Marie-Laure 2 (partie 2)

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Marie-Laure 2 (partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie-Laure 2 (partie 2)
Je mis trois jours à me remettre de cette incroyable baise. Le premier jour, j'eus presque l'impression de ne plus avoir de couilles, ni de bite. Je ne les sentais presque plus, et me trouvais incapable de bander, ou même d'avoir du désir, comme si je m'étais vidé à vie. La sensation que j'éprouvais était cependant délicieuse, la même que l'on ressent juste après un orgasme, sauf qu'elle durait tout une journée… Marie-Laure éprouvait la même chose, elle me confia par SMS qu'elle avait « du mal à se remettre » de cette baise. Le deuxième jour, je me sentis un peu plus vivant au niveau de l'entre-jambe, et le troisième jour, le souvenir de cette mémorable partie de jambe en l'air me donnait carrément la trique. Je n'avais qu'une seule hâte : remettre le couvert. Je pressais Marie-Laure qu'on se revoie, et elle accepta que je vienne la voir le lendemain.

« Seulement, me prévint elle par SMS, je vais pas changer mon programme pour toi : je voulais aller à la piscine, alors tu viendras avec moi, et ensuite, après le déjeuner, je donne un cours de gym, donc tu viendras aussi. »
J'acceptai avec plaisir. Une baise à la piscine pouvait être délicieuse avec Marie-Laure. Surtout qu'on était en été, la piscine serait pleine de monde, et il faudrait aller aux toilettes et faire les choses discrètement et rapidement… Dans ces conditions, Marie-Laure n'aurait aucune chance d'avoir le dessus. J'avais donc bon espoir de finaliser le domptage de cette fille qui avait l'habitude de faire des hommes ce qu'elle voulait. Quant à son cours de gym, j'étais sur qu'une fois qu'il serait terminé, j'aurais tout le loisir de la baiser et de continuer à la dompter.

Le lendemain donc, je me rendis chez Marie-Laure, avec quelques affaires de piscine. La belle m'attendait devant chez elle. Après qu'on se soit salués, je montais dans sa voiture, et nous partîmes direction la piscine. A ma grande surprise, Marie-Laure ne s'arrêta pas devant une piscine municipale quelconque, mais sur une plage. Elle descendit de la voiture, et je la suivis, perplexe.

« On va à la mer ? Je croyais qu'on allait à la piscine... »
Marie-Laure me fit signe de la suivre, et m'amena sur une partie rocheuse de la plage. Elle me désigna alors un petit espace rocheux ouvert, rempli d'eau de mer, mais séparé de l'océan.

« C'est ça la piscine me dit elle avec un sourire. L'eau y est plus chaude que dans l'océan, et personne n'y vient en ce moment, donc on sera tranquilles... »
Je voulus poser encore quelques questions, mais lorsque Marie-Laure retira ses vêtements pour ne garder qu'un bikini rose, je fus soudain incapable de parler. Qu'est ce qu'elle était sexy ! Son bikini dévoilait largement son corps de rêve, son ventre plan, ses belles hanches, son cul bombé, et l'on se demandait comment il pouvait contenir une si volumineuse poitrine, bref un vrai régal pour les yeux ! J'en bandais immédiatement à fond, et me mis aussitôt en maillot de bain. Côte à côte, nous entrâmes dans l'eau, délicieusement chauffée par le soleil.

Nous nageâmes un peu, et Marie-Laure plongea sous l'eau. Elle en ressortit plus sexy que jamais, la peau ruisselante d'eau. Son visage était dégagé, car ses cheveux mi-longs étaient attachés en chignon. A la voir comme ça, je n'avais qu'une envie : la baiser tout de suite, et le plus sauvagement possible.

« On a combien de temps demandai-je pressé qu'on passe à l'action. »
« Un peu près une heure avant que la marée ne monte répondit Marie-Laure. »
Avant que je n'aie eu le temps de répondre, elle vint droit sur moi d'un gracieux mouvement de brasse. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de mon cou, pressant son imposante poitrine conte mon torse. Elle entreprit de me faire de petits bisous, dans le cou, puis sur le torse, me chauffant à blanc. Je lui rendis ses baisers avec passion, lui dévorant le buste et le cou. Je ne tardai pas à bander à fond, et Marie-Laure comprit qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle me retira mon maillot de bain, et en fit de même pour elle, ne gardant que son bikini rose qui recouvrait (tant bien que mal) ses seins. Je pus alors la pénétrer d'un coup sec, en poussant un grognement de plaisir. On était au milieu de la piscine naturelle, et j'avais à peine pied. Pour la baiser, je dus donc faire beaucoup d'effort, secouant mon corps dans l'eau d'avant en arrière, tout en tenant Marie-Laure à bout de bras. Je provoquait ainsi beaucoup de remous dans la piscine. Marie-Laure gémit et s'allongea dans l'eau, ses jambes toujours enroulées autour de ma taille et se laissa ballotter par mes coups de reins. J'avais un peu de mal à la baiser ainsi, mais je me disais en mon fort intérieur que le domptage avançait bien. Je me trompais lourdement. D'un coup, Marie-Laure se redressa, et vint sur moi, enroulant ses bras autour de mon cou.

« C'est tout ce que tu peux faire ? Me demanda-t-elle provocatrice. »
« Pas facile de baiser dans l'eau, répliquai-je piqué au vif. Allons plus près du bord, et tu verras ce que je vais te mettre ! »
Elle eut un sourire narquois et dit :
« Non, je vais plutôt te donner une leçon de baise en eau profonde. »
Et sur ce, elle se mit à se déhancher tout en s'appuyant sur moi, m'enfonçant légèrement dans l'eau, et me baisant comme une sirène. Le plaisir monta brusquement en moi, tandis que je tâchai de ne pas perdre pied. Marie-Laure, me baisait si vite et si fort, que parfois je me retrouvai complètement sous l'eau, et je devais alors retenir mon souffle. Dans ces conditions, la baise promettait d'être particulièrement fatigante ! Marie-Laure offrait un spectacle étourdissant : elle s'activait sur moi, me tenait par le cou, et allait de haut en bas en se servant de moi comme appui, ou encore, se mettait au même niveau que moi, dans l'eau, et se secouait de gauche à droite. Elle était très proche de moi, si bien que nos corps semblaient en fusion, et que sa merveilleuse poitrine s’écrasait fréquemment contre moi. Quoi qu'elle fasse, c'était délicieux : mon sexe était secoué dans tous les sens, et à chaque coup, Marie-Laure faisait en sorte qu'il cogne le fond de son intimité, nous arrachant des gémissements à tous les deux. J'étais comme paralysé par le plaisir, régulièrement enfoncé sous l'eau, et je criais sans pouvoir m'arrêter. Je dus rapidement me rendre à l'évidence : Marie-Laure me dominait totalement, elle était vraiment expert en baise aquatique. Le domptage avançait bel et bien, mais c'était moi qui était le dompté. Je devais réagir.

Je tentai de la gêner dans ses mouvements en lui attrapant les fesses ou les hanches, et tentai moi aussi de donner des coups de reins, mais c'était peine perdue. En eau profonde, Marie-Laure faisait de moi ce qu'elle voulait, et elle se jouait de mes tentatives pour reprendre le contrôle. Elle n'avait aucun mal à m'empêcher de bouger en me serrant avec ses jambes, et même lorsque je lui prenais les fesses ou les hanches, elle parvenait à bouger sans problème. J'avais beau avoir bien plus de force qu'elle, dans l'eau, ça ne servait à rien. Marie-Laure avait parfaitement conscience qu'elle avait l'avantage, et elle me regardait droit dans les yeux en approchant son visage à quelques millimètres du mien, et me souriait d'un air moqueur, qui s'agrandissait à chacune de mes tentatives de reprendre le dessus. Si j'avais eu pied, j'aurais pu mieux me défendre, mais à chaque fois que j'essayais de nous emmener vers le bord de la piscine, Marie-Laure m'en empêchait, et redoublait d'ardeur pour me paralyser de plaisir. Je finis par capituler, et me laissai faire, ne bougeant plus que pour participer.

Au bout d'une vingtaine minutes de ce traitement, j'étais complètement sonné. Marie-Laure me poussa jusqu'au bord du bassin, et me fit m'asseoir sur un rocher sous l'eau. Je m'assis, et calai mon dos contre le bord rocheux de la piscine. Souriant, Marie-Laure vint à califourchon sur moi, et s'empala sur ma queue. Elle se mit à sauter dessus, rebondissant délicieusement. Nous nous remîmes à gémir comme des fous, et je l'aidai à me baiser en la tenant par les hanches et l'aidant à se soulever. Sa poitrine, toujours recouverte par son bikini s'agitait juste sous mes yeux et je me mis à l'embrasser. Marie-Laure en gémit d'aise. Elle me prit les mains, et me les plaqua contre la roche, désirant être la seule maîtresse à bord. Elle se mit ensuite à se déhancher de gauche à droite, me baisant plus vite que jamais. Je penchai la tête en arrière, en proie à un immense plaisir. Ce que je vivais était tellement bon ! Le soleil nous chauffait agréablement, et l'eau nous rafraîchissait juste ce qu'il fallait. Le bruit de nos gémissements et du clapotis de l'eau que provoquait Marie-Laure emplissait l'air, et le plaisir montait et montai en moi sans s'interrompre. Certes, j'étais totalement dominé, mais qu'importe, c'était tellement bon d'être baisé ainsi ! Les gémissements de Marie-Laure devenaient plus fort, et moi même je frémissais plus fort : l'orgasme était proche. La belle sirène accéléra encore le tempo de ses assauts, allant à un rythme dangereusement élevé. Impossible pour moi de tenir à ce rythme : j'explosai dans un merveilleux orgasme, qui me laissa à moitié évanoui. Marie-Laure continua de me baiser d'interminables secondes après que j'aie joui, jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour.

Pourtant, elle n'en n'avait pas fini avec moi. Elle me dit :
« C'est bien mon soumis, t'as été sage, tu vas avoir le droit à une récompense. On a encore une vingtaine de minutes avant que la marée ne commence à monter, ça devrait être bon... »
Je ne pris même pas la peine de répondre à ses provocations, ni de lui demander ce qu'elle comptait me faire. Je savais que j'allais prendre mon pied de toute façon, et si le prix à payer c'était essuyer des moqueries, alors soit !

Marie-Laure me dit de sortir de l'eau et de m'asseoir sur le bord de la piscine. Je m'exécutai. Elle vint vers moi, et lentement, sous mes yeux émerveillés, elle retira son bikini, libérant enfin ses merveilleux seins. Elle se pencha alors sur moi, et commença à me sucer, délicieusement. Elle me prit en bouche, et descendis lentement le long de mon sexe, avant de lécher mon gland à grand coup de langue. Puis elle me reprit en bouche et fis deux ou trois allers-retours, à un rythme plus élevé, m'arrachant un petit cri de plaisir. Elle fit ensuite courir sa langue le long de mon sexe, avant de prendre mes couilles en bouche. J'eus l'impression d'être au paradis. Et c'était loin d'être fini. Avec un sourire, elle se mit à me branler pendant une délicieuse minute. Puis, lentement, elle approcha mon sexe de ses seins tout en me masturbant.

« Tu veux entrer dans ma poitrine ? »
Incapable de parler, je fis signe que oui, et alors elle eut un grand sourire :
« Dans ce cas il faut que tu me supplies. »
J'étais dans un terrible état : proche de la jouissance, mais ce qu'elle me faisait n'était pas assez bon pour me libérer. Je savais qu'une branlette espagnole me ferait jouir, mais pour ça, je devais la supplier, me mettre à genoux devant elle ! Si je le faisais, elle aurait une victoire totale. Elle accéléra légèrement le rythme de sa branlette, me mettant au supplice. Je n'eus d'autre choix que de crier :
« Marie-Laure je t'en supplie branle moi avec tes seins ! »
Sourire triomphant aux lèvres, Marie-Laure cala enfin mon sexe entre ses seins, et commença une délicieuse branlette. Elle enserrait ma bite avec ses seins, et allait de haut en bas à un rythme élevé. Elle malmenait mon sexe avec son énorme poitrine, et c'était tellement bon ! Les choses allaient toutes seules, car ses seins étaient mouillés. Le plaisir se mit à monter brutalement en moi, j'avais vraiment l'impression d'être au paradis lorsque j'étais branlé comme ça. Je ne tardai pas à gémir, et Marie-Laure en profita pour accélérer encore le rythme de sa branlette agitant ses énormes seins. Bien décidée à me faire jouir, elle se mit à utiliser sa langue, me léchant le gland lorsqu'il ressortait de son énorme poitrine. Elle enchaînait donc branlette avec ses seins, et coups de langue sur mon gland, le tout en me défiant du regard, et en souriant d'un air moqueur lorsque je poussais des cris d'extase. Aucun homme aussi endurant soit-il ne peut résister longtemps à ce traitement, et je finis par jouir à grands flots sur ses seins, dans un tremblement orgasmique.

Je restai un moment sonné par ce qu'elle venait de me faire.

« T'as kiffé te faire baiser par mes seins ? Demanda Marie-Laure. »
Je décidai de jouer la carte de l'honnêteté.

« Franchement, aucune fille ne m'a fait autant de bien juste avec une branlette espagnole... »
Marie-Laure eut un sourire ravi en entendant cet aveu. Nous allâmes déjeuner dans un restaurant. Pendant que nous attendions nos commandes, je voyais bien que Marie-Laure savourait sa victoire de ce matin. Je décidai de la calmer.

« Tu t'en remets pas de m'avoir dominé ce matin hein ? »
Marie-Laure eut un sourire satisfait.

« Je suis contente de t'avoir mâté c'est vrai. Mais bon... »
« Mais bon quoi ? »
« Bah disons que je commence à me dire que te dominer c'est pas vraiment un exploit... »
« Si tu me cherches tu vas me trouver… La prévins-je. »
« T'es vachement doué au lit, mais pour ce qui est de la domination, tu fais pas vraiment le poids face à moi... »
« Je te signale que la dernière fois quand on a baisé toute la nuit je t'ai mâtée... »
« De justesse répliqua Marie-Laure. J'étais entrain d'avoir mon orgasme sur toi en te baisant comme je voulais. T'as eu de la chance, c'est tout. »
« Et quand je t'ai démontée dans ta cuisine et ton salon, c'était de la chance ? Dis-je un peu agacé par ses provocations. »
« Non c'était très bien ça. Mais ça sera jamais suffisant pour me soumettre définitivement... »
« Je te rappelle que t'as reconnu qu'aucun mec t'avait baisé comme je l'ai fait... »
« Justement. Je pensais qu'avec toi j'avais trouvé mon maître, mais je commence à me dire que pas du tout… Tu seras rien d'autre qu'un mec de plus que j'aurais dominé… T'as juste été plus difficile que les autres à soumettre... »
Ça c'était hors de question ! Je refusais qu'elle soit avec moi comme elle était avec les autres mecs, snob et dominatrice. Je refusais de la laisser me mettre à genoux.

« Bon ben puisque tu me cherches, après ton cours de gym, je vais te prendre le cul tellement fort que tu vas en pleurer… Et quand tu seras étendue, sonnée par l'énorme orgasme que je t'aurais infligée, tu comprendras que le chef ici c'est moi. »
Marie-Laure sourit et répliqua :
« On verra bien... »
Après le déjeuner, il fallut aller au cours de gym que Marie-Laure donnait.

« T'es pas un peu jeune pour être prof ? »
« Je suis jeune, mais je suis la meilleure, c'est tout. »
C'était une raison suffisante. Le gymnase où Marie-Laure donnait son cours, était en fait un dojo, recouvert de tatamis, et de gros tapis de gym. C'était le genre de gymnase dans lequel les collégiens et lycéens suivaient certains cours de sport, et me retrouver dans un gymnase de ce genre me rappelas de drôles de souvenirs…
Marie-Laure me dit de m'installer sur un des gros tapis (en fait plutôt un énorme matelas) du fond de la salle, pendant qu'elle se changeait dans les vestiaires. Je fus tenté de la rejoindre, mais malheureusement, nous étions à peine arrivés depuis une minute que déjà plusieurs de ses élèves étaient arrivés. J'étais surpris de voir que les élèves étaient très nombreux, arrivaient en avance, et qu'en grande majorité, ils étaient des hommes. C'était curieux. J'ignorais qu'un cours de gym pouvait attirer autant de monde, et à ma connaissance, c'était surtout des femmes qui suivaient ce genre de leçons. Tout devint clair lorsque Marie-Laure sortit des vestiaires : elle était vêtue d'un tout petit haut noir en débardeur qui dévoilait son ventre plat et son dos, et moulait son énorme poitrine de façon indécente. Ajoutez à cela, un petit pantalon qui épousait parfaitement la courbure de son postérieur, et vous comprendrez que ce seul spectacle avait converti tant d'hommes à la gym, et que ceux ci se pressaient au point d'arriver largement en avance…
Difficile de les juger : voir cette bombe de Marie-Laure en tenue indécente faire des mouvements de gymnastique pendant une heure, n'importe quel homme hétéro aurait payé le prix fort pour assister à ça ! En voyant comment les hommes (et même certaines femmes) du groupe reluquait Marie-Laure, je ne pus m'empêcher d'éprouver un certain sentiment de fierté : ils pouvaient tous la reluquer autant qu'ils voulaient, ils pouvaient tous fantasmer sur elle, il n'empêche que c'était avec moi qu'elle s'enverrait en l'air sitôt le cours fini… C'était une pensée on ne peut plus satisfaisante.

Le cours dura un peu plus d'une heure, et bien que je restai assis à ne rien faire, je ne m'ennuyai pas une seule seconde. J'étais bien trop occupé à dévorer Marie-Laure des yeux, et à penser à tout ce que je lui ferai une fois ce stupide cours terminé. D'ailleurs la belle me jetai fréquemment de longs regards, et je savais qu'elle aussi pensait à ce qu'elle allait me faire… Cette leçon de gym était en fait de très longues préliminaires visuelles.

Lorsque enfin, Marie-Laure annonça la fin du cours, les élèves partirent lentement, comme à regret. Il fallut bien un quart d'heure pour que tous aient évacué le gymnase.

« Enfin seuls ! Dit Marie-Laure quand le dernier élève eut quitté le gymnase. »
« Oui, grognai-je, j'ai cru qu'il ne partirait jamais. »
Marie-Laure sourit et s'approchant de moi, elle enroula ses bras autour de mon cou.

« Ooooh t'avais hâte d'être tout seul avec moi ? C'est trooop mignon ! »
Je la saisis par les fesses, la soulevai, et la plaquai au sol, sur les tatamis. Marie-Laure poussa un petit cri de surprise. Je lui saisis les mains, et les lui plaquai contre les tatamis, la tenant à ma merci.

« Oui j'avais hâte… Parce que je voulais te baiser ! »
Sans lui laisser le temps de répondre, je l'embrassai à pleine bouche, et elle me rendit mon baiser avec passion. Ensuite, je descendis sur son cou, puis sur son buste, avant d'embrasser son ventre si plat. Je voulus ensuite revenir sur sa bouche, mais Marie-Laure avait d'autres projets en tête. M'enserrant entre ses cuisses elle me fit rouler et passa par dessus moi. Avant qu'elle n'ait eu le temps de s'installer, je la renversai à son tour. Nous passâmes un moment ainsi, roulant l'un sur l'autre, chacun cherchant à l'immobiliser au sol. J'avais plus de force que Marie-Laure, mais elle était plus souple. Je vis bien vite que cela ne nous menait nulle part : je ne parvenais pas à immobiliser la belle, et je craignais qu'elle ne finisse par m'avoir à l'usure, pour ensuite faire de moi ce qu'elle voulait. Je profitai d'un moment au dessus d'elle pour m'écarter d'elle, mettant fin à notre partie de roulé-boulé.

Je me mis debout, la soulevai par les hanches, et la portai jusqu'à une pille de tapis. Je l'étalai à plat ventre dessus. Marie-Laure en poussa un petit rire d'excitation. Je lui enlevai son pantalon, et baissai le mien. Je la pénétrai d'un coup sec arrachant un gémissement de plaisir. Je me mis à la baiser en levrette, démarrant de puissants va-et-vient d'avant en arrière, et accélérant le rythme progressivement. Marie-Laure ne fut pas longue à gémir et à se tortiller de plaisir. Je lui claquais régulièrement les fesses, et lui tirais les cheveux, bien décidé à la mâter cette fois. De temps à autre, Marie-Laure cherchait à se redresser, alors, je l'attrapais par la nuque, et la collai contre les tapis. Elle était à moi cette fois.

« Alors j'ai pas le niveau pour te dominer ? Vraiment ? Dis-je. »
Marie-Laure enroula ses cuisses autour de moi et d'un gracieux mouvement, me fit tomber. Elle s'empala sur moi, me tournant le dos et me jeta :
« Non t'es pas à la hauteur pour m'avoir. Désolée chéri. »
Elle se mit à secouer son énorme postérieur de gauche à droite, me baisant avec passion. Le plaisir se mit à monter de manière brutale, et je compris que je devais réagir et vite. Profitant du fait qu'elle me tournait le dos, je me redressai d'un coup, et la mis à quatre pattes. Je me remis à la baiser en levrette, mais elle ne me laissa pas longtemps maître de la situation. Elle me refit le coup de me renverser avec ses jambes, utilisant tout son talent de gymnaste. Elle me refit tomber sur le dos, et cette fois ci s'empala sur moi de face. Elle se mit à faire de grands va-et-vient d'avant en arrière, me baisant comme une déesse. Elle allait à un rythme élevé, gémissant de plus en plus fort. Elle me fit subir ce traitement un temps, avant de s'interrompre pour me retirer mon t-shirt. Je voulus me redresser pour au moins qu'elle retire son petit haut, mais elle m'arrêta en plein geste, et me dit « tu me touches pas soumis ». J'aurais bien répliqué, mais elle se remit à me baiser, et je ne pus plus alors prononcer une parole. Elle bondissait sur mon sexe comme une cavalière émérite, sa poitrine rebondissait à chaque fois, et le plaisir montait en moi terriblement. Nous gémissions à chacun de ses assauts, et pour enfoncer le clou, Marie-Laure me griffait le torse, et giflait de temps à autre. Impossible pour moi de le nier : c'était elle qui était entrain de me baiser. Je tentais bien de reprendre le dessus : je cherchais à me redresser, mais elle me plaquait contre les tatamis et me tenait par les épaules. Je cherchais à la renverser, mais elle me tenait cloué au sol entre ses cuisses. A un moment, je crus tenir le bon bout : j'étais parvenu à lui attraper les mains et à les lui mettre dans le dos. Je voulus en profiter pour la renverser, sauf qu'elle tenait fermement en place. En gymnaste accomplie, son corps ne formait plus qu'un seul bloc qu'il m'était impossible de déplacer. J'avais beau avoir plus de force qu'elle, impossible de reprendre le dessus. D'autant plus que Marie-Laure continuait de me baiser, secouant son bassin comme lors d'une danse du ventre, et le plaisir ne m'aidait pas à la renverser. Je finis par lui lâcher les mains, et elle en profita pour me replaquer au sol. Elle reprit ses va-et-vient comme si elle n'avait jamais été interrompue. Le plaisir devint vite très intense, et je lâchai de grands cris. « Hmmm t'es à moi ! Cria Marie-Laure. Je te baise comme je veux, tu peux rien faire, rien de rien ! » C'était terrible car elle avait raison. Elle me chevauchait, se déhanchait sur moi, me griffait me giflait, tout ça en me défiant du regard avec un sourire de triomphe, et je ne pouvais rien faire du tout ! Le sentiment de défaite s'insinuait en moi, et le plaisir brut que Marie-Laure m'infligeait ne faisait que l'amplifier. C'était tellement bon ! Je ne pus tenir très longtemps, et je finis par avoir un merveilleux orgasme qui me laissa étourdi sur le sol. Marie-Laure ne tarda pas à jouir elle aussi, et s'écroula sur le sol avec moi.

J'étais on ne peut plus comblé sexuellement, mais j'étais aussi très vexé de la façon dont elle avait pris le dessus facilement sur moi. Je décidai donc de partir tout de suite. Je me rhabillai, et me dirigeai vers la porte sans que Marie-Laure ne dise un mot. Je voulus ouvrir la porte du gymnase, mais je découvris alors qu'elle était fermée à clé.

« Elle est où la clé ? Demandai-je d'un ton grincheux à Marie-Laure. »
Elle glissa la main dans son petit haut, et en ressortit une clé :
« Elle est là… Tu la veux ? Va falloir venir la chercher alors... »
« T'es sur de vouloir jouer à ça avec moi ? Demandai-je. »
« Oui. Tu sortiras pas d'ici avant que je t'en donne la permission. Toute façon t'es plus en état de faire grand chose... »
Elle me sous-estimait. Sa provocation m'avait déjà relancé, je bandais à nouveau. Je gardais mon t-shirt, mais me débarrassais de mon pantalon, histoire de lui montrer que je n'avais rien perdu de ma vigueur. Elle eut un petit sourire gourmand en me voyant ainsi.

Je la soulevai et la posai sur un petit trampoline que les gymnastes utilisent pour faire des saltos. Je plaquai contre ce trampoline, et me mis à la baiser sauvagement, utilisant le rebond pour la baiser encore plus fort. Tout en la limant, je lui tenais fermement les mains, la baisant à ma guise. J'avais enfin le dessus sur elle ! J'accélérai le rythme, comme si je pouvais effacer tout ce qu'elle m'avait fait depuis ce matin en la baisant très sauvagement. Elle gémissait à pleine voix, et moi je l'embrassai partout où je pouvais l'atteindre, ravi d'avoir enfin son merveilleux corps à disposition. Cependant, Marie-Laure n'avait pas dit son dernier mot. Elle enroula bras et jambes autour de moi, et me colla contre elle. Ce contact était délicieux, mais je savais que c'était une tentative pour reprendre le dessus. Alors, pressant encore plus mon corps contre le sien, je la plaquais contre le matelas, et me mis à la limer avec vigueur, ne bougeant que le bassins, mais me servant du rebond du trampoline pour à chaque fois cogner jusqu'au fond de son intimité. Marie-Laure poussait de véritables cris de plaisir, et je pensais enfin être en mesure de la soumettre. Je me trompais. Au moment où je m'y attendais le moins, elle me renversa et vint au dessus de moi. Avant que j'aie pu faire un geste, elle se mit à sauter sur mon sexe, utilisant à son tour le rebond du trampoline. C'était merveilleux. Elle bondissait sur ma queue, le trampoline grinçait à chacun de ses coups de butoir, je criais et criais encore, et elle souriait de son air satisfait. « C'est qui la chef ? » me cria-t-elle. Je refusai de répondre mais elle me fila une gifle, et me prenant par le menton, m'obligea à la regarder droit dans les yeux pendant qu'elle me baisait. « C'est qui la chef ? » répéta-t-elle. Elle me baisait sans cesse plus vite et fort, et moi j'étais à moitié assommé, et elle continuait de me gifler en me demandant qui était la chef. Je fus obligé de crier : « c'est toi ! Putaiin qu'est ce que c'est bon ! C'est toi la chef ! » au même moment, Marie-Laure poussa un grand cri : elle venait d'avoir un orgasme.

Si j'avais été en état, j'aurais essayé d'en profiter pour reprendre le dessus, mais je n'étais pas en état. Marie-Laure se leva du trampoline, et me tirant par le t-shirt, m'emmena jusqu'au matelas où je m'étais installé tout à l'heure pendant son cours.

Elle me jeta dessus, et vint sur moi. Elle s'empala sur ma queue, mais me tourna à nouveau le dos. Elle se mit à secouer son magnifique postérieur, se déhanchant de gauche à droite comme une furie. Le matelas était mou, aussi, elle m'enfonçait dedans. Même si j'avais été en état de le faire, j'aurais eu beaucoup de mal à reprendre le dessus. Et c'était tellement bon ce qu'elle me faisait… Voir de dos, son corps de rêve en action pendant qu'elle me baisait, entendre ses gémissements et les miens, et surtout sentir le plaisir monter et monter à chaque fois que son cul allait et venait c'était merveilleux. Marie-Laure tournait de temps en temps la tête pour s'assurer que je restais docile, et à chaque fois, me voyant prendre mon pied et être au septième ciel lui tirait un sourire satisfait. Elle finit par me dire : « hmmm t'es bien docile mon soumis ! tu kiffes ce que je te fais ? » je ne pouvais que répondre « ouiii, c'est super bon ! » elle répondit alors « alors dis le ! dis que tu kiffes ! » que pouvais je faire ? « j'adore ce que tu me fais, je kiffe trop ! » poussant un cri de triomphe et de plaisir mêlés, Marie-Laure accéléra le rythme, jusqu'à ce que l'on jouisse tous les deux.

Épuisée mais ravie, Marie-Laure vint s'allonger à côté de moi.

« Hmmm, c'était vraiment bon. »
« Oh que oui, répondis-je. »
« Mais dis moi, susurra Marie-Laure, je n'étais pas censée être sonnée par l'orgasme que tu m'aurais donnée, et comprendre que c'est toi le chef ? J'ai l'impression que c'est l'inverse qui se passe, non ? »
Je ne répondis pas, mais elle avait raison. Toute la journée elle m'avait baisé comme elle voulait. Et quoi que j'ai essayé, je n'avais pas réussi à reprendre le dessus. C'était à me demander comment j'avais réussi à le dominer par le passé. Après avoir subi ses moqueries, je repartis chez mes grands-parents.

Une fois de retour chez eux, je mis deux jours à réfléchir à ce qu'il s'était passé cette journée. Ce que Marie-Laure m'avait fait était délicieux. Cependant, elle m'avait tellement mâté que c'en était vexant. Et surtout, je ne comprenais pas qu'elle m'ait mâté à ce point, alors qu'à plusieurs reprises chez elle j'avais réussi à la dominer, et que lors de nos vacances en camping, je l'avais complètement mâtée. Se pouvait il qu'elle ait raison ? Que je ne l'aie dominé que par chance, mais qu'en réalité je ne faisais pas le poids face à elle ? Je refusais d'y croire. Je finis par me dire que si elle m'avait dominé, c'est parce qu'elle avait su choisir ses endroits : dans cette piscine naturelle, où l'eau l'avantageait, et dans son gymnase où elle devait avoir l'habitude de baiser. J'avais accepté de jouer son jeu, et j'avais perdu. La prochaine fois, je devais procéder autrement. Je devais la baiser dans les endroits où je l'avais dominée. La cuisine venait en tête : je l'y avais baisée totalement, et elle n'avait rien pu faire. Le salon avait été un peu plus dur, quant à sa chambre, je me méfiais de son matelas à eau.

Ainsi, lorsque je me rendis à nouveau chez Marie-Laure, j'avais mon plan bien en tête : la prendre sauvagement dans sa cuisine, jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment docile pour que je puisse la baiser ailleurs. C'était ma dernière chance, car je devais rentrer le lendemain chez moi, loin de Marie-Laure. Je ne voulais pas rentrer chez moi en ayant trouvé en Marie-Laure une nouvelle dominante, j'avais assez de Katherine. Non je devais renter chez moi en vainqueur dominant.

Une fois arrivé chez Marie-Laure, je toquai à la porte. Mais pas de réponse. Elle m'avait pourtant bien donné rendez vous. Curieux, je fis le tour de la maison, et entrai dans son jardin. Marie-Laure était là, allongée sur une chaise longue, entrain de bronzer. Elle ne portait qu'un bikini noir, et à voir son corps de rêve allongé comme ça, j'eus une furieuse envie de la prendre sur le champ.

« Ca va mon soumis ? Me demanda-t-elle. »
« Et si on allait dans ta maison, histoire que ton soumis fasse de lui sa chienne ? Ripostai-je. »
« Non. Je bronze. »
Oubliant complètement mon plan de baise dans la cuisine, je me mis à retirer mes vêtements. Une fois nu, je vins sur elle. Je lui embrassai son ventre, puis remontant je lui embrassai la poitrine, avant de lui embrasser le buste et le cou. Elle poussait de doux soupirs d'aise, et lorsque je vins sur sa bouche l'embrasser passionnément, elle me rendit mon baiser. Je pressai doucement mon corps contre le sien, et j'étais on ne peut plus confiant : je me disais que sur cette chaise longue, Marie-Laure n'aurait pas la place de reprendre le dessus. J'étais un idiot.

Elle me fit tout simplement tomber de la chaise longue, à plat dos sur l'herbe (bonjour le mal de dos au passage !), et vint sur moi un sourire aux lèvres. Quel idiot j'avais été ! J'étais une fois de plus entrer sans méfiance dans son jeu ! Je tentai de reprendre le dessus, mais la même histoire recommença : Marie-Laure me tenait plaqué contre le sol, et impossible pour moi de reprendre le dessus.

Elle se mit à frotter ses fesses couvertes par son maillot de bain, contre mon sexe à nu. La sensation me fit bouillir littéralement. Elle retira en suite son bas de maillot de bain, et s'empala sur mon sexe dans un cri de plaisir. Elle se mit ensuite à faire des va-et-vient d'avant en arrière, me culbutant avec sauvagerie à même le sol. Elle me baisait avec tant d'entrain que mon pauvre dos en souffrait. Mais malgré ça, bon sang qu'est ce que c'était bon de se faire baiser comme ça dans l'herbe comme une bête sauvage ! Marie-Laure m'offrait une fois de plus un spectacle incomparable, tout son corps de rêve était en action ses hanches se secouaient, son ventre plat s'agitait, ses bras me clouaient au sol, sa poitrine toujours recouverte par son bikini se secouait, et ses yeux me fixaient d'un regard impérieux et triomphant. Le plaisir montait en moi en vagues dévastatrices, je poussais de grands cris, et savourait cet instant. Le pire, était que j'aimais ce qu'il se passait. J'aimais que Marie-Laure me domine, j'étais content de perdre. J'avais même hâte d'entendre ses moqueries, et j'étais sur d'y prendre un plaisir coupable. Marie-Laure s'activait toujours vite sur moi, elle gémissait, suçait son doigt, se prenait la tête dans les mains, et secouait toujours son corps de rêve. Je tâchai de tenir le plus longtemps possible pour profiter au maximum de l'instant, mais c'était impossible : je finis par jouir dans un terrible orgasme en même temps que Marie-Laure.

« Eh bien ! Je t'ai une fois de plus bien niqué mon petit soumis. Me dit-elle satisfaite. »
Finalement j'y prenais moins de plaisir que prévu à ces moqueries. Maintenant que j'avais joui, ma fierté de mec revenait au galop. Ok je venais de prendre un pied énorme, et Marie-Laure m'avait totalement dominé, mais pas question pour moi d'en rester là. Toutefois je devais bien reconnaître qu'au fond, j'appréciais d'être malmené ainsi et d'être raillé après : raison de plus pour agir. Je ne pouvais pas rester un petit soumis qui aimait se faire baiser, et entendre sa maîtresse se moquer de lui après.

« Qu'est ce qu'on fait maintenant ? »
« J'ai envie de faire un tour de voiture. On prend ta bagnole et on va en promenade. Et si on trouve un parking tranquille, alors on y poursuivra ton dressage... »
La voiture ? Je n'étais pas du tout chaud pour ça ! Lors de notre rencontre au camping, la seule fois où elle m'avait dominé, c'était précisément dans cette voiture. Je n'avais aucun intérêt à la suivre dans cette idée, c'était un coup à une fois de plus entrer dans son jeu et s'y faire dominer. Je préférai répondre :
« Vas y toi, je t'attends ici et on baisera chez toi. »
Elle répliqua d'un ton autoritaire.

« Non, c'est moi qui décide. On va dans ta voiture, je te baise dedans et on rentre. »
« Ou sinon ? Répliquai-je d'un ton de défi. »
« Ou sinon je prends la voiture, je vais me chercher un mec, je le baise, et je reviens avec lui. Et toi tu nous regardes… T'en penses quoi ? »
Deux minutes plus tard, nous étions dans ma voiture. Marie-Laure conduisait, et j'étais sur le siège passager à côté, méditant ce qui était entrain de se passer. Marie-Laure était clairement entrain de prendre le dessus sur moi. Le plus inquiétant était finalement qu'elle m'ait obligé à monter dans ma voiture et à faire ce qu'elle voulait. Non seulement elle prenait l'ascendant sexuellement, mais en plus, elle prenait aussi le dessus psychologiquement, parvenant à me faire faire ce qu'elle voulait, exactement comme elle faisait avec les autres mecs. Elle était entrain de me mettre à ses pieds, je ne pouvais accepter ça. Qu'elle m'ait obligé à monter en voiture sous le chantage qu'elle aille en baiser un autre était d'ailleurs très significatif : lorsque nous nous étions rencontrés au camping, c'est moi qui avais réussi à lui faire faire ce que je voulais en utilisant précisément ce chantage. Les rôles étaient inversés. Au camping j'avais sur elle l'ascendant psychologique et sexuel, maintenant c'était Marie-Laure qui avait cet ascendant.

Pendant que je ruminais, Marie-Laure avait trouvé son parking tranquille. Elle arrêta la voiture et se tourna vers moi. J'eus soudain une idée : au camping certes elle m'avait dominé dans la voiture, mais tout de suite après, je l'avais sévèrement corrigée. Peut être les choses se passeraient elles de la même façon ?

« On descend de voiture, dis je avec toute l'autorité dont j'étais capable. »
La dernière fois, elle avait obéi docilement. Là, elle se contenta de rire.

« Non, on reste dedans. Je vais venir te rejoindre sur ton siège, m'empaler sur ta bonne queue, et te faire ta fête. Et y rien que tu puisses faire contre ça... »
Pour l'autorité c'était raté. Je sentis que je ne devais surtout pas perdre cette bataille.

« J'ai dit qu'on baise dehors, on baise dehors. »
Marie-Laure sourit et en guise de réponse, voulut venir sur moi, m ais je la maintins de force sur son siège. Au moins j'étais plus fort qu'elle, j'allais peut être obtenir ce que je voulais comme ça. Mais sans parler, Marie-Laure retira son débardeur, sous lequel elle portait toujours son bikini noir. Elle retira ensuite son mini-short tout en me regardant des les yeux. Elle prit des poses lascives devant moi, suça son doigt, avant d'empoigner sa poitrine à deux mains, et de la masser sous mes yeux. Bon sang mais qu'est ce qu'elle était bonne ! Je restai bouche bée devant ce spectacle.

« T'es sûr que tu veux pas que je te rejoigne sur ton siège ? Susurra-t-elle. »
Je capitulai.

« Si. Viens. »
Avec un sourire triomphant, Marie-Laure vint sur moi. Elle s'installa confortablement, et m'embrassa comme une sauvage. Je lui rendis son baiser avec passion, mais ne cherchai pas à reprendre le contrôle. Je ne pouvais rien faire dans cet espace exigu, Marie-Laure avait gagné cette manche, et elle avait peut être même gagné la partie… En attendant, elle me retirait mon t-shirt, puis mon pantalon et caleçon, frottant son corps de rêve contre le mien. Elle se dénuda ensuite, libérant ses seins volumineux sous mes yeux émerveillés. Elle s'empala sur ma queue, et démarra sa baise, se déhanchant de gauche à droite, le visage à quelques centimètres du mien, se délectant de chaque trace de plaisir qu'elle y lisait. Je ne tardai pas à gémir, ce qui fit sourire Marie-Laure, tandis qu'elle accélérait encore et encore le tempo de ses assauts. Elle me colla ses énormes seins en plein dans le visage, m'étouffant à moitié avec en disant : « bouffe les mes seins, je sais que tu les adores ! ». Elle se mit ensuite à bondir sur mon sexe, ses seins rebondissant au même rythme que ses coups de reins, tandis qu'elle m'écrasait toujours plus contre le dossier du siège. Elle me faisait tellement de bien ! Je gémissais comme une fille, tandis qu'elle s'éclatait et criait sa joie de me baiser ainsi. Je ne pouvais subir ce traitement bien longtemps : je finis par avoir un délicieux orgasme, qui fut insupportable car Marie-Laure le fit durer jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour. Je finis effondré sur le siège passager, tandis qu'elle se rhabillait tranquillement.

Curieusement, elle ne me servit pas ses moqueries habituelles, et j'en fus assez content… mais déçu en même temps. Une fois rentrés chez elle, elle me dit :
« Voilà. Tu vas bientôt devoir partir, mais avant je veux qu'on se dise au revoir à notre façon... »
Je compris que par là elle voulait dire baiser une dernière fois avant que je ne parte… Ca signifiait que c'était ma dernière chance. Ma dernière chance de la dominer, de lui montrer que j'étais pas son chien mais que c'était l'inverse… J'allais devoir la dominer sacrément fort pour effacer tout ce qu'il s'était passé depuis hier. Mais je devais saisir cette dernière chance.

Une fois dans sa maison, j'entraînai Marie-Laure dans sa cuisine. Elle se laissa guider. Cette fois, c'était elle qui entrait dans mon jeu, ça se présentait bien… Sitôt arrivé dans sa cuisine, je me jetai sur elle, et l'embrassai comme si je n'avais pas eu de fille depuis 10 ans. Elle me rendit mon baiser avec sauvagerie, et nous nous arrachâmes littéralement nos vêtements. Une fois qu'elle fut nue, je la soulevai, la retournai, et l'étalai sur la table de la cuisine. On était dans la même position que quelques jours plus tôt, tout se présentait bien.

Je me mis à la baiser en levrette, le plus sauvagement possible. Je me donnais à fond, la limais aussi loin et puissamment que je pouvais, et Marie-Laure gémissait à pleine voix. Je tenais enfin ma vengeance, ma dernière chance de la soumettre était à portée de main ! Alors que je la baisais plus fort que jamais, persuadé d'être entrain de la soumettre, Marie-Laure reprit le dessus.

Elle m'attrapa par la nuque, et m'obligea à me coller à son corps, avant de me faire tomber en arrière sur une de ses chaises. Désormais, elle était sur moi, et me tournait le dos. Elle se mit à me baiser dans cette position, avec une sauvagerie qui rendait bien pâle la mienne. Son corps de rêve se mettait en mouvement, le plaisir montait en moi, et la joie d'être soumis refaisait surface… Je devais réagir et très vite.

Je la repoussai, et me levai. La cuisine ne semblait pas le lieu idéal pour la soumettre finalement. Je devais trouver autre chose. Le salon peut être ? J'attrapai Marie-Laure par le poignet, et l'entraînai avec moi jusqu'au salon.

Là, je la soulevai, et vins la plaquer contre le mur. Je l'écrasai de mon corps, et me mis à la baiser aussi fort que possible. Cette fois nom de nom, j'allais réussir à la soumettre cette garce ! Marie-Laure gémissait et se tortillait, ça semblait aller dans la bonne direction, j'allais peut être enfin y arriver ! Mais non. Marie-Laure me saisit par les cheveux, et m'obligea à fourrer ma tête dans ses énormes seins, tout en enroulant ses jambes autour de ma taille. Je perdis tout contrôle, et elle me fit m'allonger sur le sol. Elle se remit à me chevaucher comme une folle, son sourire moqueur sur ses lèvres, et je me sentis à nouveau perdre pied.

Dans un ultime effort, je parvins à la repousser et à me dégager. Le salon non plus ne convenait pas, mais où donc la baiser ? Sa chambre ? C'était ma dernière chance. Je la tirai par le bras, et l'emmenai avec moi là haut. Elle me suivit avec le sourire, et je voyais bien que dans sa tête, elle avait déjà gagné. Moi, je comptais me battre jusqu'au bout.

Une fois dans sa chambre, je la jetais sur son lit. Je la fis se mettre à quatre pattes sur son matelas. C'était ma dernière chance, je devais pas la gâcher : je décidai d'user des grands moyens et de la sodomiser. Je pénétrai d'un coup son cul, lui arrachant un petit cri. Je me mis ensuite à lui limer le cul avec une vigueur décuplée par l'énergie du désespoir : je devais y aller fort pour la mâter définitivement. Marie-Laure gémit sous mes assauts, et se mit à accompagner mes mouvements avec son postérieur. C'était très bon, et je pris mon pied. Je mis de longues secondes à comprendre que quelque chose n'allait pas : j'étais entrain de sodomiser Marie-Laure, et pourtant de plus en plus, c'était elle qui avait le contrôle en bougeant son cul. C'était à en devenir fou ! Je tâchai de reprendre totalement le contrôle en la baisant encore plus vite, mais tout ce que je parvins à faire, c'est à me fatiguer. Marie-Laure en profita pour me repousser, se retourner, et me plaquer contre le matelas.

Je tâchai de me débattre, de la renverser, de reprendre le dessus. Rien n'y fit. Marie-Laure repoussa toutes mes tentatives, un sourire narquois aux lèvres. Je dus arrêter au bout d'un moment : c'était fini, j'avais perdu. Satisfaite, Marie-Laure s'empala une énième fois sur mon sexe.

« Tu t'es bien battu chéri, mais t'as perdu. T'as tout tenté, mais tu peux rien contre moi, je te l'ai dit, t'es pas à la hauteur. Maintenant je vais te baiser et quand ça sera fini, tu seras comme les autres, à mes pieds... »
Et une fois de plus, elle se mit à me baiser. Mais cette fois ci, elle n'alla pas tout de suite à un rythme élevé destiné à me mettre KO. J'étais déjà vaincu, et elle le savait, elle n'avait plus qu'à savourer tranquillement sa victoire. Aussi, elle se mit à me baiser doucement, allant de gauche à droite sur un rythme lent, mesuré, prenant lentement possession de moi. Elle me regardait droit dans les yeux, en s'activant doucement. Le plaisir montait doucement en moi, mais il montait. Je mis mes mains derrière ma tête, tout en regardant Marie-Laure. Le message était clair : je capitulais bel et bien, et me laissais complètement faire. Marie-Laure se mit à presser ses énormes seins devant moi, désirant probablement m'offrir une belle image. C'était réussi. Elle se mit ensuite à aller d'avant en arrière, en accélérant légèrement le tempo. Je me mis à lui caresser les fesses, histoire de l'encourager. Marie-Laure fit courir un de ses doigts le long de mon torse, me griffant longuement et délicieusement, j'en frissonnai de plaisir. Puis soudain, sans signe avant coureur, elle se mit à me baiser sauvagement. Elle me culbutait violemment, et sur son matelas à eau, j'en était ballotté de tous les côtés. Nous nous mîmes tous deux à gémir comme des fous, tandis que Marie-Laure intensifiait encore le rythme de sa baise. Ses énormes seins étaient secoués de partout, c'était délicieux, et le plaisir montait, montait. « Oooh putain qu'est ce qu'elle est bonne ta queue ! » cria Marie-Laure en s'activant toujours plus. « Appelle moi maîtresse ! » lança-t-elle. En temps ordinaire j'aurais refusé, et il aurait fallu user de persuation. Mais là je n'étais plus en état de lui refuser quoique ce soit : « c'est bon ce que tu me fais maîtresse ! » criai-je. « Plus fort ! Répliqua-t-elle. » « MAITRESSE ! » hurlai-je de toute la force de mes poumons. Marie-Laure eut un air triomphant, et s'activa encoure plus, bondissant sur mon sexe. Le plaisir montait et montait encore, je ne pouvais plus le contenir. J'essayais pourtant, histoire de prolonger cet instant, et j'y parvins un temps. Marie-Laure se démenait comme une folle sur moi, et la voir me baiser ainsi était un spectacle dont on ne se lassait pas. Elle me griffait et me giflait, ravie de la victoire totale qu'elle avait obtenue. « T'es à moi ! Gémit elle. T'es à moi et je te mets à mes pieds comme tous les autres !  », « oui confirmai-je dans un cri, je suis à toi, baise moi c'est trop bon ! ». Je finis par ne plus pouvoir tenir, et jouis une dernière fois en elle, me déversant à grand flot, vibrant d'un orgasme dévastateur. Marie-Laure elle n'avait pas joui. Elle vint sur mon visage, et s'assit dessus et m'ordonna : « lèche ta maîtresse mon soumis ! ». A moitié inconscient par l'orgasme que je venais d'avoir, je m'exécutai cependant, faisant tourbillonner ma langue sur son intimité, la léchant comme un mort de faim. Elle ne tarda pas à jouir, se déversant à grands flots sur mon visage.

Epuisée, mais comblée, et surtout victorieuse, Marie-Laure vint s'allonger à côté de moi, et murmura :
« Alors, qui est la patronne ? »
« C'est toi soufflai-je. »
« C'est bien mon soumis, tu deviens sage. »
Nous restâmes un moment, étendus, savourant cette merveilleuse baise. C'est tristement que je rentrai chez moi le lendemain, quels torrides moments j'avais vécu ! Je repartais en vaincu et soumis, mais qu'importe au final, car j'avais pris mon pied comme rarement dans ma vie. Et puis, je savais que je reverrai Marie-Laure, et je n'avais pas forcément dit mon dernier mot…


Voilà cette histoire en deux parties est maintenant terminée, j'espère que vous l'avez apprécié. Je précise que pour cette histoire, j'ai eu beaucoup de mal à faire court. Au départ, j'avais prévu que toute l'histoire fasse 8 pages word. Au final, j'ai du le découper en deux parties, qui à elles deux font un récit de 24 pages !! C'est pour ça que je demande aux lecteurs de me dire si ils trouvent cette histoire trop longue ou pas, que je sache en tant qu'auteur si je dois faire l'effort de raccourcir. Merci de me donner votre avis sur ce point en particulier. Bien sur si vous voulez me donner votre avis sur d'autres points, le scénario, l'histoire, les personnage, allez y je vous en prie.

Enfin, je vous propose de voter pour le prochain récit. Je vous donne la possibilité entre trois histoires : NOÉMIE 4, LAURA 3, ou MANON 3. Vous avez donc le choix entre trois anciens personnages qui pourraient faire leur retour dans le prochain récit. A vous de choisir. A savoir que quelque soit le choix fait, les trois prochains récits seront ces trois là, c'est à vous de choisir l'ordre.

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