Marie (1), mon petit péché mignon

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Marie (1), mon petit péché mignon Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marie (1), mon petit péché mignon
Je suis en couple depuis bientôt deux ans avec Jeanne. Quand nous nous sommes rencontrés, nous ne nous sommes plus quittés. Au bout d’une semaine nous passions toute nos nuits ensemble. A peine deux mois après, je quittais mon appartement pour emménagé chez elle avec ses jumelles. Nous menions une petite vie de famille tranquille.

Le côté « vie de famille plan plan » a trop vite fait redescendre la flamme dans notre couple. Vu que les filles grandissent, elles ne veulent plus sortir avec nous et Jeanne n’est plus partante pour des soirée en amoureux à l’extérieur. Nous passons presque toutes nos soirées devant la télé, nous ne côtoyons presque plus amis. Je suis de moins en moins enjoué de rentrer du travail.

Même au lit ce n’est plus ça. Au début nous passions notre temps à nous sauter dessus, n’importe où et n’importe quand. Mais maintenant c’est même pas une fois par semaine. Pour moi qui suis plutôt très demandeur c’est loin d’être suffisant, du coup je me masturbe de plus en plus souvent sous la douche.

J’ai trouvé une autre activité pour me défouler et réfléchir, je cours. Comme nous avons la chance d’habiter un peu en retrait de la ville je profite souvent des forêts qui nous entourent pour être plus au calme.

Je crois que si je ne quitte pas Jeanne c’est à cause de ses filles, je ne me sens pas d’infliger encore ça a des enfants même si je ne suis pas leur père. En deux ans des liens se sont créés et nos problèmes de couple ne doivent pas jouer sur leur vie. D’un autre côté je ne peux continuer avec ce quotidien de merde!

Les beaux jours commencent à revenir, du coup je reprends mes jogging et surtout mes réflexions. Les filles passent leur bac à la fin de l’année et ensuite elles vont quitter le nid familial, je pense que je vais faire comme elles. Je suis perdu dans mes pensées quand je croise un petit femme, plutôt jeune, qui court dans le sens inverse et qui me salue. Je lui rend son bonjour sans trop faire attention à elle.

Une fois de retour au parking, je retrouve la petite brune qui fait ses étirements à côté de ma voiture. Cette fois, je lui dis bonjour plus normalement et j’en profite pour l’admirer dans sa tenue de sport en lycra, bien moulante.
C’est une petite brune, qui ne doit pas dépasser le mètre soixante. Elle a un visage très enfantin avec son sourire d’ange, ses yeux sont bleu glacial mais réchauffe mon corps. Elle a un cul, extrêmement bien moulé dans son pantalon, à faire bander un mort (s’il a les mêmes gouts que moi de ce côté).

J’ouvre le coffre de ma voiture et commence à faire mes étirements dessus quand je me décide à briser la glace en lui demandant:« Vous courez souvent ici? »Elle m’explique que c’est la première fois, que d’habitude elle court autour de chez elle mais maintenant qu’elle a une voiture de fonction elle en profite pour aller en pleine nature. Elle travaille, donc elle est bien majeur. Plus j’échange avec elle plus j’ai l’impression de l’avoir déjà vu.

On finit notre discussion sur le jogging car elle doit rentrer chez elle et avant de partir elle me lance:« A une prochaine fois j’espère! »Je lui réponds du tac o tac:« Je viens tous les deux jours à la même heure. »Elle me sourit, claque la porte et démarre en vitesse. Je finis de me réhydrater, je me grille une clope (je sais après le sport c’est mauvais, mais les pires sont les meilleurs!) et je rentre à la maison retrouver Jeanne et les filles.

Le surlendemain je me prépare avec excitation à aller courir mais je ne vois pas sa voiture sur le parking. Sur le trajet je ne croise pas la jolie petite brune et quand je finis mon jogging toujours aucun signe d’elle ni de sa voiture. Je prolonge les étirements le plus longtemps possible au cas ou elle arriverait mais je suis bien obligé de rentrer à la maison, retrouver la « petite famille »!

La fois d’après où je vais courir, sa voiture est pas sur le parking. Je fais le même tour que d’habitude mais je ne la croise pas sur le chemin, pourtant je suis le circuit le plus connu. Avant d’entamer un deuxième tour je repasse par le parking et je suis heureux de voir que la voiture de la belle brune est là, c’est bon! Je fais encore trois fois la boucle, je la croise pas non plus. A la fin du quatrième tour, totalement épuisé (d’habitude j’en fais que 3), je la vois, appuyer à un poteau du parking, faire ses étirements.

Je vais vers elle et quand elle soulève la tête et me voit, elle me fait un énorme sourire. Nous nous serons la main en nous disant bonjour et je m’aide du poteaux à côté du sien pour faire mes étirements. Je me lance en lui disant que je l’ai cherchée avant hier, elle me répond:« J’avais une réunion, je n’ai pas pu venir. Mais aujourd’hui, je suis là! »J’en profite pour me présenter:« Romain »Elle c’est Marie.

Elle est un peu pressée mais me propose que l’on court ensemble ce samedi. J’accepte avec plaisir et je lui fais la bise pour lui dire au revoir. C’est fou mais je suis tellement en manque de contacte humain que je frisonne quand elle pose sa main sur mon épaules. Quand elle s’éloigne je cache au maximum mon début d’érection très voyante dans mon short en lycra. Avec ce tissu, impossible de cacher son anatomie!

Quand je rentre chez moi le soir, je suis accueilli par Jeanne qui me lance directement:« Tu cours plus longtemps qu’avant, tu t’entraines pour le marathon ou quoi? »C’était pour prévenir pour l’avenir mais je lui réponds:« Non, mais maintenant je cours avec un groupe qui s’entraine pour le semi marathon, 21 km. Samedi, je vais encore courir avec eux et je pense que je vais le tenter moi aussi. »
Elle me regarde avec un air étonné, j’ai peur qu’elle ne me croit pas. Mais elle s’approche de moi et colle son corps contre le mien, ça fait 10 jours que nous avons pas été aussi proche, je bande directement. Elle m’embrasse langoureusement et caresse mon torse à travers mon t-shirt. Quand nos lèvres se décollent elle me dit:« Tu vas devenir un véritable athlète. »
Je l’attrape par les fesses pour bien lui faire sentir mon érection et avant de l’embrasser de nouveau, je lui murmure:« Je peux, tout de suite, te prouver que pour le sport en chambre je suis un bon athlète! »Notre baiser devient de plus en plus chaud mais nous sommes interrompu par les jumelles qui ont fini leurs révision et viennent squatter la télé en attendant le repas.

Une fois que nous nous retrouvons seuls et au lit, je me colle à Jeanne et lui caresse le ventre pendant que je bisoute son cou. J’ai à peine le temps de commencer à bander qu’elle me repousse en me disant que ce n’est pas la bonne période. Vu que depuis bientôt un an elle dort en pyjama je n’ai aucune possibilité de vérifier mais il me semble bien qu’il y a 10 jours on a fêter la fin de son précédent cycle!

Une fois qu’elle s’endort profondément je repense à Marie et sa bouche contre ma joue. A la délicatesse de ses lèvres sur ma peau. Je commence à me caresser en revoyant sa petite poitrine avec les tétons qui pointe à travers le tissu de sa tenue de sport. Je jouis en imaginant son cul totalement nu et moi qui m’en occupe.

Le samedi je me prépare plus tôt que d’habitude pour aller courir mais j’ai presque 3/4 d’heure d’avance sur notre rendez-vous alors je fais les cent pas à la maison. J’arrive quand même 15 bonnes minutes avant l’heure prévue. Même si je suis le premier, Marie arrive quelques minutes après moi. Elle se gare à côté de ma voiture et vient me faire la bise.

Une fois échauffés nous commençons par faire la boucle que je fais à chaque fois. Même si parler diminue notre souffle, nous discutons tout le long du chemin. Marie a 28 ans, j’en ai 10 de plus. Elle a un bon boulot dans une société en pleine essor. Elle gravit tranquillement les échelons.

Je lui parle de mon boulot, de mes déplacements qui sont en ce moment que régionaux. Ensuite je lui parle de mon mariage raté mais je ne m’attarde pas là dessus. Je me concentre surtout sur les leçons que j’en ai tiré quand nous finissons le premier tour. Elle me propose d’emprunter un chemin qu’elle a découvert la dernière fois. Sans hésitation je la suis, je suis toujours prêt à faire des découvertes.

J’apprends qu’elle vit toujours chez ses parents, je suis assez étonné qu’une fille de son âge avec une bonne situation ne cherche pas son indépendance. Elle m’explique qu’elle les a quittés pour vivre avec son copain de l’époque mais il l’a larguée en lui laissant une simple lettre, le compte en banque vide et même des dettes. Du coup elle a été forcé de retourner vivre chez papa et maman.


Après plus d’une heure de course, elle ralenti le rythme et s’arrête, je l’imite. Elle attrape ma main et m’entraine dans les bois, nous nous enfonçons pendant quelques minutes et une fois à l’abri de tous les regards, Marie me plaque contre un arbre et vient se coller à moi. Sans réfléchir aux conséquences, je penche ma tête et soude ma bouche à la sienne.

Notre baiser est d’abord très doux, nos lèvres s’entrecroisent, se caressent, s’aspirent… puis il devient de plus en plus fougueux. Sa langue rentre dans ma bouche, cherche la mienne et se met à danser avec. Mes mains lui caressent les cheveux avant de descendre sur son dos, je n’ose pas encore atteindre ses fesses.

Marie plaque encore plus son corps contre le mien et le bas de son ventre frotte ma bite déjà bien droite et dure. Je glisse ma main droite sous son t-shirt et commence à lui caresser le ventre avant de remonter doucement vers sa poitrine, elle ne porte pas de soutien gorge. J’entoure son petit sein de ma main et je sens son téton érigé entre deux doigts. Je les referme pour pincer sa tétine, bien que sa bouche soit remplie par ma langue, elle se met à gémir.

Je passe d’un côté à l’autre de sa poitrine alors qu’elle attrape mon autre main pour la glisser dans son pantalon. En descendant, je sens qu’elle est totalement lisse. Je tombe en premier sur son petit bouton qui est déjà bien gonflé ou alors proéminent. Je caresse ses grandes lèvres et avant que je m’attaque aux petites je la sens déjà couler sur ma main.

Elle est tellement ouverte et accueillante que j’introduis rapidement index et mon majeur en elle. Ils glissent sans soucis vu comme sa grotte est inondée. Marie appuie sa main sur l’arrière de ma tête et plaque encore plus son visage au mien. Rapidement je sens ses doigts descendre sur ma nuque et mon dos et ils sont rejoints par ceux de l’autre main.

Marie se baisse un peu, mon visage suit le mouvement mais j’ai de plus en plus de mal à m’occuper de sa poitrine puisque qu’elle baisse mon short et mon boxer. Une fois la bête libérée, elle l’empoigne d’une main et tâte mes couilles avec l’autre. Heureusement que ce matin, j’ai taillé mes poils qui devenaient trop long et que je me suis rasé les bourses.

Elle fait monter et descendre sa main le long de ma tige tout en abandonnant complètement ma bouche pour s’agenouiller devant moi. Elle commence par me lâcher avec le bout de la langue sur toute la longueur avant de gober mon gland pour jouer avec. En experte qu’elle est, Marie n’oublie pas mon frein qu’elle titille avec son pouce.

Elle m’enfonce de plus en plus dans sa bouche, en serrant bien ses lèvres autour de ma bite. Ses deux mains s’occupent de mes couilles lisses alors que je lui caresse la tête. Je ne peux m’empêcher de gémir ce qui la motive à accélérer le rythme de ses allers retours sur moi. Vu la rapidité à laquelle je sens monter mon excitation et la technique de sa bouche, je me dis que je suis tombé sur une experte!

Bientôt deux semaines d’abstinence, j’ai peur de venir trop rapidement et de ne pas profiter de son abricot qui me semble bien juteux. Je l’attrape sous les bras et la fait se relever, je la plaque contre l’arbre, à ma place et je m’accroupie devant elle. Je fais d’abord tomber son pantalon en lycra noir pour l’admirer dans sa simple culotte en tissu blanc, déjà très humide.

Je la lape au niveau de la mouille pour l’exciter un peu plus. Une fois que je la sens mûre, je fais descendre lentement son slip accompagné de ma bouche qui lèche sa peau. Quand elle ne porte plus rien en bas, je fais remonter ma langue contre sa peau clair et douce. Au niveau de ses cuisses, j’écarte un peu plus ses jambes et la lèche à l’intérieur.

Quand je sens l’humidité de sa chatte toute proche, je commence par la sentir. Elle a une odeur plutôt sucré et pour le confirmer je commence à la lécher. Je donne plusieurs coups de langue, plus je m’approche de son petit bouton plus j’accentue la pression et plus ses gémissements sont forts. J’espère qu’on est quand même assez loin du sentier et que ce beau moment ne va pas être interrompu.

J’aspire son petit bouton entre mes lèvres et je le titille avec le bout de ma langue. Marie commence à se tortiller alors pour bien la maintenir, je replante deux doigts en elle. Je les fais tournoyer pendant que je m’occupe amoureusement de son clito. Elle a l’air de prendre autant de plaisir que moi puisqu’elle appuie sur ma tête pour encore plus augmenter la pression.

Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est dans le même état d’excitation que moi mais au bout de seulement quelques minutes elle me fait me relever. Je donne un dernier coup de langue sur son mont de Vénus une fois que mes doigts l’ont quitté et je me relève. Elle s’accroupie, sort un préservatif de son pantalon. Elle l’ouvre et le déroule complètement sur ma queue fièrement dressée.

Marie se retourne, prend appuie avec ses mains sur l’arbre et se cambre un peu. Elle soulève sa jambe gauche jusqu’à poser son genou contre l’arbre. C’est la première fois que j’essaye cette position, malgré son jeune âge elle a des choses à m’apprendre. J’empoigne ma bite plastifiée et je la pénètre d’un coup sec sans rencontre aucune résistance. Je me glisse en elle avec un grande facilité et je lui tire même un petit cri de bonheur.

Une fois que je suis bien en elle, avec ma main gauche je maintiens sa jambe pour l’aider dans cette étrange position. Je pose mon autre main sur le bas de son dos pour la faire se cambrer un peu plus. Comme elle est plus petite que moi je plie un peu les genoux, la position n’est pas la plus facile à tenir mais l’angle de pénétration est formidable.

Bien qu’elle me semble avoir une chatte bien large, vu la facilité avec laquelle je l’ai doigté, je me sens bien au chaud et à l’étroit dans sa grotte. Mes coups de rein sont de plus en plus secs et ses gémissements suivent la cadence. Je relève un plus sa jambe ce qui me donne l’impression d’être encore plus à l’étroit.

J’ai son magnifique cul bien rebondi juste sous les yeux, en premier plan de mes allers retours en elle. Je ne peux m’empêcher de faire glisser ma mains de son dos à ses fesses. Tout en continuant à la ramoner ardemment je lui malaxe un globe puis l’autre. Ses cris deviennent encore plus animal, au moins ça se fond dans le décor!

J’ai l’impression de totalement écarteler son sexe avec le mien. Même si je ne rentre pas complètement en elle, j’ai l’impression de la remplir entièrement. Je m’excite encore plus en elle, je sens le plaisir monter. Je relève encore un peu sa jambe pour la refermer encore plus sur moi et essayer de la faire jouir en même temps que moi mais au lieu de ça nous nous retrouvons par terre.

Après des « aies » à cause des branches et des pierres suivi d’un fou rire, j’enlève mon t-shirt pour m’allonger dessus. Marie m’a immédiatement enjambé en me faisant face. Elle s’accroupie doucement et une fois à bonne hauteur, elle empoigne ma queue pour pointer le gland à l’entrée de sa chatte. Quand mon champignon est bien calé en elle, elle s’assoie d’un coup sur moi. Cette fois elle m’avale entièrement.

Elle relève son t-shirt au-dessus de ses petits seins et se penche sur moi, s’agrippe à mon torse et mes poils et commence à rebondir sur moi comme sur un cheval au galop. Ses fesses tapent énergiquement mes cuisses, pour ne pas qu’elle perde l’équilibre je l’attrape par la taille et l’aide dans ses mouvements. Nos deux corps s’imbriquent de plus en plus sauvagement l’un dans l’autre.

Ca doit faire un an que je n’ai pas fait l’amour de cette façon avec Jeanne. Je ne sais pas si c’est la frustration accumulée mais je me déchaînes comme un fou sur Marie alors qu’il y a même pas une semaine, elle était une simple inconnue. Comme je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, je libère une de mes mains pour stimuler son clito.

Je rentre dans la phase ou je dois me concentrer pour me retenir quand je sens son sexe se contracter autour du mien par saccade. Ses cris de plaisir me confirme qu’elle est entrain de jouir, tout comme ses doigts qui serrent encore plus fort mon corps. Du coup je me laisse aussi aller, je m’étonne à sortir des râles très graves au moment ou j’envoie ma première giclée dans la capote.

Je continue de la limer pendant que je me vide alors que ses contractions vaginales sont plus longues mais plus espacées. Nos corps commencent à se calmer jusqu’à ce qu’elle s’assoit sur moi sans plus bouger. Alors que je suis toujours en elle, Marie s’allonge sur moi et je sens sa mouille encore plus dégouliner sur mes cuisses.

Au bout d’un moment, qui m’a paru trop court, elle soulève la tête, m’embrasse tendrement puis se relève délicatement. Je me mets aussi debout, je retire le préservatif qui avait commencé à déborder et je fais un noeud. Nous nous rhabillons en silence, une fois totalement vêtu Marie vient se blottir dans mes bras et me serre fort contre elle en me disant:« Ca fait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir. »Je suis obligé de lui avouer que moi aussi.

Nous nous décollons à regret et retournons vers le sentier puis au parking, sans échanger un mot mais main dans la main. Nous n’avons pas besoin de nous étirer alors nous nous préparons à nous quitter. Avant de lui dire au revoir, comme des amis, je lui dis:« J’aimerai te revoir mais.. »Je n’ai pas le temps de finir qu’elle me dit« Tu es marié! »
Après un moment de silence je lui explique que non mais c’est tout comme. Elle ouvre sa portière, attrape un papier et écrit dessus, elle me le tend en me disant:« C’est mon numéro personnel, appelles moi. Mais de toutes les façons on se voit lundi pour courir. »Elle regarde tout autour et après avoir vérifié que nous étions seuls, elle m’attire vers elle et colle ses lèvres contre les miennes.

Elle monte dans sa voiture et démarre sans dire un mot. J’ai continué à voir régulièrement Marie mais comme elle vit chez ses parents et que je suis en couple nous ne pouvons faire l’amour que sur les bords du parcours ou dans la voiture. Mais un jour, alors que nous courions elle m’annonce qu’elle a eu une promotion et que maintenant elle un appartement de fonction. Elle rajoute même:« Je vais enfin quitter le nid familiale pour notre nid d’amour… »
Et c’est ce qu’elle a fait, je l’ai même aidé a déménager. Du coup nous avons moins couru mais j’ai appris a découvrir les perversités de ma petite Marie, mais ça c’est une autre histoire….

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