Titre de l'histoire érotique : Ma remplaçante

- Par l'auteur HDS Sexapile33 -
Récit érotique écrit par Sexapile33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Ma remplaçante Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ma remplaçante
Je suis dans une société d’informatique et je dois être remplacée pour mon départ en congé maternité.

Jusque là, rien de bien méchant mais la suite me donna la chair de poule pour conclure sur une fin que je n’aurais jamais osé penser.

Moi, je m’appelle Viviane et je suis mariée avec Pascal depuis 3 ans. Notre couple est très équilibré et l’enfant qui arrive est la consécration de notre amour.

Au boulot, je suis comptable et ma carrière est toute tranquille. Ma remplaçante est une jeune fille venant d’une boite d’intérim, Sophie.

Voilà pour la situation dès le début de mon aventure. A chacun de faire son scénario avec les trois acteurs principaux. Pour moi, l’histoire était simple : Je travaillais pendant 2 mois avec la jeunette et après, je vivais la naissance de mon bébé avec mon mari…

Dès le début, avec Sophie, tout se déroule très bien. Nous avons un bon feeling et nos rapports sont très cordiaux. Très rapidement, nous avons une petite complicité qui se met en place et nous aide grandement dans notre travail. En fait, mon travail devient presque un loisir avec elle tellement elle est douée et sympathique.

En un mois, Sophie et moi sommes devenues inséparables. Je sais tout d’elle et elle sait tout de moi. Nos conversations couvrent tous les domaines ; des fringues à la politique, des mecs aux collègues, du fric au cul. Sur le dernier sujet, nous explorons nos petites expériences avec sa vie de célibataire presque endurcie à la mienne de femme enceinte.

Sophie est une nana des plus commune avec un corps classique mais un regard translucide tellement elle a les yeux clairs. Elle se plein que tout le monde s’arrête sur son regard mais je dois bien reconnaître qu’elle a un regard envoutant. Pour le reste, je le détaillerai dans la suite de mon récit.

Moi, je ne ressemble pas trop à Sophie sauf pour mes cheveux châtains. Avec la grossesse, j’ai une poitrine plus grosse de deux tailles, donc je fais un gros 95C… adieu mes petits seins comme ceux de ma copine !

A force de parler de Sophie à la maison, Pascal me demande de l’inviter avant qu’on ne soit trop occupé avec le bébé. De plus, mon mari me propose de faire le repas, alors, je n’hésite pas une seconde de plus. L’invitation est lancée et le week-end suivant, Sophie arrive à la maison dans une tenue splendide : Robe longue noire lui faisant un contraste extraordinaire avec son visage superbement maquillé et toujours ses yeux lumineux.

Avec Pascal, nous sommes subjugués par Sophie et son allure de déesse. Pour moi, le repas passe et nous poussons l’après-midi et la soirée entre une petite balade et une partie endiablée de jeux de société. Pour mon mari, je ne m’aperçois pas de suite à quel point il est… hanté par Sophie.

Pascal ne parle pas forcément de Sophie et je ne vois même pas qu’il est très tendu et perturbé depuis la journée passée avec ma copine. Avec les préparatifs de la naissance, j’ai de quoi avoir la tête ailleurs. C’est de Sophie que me vient ma première surprise.

Un midi, Sophie glisse la conversation vers les rapports sexuels que peuvent avoir une femme enceinte avec son mari. Nous partons dans un délire avec Sophie qui met en scène une remplaçante pour chaque femme enceinte afin que le mari ne se sente pas seul avec sa libido. Comme une cruche, je ne vois rien jusqu’à ce que Sophie me demande si mon mari n’est pas en manque car elle se sent bien de me remplacer pendant un temps. Je prends ça à la rigolade sur le coup mais le reste de la journée, l’idée qu’elle puisse draguer mon mari s’installa.

Comme une belle idiote, j’en parle le soir même à Pascal qui passe par tous les états en s’engluant dans une suite de bla-bla sans intérêt. Le seul avantage de cette soirée, c’est que Pascal me fait l’amour comme si nous retrouvions notre fougue des premiers instants. Des carresses douces et une grande période de préliminaires qui me permettent de retrouver le plaisir de l’orgasme pendant la pénétration.

Une semaine durant, je retrouve mon mari amoureux. Je pense que c’est notre enfant à venir qui le rend gourmand de moi. A recevoir de l’amour chaque soir, je redécouvre le plaisir du sexe et j’en parle à Sophie qui semble ravie pour moi. Sans même m’en rendre compte, je parle des performances de mon mari à Sophie et je parle de Sophie à Pascal.

Dans cette situation, je suis la grande gagnante car ma libido est ravivée par les assauts continus de mon mari. En plein week-end pluvieux, après avoir sucé mon mari après un bon film, vautrés sur le canapé tous les deux, je me sens toute émoustillée et je propose d’attraper un film porno sur le net pour nous échauffer et passer une fin de journée en ne faisant que l’amour.

Google est notre ami ! Et en quelques clics, nous chargeons une dizaine de films en fonction de nos envies. La vitesse de transfert nous oblige quand même à attendre presque 2 heures avant d’avoir le premier film. Pendant ce temps, Pascal me dit que si ma copine était là, on pourrait faire des tas de trucs sympas. Dans mon état, avec mes hormones en ébullition, ça me donne plutôt des chaleurs d’imaginer Sophie avec nous.

Pendant l’heure restante avant de pouvoir mater le premier film de cul, on regarde des sites pornos et Pascal recherche, avec mon aide des photos pouvant représenter Sophie nue. J’ai beau lui dire que je ne l’ai jamais vu à poil, il insiste pour que je l’imagine. Pendant notre recherche, je vois bien une centaine de nanas avec des gros plans sur toutes les parties habituellement cachées de l’anatomie féminine.

Pascal n’est pas un amateur de cochonneries comme la sodomie ou toutes les autres déviances. A chaque fois qu’il tombe sur des photos trop trash, il zappe aussitôt sans même me demander. De mon côté, je n’ai plus de culotte depuis que j’ai quitté le canapé et je suis assise sur les genoux de mon mari.

De temps en temps, Pascal glisse sa main sous le tissu de ma robe et me caresse le ventre et les jambes. A chaque fois, je ne peux m’empêcher d’écarter les jambes pour qu’il vienne en moi. Je reste des fois sur ma fin et j’ose passer moi-même la main sur mon sexe pour le caresser devant quelques photos plus aguichantes que d’autres. Mon mari me demande de lui faire sucer mes doigts quand ils ressortent de mon sexe humide. Ca me rend de plus en plus gourmande de sexe.

Juste avant la fin du téléchargement, nous avons deux photos de filles ressemblant de loin à Sophie. Pascal commence à délirer sur les filles et il me propose de m’imaginer avec Sophie. Rien qu’à en parler, je le sens complètement excité et il ne peut s’empêcher de me peloter les seins. Ses paroles me donnent aussi le vertige et j’ai la chatte trempée.

Je lui demande de venir me lécher et il se place devant la chaise. Je lève une jambe et je le laisse soulever le bas de ma robe pour découvrir mon sexe sensible. Pascal continu toujours de parler en racontant que Sophie la regarde offerte et que je suis belle. Je ne sais pas si c’est son histoire, les mots utilisés, mon imagination d’avoir Sophie devant mon sexe offert mais je brûle de désir qu’on me prenne le sexe et me fasse hurler de plaisir.

Pascal raconte qu’il tient Sophie par les seins en la caressant et qu’elle s’avance vers mon sexe pour me lécher. Moi, je n’y tiens plus et ma main m’écrase le clito pour me faire une masturbation magique. Pascal me raconte qu’il glisse son sexe dans Sophie, par derrière et qu’elle s’avance pour me lécher. Perdue dans mon excitation, je crois lui demander d’y aller fort pour qu’elle me lèche. D’un seul coup, mon sexe est électrisé avec la chaleur presque brûlante d’une bouche qui se plaque sur mon clito.

Jamais je n’ai eu un orgasme tellement fort et rapide. Pour vous dire à quel point je suis dans le plaisir, je m’entant hurler plutôt que crier et presque aussitôt après, le noir. En fait, je viens de perdre connaissance et je me réveille par terre avec un Pascal inquiet qui me parle doucement. J’ai encore le corps secoué de spasme et j’ai froid bien que bouillante à l’intérieur. Le grand paradoxe féminin dans toute sa splendeur ! Entre deux grelots, je dis à mon mari chéri que j’ai adoré. Sans rire, il me dit qu’il ne faudra plus jamais faire ça sur une chaise à roulettes.

En reprenant mes esprits, l’image de Sophie est incrustée dans ma tête et j’ai l’impression que toutes les femmes et tous les hommes visionnés durant plus d’une heure sont entremêlés autour de moi. Pascal me demande si je vais bien et je le rassure. En fait, j’ai subit comme un électrochoc sexuel et je me suis découverte une puissance incroyable. Pour rassurer Pascal, je vais même à lui dire que Sophie lèche très bien et que j’espère qu’il en a profité avec elle.

Contente de ma blague, je ris aussi de la tête de mon mari qui me découvre en mordue du sexe et prête à tout. Nous faisons une pause que je ne refuse pas tellement je me sens vidée après cette séance torride. Il me faut une heure pour retrouver de la force mais Pascal préfère passer la soirée tranquille pour que le bébé ne soit pas trop secoué. Je suis bien d’accord avec lui et je me demande si l’idée de Sophie de trouver une nana pour prendre la place de la femme enceinte est si conne que ça. Dans la soirée, je me suis effondrée comme une masse pour une nuit réparatrice. Pascal a continué à télécharger des films érotiques et pornos.

Le lendemain, pour aller au travail, j’avais mal dans les reins et les cuisses. Souvenirs d’un week-end en amoureux !

En arrivant au travail, je trouve Sophie radieuse à m’attendre pour le boulot. Dès que je la vois, je ne peux m’empêcher de penser aux mots de Pascal racontant qu’elle me lèche pendant qu’il l’a pénètre. Je dois faire presque un effort pour ne pas laisser mon corps réagir à l’idée. Je profite de ma situation de femme enceinte pour aller directement au toilette pour me calmer.

La matinée se déroule bien et le midi arrive doucement. Le repas en tête-à-tête avec Sophie se fait au bureau sans débordement dans les sujets de conversation. Le soir, je pars presque frustrée de ne pas avoir dit à Sophie mes frasques du week-end. Néanmoins, je préfère garder pour moi quelques passages de peur que je perde une très bonne copine. C’est Sophie qui me court après sur le parking pour m’inviter un soir avec mon mari avant que je ne puisse plus me déplacer facilement. Nous rions de sa boutade et elle propose de faire une soirée mercredi. Rendez-vous prit.

Le soir même, quand j’annonce à Pascal que nous dinons chez Sophie mercredi soir, il est aussi ennuyé que moi. Nous sommes coincés entre nos délires et la réalité. Pascal me dit que si Sophie est aussi belle et sexy que la dernière fois, il lui sautera dessus avant la fin de l’apéro. Nous rions mais je le sens presque sérieux. Le soir même, nous regardons un des films pornos et nous nous couchons épuisés après avoir fait quelques parties de galipettes bien agréables.

Le temps du mardi est bien mieux que la veille et nous mangeons à l’extérieur. Je ne peux m’empêcher de dévier la conversation sur le week-end dépravé passé. Sophie, gênée au début, est vite intéressée. En évitant quelques détails trop gênants face à Sophie, je raconte mon évanouissement et la folie érotique qui nous gagne petit à petit. Sophie ne tient pas sur place et je m’aperçois qu’elle réagit à mes explications. Soudain, je lui demande si ce que je lui raconte l’excite trop. Elle semble toute bête et mais sa main sur la face de son pantalon en disant qu’elle risque bien de devoir rentrer aux toilettes en urgence.

Nous rions de la situation. Je m’excuse pour l’avoir mise dans cette situation. Elle s’avance vers moi pour me donner une bise sur la joue et me remercie. Sophie est gênée et je lui demande si les dégâts sont énormes. Elle sourit juste en disant que sa culotte est bonne à changer. Nous rions de la situation plutôt cocasse. Je lui dis qu’on va devoir faire attention et se calmer avec Pascal pour ne pas rendre la soirée de Mercredi trop ‘hot’.

Sophie de dit rien et reste juste rêveuse. Finalement, elle pousse un grand soupir et me remercie encore. Je lui demande pourquoi et elle me dit avec une étincelle dans le regard qu’elle a retrouvé un plaisir qu’elle croyait perdu. Je me rends compte à quel point elle est mignonne à côté de moi et de mon énorme ventre. En plus, je commence à être gonflée de partout et je me trouve de plus en plus difforme.

Je soupire aussi mais avec un sentiment de frustration à me comparer avec la jeunette. Sophie me prend la main et me demande si je vais bien. Je lui explique que je commence à me sentir moche et que je comprends mon mari qui flash sur elle. Elle est étonnée mais je trouve qu’elle ment très mal.
Je me reprends et on se lève pour retourner au bureau. En chemin, Sophie me glisse dans l’oreille qu’elle a la culotte humide et qu’elle espère que ça ne se verra pas sur le pantalon. On pouf encore quand on se retrouve dans les toilettes.

Je fais mon énième pipi de la journée et Sophie s’arrange dans la cabine d’à côté. En sortant, elle fait la maline en disant qu’elle n’a pas de culotte mais elle craque rapidement en me demandant si je n’ai pas de culotte à lui passer. Je lui passe ma culotte de réserve qu’elle va mettre. Elle fait une taille de moins mais elle semble heureuse de pouvoir protéger son intimité dans autre chose qu’un tissu râpeux comme son pantalon tailleur.

Tout l’après-midi, nous ne parlons plus de la scène du midi. Arrivé le soir, nous nous disons au revoir sans plus de débordement.

Le soir même, je raconte à Pascal l’histoire de Sophie se masturbant presque devant moi. Sans film porno, nous faisons l’amour avec une grande passion. Je suis vraiment heureuse de profiter de l’image de Sophie pour mon plaisir. Sans forcément voir le mal, je demande à mon mari s’il serait capable de faire l’amour à Sophie. Il semble embarrassé de la question mais je le rassure en lui disant que j’ai confiance en lui et qu’il peut dire ce qu’il veut.

Je n’aurais peut-être pas dû !

Pascal me dit qu’il a flashé sur Sophie dès la première vue et qu’il rêve presque d’être avec elle. Ça me fait mal et, émotive comme je suis, je commence à fondre en larme sans me contrôler. Il me prend dans ses bras et s’excuse. Je ne peux pas lui en vouloir car c’est moi qui l’ai voulu. Finalement, je réfléchi à mon corps et je me dis que j’ai de la chance d’avoir trouvé une force sexuelle qui me donne une énergie énorme. Sophie est dans tout ça et si mon mari fantasme sur ma copine, c’est moi, pour le moment, qui est reçu tout le bénéfice.

Et si je voyais Sophie nue avec mon mari. Qu’est-ce que je ferais ?

Je tourne cette image dans ma tête et, finalement, je ne la trouve pas si horrible que ça. J’ai juste une trouille d’enfer de le voir partir avec la jeunette pour laisser la grosse dondon avec le môme !

En fait, je suis tiraillée entre les hormones qui me font délirer de façon très grave sur les choses du sexe et ma peur viscérale de perdre l’homme de ma vie. J’ai des images du dernier film porno où une nana est offerte par le maître de maison à sa femme. Les deux femmes se sont caressées et rapidement, l’action est partie dans une scène à trois. Rien que de penser à ça et je sens mon ventre se contracter et se dilater dans les secondes suivantes. Sophie et moi ?

Je ne me vois pas faire des léchouilles sur le sexe de Sophie mais j’aimerais bien la voir se déshabiller et se caresser. Dans le lit, couché à côté de mon mari, j’ai la main sur mon sexe et je commence à me caresser le clito. Et si mon mari arrivait au même moment, avec son sexe arrogant, pour lui glisser dans la bouche. Mieux encore, il nous donnerait le sexe à toutes les deux. Les images tournent, bougent et me brûlent le cerveau. Je retire ma main humide mais j’ai vraiment du mal à ne plus penser à la scène. Je pose ma main sur un de mes seins et mon esprit imagine aussitôt le jus de Sophie sur moi. De plus, l’odeur de mon sexe est dans le lit et ça joue le rôle d’activateur de plaisir. Il faut à tout prix que Pascal me fasse l’amour !
Après avoir eu encore une fois le sexe rempli de la tige gonflée de mon mari et avoir attrapé un orgasme très égoïste, je finis par m’endormir sans dire à Pascal les pensées qui m’ont refaite démarrer. Ma nuit est agitée et le matin, j’ai encore du sommeil en retard. La soirée de Sophie est le soir même et je suis à la limite d’annuler.

J’arrive avec un peu de retard au travail et Sophie s’inquiète tout de suite de mon air crevé. Je ne lui dis pas la vérité même si une part de moi crève d’envie de lui raconter comment j’ai mouillé en pensant à elle. Le midi, c’est elle qui me raconte sa soirée et elle s’excuse toutes les trente secondes. Après mes révélations de la veille, elle a eu un mal fou à s’endormir car elle avait des images de Pascal et moi faisant l’amour. Pour dédramatiser, je lui dis que de vois mon mari avec une grosse vache, ce n’est pas le truc qui doit empêcher de dormir. Sophie lâche alors d’une traite : « Non ! Au contraire, tu as des gros seins qui doivent être superbes ! J’adorerais les avoir… »

Sophie pique un phare et devient un peu cramoisi par la honte d’avoir dit ce qu’elle pensait peut-être tout bas. Je lui propose alors de comparer les avantages et les inconvénients entre sa poitrine et la mienne. Elle bafouille un peu et elle finit par dire que les miens peuvent servir à abriter le sexe de mon mari. Intérieurement, je dois bien reconnaitre que c’est ce que j’ai fait la veille au soir en masturbant mon mari entre mes seins pour recevoir son gland dans la bouche.

Sans la rejoindre sur ce terrain, je lui dis que mes seins sont lourds et difformes avec des tétons énormes et ultra sensibles. Je n’ai pas des seins galbés à la perfection comme chez les stars. Je me retourne et je cherche un endroit caché au fond du parking. Il y a effectivement un endroit laissé à l’abandon sur le bord du parking où la haie est libre de s’ébattre à sa guise. Je me lève et propose à Sophie de venir avec moi.

Arrivé au bord de la haie, un tour d’horizon rapide et je m’enfonce entre les branches épaisses de la verdure. Sophie me rejoint et me demande ce que je fais. Sans répondre, je regarde vers l’extérieur si quelqu’un peut nous voir mais la réponse est sans appel. La végétation est généreuse et nous sommes tranquilles.

Je commence à déboutonner mon chemisier et Sophie me repose la question. Je continu et je lui dis qu’elle va voir à quoi ressemble une poitrine de femme enceinte. Elle chuchote pour me dire d’arrêter mais j’ouvre en grand le pan de mon chemisier et j’attrape les attaches de mon soutien-gorge pour le dégrafer. Je soulève le soutif et laisse tomber mes seins vraiment lourds. Sophie reste sans voix devant le spectacle. Je prends un sein dans la main et lui attrape une main pour qu’elle pèse le poids d’un de mes obus. Sa main ne porte rien et se fait écraser entre mon sein et mon ventre. Je lui demande de soupeser et de me dire si ça lui plairait. Elle soulève mon sein et je commence à ressentir du plaisir. Elle me dit que c’est énorme. Je ne peux pas la blâmer car c’est ce que je pense tous les jours ! La sensibilité de ma peau me donne l’impression qu’elle me caresse et je fais un petit pas vers Sophie. Ses yeux sont rivés sur mes seins et je commence à me demander si ce n’est pas l’occasion qu’elle se foute à poil.

Je lui propose de bien voir si elle aime mes seins. En disant ça, mes tétons se contractent et j’ai l’impression que Sophie peut lire dans cette réaction que j’aime le contact de sa peau sur la mienne. Une partie de moi réclame qu’elle me caresse. Si seulement elle pouvait me lécher un téton ! Sophie, dans un murmure, arrive à dire que je suis belle. Moi, je commence à avoir la chatte de plus en plus ouverte et mon corps commence à réclamer du plaisir. Ce n’est ni l’endroit, ni le moment mais j’attrape la deuxième main de Sophie pour qu’elle attrape l’autre sein.

Sophie me caresse de plus en plus distinctement et je lui propose de m’embrasser les seins si elle veut. Elle commence à reculer mais je lui attrape les épaules pour l’approcher de moi. Elle se laisse faire et sa poitrine rencontre la mienne. Dans un geste très maladroit, elle m’embrasse sur la joue mais ses lèvres glissent vers ma bouche. Un petit mouvement de tête et c’est moi qui la rejoint pour un baiser où nos langues se touchent.

Le contact de nos langues créé comme un déclencheur et Sophie se penche pour m’embrasser le haut de ma poitrine pour descendre vers mes tétons. Je la laisse faire et je prends le plaisir comme il se présente. Elle me lèche avec merveille et j’ai envie de sentir ses poils sur ma main. Je lui dis que maintenant, c’est à moi de prendre quelque chose d’elle. Elle commence à déboutonner son chemisier mais je l’arrête et je glisse ma main le long de sa hanche pour descendre sur sa cuisse.

Elle tente de reculer mais je la retiens et ma main arrive sur le bas de sa jupe. Ma main force un peu les jambes serrées et je remonte pour atteindre son pubis. Elle me chuchote d’arrêter mais je lui dis qu’elle n’a pas le droit. Finalement, après une courte bataille silencieuse, elle me laisse passer ma main entre ses cuisses et la toucher sur sa culotte. De façon rapide, j’écarte le bord de la culotte pour toucher les poils. Ce contact est un réel plaisir pour moi et le soupir de Sophie m’indique que je ne suis pas la seule à prendre du plaisir.

En appuyant sur le renflement du clito, je produis l’effet attendu sur les cuisses de ma copine. Elle se baisse en pliant les genoux et m’offre la joie de glisser mes doigts sur sa fente humide. Je touche pour la première fois une autre femme et je prends un plaisir qui m’enveloppe aussi. Mes doigts glissent en elle et Sophie gémit doucement. Je me force à arrêter car l’endroit ne se prête pas à des gémissements et à une suite que nous désirons toutes les deux. Comme la veille, je pose ma main humide du jus de Sophie sur mes seins. Elle se colle à moi et me murmure des mots que je ne comprends pas complètement. Il nous faut bien 15 minutes pour retrouver un calme relatif et repartir d’un pas presque naturel vers les bureaux.

Je ne peux pas dire que cet après-midi soit la plus belle de ma vie. Je suis coincée entre le plaisir du midi et la honte d’avoir fait ça. A voir la tête de Sophie, c’est sûrement la même chose. Nous ne nous adressons pratiquement pas la parole. Quelques collègues remarquent le malaise et nous le font remarquer. Rien n’y change et je dois baisser les bras à la pause de 4 heure en quittant le boulot et en laissant Sophie seule. Sur la route de la maison, je me demande si c’est vraiment raisonnable de passer la soirée chez Sophie le soir même.

Je reste seule à la maison pendant encore 2 bonnes heures avant que Pascal ne rentre. Pendant ce temps, tout me passe par la tête. A vrai dire, je suis larguée et je me mords la joue en ne sachant que faire. Je regarde le téléphone toutes les minutes en me demandant si je dois appeler Sophie pour lui dire que nous ne venons pas ce soir. Je suis même tentée d’appeler mon médecin pour qu’il m’arrête dès maintenant jusqu’à l’accouchement. La fuite !

Pascal rentre du boulot et me demande aussitôt à quelle heure est le rendez-vous. A voir ma tête, il comprend vite que je ne vais pas bien et il s’inquiète. Quand je lui raconte le midi, il siffle, ce qui a tendance à me mettre en colère. Il s’excuse aussitôt et me demande ce que je décide pour la soirée et la suite. Franchement, je préfère le laisser décider et lui montre le post-it avec le numéro de Sophie.

Il va prendre une bière dans le frigo et revient après avoir bu la moitié devant la baie vitrée donnant sur le jardin. Il doit réfléchir à fond car je connais mon mari et, quand il a cette attitude, c’est qu’il analyse toutes les possibilités. Je lui fais confiance et lui laisse toutes les décisions. Il finit par s’avancer pour prendre le post-it et le téléphone. Il me regarde avant de composer le numéro.

J’ai l’impression que le temps s’arrête et je crève d’envie de demander à Pascal sa décision. Il pose sa main sur ma cuisse pour me rassurer. A son petit sursaut, je sais que Sophie est au bout du fil. Pascal se présente et commence à dire que je ne suis pas dans mon assiette. Il commence par s’excuser pour la soirée mais semble être coupé dans sa phrase. Il écoute avec attention avec quelques « Bien », « Ah ! » et « D’accord ». Après encore un moment d’écoute, il dit qu’il va demander et se penche vers moi pour savoir si je veux lui parler. J’hoche la tête vigoureusement mais Pascal cache le micro du téléphone pour me parler.

Il m’explique que Sophie me présente toutes ses excuses et qu’elle a hâte de nous recevoir ce soir. Je reste médusée. Je bafouille à mon mari que Sophie sait qu’il flash pour elle, qu’elle m’a embrassé les seins et que, comble de tout, je l’ai masturbé. Comment faire pour passer une soirée comme si de rien n’était ? Pascal reprend le combiné et explique que la situation entre nous trois devient un peu compliquée pour pouvoir passer une soirée zen. Il écoute la réponse avec ses yeux qui exprime l’étonnement. Il demande à Sophie si c’est bien ce qu’elle veut et raccroche pour rester silencieux en regardant le téléphone. je lui demande ce qu’il se passe.

Pascal semble perdu, chose qui n’arrive jamais ! Il me dit que Sophie m’aime et qu’elle a avoué être prête à tout pour être avec moi. Je reste toute bête devant cette annonce. Voilà une femme qui m’aime et qui l’annonce à mon mari… Même dans les romans les plus tordus, ce n’est pas le genre de scénario classique. Pascal continu en me disant que Sophie attend notre réponse pour ce soir mais qu’elle met de grands espoirs sur cette soirée pour nous connaître tous les deux.

« Merde » est le seul mot qui me vient à l’esprit. Si je comprends bien, Sophie est prête à devenir une esclave pour être avec moi. C’est vraiment un truc de dingue ! Pascal finit sa bière et me demande ce que j’en pense. Je hausse les épaules en guise de réponse sans trouver les mots pour exprimer ma déconvenue. Je ne sais que penser ! Sur le moment, mes hormones me laissent tranquilles et mon bébé me donne de grands coups de pied comme pour me demander de me réveiller. Pascal me rappelle les fantasmes faits à propos de Sophie et me demande si ce midi, j’ai éprouvé un réel plaisir ou juste une expérience dégoutante à oublier.

A me remémorer le midi dans le petit fourré avec Sophie, je me rappelle le plaisir de sentir les mains de Sophie sur mes seins. Notre baiser était très agréable et j’ai complètement fondu lorsque ma main était dans sa fente humide. Si je me fie aux faits du midi, je dois bien reconnaître que j’ai eu du plaisir avec Sophie. Si je veux être honnête avec moi-même, je dois bien reconnaître que je dois à Sophie une grande partie des orgasmes déclenchés depuis environ 1 mois. Même l’idée de voir Pascal s’enfoncer dans ma copine ne m’a jamais vraiment dégouté, juste inquiété pour l’équilibre de mon couple.

Imaginons que nous allions à cette soirée et que Pascal se tape Sophie. Imaginons aussi que Sophie nous accueille à poil et qu’elle fasse l’amour avec moi… Bref, imaginons aussi que la soirée se passe tranquillement… Non, je ne vois pas comment cela pourrait être possible ! Il va sûrement se passer quelques chose de sexuel ce soir. Suis-je prête ? J’imagine que Pascal est prêt à tout car pour lui, c’est que du bonheur ! Se taper sa femme et une petite jeunette loin d’être un laidron, ce n’est pas lui qui va se plaindre. Deux coups de pied dans le ventre me réveillent et je finis par dire à Pascal qu’il y a un risque que notre couple soit touché.

Il me dit que c’est juste une fille et nous sommes presque trois pour nous battre si la situation se présente. Il m’avoue, quand même, qu’il bande d’avance de la soirée. Il s’avance vers moi et m’embrasse sur la bouche en me caressant doucement le bord d’un sein et en posant une main sur la peau de ma cuisse.

Je porte une blouse et je sens la main de Pascal glisser doucement vers le haut de ma cuisse. Je pose ma main sur la sienne pour l’arrêter. Je lui dis que je suis assez perturbée pour éviter d’en ajouter. Il s’excuse. Mon corps à quand même tendance à vouloir Sophie et c’est mon esprit qui refuse une relation loin des normes classiques de la société. Une dernière pensée de midi. L’image de ma main dans la culotte de ma copine. Toutes les envies que j’ai eu en un éclair pendant ce moment. Rien que ce souvenir et c’est comme si un feu de poudre se déclenchait dans mon échine. Mes seins se gonflent et mon ventre se contracte.

Finalement, je remettrais bien la main de mon mari sur ma cuisse pour qu’il m’explore à nouveau. Je résiste et dis juste à Pascal d’appeler Sophie pour lui dire que nous venons immédiatement. Il me demande si ça va. Je fuis aux toilettes en disant juste que j’ai envie d’elle. Pendant que je me prépare avec la plus belle toilette que je peux trouver et qui ne me rend pas l’image d’une grosse vache, Pascal appelle Sophie et se prépare aussi.

Je mettrais bien une robe sans culotte pour être plus rapidement prête à me faire caresser mais avec tout ce qui se passe dans ma tête, je risque de dégouliner toute la soirée. Rien que regarder les vêtements et imaginer Sophie me les retirant, j’ai le sexe gonflé qui réclame des caresses. Je bouillonne avec des bouffées de chaleur très intenses. Finalement, j’attrape 4 culottes et 2 strings sans même les essayer de peur de les tâcher.

Une robe de grossesse avec un bustier offrant, si j’ouvre les premiers boutons, une poitrine généreuse comme sur un plateau à desserts. Un maquillage léger et waterproof souligne mon visage toujours aussi chaud. Pour la première fois, je mets un soutien-gorge d’allaitement et je m’amuse à imaginer un gourmand ou une gourmande dégrafer la petite attache pour boire à mon téton. Je cherche à me calmer mais le travail est très dur.

Pascal apparaît avec un ensemble superbe, pantalon à pince et chemise en soie fripée. Nous prenons la route et chaque kilomètre nous approche d’une soirée très spéciale. Comme dans un rêve, j’ai l’impression que la route s’allonge au fur et à mesure que nous avançons. L’immeuble de Sophie est en vue et la voiture trouve une place juste devant comme si le destin nous aidait.

Le nom sur la boite aux lettres. Le deuxième étage et la sonnette. Rapidement, la porte s’ouvre sur une Sophie étincelante. La lumière du couloir semble se refléter dans son regard et sa tenue lui donne comme une image de déesse. Sur le coup, je me demande comment une nana avec une telle aura peut être encore seule. Nous entrons et aussitôt, mon ventre se dilate et s’emplie de petits spasmes. J’ai l’impression que les contractions commencent et je dois rapidement m’excuser pour filer aux toilettes.

A mon retour, Pascal est avec Sophie devant un bureau couvert d’images. Ils sont côte à côte et j’ai un peu peur que Pascal trouve dans cette jeunette ce qu’il a perdu depuis ma grossesse. Je les rejoins et regarde le bureau couvert de timbres. Pascal a trouvé quelqu’un qui a la même passion que lui. En regardant de biais Sophie, je lui trouve un profil aguichant avec un décolleté presque provocateur. A moins que ce soit moi qui commence à me faire des films ! Je respire le parfum qu’elle dégage et j’ai l’impression de me préparer à déguster un bon plat. L’image me fait sourire. Au même moment, Sophie se tourne vers moi pour me demander si je vais mieux. Elle remarque le sourire qui reste sur mon visage et me fait son petit regard poseur de question silencieuse. La seule réponse que je trouve est « Tu es superbe belle ! ».

Sophie passe aussitôt au rouge vermillon, ce qui a tendance à faire ressortir ses yeux lumineux. Elle me répond « Toi aussi ! ». Pascal, légèrement en retrait, nous demande s’il doit sortir mais Sophie lui attrape le bras pour nous proposer de nous asseoir au salon. Avec Pascal, on s’installe sur le canapé et Sophie va dans la cuisine pour revenir un peu plus tard avec un plateau contenant trois coupes. Moi qui réagis déjà avec mes hormones, si jamais je bois une coupe, je risque de perdre complètement les pédales.

Pendant que Sophie est dans la cuisine, Pascal semble ravi d’avoir trouvé une philatéliste comme lui. Je déboutonne le premier bouton de mon bustier car j’ai l’impression qu’il fait une température trop élevée ici. Pascal me demande si je vais bien et je le rassure. Il me glisse dans l’oreille, juste avant que Sophie ne revienne, que ma copine est vraiment extraordinaire. Grrr ! Non, je ne suis pas jalouse… mais quand même !

Sophie pose les trois coupes de pétillant et revient un peu plus tard avec un jus de fruit qu’elle pose à côté de ma coupe. Belle attention si je veux finir la soirée !. Sophie s’assoit devant nous et un pan de sa robe glisse pour dévoiler sa cuisse. Elle remet le tissu et sourit, gênée, en nous expliquant que c’est une robe de soirée qui oblige à rester debout.

Pascal attrape sa coupe et remercie Sophie pour son accueil. Tout le monde trinque et Sophie me fixe longuement avec beaucoup de douceur dans le regard. je bois un peu de ma coupe et la conversation tourne aussitôt sur la collection de timbres de Sophie. Pendant que Sophie explique l’origine de sa passion par le biais de son père, elle remet en place plusieurs fois sa robe qui tombe très facilement. A chaque fois que la peau clair de la cuisse de Sophie est dévoilée, mon regard est attiré et j’ai une bouffée de chaleur aussitôt. N’y tenant plus, je déboutonne le deuxième bouton de mon bustier.

Je n’ai bu que deux gorgés de Champagne mais j’ai l’impression que la pièce est en mouvement. Je prends la main de Pascal et je me pose sur son épaule. Sophie me demande si je vais bien et je réponds que j’ai très chaud. Le Champagne m’a mis KO en deux gorgées. Sophie me demande d’ouvrir mon corsage et de m’allonger avec les jambes relevées. Avant que je puisse réagir, je me retrouve la tête posée sur les cuisses de mon homme avec Sophie qui me relève les jambes sur le rebord du canapé. Je ferme les yeux et quelqu’un ouvre mon corsage. Je reçois de la fraicheur sur le front, un genre de linge frais comme un gant de toilette.

Petit à petit, je reprends mes esprits et j’ouvre les yeux pour regarder les visages de Pascal et Sophie devant moi. Je tente de rigoler en dédramatisant la situation. J’arrive à dire « Et je n’accouche pas encore ! Qu’est-ce que ça va être ? ». Sophie sourit et j’ai aussitôt envie d’elle. Ma libido est en route pour me submerger avec l’aide du peu d’alcool ingéré. Je me redresse doucement et, après un petit moment pour que mon sang circule à nouveau normalement, je me lève pour aller aux toilettes. Je demande à Sophie sa salle de bain.

Après un passage aux toilettes, je vais dans la salle de bain pour changer de culotte. Je quitte ma bonne culotte coton pour étaler les dessous de mon sac à main. J’attrape une pince à linge sur un étendoir et j’accroche le bord de ma robe pour pouvoir me laver le sexe sans avoir la robe entre les dents. J’évite de trop penser pendant ma petite toilette intime afin de ne pas me masturber avec le gant. Si jamais Sophie entrait dans la salle de bain maintenant, elle me verrait la chatte ouverte avec une jambe sur son panier à linges. Très belle entrée en matière !

Personne n’entre dans la salle de bain et je peux finir de me mettre bien. Après un essai d’un string, je finis par ne rien mettre. Avec le string, je faisais l’impression d’être un rôti ! De toute façon, j’ai le diable au corps et je veux finir nue, autant ne pas perdre de temps et arriver rapidement à cet état. Je me regarde dans la glace et je décide d’essayer sans soutif. Je pourrais toujours dire que c’est pour mieux respirer. A me voir le torse nu devant la glace, ça me donne des chaleurs. Au vu du côté sexy du soutif d’allaitement, j’y gagne !

Je sors de la salle de bain avec ma petite robe bustier comme seul vêtement. J’ai déboutonné le nombre de boutons suffisant pour être aguichante sans montrer mes tétons. Quelques mouvements devant la glace m’ont prouvé que j’avais un décolleté très provocant. Si jamais Sophie résiste à la vue de mes seins libres, je retirerai le dernier bouton et elle sera bien obligée de me regarder.

En revenant près de mon mari, Sophie remet encore une fois sa robe en place. Je me penche vers elle et j’attrape sa main. En la regardant dans les yeux, je lui dis de laisser sa cuisse à l’air. J’ai le plaisir de voir son regard, furtivement, glisser sur mes seins. Contente de moi, je m’assis de nouveau et rassure Pascal sur mon état. Sophie sert à nouveau une coupe pour Pascal et elle. Pascal me demande si je respire mieux comme ça. Je le regarde et souris de son allusion. Je connais son penchant pour mes seins et je sais qu’il a tout de suite repérer ma poitrine flottante.

Sophie bois la moitié de sa coupe et la discussion tourne vers la naissance future. On parle de la chambre du bébé et je vois bien que Sophie entre dans un état que j’ai déjà vu à deux reprises. Elle doit être en train de se retenir pour ne pas trop mouiller. Intérieurement, je suis contente de mon effet sur elle. Maintenant, si elle pouvait légèrement écarter les cuisses pour faire glisser le deuxième pan de sa longue robe, je serais vraiment heureuse de pouvoir mouiller le fond de ma robe avec elle. Je fais quelques regards vers son ventre pour lui signifier d’ouvrir son coffre mais elle résiste bien.

Finalement, elle se lève et semble vaciller. Elle rigole de l’effet du Champagne et va aux toilettes. Ce petit moment avec Pascal me donne l’occasion de l’embrasser langoureusement. On se lève pour aller vers le bureau couvert de timbres et je glisse à Pascal que j’ai le ventre en feu. Pascal me dit qu’il le voit. Je demande à Pascal si ça va pour lui et il me répond qu’il a du mal à ne pas lorgner sur la cuisse de Sophie. En plus, il est curieux de voir ses seins car il a repéré les tétons très tendus. Moi, je lui avoue que c’est son sexe que je veux voir et que j’ai une envie folle de lui écarter les cuisses. Il rigole en me traitant de folle. Je lui rends l’appareil en le remerciant de m’avoir rendu comme ça. Pascal me caresse les fesses quand Sophie revient depuis la salle de bain.

Avant de me retourner, je prends le dernier bouton de mon chemisier et je tire dessus pour le casser. Il me faut deux essais avant que la petite ficelle ne craque. Pour une fois, je remercie les petits chinois de faire du travail de merde ! Je retourne avec Pascal sur le canapé et je fais celle qui est étonnée que ce fichu bouton soit cassé. C’est sûr que mes seins peuvent sortir si je me retourne un peu vivement mais Sophie me dit que ça me donne l’air d’une mère nourricière. Pascal rigole et dit que je pourrais donner le sein à chacun d’eux. Je mets de suite les limites avec la sensibilité de ma poitrine. Je mets le bouton dans ma poche et je m’assois de nouveau.

Sophie me propose un nouveau verre de jus de fruit. J’en profite pour me pencher pour attraper mon verre. Normalement, le mouvement devrait faire sortir un sein mais il refuse de se décrocher du tissu. Je rage intérieurement. Sophie prend mon verre et va à la cuisine. Je me lève pour la rejoindre. Je la regarde prendre la bouteille de jeu de fruit et verser. En regardant bien ses hanches, je ne vois aucune trace de sous-vêtement. Serait-elle nue sous sa robe ? Elle se retourne et me tend le verre en tremblant. Elle regarde derrière moi et je vois Pascal appuyé sur l’embrasure de la porte qui nous regarde. Je pose le verre sur la petite table de cuisine et mets ma main sur la hanche de ma copine. Sophie frissonne.

Je propose à Sophie de profiter de mes seins si elle veut. Personne ne peut nous déranger. Sophie est figée. Je pose mes deux mains sur ses hanches et je lui caresse les fesses. Je ne sens aucune couture et je suis persuadée qu’elle n’a pas de culotte. Je demande à Pascal de venir retirer la fermeture éclair de ma robe. Mes mains tentent de faire remonter le tissu de la robe de Sophie mais je risque de la pincer. Je sens pascal descendre ma fermeture de robe et quand il arrive à mes reins, il passe ses mains sur mes hanches pour remonter en écartant le tissu.

Sophie met ses mains sur le haut de mon encolure et force l’ensemble à descendre. Doucement, mes seins sont libérés et mon ventre juste avant que la robe tombe d’un coup à mes pieds. Je mouille à être offerte à ma copine. Pascal glisse ses mains sous mes seins pour les redresser. Je caresse les cheveux de Sophie et l’attire doucement vers ma poitrine. Dès que sa bouche touche ma peau, je ne peux m’empêcher de pousser un soupir. Pascal porte mes seins. La bouche de Sophie s’ouvre pour que sa langue puisse glisser sur ma poitrine et atteindre mes tétons. Je n’y tiens plus et j’accroche la robe de ma belle en la levant fortement. Sophie est penchée légèrement pour m’embrasser les seins. Quand sa robe remonte, je la sens se cambrer.

Les plis de sa robe m’aide à reprendre le tissu pour remonter encore un grand pan. Sophie se laisse faire et je la regarde lécher mes seins en fermant les yeux. Pascal relâche mes seins et Sophie en attrape un pour le caresser pendant qu’elle continue à faire courir sa langue sur ma peau tendue. Je regarde Pascal faire le tour et passer derrière Sophie. Je remonte encore la robe de Sophie et je peux enfin caresser la peau du bas du dos de ma chérie. Je regarde Pascal mettre sa main sur les reins de Sophie et se baisser pour regarder les fesses de Sophie. Il se redresse et me fais signe « ok ». Je devine que Sophie a le sexe à l’air et j’envie Pascal de la voir sûrement complètement ouverte. Je tire la langue à mon mari pour lui donner l’ordre de la lécher.

Pascal disparaît derrière Sophie et je sens ma lécheuse vibrer en gémissant. Pascal doit lui embrasser l’entre jambes comme il a l’habitude pour faire monter la tension. Sophie se redresse et quitte mes seins. Elle m’embrasse sur la bouche et elle perd petit à petit sa contenance. Soudain, elle arrête son baiser et commence une série de grimaces. Je lui attrape une jambe et lui demande de mettre son pied sur la chaise de cuisine. Sophie lève son pied et donne ainsi à Pascal une vue sur sa chatte bien ouverte. De mon côté, j’ouvre la robe de Sophie et elle m’aide comme elle peut pour retirer la robe. Nous sommes toutes les deux nues et Pascal la lèche avec beaucoup de passion.

A voir Pascal se régaler, je veux en faire autant pour essayer. Je ne suis pas lesbienne mais là, à voir Sophie gémir de plaisir, ça me donne assez de curiosité pour regarder son sexe offert et, pourquoi pas, le gouter. Je prends Sophie par la main et l’attire vers le salon. Pascal se relève et nous suit. Sophie me dit que la chambre, c’est le mieux. Nous allons dans la chambre toutes les deux. Sophie ouvre le lit et nous nous enlaçons pour nous embrasser. Pascal entre un peu plus tard, nu avec le sexe dressé, plein de promesses.

Je regarde le corps de Sophie et je retrouve sur elle une poitrine normale comme celle que j’avais à une époque pourtant pas si loin que ça. J’embrasse Sophie sur la bouche et je me penche pour lui embrasser un téton. Une main de Sophie se pose sur mes hanches. Je lui prends la main et force le chemin sur mon ventre pur descendre doucement vers ma toison. Sophie se laisse faire et sa main arrive doucement sur ma fente toujours ouverte et humide. Sans lui demander, elle trouve les gestes féminins du plaisir personnel et je la sens glisser ses doigts entre mes lèvres. Je mouille comme une fontaine et ses doigts ne rencontrent qu’un cocon chaud et glissant pour naviguer sur mon sexe.

Sophie me dit qu’elle adore me caresser. Je lui demande si elle veut me regarder ouverte. Pascal me demande alors de me mettre à quatre pattes pour montrer mes fesses. Sophie le regarde et je vois très bien son regard tomber sur la tige raide de mon mari. Toujours avec la main de Sophie sur mon sexe, je lui dis qu’elle peut aussi prendre le sexe de Pascal si elle veut. Je vois Sophie hésiter mais je sais pertinemment qu’elle finira par l’avoir dans un orifice. Sans attendre que Sophie se décide ou non, je mets ma main sur celle qui joue avec mon sexe et je me place à quatre pattes. Cette position est la plus agréable pour mon ventre. Je relâche la main de Sophie et je la regarde pour lui dire qu’elle peut me faire ce qu’elle veut.

Pascal propose à Sophie de prendre la même position que moi. Je regarde Pascal descendre du lit pour laisser Sophie se mettre dans ma continuité. Elle est assez gauche et je ne crois pas qu’elle puisse se détendre avec Pascal de suite même si elle l’a laissé la lécher dès les premiers instants. La magie du sexe est tombée pendant le transfert entre la cuisine et la chambre. Je dois reconquérir la libido de Sophie avant d’aller plus loin.

Je me redresse et je fais face à Sophie. Nous nous embrassons sur la bouche et je murmure à ma chérie que je la trouve très belle. Pascal s’assoit sur le lit et me laisse faire. Il a du sentir aussi la réticence de Sophie. Je demande si elle trouve toujours mes seins aussi appétissants. Elle les regarde et m’embrasse un téton avant de répondre oui. J’ai une idée pour que Sophie ait ce qu’elle veut, mes seins et pour que Pascal profite d’une vue imprenable sur deux chattes ouvertes.

Je pousse doucement Sophie en arrière et elle s’allonge sur le dos. Sa main a quitté depuis un petit moment ma chatte mais je ne regrette rien car la suite va me donner autant de satisfaction. Je regarde la petite poitrine de la miss et je me penche pour lui embrasser les tétons à tour de rôle. Elle ferme les yeux de plaisir. Je crois que je la tiens et je vais bientôt lui offrir mes deux énormes tétons. Je place mes genoux à l’intérieur des cuisses de Sophie et doucement, j’écarte la position. Je me penche en avant et je place mon ventre contre celui de ma copine. Je vise et je place un téton devant la bouche qui ne tarde pas à s’ouvrir. Sophie commence à me lécher en fermant les yeux. Je regarde Pascal et lui fais signe de venir derrière nous.

Petit à petit, je déplace mes genoux pour que Sophie ait les jambes écartées. Ma position est assez délicate mais j’offre à Pascal mon cul tendu et le sexe de Sophie écarté. Sophie est obligée de relever les genoux très haut et Pascal doit se régaler de la vue. Je sens d’un coup la bouche de mon tendre mari me couvrir le sexe. La chaleur et la pression de la langue me font gémir. Avec les baisers de Sophie sur les tétons, je sens venir rapidement une vague de plaisirs intenses. La bouche de Pascal est remplacée par ses doigts et Sophie pousse un petit cri.

Petit à petit, la masturbation de Pascal sur moi et les baisers de Sophie me font venir une vague profonde. Sophie me fait mal aux seins à force de me téter. Heureusement, Pascal la masturbe et la lèche très bien et elle passe plus de temps à gémir qu’à me sucer. Ayant trop mal aux seins, je décide d’aller rejoindre Pascal pour voir enfin le sexe de ma copine et le gouter.

Je me redresse et avance un peu avant de faire demi-tour pour regarder la tête de mon mari entre les cuisses de Sophie. Ma position retournée par rapport à Sophie lui donne mon sexe directement devant ses yeux et elle n’en perd pas une miette car elle m’attrape les fesses et mon sexe est aussitôt recouvert de sa bouche. La chaleur et sa langue sur mon clito me font jouir aussitôt. La vague de plaisirs contenue depuis un moment se déverse et je dois me retenir sur le lit pour ne pas tomber en avant. Sophie m’avale le sexe avec un appétit féroce. Je découvre une nouvelle manière de me faire lécher et j’adore. Pascal se redresse pour me voir en plein orgasme. J’ouvre les yeux avec difficulté le temps de voir Pascal sortir les doigts du sexe de Sophie pour me les présenter. Je les suce et je me penche pour mettre ma tête entre les cuisses de ma collègue.

Sans aucune hésitation, je tends ma langue et je lèche le sexe de Sophie. Pascal me laisse la place et je fais mon premier 69 avec une femme. Sophie atteint son orgasme rapidement et j’ai l’impression que son sexe se rempli de mouille. J’adore la lécher et elle a une façon merveilleuse de me le faire. Après l’orgasme de Sophie, j’ai l’impression que mes fesses sont le rendez-vous de Sophie et de mon mari. Je me redresse et je change de position pour leurs offrir ma chatte bien ouverte et disponible.

Je me mets assise sur les fesses avec les jambes ouvertes. Sophie me laisse me mettre à mon aise et elle se fait peloter les seins par Pascal. Je demande à ce qu’elle vienne m’embrasser. Nos bouches se joignent et Pascal profite que Sophie soit penchée pour glisser sa main entre ses fesses. Sophie laisse faire et ondule même du bassin. Elle arrête notre baiser et m’embrasse les seins avant de m’embrasser le ventre et de retourner vers ma chatte offerte.
Elle se place d’elle-même à quatre pattes et repart dans un baiser sur mon vagin. Je ressens la pénétration de ses doigts et le baiser sur mon clito avec sa langue. C’est merveilleux. Pascal se place derrière Sophie et se glisse en elle. Je le sais car Sophie se redresse au même moment et pousse un profond gémissement. Pascal fait plusieurs allés et venus et je vois, sur le visage de Sophie, déformé par les lancements de plaisir, qu’elle apprécie.

Je ne sais pas combien de temps cette situation a duré mais elle a été splendide. A chaque coup dans le vagin de Sophie, j’ai la bouche de ma collègue qui s’écrase sur ma chatte. Je regarde Pascal peloter les seins de Sophie et ça me donne même envie de me caresser toute seule. Je n’ai pas eu d’orgasme mais je sais que Pascal a éjaculé une grosse fois dans le ventre de Sophie. Pascal m’avait appris que l’amour, c’était un échange et j’ai tout de suite envie d’échanger le sperme déversé dans la chatte de la copine.

Je demande à Pascal si Sophie est pleine de lui. C’est Sophie qui répond en disant, pleine de satisfaction, un grand oui langoureux. Je demande à Sophie de mettre son sexe sur le mien pour ne pas perdre une goutte. Elle hésite en bougeant du croupion pour faire encore bouger mon mari en elle. Rapidement, elle se place pour coller nos chattes l’une contre l’autre. Nos bassins bougent et Sophie écarte nos lèvres pour qu’elles soient bien ouvertes et en contact. C’est un trésor divin.

Pour finir le tableau, je demande à Pascal de me donner son sexe à sucer. Le mélange, de sperme et de mouille, est spécial au gout mais j’ai dépassé ce point. Sophie est tellement partie qu’elle réclame aussi sa part. Je la vois avaler le sexe de mon homme avec sa langue qui joue avec la hampe. Je n’ai pas le temps d’être jalouse et c’est Sophie qui propose qu’on change les rôles.

Elle propose que je lui avale le sperme de son sexe pendant que Pascal me remplisse. Je découvre une nouvelle Sophie mais elle me plait.

Sophie se frotte une dernière fois sur moi et elle prend la pose, assise sur les fesses avec ses cuisses ouvertes. Je regarde sa toison et je prends le temps de la regarder. Elle me plait cette délurée !

Je me penche vers elle et je m’appuis sur mes points pour regarder son sexe dans le détail. Je découvre vraiment le sexe de la femme. Les lèvres, le clito, les poils et l’odeur. Sophie place ses mains de part en part de son sexe et l’ouvre pour me montrer son vagin. Le rosé brillant m’attire et je m’avance au même moment où mon mari se glisse en moi. Mon sexe est ultra sensible et c’est une explosion de picotements très agréables qui m’envahi le ventre.

Je prends un réel plaisir à lécher Sophie et je cumule toutes les caresses. Pascal me pelote les seins tout en me pénétrant. Sophie aussi m’attrape un sein de temps en temps pour le caresser. Doucement, je sens venir en moi les prémices d’un orgasme très fort. Pascal demande à Sophie ce qu’elle aimerait faire. Je l’entends dire qu’elle aimerait être à la place de ma chatte. Sophie utilise le mot « chatte » !

Pascal lui propose de venir voir mon sexe le recevoir. Sophie se lâche et part dans un délire. Elle veut voir le sperme sortir et éclabousser nos seins ou nos visages. Elle veut se faire pénétrer en même temps que moi.. Elle veut se masturber sur mes seins. Elle veut nous lécher pendant la pénétration. Elle veut faire tout ça dans la nature. Elle … Sophie est intarissable et elle déclenche en moi un orgasme qui me fait perdre tous contacts avec la réalité.

Pascal me gicle dedans un peu après et reste dur. Sophie lui demande s’il m’a rempli. Pascal bouge encore en moi et Sophie quitte sa place pour venir nous voir reliés ensemble.

Pascal reste en moi et j’entends Sophie commenter. Elle me caresse le clito et nous fait bouger pour pouvoir mieux voir. Elle ne s’arrête pas de parler et raconte tout ce qu’elle voit. Elle me dit que j’ai les lèvres gourmandes. Elle demande à Pascal de sortir et d’entrer doucement. Je la sens me lécher quand Pascal est presque sorti. L’ensemble des mots, de la pénétration et des baisers m’excite énormément. Même si mon sexe me fait un peu mal à force d’être écartelé et travaillé, mon feu intérieur continue de brûler. A chaque fois que Pascal me rentre dedans, j’ai en même temps Sophie qui m’embrasse le sexe. Je découvre un plaisir sensas avec le mélange de la pénétration et celui des baisers. Sophie est gourmande de moi et elle m’étonne tellement elle est gourmande du sexe.

Sophie demande à Pascal de sortir de moi et elle me demande de me mettre au bord du lit. Elle attrape le sexe de Pascal pendant que je m’allonge sur le dos tout au bord du lit. Sophie donne un dernier coup de langue sur le gland de Pascal et me place deux gros oreillers pour mon dos. Elle m’embrasse à pleine bouche en passant et je lui attrape un sein pour lui embrasser. Nous sommes deux dégénérées du sexe et toutes les occasions sont bonnes. je lui demande ce qu’elle veut faire mais elle ne répond pas.

Sophie place deux chaises pour que je puisse placer mes jambes relevées. Pascal se place entre mes cuisses mais Sophie lui dit de rejoindre sa femme. Elle me demande de sucer mon mari. Sophie se place entre mes cuisses et je commence à prendre le gland de Pascal en bouche. Après un petit moment, je sens Sophie me caresser et me lécher. D’un seul coup, je sens mon sexe forcé et être pénétré par un sexe masculin. Je lâche le membre de mon mari et je regarde Sophie. Elle travaille entre mes cuisses et je devine qu’elle m’enfonce un gode. Je ne peux m’empêcher de gémir et je suis aux anges avec le sexe de mon homme dans la bouche et ma chatte remplie et caressée de l’intérieur. Sophie me caresse l’anus en même temps et tout mon bassin est vrillé par des ondes de plaisir. Sophie me donne un plaisir d’une intensité extrême et elle me travaille le clito avec une grande perfection.

Je ne sais plus où j’en suis entre le gode en moi, les caresses sur mon anus, mon clito écrasé et les baisers de Sophie sur mes lèvres. Je tente à plusieurs reprise d’attraper le gode pour gérer moi-même mais Sophie m’en empêche. Je suis frustrée mais cela décuple mon plaisir. Quand Sophie déclenche les vibrations du gode, c’est trop fort et je dois lâcher le sexe de mon mari pour pouvoir gémir et souffler. Sophie demande à Pascal de se masturber pour éjaculer sur mes seins. Je ferme les yeux et je subis les vibrations. Mon sexe est en feu et je mouille encore et encore. Pascal s’est pris en main et il se masturbe au-dessus de moi. Sophie l’encourage et lui dit qu’il pourra la prendre comme il veut après ça. Je commence à avoir vraiment mal au ventre mais Pascal m’étale le sperme qui sort doucement. A la troisième reprise, je suis contente qu’il arrive encore à me couvrir de sa semence !

L’odeur de sperme rempli toute la chambre et Sophie me laisse attraper le gode. Je le sors aussitôt pour reposer ma chatte douloureuse. Sophie passe sur le lit et me lèche les seins pour me les nettoyer. Je la regarde me nettoyer pendant que Pascal lui rentre par derrière directement en lui pelotant les seins. Sophie geint en me léchant par à-coup au rythme des pénétrations de Pascal. Personnellement, je suis crevée et je laisse faire Pascal et Sophie.

De temps en temps, Sophie vient m’embrasser sur la bouche mais je ne suis plus dans l’ambiance tellement je suis fatiguée. Sophie semble, quant à elle, infatigable avec mon doux mari qui s’agite en elle.

Sophie se retourne et elle enlace Pascal pour l’embrasser pendant qu’elle s’empale sur lui. Pour moi, je préfère les laisser seuls et je vais faire un tour aux toilettes avant de revenir tranquillement pour me coucher.

Je range les chaises et je regarde, éteinte, Pascal et Sophie faire un jolie 69. Sophie est sur mon mari et elle le suce avec douceur et une grande sensualité. Mon mari joue avec le gode en l’enfonçant dans la chatte encore humide de ma collègue. Pour le moment, tout mon être est en vrac et mon bébé me réclame de me calmer. Dans les petites minutes suivantes, je sombre dans un grand sommeil, bercée par les gémissements et les secousses du lit.

Au petit matin, le réveil me donne mal à la tête. Quelqu’un arrête la sonnerie et c’est Pascal qui me chuchote à l’oreille de me lever. J’ai mal partout ! En ouvrant les yeux doucement, je retrouve la chambre de Sophie mais tout est calme contrairement à la veille.

Sophie m’offre un peignoir et tout le monde a du mal à bouger. Pascal se prépare pour rentrer chez nous pour se changer avant d’aller travailler. Pour moi, je garde la robe de la veille et Sophie me trouve un haut moins sexy que la veille. De toute façon, j’ai un bouton à réparer. La matinée est dure et, avec Sophie, nous ne sommes pas très enthousiastes pour travailler. Le seul moment de franche rigolade qui nous dur pendant une bonne demi-heure, c’est quand une collègue nous demande si on est toujours fâchées. Un regard complice et un éclat de rire franc et sans possibilité de nous arrêter.

Nous ne reparlons pas de la veille. Le matin se passe et le midi, nous décidons de partir manger quelque part, loin du boulot. On gare la voiture à côté d’un petit bois et Sophie me demande si je vais bien depuis hier. Je lui dis que j’ai mal partout et elle m’avoue la même chose. Je lui dis qu’elle m’a étonné dans sa manière de se comporter. Elle m’avoue avoir étonnée par toute la soirée, autant par elle-même que par Pascal et moi. Je lui demande quand même si elle a aimé. Elle me traite de folle et dit avoir adoré toute la soirée.

Nous avons, toutes les deux, des valises sous les yeux. Je propose à Sophie de venir chez nous le prochain week-end. Elle me propose de venir dès le vendredi soir. Je la taquine en la traitant de gourmande. Elle avoue sans honte. La journée se termine trop lentement et le soir, Pascal et moi nous effondrons très rapidement.

Le vendredi soir, Sophie arriva avec une grosse valise contenant ses tenues les plus sexy. Pascal m’avait demandé de voir avec Sophie pour qu’elle prenne toutes ses affaires pour qu’il puisse la déshabiller et la regarder sous toutes les coutures.

Nous n’avions pas fait l’amour depuis mercredi soir et nous étions impatients de recommencer. Même Pascal avait résisté à se masturber pour pouvoir offrir un jet puissant sur nos seins. La dernière fois, il était sur la réserve et Sophie avait eu le fond de cuve comme il dit. L’arrivée de Sophie est un plaisir pour tout le monde. Sophie embrasse Pascal sur la joue avant de finir en vrai baiser de cinéma. Elle vient m’embrasser avec la même fougue. Remise de la soirée de mercredi, mon corps réagit positivement.

Pascal nous rejoint et nous prend dans ses bras. Je demande à Sophie de me passer son gode car je veux l’essayer seule. Elle me demande si elle doit s’occuper de mon mari, seule. Je lui caresse la joue en finissant sur sa poitrine : « Bon courage mais je ne suis pas loin ! ».

Avant de passer à l’action, nous prenons un petit apéro tranquille et nous délirons sur tout et n’importe quoi. Le gode trône sur la table basse. Finalement, Pascal demande à Sophie si elle a choisi une tenue particulière pour commencer la soirée. Elle se lève et ouvre sa valise pour en sortir une jolie robe printanière avec un ensemble de sous-vêtement en fine dentelle. Je reste dans mon sofa et je les regarde.

Sophie va dans les WC et la salle de bain pour se préparer. Pascal m’embrasse sur la bouche et va aux WC à la suite de Sophie et fini à la cuisine pour se laver le sexe. Pour le moment, je regarde les préparatifs et je viens d’attraper le gode. Je le touche et le regarde sous tous les angles. C’est comme si on avait coupé un sexe gonflé et glissé une pile dedans. Je mets en marche l’appareil et il vibre dans ma main. Pour le moment, je garde ma robe de grossesse et mes sous-vêtements. La suite me donnera l’occasion de me changer.

Sophie revient de la salle de bain dans une tenue très colorée avec le tissu léger qui vole à chacun de ses pas. Plus le temps passe, plus je la trouve belle. Sa robe a deux petites bretelles qui cohabitent avec les fines bretelles de son soutif. Pascal s’avance vers elle et lui murmure un truc à l’oreille qui la fait sourire. Elle lui parle tout bas avant qu’ils ne viennent vers moi. Pascal me demande si ça me gêne qu’il commence par éjaculer sur mes seins. L’idée que Pascal se masturbe devant nous et qu’il m’arrose les seins de sa semence n’étaient pas vraiment dans mon programme. Sophie me fait les yeux doux.

Je retire mon haut et mon soutif. Sophie s’accroupi à côté de moi. Pascal se place de l’autre côté et baisse son pantalon et son caleçon. Son sexe est déjà raide. Sophie me dit que je pourrais toujours me nettoyer un sein tellement ils sont gros. J’attrape un sein et je le porte à ma bouche pour essayer. Effectivement, je peux m’attraper un téton sans trop de problème. Sophie demande à Pascal de m’arroser.

Je regarde le sexe de Pascal apparaître et disparaître dans sa main. Sophie n’en perd pas une miette. Moi non plus. En très peu de temps, Pascal nous averti juste avant qu’un jet parte d’un coup. Une longue trainé de sperme prend place de mon cou sur la pointe d’un de mes seins. Un second jet me touche le menton. L’odeur est forte et Sophie commence à étaler le sperme de mon cou pour couvrir un sein. Pascal se redresse et purge son sexe en faisant couler une énorme goutte sur ma deuxième tétine.

Sophie se penche vers moi et m’embrasse sur le menton en léchant le sperme. Elle rejoint ma bouche et nous échangeons le sperme lors de notre baiser. La suite est une suite de léchouilles pour récupérer le sperme étalé sur mon torse. Ce n’est pas l’activité que je préfère mais Sophie est folle de ça !

Voilà pour mon histoire. Maintenant, ma petite fille est née et nous faisons attention de ne pas la perturber avec nos rencontres à trois. Sophie est restée dans ma boîte et j’ai repris un autre poste après mon retour. Nous faisons toujours l’amour à trois et personne ne connaît notre secret, à part vous !

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
superbe récit érotique... terriblement bon .. merci pour ce partage

Histoire Erotique
Superbe et longue histoire mais dites nous maintenant vos rencontres à trois, ces chauds w-e, on en veux encore
Bisous à vous trois

Histoire Erotique
J'ai beaucoup aimé votre histoire. Elle est très bien écrite, excitante, et les
descriptions sont très bien faites.
Je me suis caressé tout au long de la lecture de votre histoire pour partir dans un
délicieux orgasme en atteignant la fin.

Merci à vous d'avoir partagé cette histoire. Au plaisir de vous lire.

Histoire Erotique
Voilà ce que j'appelle une histoire bien bandante. Je ne suis pas habité par le fantasme
de la femme enceinte, mais un trio avec ma femme, si quelqu'un pouvait la décider, voilà
qui me ferait plaisir. HFF, HHF, qu'importe, ou plutôt, tout me plairait.
Merci pour votre histoire.
Vanclive



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Ma remplaçante
Histoire sexe : Une rose rouge
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