Ma voisine (1)

- Par l'auteur HDS Atypique -
Récit érotique écrit par Atypique [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma voisine (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma voisine (1)
M. est notre voisine, récemment arrivée dans le quartier. Nous ne la connaissions pas encore, même jamais aperçue, quand elle est venue solliciter notre aide un jour où elle avait un problème de voiture. A l’ouverture de la porte, j’ai été immédiatement subjugué par le charme de cette brune trentenaire, de ses magnifiques yeux bleus, de son visage poupon et son sourire malicieux.
J’ai tenté de la dépanner, sans trop de succès à vrai-dire mais cela a suffit à ce que nous fassions connaissance. Depuis, nous nous voyons à plusieurs reprises chaque semaine et sortons parfois également le soir. Elle et mon épouse sont devenues bonnes copines, ce qui rajoute à mon trouble. Je dois supporter de fréquenter cette jeune célibataire qui ne me sera jamais accessible, alors que les pires pensées érotiques me traversent à son sujet.
A chacune de nos entrevues, je suis sous le charme, j’essaie de garder de la distance pour éviter d’entrer dans un jeu dont je sais que je ne sortirai pas vainqueur. Je suis charmé par son sourire, la finesse de ses traits, ses fossettes, le galbe de ses jambes….la seule chose que je pourrai reprocher à son physique serait son postérieur qui n’est pas rebondi - de ce que j’en vois en pantalon - et sa poitrine qui paraît généreuse, ce qui n’est pas trop à mon goût. J’ai bien conscience de chercher à me trouver des excuses pour essayer d’effacer mes pensées lubriques mais ça ne fonctionne pas autant qu’espéré…
Je bricolais seul un samedi dans mon sous-sol lorsqu’on frappe à la porte. M. apparaît. Comme à chacune de nos entrevues, le même rituel recommence dans mon cerveau : quel joli minois, quel joli sourire, quelles jolies jambes… Elle porte un pantalon moulant aujourd’hui qui met son postérieur un peu plus en valeur qu’à l’accoutumée, ça me fait une bonne excuse en moins d’avoir envie d’elle. Nous discutâmes quelques minutes, elle me confiât avoir besoin d’un service pour analyser un courrier qu’elle a reçu, il semble officiel mais elle craint une arnaque : « sans problème, passe quand tu veux ! ».
Qu’est-ce qui m’a pris de dire ça ? Suis-je fou ou quoi ? Je ne suis pourtant pas du genre à me jeter dans la gueule du loup… M. repart pour sa pause déjeuner. Si tout va bien – façon de parler - il est prévu que je ne la revois que lundi ce qui laissera le temps de reposer un peu mon cerveau libidineux. Ce petit entretien m’a pourtant fait beaucoup d’effet: mon sexe est douloureux car il s’est développé dans mon jean serré. Je plonge la main dans mon boxer pour le réajuster et me rends compte que mon érection est presque totale. Autant en profiter ! Je déboutonne mon jean, baisse mon boxer et commence à m’adonner à un plaisir solitaire dont M. est bien évidemment la star. Ma main est tour à tour sa bouche, son sexe, j’essaie d’imaginer sa poitrine volumineuse… Je ne l’ai vue qu’une fois en jupe et collant, mais je n’ai aucune peine à l’imaginer en bas. S’épile-t-elle ? Comment sont ses lèvres ? Son jus ? Mouille-t-elle abondamment ? Mille images érotiques voire pornographiques s’offrent à moi tandis que ma main va et vient sur ma queue.

La porte s’ouvre soudainement et M. réapparaît. Elle me découvre dans la plus humiliante des postures, je suis figé par la honte ! « Ouh là » dit-elle en détournant la tête. Elle protège son regard de la main et bredouille : « Je suis…suis….suis….désolée ».
- Non mais c’est moi M. excuse-moi vraiment »Je tente de reboutonner mon jean quand elle retourne la tête vers moi : « J’étais passée pour le papier finalement mais je pense que c’est pas vraiment le moment »- Non, enfin si, enfin attends…- Quoi ? Je viens de te trouver en train de …. Alors je vais pas rester…- Ben si tu devrais justement- J’te demande pardon ? me dit-elle, me fusillant du regard- Ecoute c’est tout bête mais je fantasme sur toi depuis notre première rencontre, et là tout à l’heure, après que tu sois venu et bien j’ai craqué- Ah ben merci, je ne sais pas comment je dois le prendre ?
- Comme un compliment- Tu parles d’un compliment, je trouve mon voisin marié qui se…se…masturbe en pensant à moi- Tu ne trouves pas ça flatteur ? Moi je serai flatté si je te trouvais en train de te caresser et que tu m’avoues que c’est en pensant à moi.
Elle pique un fard, le rouge de ses joues contraste avec le bleu pétillant de ses yeux. Je tente d’ajouter : « Ne me dis pas que…. ». Elle baisse les yeux en signe d’aveu. Moi : « bon ben on est quitte alors.
- Alors là certainement pas, toi tu ne m’as pas prise en flagrant délit- One point, mais maintenant je le sais- Tu pensais vraiment à moi pendant que tu… ?
- Oui vraiment- Et tu pensais à quoi ?
- Au moment où tu m’as surprise ou…- Oui au moment où j’arrivais- A ta bouche- Ah oui carrément…ben c’est loupé parce que j’aime pas ça- Dommage, tu as déjà essayé ?
- Oui, un petit peu mais bof, de toute façon je ne vais te….
- Oh non, dis-je en redéboutonnant mon pantalon, je ne vais pas te le demander….
- Ca va pas non !
Son regard reste figé sur mon sexe qu’elle semble voir sous un nouveau jour moins gênant que lors de leur première entrevue… je lui tends ma main, elle l’attrape et je pose la sienne sur mon sexe qui s’est de nouveau développé.
- Et là, toujours pas envie ?
- C’est sûr que là… ».
A chacune de nos entrevues, j’admire ses mains et les imagines me caressant mais la réalité est encore bien meilleure.
- « Je veux bien essayer, mais juste un peu- Pas de souci, tu t’arrêtes quand tu veux » dis-je rassurantElle s’agenouille et approche sa tête de mon sexe érigé. Elle commence par mettre ses cheveux derrière ses oreilles, puis ferme les yeux pour approcher sa bouche de mon gland. Elle attend maladroitement que ses lèvres viennent buter sur ma chair pour entrouvrir la bouche puis lèche mon gland déjà décalotté : « Tu as juste à ouvrir la bouche » lui dis-jeElle rouvre ses yeux qui me supplient de prendre la décision d’arrêter, décision dont elle ne semble pas avoir vraiment envie, je feins donc d’ignorer cette pseudo-détresse. Elle ouvre la bouche et laisse ma queue s’immiscer en elle. A peine le gland rentré, je lui intime : « referme tes lèvres sur mon sexe maintenant »Elle s’exécute, les yeux fermés à nouveau« Maintenant, essaye de jouer avec ta langue- Mmmm…mmmm.mmm- On ne parle pas la bouche pleine jeune fille »Elle soupire par le nez. « Allez, essaye de lécher mon bout maintenant »Maladroitement, sa langue remue de manière désordonnée dans sa bouche, je dois la guider : « Doucement, c’est comme si tu m’embrassais ».
Instantanément, les mouvements incontrôlés se transforment en coups de langue appliqués. Je l’encourage : « Voilà, tu es très douée ! Maintenant je vais ressortir et rentrer de nouveau ». Machinalement, elle veut me répondre par un hochement de tête ce qui me fait sortir. Elle inspire un grand coup, comme après une longue apnée.
Je lui laisse le temps de reprendre son souffle mais pas ses esprits et guide sa tête vers ma verge déployée. Elle m’empoigne fermement et ouvre la bouche pour que je m’y enfonce jusqu’à la moitié. Ses lèvres se referment doucement sur mon bâton, elle a vite appris sa leçon. Je l’averti : « Maintenant je vais aller et venir dans ta bouche ». Elle émet un « mm mm » dont je ne sais s’il approuve ou pas mon intention.
Je prends donc ça pour un oui...et commence par me retirer, sans sortir mon sexe de sa bouche, puis pénètre lentement et le plus loin possible. Sa main desserre son emprise sur ma queue, elle semble prendre confiance en elle…et en moi… Je renouvelle ce va-et-vient et commence à sentir sa salive se répandre sur mon sexe qui me fait un effet phénoménal. Je ne veux pas la brutaliser et ne cherche pas à venir à fond, pour le moment… gardons-ça pour plus tard, si ça s’avère possible.
Après quelques aller-retours, elle a trouvé la synchronisation parfaite entre les mouvements de mon sexe, sa bouche et sa langue. Elle apprend vraiment très vite, j’irai même jusqu’à dire qu’elle commence à aimer la fellation. Je ressors ma tige gluante de salive : « maintenant tu vas me branler ». Son regard a changé, je comprends qu’elle devient volontaire pour l’exercice : « je fais ça comment ? »- Tu mets ta main autour, et tu vas et vient de haut en bas- Comme ça ?
- Desserre encore un peu- Là ?
- Voilà, maintenant remonte jusqu’en haut de mon gland- Pourquoi ?
- Parce que comme ça j’ai l’impression de te pénétrer à chaque fois- Ah ok…je vois…- Tu aimes ?
- Oui ça va pour l’instant- Ca te fait de l’effet- ….
- CA TE FAIT DE L’EFFET ?
- Oui…- Ben dis-le- Quoi ?
- L’effet que ça te fait !
- J’ai chaud…- Où ça ?
- Ici » elle désigne son entrejambe - « Tu mouilles alors ?
- Oui je crois- C’est bien, continue comme ça… c’est parfait, tu es très douée M.
- Ah bon ?
- Oui, reprend-moi dans ta bouche maintenant »Elle s’exécute sans résistance. Je vois ses fossettes se gonfler à chaque pénétration, je sens qu’elle me gobe avec application : « mmmm…prends-moi bien à fond maintenant »Elle se contente de me sucer en me masturbant. J’attrape ses cheveux et enfonce ma queue jusqu’à sa gorge : « j’ai dit à fond »- Mmmmmm » gémit-elle en faisant non de la têteJe maintiens mon emprise et guide sa tête d’une main ferme, ses joues sont rouges, presqu’écarlates, Je la repousse vers l’arrière pour ressortir mon sexe de sa bouche, elle est essoufflée et avant qu’elle ne puisse dire mot je l’embrasse goulument. Pendant notre baiser elle s’empare de mon sexe et le branle vigoureusement. Je me détache de ces douces lèvres : « alors, ça te plait de sucer finalement ?
- C’est pas si désagréable, mais c’est parce que j’ai un bon professeur- Et ça te fait quoi ?
- Je pense que je suis toute trempée maintenant- Relève ma queue, lèche-moi dessous »Sans que je n’ai besoin de lui donner d’autres détails, elle lèche ma tige de tout son long, en s’appliquant sur mon gland comme je le lui ai appris plus tôt : « mmmm….c’est bien….tu t’appliques bien…descends plus bas maintenant ». Là je sens qu’elle n’avait pas envisagé de goûter mes testicules : « tu en as déjà léché ? ». L’absence de réponse vaut réponse ! « Allez bouffe-moi les couilles ». Elle a tout compris : elle les aspire, les lèche, passent de l’une à l’autre tout en continuant à me branler doucement sans que je n’ai besoin de la corriger. J’ai peine à croire qu’elle ne l’ait jamais fait avant aujourd’hui tellement c’est agréable !
« Et maintenant » s’hasarde-t-elle ?
- « Maintenant je vais te baiser la bouche !
- Quoi !!?? Ca veut dire quoi ça ?
- Ca veut dire que tu vas rester immobile, la bouche ouverte et que je vais venir en toi comme si je prenais ta chatte- T’es vraiment chaud toi !
- Surprise ?
- Oui, mais pas déçue pour le moment, on verra après- Allez, ouvre bien maintenant »Je m’emploie à honorer ma promesse, à aller et venir en elle avec vigueur, tout en ménageant des périodes plus calmes pour faire redescendre l’excitation et lui permettre de récupérer. Elle subit mes outrages avec une étonnante facilité. Ses gémissements commencent à se faire de plus en plus bruyants, elle me regarde, semble exprimer sa satisfaction avec ses beaux yeux bleus. Profitant de mon inattention, elle me repousse sans que je ne puisse la contrer. Je comprends à son nouveau regard qu’elle a une idée derrière la tête, et qu’il vaudrait mieux que je me laisse faire. Quelque chose vient de se produire dans son esprit, elle veut prendre l’initiative, que va-t-elle me faire ? Tout en m’astiquant, elle me dit, volontairement provocatrice : « c’était pas mal comme ça aussi, j’espère qu’un jour tu me prendras aussi fort »- Tu veux maintenant ?
- Non pas maintenant, je ne me suis pas préparé…un jour….peut-être…là de toute façon faut que j’y aille c’était ma pause et je suis à la bourre. Mais j’ai bien aimé, je te remercie pour le cours, c’est très instructif.. »Un moment de solitude s’empare de moi, elle ne va quand même pas me laisser comme ça ? « Mais….
- je suis désolée, il faut que j’y aille, mais tu sais comment on fait hein ?
- Allez, ne me laisse pas comme ça, je suis au bord de l’explosion- Ben justement, t’as plus besoin de moi !
- Oh que si, ça ne sera pas pareil sans toi, on ne part pas avant la fin du film !
- Bon ok, mais vite alorsElle s’emploie à reprendre ma queue dans sa main et à m’astiquer vigoureusement dans le seul but de me faire venir en quelques secondes. Ma verge s’est asséchée, je commence à ressentir un échauffement qui conduirait inexorablement à une débandade, dans tous les sens du terme : « tu veux pas cracher un peu, ça me fera venir plus vite ». Elle me regarde hésitante, approche sa bouche de mon gland et envoie quelques postillons dans l’air. « N’aie pas peur, ne sois pas timide on en est plus là, crache vraiment sur ma queue ». La deuxième tentative est la bonne, et elle étale sa salive sur mon gland avec application.
Elle reprend ses va-et-vient énergiques. Je lis dans son regard sa volonté à me faire jouir rapidement ce qui n’est plus qu’une question de secondes. Je reprends mon sexe en main juste avant que la sève ne monte et le dirige vers sa bouche. Elle me regarde, détournant la tête pour refuser l’inévitable. J’enserre la base de mon pénis pour retarder ma jouissance, et d’un doigt sur son menton ramène sa bouche face à mon gland prêt à libérer ma semence. Résignée elle ouvre grand, en me lançant un dernier regard partagé entre supplication et inquiétude. Je m’applique à viser sa bouche si accueillante pour la remercier de son sacrifice et lui éviter une éjaculation faciale pour laquelle elle n’est pas encore prête et synonyme d’humiliation à ce stade.
Sans plus de prévenance, j’emplie sa bouche de mon foutre chaud et sucré et avant qu’elle ne puisse recracher mon second jet arrive, aussi puissant que le premier. Je plante mon gland entre ses lèvres, sa mâchoire fermée m’empêche d’aller plus loin et elle est obligée d’avaler mon jus dans un gémissement de refus.
Elle me repousse violemment, ses yeux expriment sa colère qu’elle ne tarde pas à verbaliser « Ca t’étais pas obligé ! T’en n’avais pas eu assez ? »- Il fallait que je partage avec toi ma jouissance, le contraire eu été égoïste- Oui ben j’étais pas prête à ça !
- Au reste non plus » répondis-je du tac-au-tac- « Ouais…- En fait ça t’a plu mais tu ne veux pas te l’avouer »Elle devint rouge-pivoine, cet aveu me suffit. Je poursuis en la complimentant sincèrement : « en tout cas tu es une sacré bonne suceuse, tu m’as fait jouir comme un fou- Ca, j’ai remarqué…bon…au point où en est je vais te nettoyer… »M. la coquine m’offre cet ultime plaisir et s’applique à lécher ma queue sous toutes ses coutures, ramassant tout ce qui reste de ma semence.

Je lui tends une lingette, elle se relève en s’essuyant la commissure des lèvres elle se dirige vers la sortie, je la salue comme à l’accoutumée : « bonne journée, à plus » sans autre formalité. Elle me rend la pareille : « A plus tard », avant d’ajouter « Et s’il y a une prochaine fois, c’est moi qui t’apprendrai quelque chose ! »

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