Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces
Par rapport aux textes que je publie habituellement sur l’histoire du couple très particulier que nous formons Philippe, le mari candauliste et moi, Olga, l’hypersexuelle, ce récit pourra apparaître un peu « décalé ». Un couple qui vient de se marier et qui fait l’amour ensuite jusque l’aube, c’est banal en effet. Pourtant, nos nuits d’amour à Philippe et moi ne sont jamais ordinaires. Avec Philippe, nous baisons ET nous faisons l’amour.
Notre histoire, c’est aussi celle d’un couple amoureux et finalement solide, puisque ce couple a survécu à nos « turpitudes » et qu’il a su rebondir quand il semblait détruit.

Je l’avoue : je suis une femme comblée. J’ai un mari qui m’apporte tout. A la fois, la liberté sexuelle totale, avec d’autres partenaires, à laquelle il m’incite, prenant plaisir à être le témoin, le partenaire de mon plaisir, réalisant par-là son propre fantasme, celui du candaulisme. Mais il m’apporte aussi un amour sans limites, une tendresse, une douceur dont j’ai aussi besoin, sans parler de ses qualités de père de famille et tout ce qui fait la beauté de son âme et tout ce que j’admire chez lui, tout ce qui fait que je suis amoureuse de cet homme et que je ne supporte pas qu’une autre femme prétende l’approcher.

Ce qui distingue fondamentalement la nymphomane de l’hypersexuelle est que la première est en permanence en manque de rapports nombreux qui ne lui apportent d’ailleurs pas satisfaction. Je revendique mon hypersexualité, mais j’ai aussi besoin de la tendresse et de l’amour d’un homme dans des rapports de couple « normaux »Avoir tout cela à la fois, est une chance exceptionnelle, que je dois à l’amour sans limites de Philippe. C’est en ayant compris cela que j’ai finalement préféré Philippe à Hassan qui, certes était un amant bien plus performant, mais qui m’étouffait par une jalousie maladive et me refusait la liberté que m’accordait et m’accorde Philippe.

Ce récit est donc l’histoire de l’une de mes plus belles nuits avec Philippe, avec bien entendu la première (voir récit n°3) où j’avais enfin été à lui et lui à moi, et aussi, sur un registre plus pervers, la soirée de la noce avec Hassan, lorsque je suis devenue adultère avec Philippe (récit n°34).

LA SUITE DE NOTRE NUIT DE NOCES
La première partie de notre nuit avait été candauliste (voir récit n°39) et destinée à apaiser mes envies d’hypersexuelle, quand je m’étais offerte, en présence de Philippe, à ces deux types qui m’avaient baisé comme la dernière des salopes. J’avais aussi fait cela pour satisfaire le candaulisme de mon chéri.

J’étais repue, ivre de plaisir, mais j’avais surtout envie d’autre chose. J’avais envie de Philippe et je savais qu’il avait envie de moi.


Je commençais par le défaire de ses liens, car il avait été attaché au fauteuil pendant que les deux types me besognaient.

Je me suis mise à genoux devant Philippe. Sa bite, ses couilles, ses cuisses et son ventre étaient maculés de foutre, car, même sans pouvoir se toucher, mon mari avait éjaculé en grande quantité devant le spectacle torride que je lui avais offert. J’ai soigneusement léché les traces de son plaisir, tout en lui doigtant le cul
• Tu as aimé ça, mon chéri ?

• J’ai adoré, ça me manquait. Tu sais que tu es une femme exceptionnelle. Tu n’avais pas envie de continuer avec eux ?

• C’est de toi dont j’ai envie maintenant. Hum j’adore ta semence, même quand elle a séché, je ne m’en lasse pas.

• Cochonne !

• Hum je veux te la prendre en bouche, comme j’aime te pomper mon amour.

• Oh mon Olga, aucune femme ne taille mieux les pipes que toi. Ouiiii, gobe-moi les couilles, elles sont bien pleines, pour toi !

• Ne fais pas de comparaison avec une autre femme, je ne laisserai aucune autre t’approcher. Tu es à moi, Philippe T. tu as compris ?

• Oui, je suis à toi, je t’appartiens, Olga T, ma femme, je suis ton esclave.

• Et bien mon esclave, j’ai envie que tu commences par me sodomiser. J’ai soigneusement nettoyé mon cul des traces de ce type et je t’ai réservé une petite surprise. Je veux que tu baises mon cul ! Il est à toi ! Ce type m’a bien ouverte, mais je me suis spécialement préparée pour toi.

Je me retourne vivement et me penche, mettant en valeur mes belles fesses rondes. Fasciné, incrédule, Philippe regarde ce que j’ai dans le cul : un plug. Je l’enlève doucement, révélant une ouverture secrète, rose et luisante.

Philippe lèche son index, l'enduit copieusement de salive, et le glisse juste avant que le petit trou ne se referme. Il entreprend alors de l'agrandir et l'assouplir en le massant doucement, rajoutant de son autre main un peu d'humidité. Quand il réussit à bouger son doigt tout à son aise, il le retire lentement, son sexe se tient tout proche, tendu, prêt à le remplacer aussitôt.

• Hum, c’est bon, tu vas bien m’enculer, mon chéri !

Philippe s’agrippe à mes hanches, plantant profondément ses ongles dans mes chairs. La tête renversée en arrière, les paupières plissées et les lèvres serrées, Philippe lutte visiblement pour tenter de retarder un orgasme imminent. Il me sodomise avec extase, et moi, les yeux révulsés, je gémis sans retenue. Je me tords en tous sens, semble vouloir échapper à l'emprise de mon partenaire. Peine perdue, il n'y a aucune échappatoire, la poigne de Philippe me maintient fort contre lui.

Oh que c’est bon. Jamais il ne m’a si bien enculée ! Je laisse échapper des soupirs qui évoquent autant le plaisir que la force de la pénétration. Ma croupe ondule de façon magnifique, mais Philippe, les yeux fermés, reste entièrement concentré sur la montée de son plaisir, voulant différer encore le moment où il explosera. Je me démène tellement que je réussis à lui échapper l'espace d'un instant. Philippe grogne de frustration, et d'une main, me plaque contre lui de plus belle. Son autre main s'empare de son sexe magnifiquement dressé et l'introduit vivement entre mes fesses. Son membre s'engouffre et disparait entièrement dans mon ouverture. Je m’abandonne à la force de cette étreinte, me contentant de cris aigus.

Philippe fait encore quelques vigoureux mouvements de va-et-vient, puis se met à râler. Dans un dernier coup de rein, ne pouvant plus retenir sa jouissance, il presse mes fesses, plus fort encore, contre lui, et me tient ainsi, immobilisée, pendant que sa semence déferle en moi.
Je me dégage promptement, furieuse, car je n’ai pas joui et proteste, au bord de l'hystérie.

• Oh mais tu aurais pu m'attendre, monstre !

Peu rancunière, je me retourne et m'avance vers lui à genoux, chaloupant, féline et câline. Je m’approche tout près de son membre repu, qui reprend peu à peu sa modeste taille et se prépare au repos.
Philippe soupire de bonheur et s'étire, comblé.

• Laisse-moi un peu de temps ma chérie, je ne peux plus rien pour toi pour l'instant...

• Ah vraiment, tu crois ça ! C'est bien mal me connaître !

Sauvage et belle à damner tous les Saints, je m’installe devant lui, toujours à genoux, le regard lourd de promesses. Mes mains pressent mon ventre, mes seins, de façon plus que suggestive. Je me penche et touche du bout de la langue le sexe de Philippe qui remue, déjà prêt à se laisser relever, tant la sensation est délicieuse. Je souris malicieusement. Gourmande, je l’engloutis tout entier dans ma bouche et le suce voracement.

• Laisse-moi m’occuper de toi, ma chérie.

Philippe me met sur le lit. Je suis sur le dos, les jambes légèrement écartées pour exhiber mon sexe de femme. Je sais que Philippe adore ce qu’il appelle l’origine du monde, en référence au tableau de Gustave Courbet.

Il ne se lasse jamais d’admirer mon mont de Vénus au naturel, couvert d’une petite toison brune bouclée. Mes lèvres intimes entrouvertes laissent échapper une minuscule perle de liqueur. Philippe a aussitôt envie de lécher cette goutte et d'enfouir sa langue partout à la recherche d'autres saveurs. Il s'approche et respire mon parfum de femme. N'en pouvant plus, enivré à nouveau, il approche sa bouche et la pose sur la tendre ouverture.

Tremblant de désir, il pose ses mains sur mes cuisses pour les ouvrir et mieux positionner sa tête. Il se met à laper à grands coups de langue les petits plis de chair et la fente humide. Bientôt, je suis toute mouillée. Ce n’est pas seulement grâce à ses baisers, une douce humidité coule en abondance, et Philippe la boit avidement. Mon bassin se lève vers sa bouche, recherchant le contact de sa langue quand il s'amuse à lâcher un instant.

Il poursuit de plus belle, guidé par mes mouvements et les gémissements que je laisse échapper.

• Oh Philippe, que c’est bon, comme tu aimes ma chatte, comme tu me lèches bien. Ouiiii
Je me tends soudain comme un arc et pousse des cris de plaisir. Un mélange de joie pure, d'étonnement, de rire étouffé, de jouissance extrême. Je vois combien Philippe est heureux de l’orgasme qu’il m’a donné.

Après l'orgasme, mes jambes se referment toutes seules, telles des ailes de papillon. Philippe sourit et secoue la tête. Fou de désir, il appuie avec douceur sur mes cuisses pour les rouvrir, et se faufile entre elles, avant de se poser sur mon corps.

• Oh, oui, Philippe, mon amour prends-moi, baises-moi !


Son sexe s'anime et trouve tout de suite son chemin dans mon humidité chaude. Je gémis de désir, je bouge pour mieux l'attirer en moi et referme mes bras sur son dos, le serrant fort, accompagnant ses mouvements. Pendant une bonne partie de la nuit, Philippe me fit l’amour longuement, me faisant enchainer les orgasmes avant de se répandre au fond de mon vagin.

Le lendemain, nous nous réveillons enlacés, heureux.

• Bonjour Basilissa Moy. Comment vas-tu ?

• Bonjour mon bébé. Heureuse, tout simplement. Grâce à toi. Je t’aime, Philippe.

• Vraiment ? Moi aussi je t’aime, mon Olga.

• C’était merveilleux hier soir. Tu m’as épuisée, tu sais. Jamais tu ne m’avais autant donné de plaisir. Tu es sûr que tu étais tout seul à t’occuper de moi ?

• Oui et je n’avais pas envie d’arrêter. D’ailleurs j’ai encore envie de toi !

• Tu es insatiable.

• Dis-moi la vérité, Olga. Par rapport à ces deux types qui étaient de vrais étalons, je ne t’ai pas trop déçu ?

• Ne dis pas de bêtises. Viens plus près de moi, mets ta tête sur mon épaule, mon bébé. Embrasse-moi ! Tu sais, j’ai besoin des deux. Que toi, tu me fasses l’amour. Et que d’autres me baisent, mais en ta présence, car j’ai besoin de ton accord, de ton regard, de ta complicité. Tu es toujours d’accord pour qu’on continue comme ça ? Ce fameux pacte candauliste que tu m’as proposé pour que je redevienne Madame T.

• Plus que jamais, mon amour. Souviens-toi que c’est moi qui t’ai poussé à assumer ton hypersexualité. Et que j’adore te voir être aussi salope quand tu t’offres à d’autres.

• C’est vrai que pendant des années, je ne voulais pas, tu m’énervais beaucoup de me pousser à me comporter comme une salope, ça me faisait honte. Maintenant je sais que tu voulais que je sois heureuse et que j’ai le maximum de plaisir. Et au final, notre amour est encore plus fort.

• Le plaisir est dans ta nature, Olga. Si je pouvais, je ferai en sorte que tu passes tes journées à te faire baiser. Jamais, je n’aurais l’égoïsme de réserver pour moi de tels trésors.

• Si d’autres ont aussi mon corps, toi, tu es le seul qui a mon cœur, Philippe T., mon mari.

Nous nous regardons longtemps, les yeux dans les yeux, terrassés par un coup de foudre, aussi fort et sans doute davantage que la première fois où nous avons fait l’amour, 14 ans auparavant. Cette nuit a été unique, merveilleuse.

Philippe me prend tendrement dans ses bras, caresse mes seins, avant d’insinuer un doigt léger dans mon intimité toute humide encore de leur nuit. Nous refaisons l'amour avec passion et tendresse, avant que la faim ne nous force à quitter le lit pour préparer notre petit déjeuner, tout gazouillants et gorgés d'amour.

Philippe picore des bisous dans mon cou et me chuchote des compliments, me faisant rire de joie.

Ses yeux sont emplis d'amour et d'espoir, son sourire est irrésistible. Philippe est mon chevalier servant, il m’a si merveilleusement aimée pendant cette nuit de noces si particulière, où nous avons enchaînés le candaulisme et l’amour conjugal. Quel drôle de couple que le nôtre, mais qui est heureux, qui s’aime et a su trouver son équilibre.
C’est de cela dont je vais parler dans mes prochains récits.

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