Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisi

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisi Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2018 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisi
Dans le récit précédent, j’ai parlé de notre rencontre avec Ambre et Renaud, ce jeune couple, libertin et candauliste comme nous. Cette année-là (2014), pendant notre première semaine dans ce camping de la côte atlantique, ils furent de merveilleux partenaires sexuels.

Je n’étais pas peu fière de nos relations avec ce jeune couple, d’avoir su les attirer, nous qui étions un couple mûr (moi j’avais alors 37 ans et Philippe près de 50).

AVEC AMBRE ET RENAUD, UNE EXPERIENCE ECHANGISTE ?

Avec eux nous avons pu sans freins vivre notre candaulisme, mais aussi pratiqué l’échangisme. Ce qui était assez nouveau pour nous.

Nous nous étions toujours méfiés de l’échangisme. D’abord parce que le risque est de s’attacher à un autre partenaire, devenu un amant régulier, et non plus une rencontre de passage, comme nous pratiquions habituellement. Il y avait aussi le fait que l’échange n’était pas équilibré. Certes Philippe, grâce au suivi efficace de sa sexologue qui avait su le mettre en confiance et avec l’aide de certains médicaments (merci Cialis !), avait réglé ses problèmes d’érection et d’éjaculation précoce. Il était devenu un amant très honorable et qui m’apporte une grande satisfaction, en particulier dans ce que nous appelions nos « périodes de disette », celles où des relations candaulistes n’étaient pas possibles.

Pour autant, rien à voir avec l’endurance de Renaud et surtout la taille de son engin. Ceux et celles qui ont suivi mes récits savent combien j’apprécie un mâle pourvu d’un attribut qui me remplisse bien au fond de ma chatte et me permette d’enchaîner, jusqu’à épuisement, les orgasmes.

JALOUSE
Il était donc évident que Philippe ne pouvait et ne prétendait pas se comparer à Renaud.

L’échange était donc en apparence déséquilibré pour Ambre.

Certes, lors de ce séjour, et au cours d’autres occasions qui eurent lieu par la suite, Philippe a honoré notre jeune amie.

• Ambre, dis-moi franchement, comment juges-tu les performances de mon mari ?

• Et bien Olga, vois-tu, habituellement, les hommes me baisent et j’adore ça. Tu es bien placée pour savoir que Renaud est comme un étalon en rut et qu’il démonte sa partenaire en la sautant comme une chienne. Avec Philippe, c’est différent. Il est si tendre, si attentionné, entièrement concentré sur le plaisir de sa partenaire. C’est un homme exceptionnel !

• Comment ça ? Toi qui es habituée au calibre de Renaud, ça doit te faire drôle, non ?

• D’abord Philippe a beaucoup de charme. Tu es mon amie et je ne te ferai pas ça, mais s’il était libre, je serai capable de te le piquer. Ne fais pas cette tête-là, je plaisante, quoique !

Ambre avait mesuré en instant mon immense jalousie. Mon instinct ne me trompait pas : Ambre était tombée amoureuse de mon mari. Possessive, follement jalouse, je pensais mon couple en danger.

Certes, j’acceptais, de très mauvaise grâce, que Philippe soit l’amant de cette jeune femme, mais j’avoue que j’étais si jalouse quand je la voyais pomper à fond mon chéri ou quand je le voyais se répandre dans le vagin de la jeune femme.

J’implorais alors Renaud de me baiser avec encore plus de force, de me démonter, pour tenter d’apaiser cette jalousie que j’avais et que j’ai toujours (aujourd’hui c’est à l’égard de Théodora). Ce sentiment est ancré en moi. Je sais que c’est paradoxal, compte tenu la liberté sexuelle que Philippe m’accorde, mais je considère que Philippe m’appartient et qu’aucune autre que moi n’a le droit d’avoir de visée sur lui. Ce sentiment de ma part vient de loin, je le ressentais déjà envers mon père, alors que j’étais adolescente.

Ce que je supportais très mal était leur complicité et leur tendresse. Ils se promenaient main dans la main, sans gêne, comme un couple, s’embrassant à pleine bouche.

Ambre avait avoué ses sentiments à Renaud. Quand ils nous ont quittés, elle était en larmes.

• Renaud, mon chéri, je ne veux pas quitter Philippe et Olga !

Cette petite dinde faisait son caprice et cachait à peine ses sentiments.

• Je te le promets chérie, nous les reverrons. Comment pourrais-je rester trop longtemps sans baiser Olga. Et toi, manifestement la tendresse de Philippe te manque déjà !


Ambre s’est précipitée vers Philippe et est restée longuement dans ses bras, lui offrant ses lèvres. Les amants échangèrent un long baiser, comme si Renaud et moi n’étions pas là. Philippe la serrait bien et devait lui faire sentir son désir.

Elle lui avait dit à l’oreille, mais je l’avais parfaitement compris : « Je t’aime». Il lui a répondu : « nous nous reverrons ». Je me suis retenue de me jeter sur eux et de faire un sort à cette petite putain.

ADULTERE

J’ai d’ailleurs par la suite fait régulièrement des scènes à Philippe au sujet d’Ambre, sans savoir qu’ils échangeaient régulièrement des e-mails et des SMS fougueux et que, bien que n’habitant pas la même ville, les amants s’étaient retrouvés à plusieurs reprises. Philippe prétextait des déplacements professionnels ou politiques pour aller retrouver sa maîtresse. En plus, il bénéficiait de la complicité de Renaud, compagnon candauliste. Leurs ébats se passaient au domicile du couple, Renaud partageant sa femme avec Philippe, ou se contentant de mater sa femme s’offrir à l’homme dont elle était tombé follement amoureuse. Il le faisait par candaulisme, mais aussi pour ne pas perdre Ambre.

J’ai su tout cela bien plus tard, et j’en ai beaucoup voulu à Philippe pour ses mensonges, pour ce qui était devenu un adultère. Quand j’ai su la vérité, j’ai fait une scène épouvantable à Philippe. J’étais en larmes, je frappais Philippe, folle de rage. Celui-ci eut beaucoup de mal à me calmer, se contentant de me répondre que ce n’était pour lui qu’une aventure sans lendemains. Cette petite aurait pu être sa fille, il avait été flatté qu’elle s’intéresse à lui. Il ajouta qu’il n’avait jamais envisagé de me quitter. Philippe me rappela toute la liberté qu’il me laissait et qu’il revendiquait à son tour.

Ce n’était certes pas la première fois que j’étais confrontée à cette situation. J’ai évoqué précédemment les relations de Philippe avec Christine, avec Marie C., avec Flavienne et l’immense jalousie que cela avait généré chez moi, provoquant d’ailleurs la rupture de notre premier mariage. Ce ne serait pas la dernière fois et j’ai récemment été obligé de reconnaitre une place à sa maîtresse Théodora.

Ceux qui ont jugé sévèrement le comportement que j’ai eu plus tard (voir récit n°17) avec N. comprendront ainsi, sans l’excuser, peut-être mieux mon attitude, car j’avais très mal vécu d’avoir été « trompée ».

AMBRE, AGUN ET MOI
Ces explications permettent de comprendre que notre relation échangiste apportait en fait beaucoup à Ambre sur le plan sentimental.

En plus, Ambre y trouvait un autre motif de satisfaction. Ambre était comme moi, profondément bisexuelle et, au cours de ce séjour, elle se partageait entre son compagnon, Renaud, son amant, Philippe et moi, car nous nous gouinions comme des folles.

J’éprouvais des remords vis-à-vis d’Agun (voir récit n°6), devenue ma compagne et qui avait tout donné pour moi. Nous n’étions certes pas mariées puisque le « mariage pour tous » ne permet la bigamie mais nous nous considérons comme un vrai couple : Agun est ma femme. Alors que je lui avais fait des serments de fidélité et qu’elle ne nous avait pas accompagnés en vacances pour prendre soin de notre cadette Sofia, je m’offrais sans vergogne aux caresses d’une autre.

J’avais honte car je me rendais compte que j’avais, dans ma vie, trahi la confiance de tous ceux et celles qui m’ont aimé : Philippe, Hassan et maintenant Agun.

Quand elle a su, j’ai vu une infinie tristesse et les larmes dans les yeux d’Agun. Mais son amour infini l’a emporté. Elle n’envisage pas de vivre sans moi. Elle a aussi compris qu’il n’y avait jamais eu de sentiments entre moi et Ambre, au contraire, vus les sentiments plus qu’ambigus qu’avait la jeune blonde envers Philippe.

RENAUD ET MOI : LA FESSEE
Pour en finir avec l’analyse de nos relations avec ce jeune couple, j’ai demandé à Renaud pourquoi il s’était intéressé à nous, ou plutôt à moi, alors que, si séduisant, si viril, il pouvait trouver des femmes bien plus jeunes que moi. Nous venions de faire l’amour avec fougue, longuement. Renaud avait rempli ma chatte et m’avait épuisée. Mes cris, ou plutôt mes hurlements de plaisir avaient dû s’entendre à l’autre bout du camping, au point que de nouveaux arrivants s’en étaient inquiétés auprès de l’accueil.

Ce camping était réputé pour accueillir des couples libertins, mais notre comportement faisait jaser.

• Ne vous inquiétez pas, c’est la jolie brune qui se fait sauter par son amant avec le consentement du mari. Ils ont échangé leurs femmes !

J’étais dans les bras de Renaud et je lui donnais des petits baisers.

• Renaud, je suis presqu’une femme mure. Pourquoi tu passes ton temps avec moi ? Tu pourrais en avoir d’autres, bien plus jeunes.

• Olga, tu es jeune et fougueuse. Tu fais au moins dix ans de moins que ton âge.

• Flatteur !

En même temps, je commençais à le branler, il bandait de nouveau.

• C’est vrai, je t’assure. Tu ferais bander un saint. Ton corps est parfait ! Qui pourrait dire que tu as déjà eu trois enfants ? Ton ventre est celui d’une jeune fille.

Il disait cela en me caressant, il savait combien j’étais sensible dès que l’on s’occupait de mes petits seins.

• Il est vrai que j’entretiens mon pouvoir de séduction. Je m’impose une discipline sévère, je fais beaucoup de sport, je prends soin de mon corps.

• Et puis tu es une amante exceptionnelle. Jamais une femme ne m’a donné autant de plaisir, y compris Ambre. Je n’ai jamais vu une femme enchaîner autant d’orgasmes que toi. Je sais que tu as eu au moins des centaines d’amants et je suis fier d’en faire partie.

• C’est vrai qu’incontestablement, tu es dans le top 5 ou le top 10 des mâles qui m’ont baisée.

• Seulement ? Attends, je vais te faire modifier ton classement. Je vais encore te prendre, salope ! Mets-toi en levrette, c’est ce qui est le plus indiqué pour une chienne comme toi
• Oh oui, mets-la moi. Comme ça, uhhhh J’adore ! Dis-moi, Renaud, ça ne t’inquiète pas la relation entre Ambre et Philippe ?

• Mais laisse les donc tranquilles et pense plutôt à ma grosse bite qui est en train de te pilonner. Prends ça, vilaine jalouse !

• Ouiiii, tu me tues. Mais quand même, je n’aime pas ce qu’ils font
• Tu es incroyable, tu as la chance d’avoir un mari qui accepte que tu te fasses sauter par tous les mecs dont tu as envie, qui en plus aime ça et toi tu lui refuses un peu de plaisir. Tu exagères, je vais t’administrer une bonne fessée pour te punir comme tu le mérites !

• Oui, claque-moi, j’aime ça !

Il s’en donnait à cœur joie et je l’encourageais. J’aurais aimé avoir sous la main une cravache, pour qu’il me punisse comme je le méritais.

• Plus fort, oui comme ça ! Je sais, tu as raison, mais je suis ainsi, je considère que Philippe est à moi et rien qu’à moi et je deviens une lionne quand une autre femme l’approche. C’est ainsi, je ne lui ai jamais accordé la réciprocité.

Ce jour-là, j’ai joui alors que Renaud m’administrait la fessée de ma vie et que je me branlais le clito. Mes fesses ont été rouges pendant un moment.

CREME SOLAIRE ET ORGASME
L’après-midi, nous avions rendez-vous avec Ambre et Renaud sur la fameuse plage nudiste, un peu éloignée du camping et où la baignade n’était pas surveillée.

Quand nous les rejoignîmes sur la plage nudiste, Renaud était déjà nu mais Ambre avait conservé une petite robe blanche, en ayant juste dégagé ses seins. De loin, on voyait qu'elle avait les cuisses écartées et qu'elle offrait sa minette aux rayons brûlant du soleil. Je m’interrogeais :
• Tiens ? Pourquoi a-t-elle gardé sa robe ?

• Le soleil cogne pas mal à cette heure, c'est peut-être pour se protéger le ventre...

En nous voyant arrivés, nus nous aussi, elle se leva pour retirer sa robe en se tournant vers moi :
• On vous attendait. J'ai gardé ma robe car je voulais que ce soit Philippe qui me mette de la crème solaire. Tu veux bien ?

• Avec plaisir.

Je lançais un regard sombre, d’autant que, rien qu'à l'idée de caresser ce joli corps, le sexe de Philippe se mit en érection en seulement quelques secondes.

Renaud, de son côté, bandait déjà en me regardant m’installer sur ma serviette.

J’essayais de me concentrer sur Renaud et d’oublier ma jalousie féroce envers Philippe et Ambre. Philippe avait ouvert la bouteille de lotion solaire et s’en mit plein les mains. Ambre s'approcha de lui, cambrée, tendant son buste pour l'inviter à commencer par cette partie-là de son anatomie.

Il prenait tout son temps et ne se privait pas de lui enduire chaque millimètre de son corps, en s'attardant beaucoup entre ses cuisses et également sur ses fesses. Philippe affichait fièrement son érection avec le gland déjà décalotté.

Ca suffisait maintenant ! Je lui pris la crème solaire pour demander à Renaud de m’en mettre aussi, ce qu'il ne refusa évidemment pas.

Mais Ambre n’en n’avait pas fini. Elle fit allonger Philippe sur sa serviette et s'installa à genou entre ses jambes écartées pour se mettre à le masturber.

Il n'y avait pas beaucoup de monde mais nous avions à proximité quelques hommes seuls que je soupçonnais d'être de simples voyeurs vu que la plupart semblait vouloir cacher leur entrejambe où j'imaginais que leur sexe était en érection. Ambre continuait à masturber mon mari tranquillement et déposant de temps à autres de petits baiser sur le bout de son gland.

Renaud bandait bien lui aussi. Il avait terminé de m’enduire d’huile solaire. Il ne s'occupait plus de moi et semblait davantage intéressé par la bouche d'Ambre qui venait d'engouffrer le sexe de Philippe pour le sucer. J’étais folle de jalousie et vexée de ne pas capter plus l’attention de Renaud.

L'air de rien, je l'enjambais à quatre pattes sous prétexte de vouloir récupérer de la crème solaire pour m'en remettre sur les fesses. Mais je mis un temps infini à attraper la bouteille que je ne parvenais plus à trouver au fond du sac. Renaud avait mon cul et ma chatte juste sous les yeux.

Bien sûr, il ne put s'empêcher de me caresser. Ses mains se mirent à palper mes fesses fermes puis ses doigts commencèrent à s'insinuer entre les lèvres humides du sexe offert. Je me mis à gémir. Quand il commença à me pénétrer avec deux doigts pour me branler, je me laissais tomber sur le côté et me mit sur le dos, cuisses écartées :
• Tu n'as pas mieux que des doigts ?

Renaud ne s'occupait plus du tout d'Ambre et de la fellation qu'elle prodiguait à Philippe. Il guidait désormais son sexe entre mes cuisses et me pistonnait avec plaisir, tranquillement, manifestement soucieux de me donner du plaisir autant qu'il en prenait. Il ne voulait pas précipiter les choses. Autour de nous les voyeurs cachaient de moins en moins leurs érections et je les observais.

Ca m'excitait beaucoup. Mais quand Ambre arrêta de sucer Philippe pour se mettre à quatre pattes, je rappelais Renaud à l'ordre car il regardait sa femme au lieu de celle à laquelle il faisait l'amour. Décidément cette petite garce commençait à m’énerver autant qu’elle m’excitait, car jamais je n’avais vu Philippe ainsi.

Ambre attendait, les seins pendant entre ses bras et les reins creusés pour bien mettre à disposition sa moule. Philippe la prit en levrette. Elle se mit à gémir franchement. Mais ses gémissements furent rapidement couverts par mes cris. Renaud s'était mis sur le côté et continuait à me baiser de plus en plus vite. J’avais une succession d’orgasmes.

J’aimais tant me faire baiser ainsi sur une plage nudiste devant quelques voyeurs. Alors que Ambre n'avait pas encore terminé de jouir, Philippe ne put tenir plus longtemps et laissa son foutre se répandre sur le joli cul de sa partenaire.

Renaud n'avait toujours pas joui et continuait à me baiser, j’enchaînais les orgasmes, de plus en plus forts. Renaud voulait montrer à tous qui était le mâle.

• Je vais venir !

• Vas-y, Renaud, vides-toi en moi, remplis-moi ! Ouiiiii
Il avait montré de quoi il était capable et gicla en abondance dans mon vagin.

J’allais jusqu'à l’océan pour me laver.

LES VOYEURS
Je me tournai et vit un jeune homme en érection qui était désormais debout sur la plage à m’observer.

Philippe plongea derrière moi et me rejoignit très rapidement. Sous l'eau, il mit sa tête entre mes cuisses et se redressait pour me prendre sur les épaules. Je me retrouvais hors de l'eau. Il devait sentir ma vulve dans sa nuque et mes seins sur ma tête. Je me débattais et criais.

• Laisse-moi descendre, je vais tomber !

Bien sûr, mes cris et gesticulations avaient rameuté d'autres hommes. Quatre mecs se tenaient désormais au bord de l'eau, en érection, à nous observer.

Philippe lâcha ma main et partit en direction des serviettes où Renaud et Ambre nous observaient, probablement curieux de voir comment nous allions gérer ces quatre voyeurs. En passant à côté des gars, Philippe s’arrêta un instant :
• Dites-donc, vous la connaissez ?

Les gars frondent les sourcils et se rendant compte que Philippe n’était peut-être pas le mari qu'ils avaient cru. Il continua :
• Elle s'est installée à côté de nous là et elle semble en vouloir. Si vous ça vous tente, n'hésitez pas.

• Hé ! Qu'est-ce que tu leur dis ?

J’arrivais devant les quatre gars. L'un d'eux demanda :
• C'est pas ton copain le mec, là ?

• Qui ça, lui ?

Je marquais un temps d'arrêt. Je venais de comprendre en répondant à la question que Philippe s’était présenté aux voyeurs comme parfaitement étranger, leur ouvrant ainsi des perspectives intéressantes.

Je leur répondis le plus naturellement possible :
• Non. Je ne connais pas. Mais il a une belle queue. D'ailleurs, vous êtes pas mal aussi les gars...

Un gars s'avança :• Nos bites sont pour toi. Les quatre. Tu sauras t'en débrouiller ?

• Stop ! Je vous vois venir. Vous pensez pouvoir me baiser par tous les orifices, mais ça ne marche pas comme ça. Déjà, c'est moi qui décide.

• Et que décides-tu ma belle ?

• Je suis une gourmande et j'ai bien envie de vous faire jouir en vous suçant à tour de rôle.

Les gars se regardèrent et semblèrent d'accord avec cette négociation.

Ils s'approchèrent. Je commençais à saisir quelques queues pour les astiquer.


Puis je me mis à genoux et je commençais à en gober une pour la sucer. Pendant ce temps, mes mains alternaient les masturbations entre les trois autres bites. Un gars ne se privait pas pour me peloter les nichons, mais ça ne me gênait pas, au contraire. Je continuais mes fellations et masturbations, imperturbable.

Un type se masturbait frénétiquement. Il était évident qu'il allait bientôt éjaculer. Je pris le gland en bouche au moment où le premier jet de sperme arriva. J’en laissais échapper une partie mais j’avalais tout le reste.

Puis je m’allongeais sur le dos en m'appuyant sur les coudes.

• Branlez-vous ! Je veux que vous gicliez jusqu'à la dernière goutte sur mes seins.

Les trois autres gars m'entourèrent alors et se mirent à se branler. Les deux premiers se mirent à jouir, mais ce n'était pas toujours facile de viser au moment de jouir et leur jus gicla un peu partout, sur ma poitrine, mais aussi dans le cou et sur mon ventre.

Le quatrième gars arriva à son tour et dirigea bien sa bite vers mes seins au moment d'éjaculer, les maculant d'une bonne quantité de foutre.

Soudain, je vis Renaud se lever. Il était en érection. Effectivement, en arrivant près de moi, Renaud donna quelques coups de poignet avant de se mettre à éjaculer et de maculer mon cou et mes seins de son sperme épais.

Je me relevais et vint rejoindre Philippe et nos amis, très fière de tout le sperme qui coulait sur ma poitrine et mon ventre.

• Olga, ma chérie, il va être l'heure de partir...

• Laisse-moi le temps de retourner me baigner pour me laver un peu, ok ?

Ambre se leva et nous surprit tous :
• Moi, je veux bien le faire cette fois...

Je fronçais les sourcils, pensant comprendre ce qu'Ambre voulait dire :
• Tu veux lécher le sperme de ces inconnus ?

• Oui, mais il y a celui de Renaud, ce n'est pas un inconnu !

Ambre se pencha sur moi pour lécher le sperme sur mon ventre, mes seins et mon cou. Puis nos bouches se rencontrèrent et nous échangeâmes un très long baiser. Je n’avais pas apprécié le comportement de cette fille envers Philippe, mais je devais reconnaître qu’elle était aussi « salope » que moi et, dans ma bouche c’est un compliment.

C'était un adieu, puisqu’Ambre et Romain avaient fini leur séjour. Nous nous embrassâmes tous une dernière fois après avoir échangés nos adresses et numéros de téléphone. Je remis mes vêtements sans me laver et, même si Ambre m'avait bien léchée, j’empestais le sperme. Enivré par cette odeur, mes mamelons tout durs pointaient à travers le tissu de la petite robe.

J’étais décidée à profiter au mieux de la seconde semaine de séjour dans ce camping. Ce serait sans Ambre et Renaud, mais ça me soulageait car je vivais très mal la proximité de Philippe et cette jeune femme.

(à suivre)

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