Titre de l'histoire érotique : Offert à mon admirateur

- Par l'auteur HDS Quintessence2017 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Offert à mon admirateur Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Offert à mon admirateur
"J'aime beaucoup tes histoires."
Tout a commencé par un mail. Ça faisait déjà un moment que j'écrivais des histoires érotiques, et recevoir un e-mail me félicitant pour mon travail était toujours quelque chose de très excitant. Autant dire que lorsque cela arrivait, je m'empressais de répondre avec passion, allant parfois jusqu'à nouer des discussions très intéressantes.
Au début c'était très calme, on papotait, on parlait de nous, de nos passions, de nos fantasmes. Les miens ne sont pas vraiment un secret pour qui a lu mes histoires. Aussi Lucas savait très bien que je rêvais de Domination avec un grand D. Que je voulais être dressé, discipliné. Je n'avais pourtant aucune expérience de ce milieu, et mon penchant bisexuel ne s'était révélé que récemment. J'étais par conséquent très frileux à l'idée de me mettre à nu devant un parfait inconnu.
Puis il m'a mis en confiance, il n'était que de deux ans mon aîné, cela me rassurait. On a commencé à aller plus loin : j'étais célibataire depuis peu et donc pleinement disponible. On s'échangeait des photos. "Mets-toi des pinces sur les tétons, prends telle pose, écarte-bien tes fesses et fais-moi voir ton trou" me disait-il, toujours avec beaucoup de délicatesse bien que fermement. Je prenais toujours la peine de cacher mon visage sur les photos, de peur qu'elles ne soient diffusées, mais je prenais toujours les photos qu'il me dictait, docile. C'était un petit jeu qui m'excitait au plus haut point, et lorsque j'avais été satisfaisant, j'avais droit en récompense à une photo en retour. Son torse mince, ses cuisses légères, son engin bien dressé. Ce dernier me donnait l'eau à la bouche, il faut dire que Lucas était particulièrement bien monté. Souvent lorsque je me faisais du bien, je l'imaginais me prendre sauvagement, ou m'obliger à astiquer son colosse avec ma langue afin qu'il soit impeccable pour me pénétrer.
Et puis les mois ont passé, on parlait toujours fréquemment via nos boites mail. Un jour, je fus contraint de déménager, pour mes études. Quelle ne fût pas ma surprise lorsque j'appris que la ville où je devais emménager n'était autre que celle où résidait Lucas.
Un mélange de lubricité et d'appréhension m'ont envahi en un instant. D'un côté, j'avais enfin l'occasion de goûter à la volupté de mes fantasmes les plus secrets, et de l'autre, j'étais au pied du mur. Impossible de me défiler désormais, la barrière de l'informatique ne tiendrait pas longtemps, et tôt ou tard, je finirais par passer à la casserole. J'attendis quelques temps avant d'annoncer la nouvelle à Lucas.
Je rédigeai un mail à mon admirateur, qui était devenu mon correspondant, en lui expliquant que j'allais emménager dans la même ville que lui d'ici peu.
Sa réponse ne se fit pas attendre : "Je te laisse t'installer. Nous continuerons à échanger sur le mode épistolaire, et lorsque tu te sentiras prêt à t'offrir à moi, tu n'auras qu'à me le dire : je serai là."
Alors nous avons continué ainsi. Pendant plusieurs mois à vrai dire. Et puis, au détour d'une discussion tardive, je lui ai dit que c'était bon. Je me sentais prêt.
En réalité je me suis à la fois détesté et adulé le lendemain matin, en parcourant les messages de la veille. C'était ce genre de discussion où l'esprit, embrumé par le désir extrême et la fatigue, se libère de sa gangue de pragmatisme qui l'empêche, le jour, d'exprimer au grand jour ses fantaisies les plus osées. Ce genre de discussions où l'on joue carte sur table, et où l'on ne craint plus ni la honte, ni le remord.
Je m'étais flanqué moi-même au pied du mur, et la sentence ne tarda pas à tomber. "Réserve ta journée de samedi, on se retrouvera dans ce café, on boira un verre en discutant. Puis je t'emmènerai chez moi pour la suite."
Pendant les jours qui ont suivi, impossible de trouver le sommeil. Mes digressions fantasmagoriques de l'avant sommeil étaient trop agitées. Dans ma tête, tout n'était qu'un déluge de sexualité, de pénis turgescents, de lèvres, de langues, de sueur, bref : de sexe.
Le jour même, mon cœur battait à cent à l'heure, j'en avais presque la nausée. Vous savez, comme avant un examen oral.
Je lui avais donné ma description, afin que l'on puisse se retrouver facilement. Lui ne l'avait pourtant pas fait. S'il décidait de rester au loin et de m'épier, je ne le reconnaîtrais même pas. Je ne connaissais de lui que son corps nu, sa frêle carrure, sa bite aussi.
J'étais arrivé en avance, impossible pour moi de le faire attendre : j'étais trop impatient, trop fébrile.
Lui en revanche est arrivé précisément à l'heure. Pas une minute de plus, pas une minute de moins. Il s'est assis face à moi et m'a simplement dit :
"Tu es en avance."
On a parlé pendant une bonne heure, de tout et de rien, de nos dernières lectures comme de l'été qui s'achevait. Je répondais mécaniquement, sans réfléchir, j'étais obnubilé par lui.
Il était en fait incroyable beau : ses traits fins lui donnaient une allure générale plutôt efféminée, tout en restant mâle. Sa chevelure blonde tombait sur son front, occultant légèrement son œil droit d'une mèche qu'il ne cessait de chasser, ponctuant ainsi ses phrases de très discrets gestes de la main. Il avait le nez grec qui indiquait le chemin vers une bouche aux lèvres pulpeuses, appétissantes.
S'il avait été plus costaud, il aurait été l'archétype de la statue grecque que l'on peut contempler en musée. Peut-être mon jugement était-il faussé par l'idéalisation que j'avais faite de lui dans mon esprit, mais c'est, sans mentir, l'image que j'avais de lui.
Par ailleurs il était très bien habillé. C'était un jeune homme de goût, du haut de ses vingt-cinq ans.
Finalement, il se leva, paya la note sans me demander mon avis, puis me dit : "On s'en va. Suis-moi."
Nous n'étions vraiment pas très loin de chez lui, car moins d'une dizaine de minutes plus tard, nous étions à l'arrêt devant la porte de son immeuble. Il ouvrit la porte et m'indiqua l'ascenseur, j'y entrai et nous montâmes jusqu'au quatrième étage.
Une fois la porte de son appartement ouverte, il me fit signe d'entrer. "Après toi."
Nous nous installâmes dans le canapé et reprîmes nos discussions. Je sentais qu'il me jaugeait. Il attendait quelque chose.
Pourtant moi, timide, frileux, je n'osais pas faire le premier pas. J'avais peur. Que devait-il penser ? Que je n'étais qu'une allumeuse qui n'a que de la gueule ? Que je l'avais chauffé sur internet pour finalement me défiler ?
C'était trop pour moi, je surmontai ma pudeur et m'approchai de lui pour poser mes lèvres sur les siennes. Cela me demanda un effort incommensurable.
Il se recula, sourit et me dit : "Il était temps. J'ai cru que tu ne te lancerais jamais."
Il me saisit le menton d'une main, la gorge de l'autre, et pressa ses lèvres sur les miennes, forçant sa langue dans ma bouche.
"Je veux que tu ailles te doucher maintenant."
Je m'étais déjà lavé avant de partir, mais le ton sur lequel il avait prononcé son injonction ne donnait pas envie de négocier.
Je me levai, et me dirigeai dans la direction qu'il me pointait du doigt, fermant la porte derrière moi une fois entré.
À peine avais-je ôté déboutonné ma chemise, qu'il toqua à la porte. J'ouvris, étonné.
" - Je peux savoir ce que tu fais ?
- Eh bien, je me douche.
- Bon. Je vais reprendre. Je t'avais dit de me signifier quand tu serais prêt à t'offrir à moi. Nous sommes bien d'accord ?
- Oui.
- Alors si tu t'offres à moi, tu n'as rien à me cacher. Considère que ce verrou n'existe pas."
Penaud, j’acquiesçai de la tête. Je finis de me déshabiller, et pénétrai dans la cabine de douche.
La fraîcheur de l'eau sur mon corps tendait mes tétons, et me donnait la chair de poule. De temps à autre je jetais un œil par la porte ouverte, pour voir Lucas qui était retourné s'asseoir dans la canapé et me regardait avec insistance.
Dos à lui, frottant ma peau tendue avec le savon qui était à ma disposition, je finis par me prendre au jeu. Je me caressais, écartant les fesses pour nettoyer bien en profondeur. Je fis même tomber le savon, sans le faire exprès je l'avoue, me contraignant à me pencher afin de le ramasser.
Lorsque j'eus fini, j'entendis ses pas se rapprocher sur le sol. Je me retournai pour le voir, posté devant la cabine.
Il ouvrit la cabine et me dit sèchement :
" - C'est bien. Mets tes mains sur le mur, et tends tes fesses vers moi." Il s'approcha et glissa ses mains sur mon corps, appuyant légèrement sur le bas de mon dos, afin de me faire cambrer.
Il passa ses mains sur mes épaules, puis sur mon torse, s'attardant de l'une sur mon téton, glissant les doigts de l'autre dans ma bouche, non sans forcer l'entrée.
La situation était très embarrassante, j'étais nu, physiquement en effet, mais également à nu psychologiquement, alors que lui était habillé, en position de force. Ma pudeur réduite à néant, littéralement offert, comme il me l'avait promis.
Ses mains descendirent jusqu'à ma taille. Il me branla brièvement, puis dirigea ses deux mains pour palper fermement mes fesses.
" - Tu as un magnifique postérieur. Je dois t'avouer que j'attendais de le toucher avec beaucoup d'impatience.
- Merci."
Il m'asséna une fessée bien sentie qui me fit presque abandonner ma position, puis écarta mes fesses pour contempler mon fondement. Il observa le tableau qui lui était offert pendant quelques instants, puis glissa son index dans ma bouche afin de le lubrifier, avant de me l'introduire lentement. La vague de chaleur démarrait le long de son index avant de rayonner dans tout le bas de mon dos. Elle était tellement intense, qu'elle fit ployer mes genoux au point que j'en faillis tomber. Lucas fouilla un instant en moi, m'arrachant au passage un soupir lascif, puis ôta son doigt rapidement avant de le contempler.
" - Bon, ça m'a l'air bien propre. Je suis fier de toi. Tiens la posture une seconde."
Il me caressa le cul comme pour me récompenser, puis attrapa quelque chose sur la commode qui était juste en dehors de la salle de bain. De ma position face au mur, je ne voyais rien, mais à la façon dont il tournait autour de moi en s'arrêtant par intermittence, et aux cliquetis fréquents, je compris qu'il prenait des photos de moi. Comme un trophée. Il tourna finalement les talons et partit comme si de rien n'était. Je pris une serviette et me séchai avant de ramasser mon boxer, lorsque j'entendis la voix de Lucas derrière moi.
" - Repose ça. Tu n'en auras pas besoin pour la suite."
Ainsi je devais rester totalement nu. De retour dans le salon, je m'aperçus avec stupeur d'une chose qui m'avait semblé futile à mon arrivée, mais s'avérait désormais capitale : les fenêtres n'avaient pas de stores, et présentaient quelques vis-à-vis. Il y avait fort à parier que Lucas l'avait fait exprès. Néanmoins, le souvenir de son doigt en moi ôta de ma tête toute pensée de rébellion, cette seule réminiscence me donnait envie d'accomplir ses moindres désirs.
Alors que je m'approchais, il me fit signe de me mettre à genoux devant lui.
" - Tu te souviens de notre premier contact ? Je t'ai dit que j'aimais beaucoup tes histoires, pas vrai ?
- Oui.
- En les écrivant, tu espérais que quelqu'un te dise ça, pas vrai ?
- C'est exact.
- Ces histoires, elles étaient plutôt osées. Elles étaient même carrément obscènes. On va voir aujourd'hui à quel point tu es prêt à assumer. J'espère que tu te montreras à la hauteur.
- Je ferai tout mon possible.
- Mets tes mains dans ton dos, et tiens-toi bien droit. Je veux que ton cul ressorte."

Sur ces mots, il ôta sa ceinture de son pantalon. Je frémis un instant à l'idée qu'il puisse s'en servir pour me flageller.
Il la plia en deux, et caressa de la boucle de cuir ainsi formée mon cul, puis mon dos, puis mon torse, remontant sous mon menton jusqu'à me faire lever la tête vers lui.
Il sourit, puis déroula la ceinture, avant de la serrer autour de mon cou, à la manière d'un collier de cuir dont il tenait le bout.
Il tira légèrement afin de bien la serrer, et de son autre main, il attrapa son appareil pour recommencer son shooting.
" - Je les ferai développer pour te montrer tes progrès. Peut-être que je les montrerai à quelques personnes aussi, si tu me donnes ton accord."
Dans l'état de fébrilité où il m'avait plongé, il aurait pu me demander de les afficher sur la Tour Eiffel. Je me contentai d'acquiescer du chef.
Il posa son appareil, et me lança sèchement.
" - Bien. Face contre terre, le cul levé, cambre-toi bien."
Je m'exécutai sans discuter.
" - Il faut que je t'explique quelque chose. Je vais maintenant te donner une fessée. Il faut bien que tu comprennes que la fessée que je vais te donner n'est pas une punition. Avec l'expérience, tu apprendras à déterminer lorsque je te donne une fessée, s'il s'agit d'une punition, ou bien d'une récompense. Ni la quantité, ni l'intensité ne doivent compter pour toi : seul mon intention compte.
- Mais alors... Pourquoi me l'infliger s'il s'agit d'une récompense ?
- Tu t'es offert à moi, et je vais devenir le Maître qui t'éduque. Tu dois apprendre à recevoir tout ce qui vient de moi comme il se doit. Si je décide de te faire du mal, tu dois être capable de le recevoir comme un bonheur.
Retiens également que tu seras, lors de nos séances, ma propriété, et que je n'ai par conséquent aucun intérêt à détériorer ma propriété."
J'étais rassuré. Je lui souris tendrement.
" - Au contraire, je m'occuperai bien de toi. Je serai sévère mais juste. Tu devras t'en montrer digne, et faire preuve de gratitude.
- J'ai compris."
Sur ces mots, je replaquai ma tête contre le sol, et déclarai :
" - Je suis prêt !"
Il s'accroupit à mes côtés et palpa fermement mes fesses, presque au point de les pincer.
" - Excellent. Je veux que tu comptes à haute voix."
Il caressa tendrement ma fesse droite, puis la gauche. Puis, sans prévenir m'envoya un grand soufflet sur l'une, puis l'autre. Je ne pus retenir un petit gémissement.
" - Une ! Deux !"
Il enchaîna, sans jamais baisser d'intensité.
" - Trois... Quatre ! Cinq ! Six... Sept !"
Je sentais progressivement mon cul s'échauffer, rougir sûrement.
" - Dix-sept... Dix-huit... Dix-neuf... Vingt..."
Je commençais à me demander quand allait-il s'arrêter.
" - Quarante... Quara... Quanrante-et-un... Pitié, je n'en peux plus !"
Mais il continuait... Sans s'arrêter, en rythme, régulier. De temps à autres il en mettait une plus forte que les autres, me faisant plier sous la douleur. Il s'empressait alors de tirer sur mon collier de fortune pour me forcer à reprendre ma position.
Finalement, au bout de mes capacités, je lançai avec dépit :
" - Par pitié je ferai tout ce que tu voudras !"
Il continua plus fort que jamais pendant une petite dizaine de fessées, puis déclara :
" - Bon ! Tu as bien tenu. Cependant tu as fait une grossière erreur."
Je le regardai, partagé entre l'incompréhension et la douleur de mon fessier qui dorénavant me brûlait.
" - Je ne t'ai jamais autorisé à me tutoyer. C’est pour cette raison que j’ai continué."
C'était cependant évident... J'avais tellement honte, mon visage s'empourpra et je me répandis en excuses, confus.
" - Ça suffit. Redresse toi, position de soumission : à genoux, le cul cambré, les mains derrière le dos. Tiens toi bien droit."
Je m'arrangeai pour obéir aux injonctions, tandis que Lucas se plaçait devant moi.
" - Tu sais quelle est l'étape suivante ?"
J'ouvrai la bouche, pour répondre, mais il me coupa sans que je ne puisse en avoir le temps.
" - Je trouve que j'ai bien assez travaillé pour l'instant. C'est à toi de te mettre au boulot.
- D'accord."
Il déboutonna son pantalon, et en sortit un vit à demi tendu. C'était la première fois que je le voyais en vrai. Je ne pus retenir un sourire gourmand.
Cette bite qui avait hanté tant de fois mes rêves après l'avoir vue en photo. Cette bite que j'avais rêvé tant de fois en moi... J'allais pouvoir y goûter.
Elle était encore plus belle en vrai : parfaitement droite, terminée par un gland rosé pareil à une fraise gorgée de sucre. Elle était d'une taille monumentale, même au repos, je frémissais à l'imaginer en érection. Et j'avais la bave au coin des lèvres rien qu'à la voir là, sous mon nez, si proche de mon visage.
Ni une, ni d'eux, j'ouvris ma bouche et m'approchai pour l'engloutir. Je fus stoppé net par une tension sur mon collier improvisé.
" - Tu vas trop vite. Profite de l'honneur qui t'es fait. Savoure. Commence par lécher, goûter."
Ma frénésie stoppée, ramené à la raison, je compris mon erreur.
Toujours en gardant les mains dans le dos, je me dirigeai un peu plus bas, et commençai à lécher ses bourses rasées. Lentement, tendrement.
Puis, remontant tout doucement, je commençai à embrasser la divine verge, d'abord à la base, remontant progressivement vers la pastille. Tout doucement.
Une fois le baiser déposé sur son gland, je redescendis jusqu'aux bourses, et entamai un travail de léchage. D'abord des boules, puis de la même manière que j'avais fait avec les baisers, léchant toute la longueur de la verge.
Une fois arrivé au gland, un mouvement de cou et je l'engloutis. Me servant de la gravité pour descendre le long de sa verge, pour la faire progresser dans ma gorge. Je n'arrivais pas à l'engloutir complètement, elle était de taille hors du commun, et c'était la première fois que j'avais l'occasion de sucer un véritable braquemart.
De temps à autre, mes réflexes de régurgitation me faisaient tousser, mais je les refrénais du mieux que je puisse afin de ne pas décevoir Lucas.
Les lèvres serrées autour de sa bite, j'effectuai un véritable travail de polissage. La salive dégoulinait malgré moi le long de ma bouche, coulant torse désormais luisant.
Je devais m'en sortir plutôt bien, car j'entendais Lucas qui commençait à soupirer en rythme avec mes va-et-viens. Ces encouragements me poussèrent à redoubler d'efforts pour le satisfaire.
À chaque instant je repoussais mes limites, et bien que je n'aie pu l'engloutir totalement, je poussais son vit un peu plus loin en moi.
Lucas levait les yeux au ciel et m'attrapait désormais l'arrière de la tête.
" - C'est très bien ça. Con... Continue comme ça."
Je ne contrôlais désormais plus rien, c'est lui qui faisait des va-et-viens dans ma bouche. Il était littéralement en train de baiser ma bouche, comme s'il s'était agit d'un sexe féminin.
Soudain, il se retira. Sans prévenir.
Il attrapa son appareil photo, et immortalisa quelques clichés. Moi, haletant, la bouche dégoulinante de salive. La même cliché avec son vit dressé en premier plan. Comme à son habitude, il fit le tour du propriétaire, tantôt examinant minutieusement, tantôt photographiant.
" - Bon, tu t'en es pas trop mal sorti. C'est la première fois que tu suçais un mec, je me trompe ?"
Je rougis. Il est vrai que j'avais volontairement omis de mentionner cela dans nos échanges. Je n'avais pas voulu passer pour une vierge effarouchée, d'autant que dans mes récits, je m'étais vanté d'avoir sucé des nœuds gargantuesques. J'étais couvert de honte que mon mensonge ait été ainsi percé à jour. J'avais envie de me répandre en excuses et en justifications. Pourtant Lucas ne m'en laissa pas l'occasion :
" - Ce n'est pas grave. Je m'en doutais un peu. Je te rassure : c'est loin d'être la dernière. Tu as encore de grands progrès à faire, mais je saurai t'éduquer pour que tu deviennes une bonne suceuse. Quel est ton ressenti ?"
La honte laissa place à l'euphorie. Quelle magnanimité.

" - J'ai adoré. J'aimerais vous remercier mille fois de l'honneur que vous me faites."
Il sourit. Je lui souris en retour.
" - Je vais maintenant tester ton endurance physique. Je t'explique : comme tu t'es vanté d'être costaud, tu vas te mettre en position de soumission, et je vais te faire porter un poids sur chaque bras. Tu devras rester ainsi le plus longtemps possible sans broncher. Si tu bronches, tu seras sanctionné."
Mon sourire s'effaça, cela ressemblait tout à fait à de la torture. Mais je devais l'endurer pour que Lucas soit fier de moi.
" - Ce n'est pas fini. L'endurance physique ne passe pas uniquement par la force. J'ai dans ma chambre une paire de pinces reliées par une chaînette. J'en mettrai une sur chacun de tes tétons, et tu devras tenir la chaînette dans ta bouche, sans jamais la lâcher, quoiqu'il arrive. Pendant ce temps, je serai installé face à toi, sur le canapé, et je lirai un bouquin.
- J'ai compris...
- Bien, alors en position."
Je m'arrangeai face au canapé, attendant que Lucas fasse son office. Il se dirigea vers sa chambre, et en revint avec les pinces ainsi que deux haltères plutôt petites.
Il me mit les haltères dans les mains. Elles étaient assez petites, 2kg me semblait-il. J'avais l'habitude de soulever des haltères, étant très sportif et bien bâti. Cela me semblait finalement un défi plus que facile.
Il mit la première pince en place. La douleur était intense, cela n'avait rien à voir avec les petites pinces à linge que j'utilisais chez moi pour me stimuler les tétons. Lorsque la deuxième fût en place, les vagues d'électricité qui en émanaient parcouraient tout mon corps, me faisant presque lâcher les haltères sous l'intensité. Il plaça la chaînette dans ma bouche, ce qui eût pour effet de tirer les pinces vers le haut, accentuant encore la torture.
Finalement, il s'installa tranquillement dans le canapé et ouvrit son livre, un classique du Marquis de Sade : Les Cent-Vingt Journées de Sodome. Lucas était un garçon très cultivé, et je ne doutais pas que ce ne fût la première fois qu'il le lisait, à en juger par sa bibliothèque faramineuse.
Les trois premières minutes de mon supplice passèrent sans grande difficulté vis à vis des haltères, cependant les pinces me tiraillaient toujours le sein. Mes tétons étant la partie la plus sensible à l'excitation de mon corps, il en ressortait un intriguant mélange de douleur intense, et de plaisir sans limite. Mon corps entier frémissait sous la morsure de ces mâchoires affamées de chair humaine.
Soudain, sans un mot, Lucas ferma son livre et se leva. Il s'approcha de moi, et se plaça derrière moi.
" - Comment te sens-tu ?"
J'allais ouvrir la bouche pour répondre, mais me rappelai la chaînette que je ne devais faire tomber sous aucun prétexte.
Il rit en me voyant face à ce dilemme : lui répondre et faire tomber la chaînette, ou l'ignorer au risque de le fâcher.
" - Bon, eh bien puisque tu ne réponds pas, j'en déduis que c'est facile pour toi."
Avant même de finir sa phrase, il commença à me palper fermement le cul, m'envoyant une fessée de temps à autres. J'avais un mal fou à ne pas broncher, à rester bien droit, bien cambré, bien offert.
Il joua avec moi quelques minutes, puis retourna s'asseoir et rouvrit son livre.
Les minutes passaient, et la sueur commençait à perler sur mon corps. Mon torse commençait à luire sous l'effort. Je crois que cette vision lui plut, car il baissait son livre de temps à autres pour m'observer en se caressant l'entrejambe.
Me savoir en peine l'excitait, et le savoir excité m'excitait. Au delà de mon calvaire physique, j'étais aux anges de me savoir l'objet de l'excitation de Lucas. C'était cela : un simple objet d'excitation, rien de plus.
Les divagations de ma psyché rendaient le supplice plus vivable, bien que mes bras furent engourdis au point que je ne les sentais même plus. J'imaginais la récompense qu'il allait m'offrir. Je l'imaginais jouir de ma vertu à la manière du Duc de Blangis, jouissant de l'innocence de la jeune Sophie.
Au bout d'un moment, inquantifiable, cela me parut une éternité, Lucas attrapa la chaînette et tira dessus. Je n'en pouvais plus, impossible pour moi de tenir plus longtemps face à cet assaut final.
Je lâchai les haltères et m'écroulai en avant, dirigé par la tension que Lucas exerçait sur les pinces.
Haletant, dégoulinant de sueur, je réalisai que j'avais failli à ma tâche. J'avais abandonné ma position.
" - Je suis vraiment désolé je...
- Ne t'inquiètes pas. Je l'ai fait exprès. Tu as tenu bien plus longtemps que ce que je pensais, aussi tu as mérité ta récompense."
L'incompréhension était totale. Cependant, devant la réaction positive de Lucas, je préférais ne pas discuter. Je tentais de rassembler mes esprits tandis que, comme à son habitude, il prenait ses clichés de la situation.
Il ôta ses souliers, et se rassit.
" - Tu as mérité le droit d'embrasser mes pieds.
- Je...
- Si tu avais tenu plus, tu aurais eu une plus belle récompense. Ne discute pas."
Résigné, je m'avançai à quatre pattes, et commençai à embrasser ses pieds. N'étant pas fétichiste des pieds, je dus cependant admettre que les siens étaient divinement bien formés. Pas un poil ne venait entacher cette magnifique sculpture.
J'embrassai langoureusement l'objet de ma récompense, me prêtant au jeu, allant parfois jusqu'à les lécher. Pendant ce temps, Lucas avait repris sa lecture.
Finalement, il déclara :
" - C'est assez pour le moment. Je vais me laver, tu as quartier libre jusqu'à nouvel ordre. Tu n'as évidemment ni le droit de te rhabiller, ni le droit de retirer la ceinture qui est autour de ton cou. Tu n'as pas non plus le droit de te masturber, mais il me semble que cela coule de source. Repose-toi, car quand je déciderai que ton quartier libre sera fini il faudra être prêt sur le champ, je te donnerai l'ultime leçon de la journée, la plus importante."
Il se leva et alla s'enfermer dans la salle de bain, prenant bien la peine de verrouiller la porte.
J'étais partagé entre la déception d'être ainsi abandonné par Lucas, et le soulagement de pouvoir reposer mon corps poussé dans ses derniers retranchements par l'exercice physique.
Ne sachant que faire, je décidai de me replonger dans l’œuvre du Marquis, que Lucas avait, peut-être délibérément, laissée sur le canapé. J'avais beaucoup de mal à me concentrer sur la lecture, mon esprit était accaparé par cette "ultime leçon" dont il avait parlé. Quelle pouvait bien être cette leçon ?
Lorsque le verrou de la salle de bain s'ouvrit, je posai le bouquin et me remis en position de soumission comme préconisé. Lucas passa devant moi, simplement vêtu d'une serviette autour de la taille, et alla s'enfermer dans sa chambre.
Lorsque je compris qu'il ne revenait pas vers moi, le sourire que j'arborais s'effaça net, laissant place à une expression d'intense déception.

Une heure s'écoula, peut-être plus. Et finalement, Lucas sortit de la chambre. Il était tout à fait nu, pour mon plus grand plaisir.
Ce que je n'avais pas remarqué au premier abord, trop concentré sur sa silhouette dénudée, c'est qu'il tenait dans une main une cordelette, et dans l'autre un tube de lubrifiant.
C'est alors que je compris. Tout mon corps commença à fourmiller.
De toutes les fantaisies dont mon imagination perverses m'avait donné l'aperçu, la sodomie était celle qui m'excitait le plus. Combien de fois m'étais-je introduis des doigts dans le fondement, imaginant qu'il s'agissait de phallus téméraires... M'initier aux plaisirs de Sodome était de loin le plus bel honneur que Lucas eut pu me faire.
Lucas se posta sèchement devant moi, et sans tergiverser.
" - J'imagine que tu sais maintenant quelle sera ta dernière leçon de la journée.
- Oui... J'en rêve depuis si longtemps.
- Très bien. Mets-toi en position de soumission."
Je m'arrangeai, cependant que Lucas, posant sa main sur ma tête, me força à la plaquer contre le sol. Impatient d'être empalé, je levais mon cul le plus haut possible, cambrant au mieux mon dos afin de lui offrir le plus beau spectacle possible.
Il utilisa la cordelette pour sceller mes poignets dans mon dos. Prit quelques photos, et s'empara du tube de lubrifiant afin d’en verser un peu sur ses mains.
Puis, attrapant ma fesse gauche d'une main, il m'inséra l'index le plus profondément possible.
Je comprenais mieux, désormais, pourquoi il avait vérifié la propreté de mon intimité au sortir de la douche.
Il m'arrivait fréquemment de me masturber cet endroit de mes mains, aussi n'eût-il pas beaucoup à travailler avant de glisser un deuxième doigt.
Lorsque, finalement, il ôta ses deux doigts, j'étais fébrile. Les secondes semblaient des heures, je l'entendais enduire son sexe de lubrifiant, je n'en pouvais plus d'attendre.
Puis, enfin, frotta son colosse dans ma fente. La sensation était merveilleuse, c’était à la fois chaud, raide et humide. Meilleure encore lorsqu'il colla son gland sur mon trou avant, enfin, de l'enfoncer d'une poussée du bassin.
Son assaut me fit basculer en avant, bien qu'il m'eût tenu par les poignets, m'arrachant un gémissement plaintif, mélange d'extase et de souffrance.
Les premiers coups de butoirs furent douloureux. Puis, peu à peu, la douleur laissa à place au plaisir. Un plaisir intense, se répandant par ondées dans tout mon corps. Je ne pouvais me retenir de couiner à chacun de ses assauts.
Il allait crescendo, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Le stoïcisme de Lucas laissait place à une bestialité primaire qui me surprenait au plus haut point, sans pour autant me déplaire. Lucas, que j'avais connu initiateur méthodique, réfléchi, devenait animal en rut : et c'est sur moi qu'il avait décidé de passer ses pulsions. À chaque attaque il me gratifiait d'une grande fessée, ou bien s’agrippait fébrilement à mon fessier, le pinçant à m'en faire mal.
Lorsqu'il accéléra encore la cadence, je crois que je n'avais plus réellement conscience de qui j'étais, ni d'où j'étais ou de ce qui m’arrivait. Tout n'était qu'un tourbillon de lubricité, de sexe, de sueur et de fornication.
C'est enfin le ralentissement de ses mouvements qui me ramena dans un état de semi conscience. Juste à temps pour sentir les flots de sperme déversés en moi, me remplissant parfaitement le fondement.
Lucas s'allongea sur moi, dans un mélange de sueur. Tous deux à bout de souffle, nous restâmes ainsi, lui en moi, moi à sa merci, pendant plusieurs minutes.
Tout à coup, il retira son pénis redevenu flasque, et se releva, digne. Lorsque son vit s’ôta de moi, je sentis le foutre dégouliner de mon trou.
Tout à fait revenu à son stoïcisme naturel, il saisit son appareil, et reprit sa manie photographique. Ces clichés ne devaient pas être glorieux pour moi, mais je m’en fichais. J’étais comblé, dans tous les sens du terme.
" - Voilà pour ta dernière leçon de la journée. Nous retravaillerons ça demain, et le week end prochain. Sache que j'ai été particulièrement conciliant avec toi aujourd'hui, mais je serai bien plus exigeant à partir de demain. Tu as la permission de dormir sur mon lit, à mes pieds pour cette nuit, ensuite nous verrons. Tu dormiras bien entendu nu."

Les avis des lecteurs

J'ai beaucoup aimé cette histoire le début m'a énormément parlé et la fin m'a énormément excité.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Offert à mon admirateur
Histoire sexe : Une rose rouge
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