Le lendemain, sa mère nous a réveillé en frappant à la porte de sa chambre pour nous inviter à venir

- Par l'auteur HDS Sethypaulita -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le lendemain, sa mère nous a réveillé en frappant à la porte de sa chambre pour nous inviter à venir Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Le lendemain, sa mère nous a réveillé en frappant à la porte de sa chambre pour nous inviter à venir
Le lendemain, sa mère nous a réveillé en frappant à la porte de sa chambre pour nous inviter à venir prendre le petit-déjeuner. Ma nuit avait été très profonde, j'avais dormi comme un bébé. J'ai senti Stef s'étirer bruyamment à côté de moi et se lever pour ouvrir les rideaux. J'ai lentement émergé tout en suivant le mouvement. Je suis passé par les toilettes avant de descendre. Mon anus était endolori, le pistonnage de Stef avait laissé des traces. Ça m'était déjà arrivé après m'être masturbé intensément et je savais que ça allait passer, la douleur était musculaire, comme une courbature après un entraînement, et mon anus était déjà entraîné. On a partagé le petit déjeuner avec sa mère; sa sœur et son père étaient sortis pour une compétition de natation. Sa mère nous a annoncé que ma mère avait téléphoné pour avertir qu'elle allait passer me prendre vers midi. Ce qui nous laissait près de deux heures de "jeu". L'annonce a d'ailleurs pressé Stef qui m'a proposé de faire quelques "parties" avant que je parte. On s'est levé pour remonter dans sa chambre. Une fois la porte franchie, il m'a attiré contre lui pour glisser les mains sous mon pantalon et peloter mes fesses. Par réflexe, j'ai tiré sur l'élastique de son pantalon pour laisser sortir sa queue et ses grosses couilles que j'ai commencé à malaxer de la main gauche pendant que je caressais distraitement ma bite de la main droite.

Il a glissé les doigts dans ma raie pour aller chatouiller mon anus. Je me suis légèrement crispé lorsqu'il a essayé d'y enfoncer son majeur. Je lui ai expliqué que j'allais devoir y aller en douceur à cause de nos ébats de la veille. Il a affiché un petit sourire complice en serrant mes fesses avec envie. J'ai regardé vers le bas pour admirer sa longue queue qui pendait lourdement et mon esprit a commencé à bouillir, j'avais des fourmis dans le ventre et j'ai ressenti une vague de chaleur. J'ai relevé les yeux vers son visage pour admirer son sourire complice que j'ai ponctué en serrant ses couilles. Il s'est dirigé vers la table de nuit pour en sortir son flacon de lubrifiant et me le tendre avant d'abaisser son pantalon et de s'assoir sur le bord du lit en écartant les jambes pour mettre en évidence sa magnifique bite en demi-érection. J'ai légèrement abaissé mon pantalon pour pouvoir accéder à mon anus en glissant la main entre les jambes et y appliquer le lubrifiant et je me suis placé à genoux entre ses jambes, les fesses sur les talons. Sans un mot, j'ai saisi son sexe en bouche et j'ai commencé à le sucer avec gourmandise tandis que je caressais mon anus en y enfonçant doucement mon majeur afin de le détendre et de dissiper la douleur. Il s'est laissé aller en arrière pour s'appuyer sur les coudes et mieux admirer ma bouche et ma langue travailler sa queue. Pendant que ma main droite était occupée à détendre mon anus, j'utilisais la main gauche pour serrer ses bourses et m'en servir pour guider son énorme queue qui bougeait comme un gros gode en latex. Je l'ai sucé longtemps en y prenant beaucoup de plaisir et en relevant de temps à autre les yeux vers son visage pour croiser son regard. La première fois, il en a profité pour me confier qu'il n'arrivait toujours pas à croire que j'étais en train de le sucer, je me suis contenté de lui sourire un instant avant de lécher son gros gland sans le quitter des yeux, la bouche bien ouverte pour qu'il n'en perde pas une seule miette, je me suis ensuite laissé submerger par mon désir et j'ai quitté son regard pour reprendre ma fellation. La deuxième fois que nos regards se sont croisés, j'aspirais une de ses couilles dans ma bouche, il a confié que je suçais dix fois mieux que sa copine. J'ai libéré sa couille en gémissant d'envie et je lui ai dit que ça faisait des mois que je rêvais de sucer son énorme bite et que je pourrais faire ça pendant des heures, avant de reprendre goulûment sa prune en bouche. Mon commentaire a fait son effet, car j'ai senti son membre se rigidifier un instant. Mon menton dégoulinait de salive et j'avais maintenant deux doigts dans mon anus qui avait finalement abdiqué face à mon désir. J'allais probablement le payer cher plus tard, mais je devais profiter de ce moment, même si je devais avoir mal au cul pendant deux jours. La troisième fois que nos regards se sont croisés, je faisais remonter lentement ma langue depuis ses couilles jusqu'à son gland brillant. Ses joues étaient rougies et son regard presque absent. Il a soufflé que j'avais l'air d'adorer ça. J'ai ôté les doigts de mon anus pour saisir la base de sa queue en pleine érection. Le bas de ma main s'appuyait en partie sur ses couilles charnues que ma main gauche continuait de malaxer avec amour comme une grosse boule de pâte. Son membre était dressé en totale érection, énorme et brillant. Je l'ai admiré un instant en murmurant avec envie qu'elle était magnifique avant de la placer contre mon visage tout en léchant distraitement la partie du tronc qui se trouvait à hauteur de ma bouche et en regardant Stef dans les yeux. Je lui ai alors soufflé que j'avais envie qu'il m'encule. Il m'a dit que c'était impossible, vu que sa mère était au rez-de-chaussée. Il m'a laissé le sucer un moment puis il s'est recroquevillé pour embrasser mon front. J'ai légèrement relevé la tête pour lui offrir mes lèvres qu'il a prise un instant. J'ai réalisé que nos bouches étaient à quelques centimètres de son gland et qu'il pouvait profiter d'un joli gros plan. Imperceptiblement, je suis redescendu pour lécher son gland avant de revenir vers sa bouche toute proche pour qu'il puisse apprécier le goût de son sexe divin. Je suis à nouveau redescendu pour prendre son gland en bouche et le sucer un instant. J'ai alors senti un léger baiser se poser sur ma joue tandis que j'avais la tête inclinée, les lèvres posées sur la surface lisse de son gland. J'ai croisé son regard et je lui ai souri en mordillant son tronc avant de l'embrasser à nouveau en lui demandant si la vue lui plaisait. Il a murmuré que c'était magnifique et j'ai continué à le sucer avec gourmandise tout en massant vigoureusement ses couilles. Pendant cette phase, je le sentais déposer de légers baisers sur mon front et mes joues. J'ai ensuite senti ses mains caresser mon dos à la recherche de mes fesses et j'ai interrompu ma fellation pour me redresser entièrement et me lever en lui tournant le dos pour lui présenter mon fessier de femme. Ses mains ont immédiatement commencé à les caresser, en les massant et en les faisant rebondir l'une contre l'autre. Il a chuchoté que lui aussi, ça faisait des mois qu'il rêvait de ça et qu'il n'aurait jamais imaginé que je sois si gourmand, il a alors abaissé mon pantalon et mon caleçon jusqu'à mes chevilles pour poursuivre son massage. Je souriais de plaisir en appréciant l'excitation que mes fesses rondes provoquaient en lui. Je contractais mon fessier de temps à autre pour agrémenter le spectacle. J'adorais les sentir rebondir en sachant que Stef les regardait avec désir. Il a chuchoté que j'avais un cul magnifique et j'ai glissé la main derrière mon dos pour atteindre mon anus et y enfoncer mon majeur et mon annulaire, je voulais qu'il voie que j'étais bien dilaté et prêt à le recevoir. Il a continué à peloter mes fesses en regardant mes doigts entrer et sortir de mon cul avant de se lever pour glisser sa grosse bite dans la raie de mes fesses. Sa présence m'a fait sourire de plaisir. J'ai serré les fesses sur sa queue avant de placer les mains sur mes cuisses pour monter et descendre et le branler dans ma raie. Après quelques mouvements qui ont bien chauffé mes quadriceps et étalé le lubrifiant dans toute ma raie, je me suis redressé pour le laisser me caresser. Il a joué quelques instants avec mes fesses en les faisant rebondir et en y frottant son sexe et son gland. Ensuite, il m'a embrassé dans le cou et a saisi ma taille pour me retourner. Je me suis laissé guider pour lui faire face et me laisser embrasser. J'accueillais sa langue dans ma bouche et je sentais la présence de sa grosse queue en érection entre nous, son gland faisait doucement pression contre mon ventre et je faisais en sorte de maintenir mon sexe en contact avec son tronc. Sa longueur m'a obligé de me décaler légèrement sur le côté. Après notre baiser, nos deux regards sont descendus entre nos corps. Je n'ai pas pu retenir un petit rire en voyant l'énormité de son pénis par rapport au mien et j'ai demandé tout bas : "C'est une idée ou elle est deux fois plus grosse que la mienne?"... il a répondu "Pas loin en tout cas...". Mon pubis arborait un léger duvet juste au-dessus de mon sexe tandis que le sien était épilé et glabre. Tandis que sa main pelotait mes fesses et que je caressais nos bites l'une contre l'autre, hypnotisé par la différence de taille et les veines qui parcouraient son engin, je lui ai chuchoté "Elle a vraiment l'air ridicule par rapport à ta grosse bite". Il a souri et a demandé en souriant : "Tu préfères branler laquelle ?". J'ai répondu en chuchotant que je préférais la sienne et j'ai lâché ma queue pour caresser son tronc avec les deux mains en pressant ses couilles de temps en temps. En observant ma petite bite dressée et négligée et mes mains masser son gros membre, il m'a demandé "Ça te fait bander de caresser ma grosse bite?" Cela a attisé mon désir et a encore augmenté mon envie de lui vider les couilles. Il a saisi la base de sa queue avec sa main gauche pour l'orienter vers mon sexe. Par réflexe j'ai lâché son membre pour le laisser faire et j'ai placé la main gauche sous ses bourses pour continuer de les masser. Il a ensuite commencé à frotter sa lourde queue contre ma petite bite en la tapotant de temps en temps pour marquer son poids. J'ai saisi la base de mon sexe au moment où il plaçait son gros gland rond et brillant contre le mien qui paraissait minuscule en comparaison. J'ai levé les yeux vers son visage pour le laisser m'embrasser. Par curiosité, j'ai laissé glisser ma main droite pour saisir mes couilles pendant que je massais les siennes avec la main gauche. La différence de taille m'a poussé à lâcher un soupir de désir. Je l'ai regardé dans les yeux avant de m'agenouiller pour recommencer à le sucer avec énergie tout en travaillant sa longue queue et ses couilles avec mes deux mains. Il avait tellement attisé ma gourmandise que j'essayais parfois de carrément l'avaler, sans succès. Après ce qui devait être cinq bonne minutes, j'ai soutenu ses couilles de la main gauche et caressé juste son gland de la main droite pour reposer un peu mes mâchoires, sa bite raide remuait sous les mouvements vifs de ma main. À quelques centimètres du spectacle j'avais les yeux rivés sur le gros trou de son gland et je fantasmais de le voir m'éjaculer sa dose de cheval sur le visage et dans la bouche. Je lui ai adressé un sourire complice avec la bouche entrouverte. Quel moment magique... on pouvait seulement entendre le bruit humide de ma main qui branlait son gros gland pendant que sa queue rebondissait lourdement au rythme des va-et-vient. Après quelques instants, nous nous sommes figés : sa mère appelait son nom dans la cage d'escalier depuis le rez-de-chaussée. En l'espace de deux secondes, sous le coup de l'adrénaline, on avait relevé nos pantalons et pendant que je me frottais la bouche et le menton, Stef était allé ouvrir la porte de sa chambre pour demander ce qu'il se passait. Elle a alors annoncé une nouvelle tellement inespérée que je m'en souviens mot pour mot : "Je dois faire un saut chez Anne, je reviens dans une petite demie heure."... J'ignorais qui était Anne, une voisine sans doute, mais je la bénissais! Stef a lancé un "OK" en tâchant de paraître neutre avant de se retourner vers moi en souriant. Quelques secondes plus tard, on entendait la porte d'entrée se refermer. Stef s'est aussitôt déshabillé et je n'ai pas tardé à l'imiter en ôtant mon pantalon et en trépignant d'excitation.

Une fois nu, je me suis rapidement installé sur le lit à quatre patte en creusant le dos au maximum pour offrir mon cul et remuer les fesses pour l'inviter à m'enculer. Le gel qui était déjà présent dans ma raie me faisait ressentir une légère sensation de froid que je commençais à adorer. J'ai glissé la main dans mon dos pour caresser mon anus et insérer mes doigts dans mon cul pour le préparer à accueillir Stef. Il me regardait faire en s'installant doucement derrière moi tout en lubrifiant sa queue. Il a jeté le flacon dans le lit avant de tapoter mon anus et mes doigts avec son gros gland et glisser doucement dans ma raie tandis que j'enlevais mes doigts pour libérer la place. J'étais tellement pressé qu'il me prenne que j'ai soufflé avec supplication : "Mets-la dans mon cul". Sans un mot, il a posé son gland au bord de mon anus pour me faire languir en observant "il est déjà bien dilaté par rapport à hier". J'ai écarté ma fesse droite avec la main droite en regardant mon cul par-dessus mon épaule, et le poids de sa queue pesant sur mon anus m'a permis d'en contrôler plus facilement les réflexes pour le détendre et l'ouvrir. J'ai accompagné son ouverture d'un gémissement d'envie destiné à l'exciter. Lorsqu'il a vu mon anus se détendre docilement, il s'est lentement glissé à l'intérieur, son gros gland ouvrant encore une fois mon anus et il a lentement poursuivi sa pénétration sur toute la longueur de sa queue. À mi-chemin, j'ai dû lâcher ma fesse pour m'agripper à la tête de lit et enfouir mon visage dans les oreillers pour y gémir bruyamment à mesure qu'il s'enfonçait en moi. La sensation était très puissante et le plaisir s'accompagnait d'une douleur diffuse, mais insuffisante pour éteindre mon désir. Lorsque le raz-de-marée sensoriel est passé, j'ai pu remarquer qu'il avait enfoui dans mon cul l'entièreté de son énorme queue et que ses mains serraient ma taille. Il a soupiré de plaisir lorsque j'ai commencé à resserrer mon anus sur sa queue. Il m'a laissé pratiquer ces contractions pendant un petit moment d'extase avant de reculer sur quelques centimètres et de revenir lentement pour la mettre à nouveau tout entière. J'ai gémi à nouveau tandis que ma peau se couvrait de frissons et que mon anus abandonnait tout réflexe de contraction face à sa présence imposante. Il a corrigé sa position et m'a saisi la taille plus fermement pour poursuivre ce mouvement. Il reculait de quelques centimètres avant de revenir tout entier en moi jusqu'à presser ses couilles contre mon périnée. Il restait enfoncé là pendant deux ou trois secondes, et il recommençait le cycle au rythme de mes gémissements de plaisir. Je ne m'en lassais pas, et lui non plus visiblement. Après un moment, peut-être cinq minutes (j'ai du mal à évaluer le temps tellement je prenais mon pied), il s'est reculé suffisamment pour laisser coulisser lentement sa queue hors de moi. Un étrange sentiment de manque m'a envahi. J'ai regardé par-dessus mon épaule pour le voir admirer sa longue queue coulisser hors de mon cul. Lorsque son gland a glissé hors de mon anus, ce dernier est resté tellement ouvert que je n'ai presque pas senti de réflexe de contraction et je le sentais s'ouvrir lorsque je le détendais. Je pensais profiter de l'occasion pour aller le sucer mais mon anus béant a poussé Stef à y revenir pour m'enculer encore un petit moment comme il venait de le faire. Je me suis laissé envahir par le plaisir en me laissant enculer docilement tout en gémissant doucement comme une salope. Après quelques mouvements, je l'ai senti se détendre et reculer à nouveau pour faire glisser sa longue queue hors de mon anus qui a encore une fois laissé sortir Stef sans opposer de résistance. Il a expiré de plaisir en s'asseyant sur ses talons et en écartant mes fesses avec les mains pour aider mon anus à s'ouvrir. Lorsqu'il a relâché mes fesses, j'ai senti ses main guider mes hanches pour que je me laisse aller sur le côté afin de me coucher sur le dos et me placer face à lui.

Je me suis appuyé sur les coudes en relevant et en écartant les cuisses pour l'inviter à m'enculer. Je le regardais dans les yeux avec la bouche entrouverte en faisant de mon mieux pour lui exprimer tout mon désir. Il s'est légèrement avancé pour se placer à bonne hauteur, sa queue suivait le mouvement en se balançant lourdement. J'ai souri en lui disant crûment "Je pourrais me prendre ta grosse bite tous les matins". Il m'a rendu mon sourire avant de saisir la base de sa queue pour presser son gros gland contre mes couilles soumises. J'ai souri en remarquant que son gland était tout simplement plus gros que mes couilles. Je pense que les comparaisons commençaient à l'exciter et qu'elles augmentaient son envie de me dominer. Il a posé ses lourdes bourses contre les miennes pour les écraser et j'ai relevé mon sexe en érection pour le presser contre le sien et saisir nos deux membres dans ma main. Je suis resté hypnotisé quelques instants en remuant nos bites collées l'une contre l'autre, la sienne dominant largement la mienne. De son point de vue, la mienne devait probablement être entièrement dissimulée. Il m'a sorti de ma rêverie en reculant lentement, sa queue s'échappant lentement de ma main. Lorsque j'ai saisi ma queue pour me masturber, la différence de volume qu'il y avait entre nos sexes m'a poussé à la lâcher, comme si ma main ne voulait pas perturber le souvenir de son épaisseur. Il a encore tapoté mes couilles imberbes avec son gland avant de descendre jusqu'à mon anus où il s'est laissé glisser lentement. On a tous les deux expiré de plaisir lorsque son sexe a ouvert mon anus. Il s'est penché sur moi pour embrasser ma bouche entrouverte, je lui ai rendu son baiser en me concentrant sur la progression de sa queue. Il a embrassé mon cou avant de me demander en chuchotant à l'oreille si je voulais qu'il la mette tout entière. J'ai hoché la tête sans pouvoir prononcer de parole tout en regardant son sexe progresser. Il s'est arrêté à mi-chemin pour s'amuser et jouer avec mon désir en allant et venant sur une petite partie de sa queue. Je regardais la partie de son sexe qui était restée à l'extérieur avancer et reculer, en distinguant ses grosses couilles qui pendaient dessous. J'ai tourné mon visage vers lui pour lui implorer de me la mettre tout entière. Il a alors poussé sa queue pour me pénétrer aussi profondément qu'il le pouvait et j'ai gémi de plaisir. La sensation était tellement puissante que ma queue a débandé, je me suis laissé aller sur le lit en plaçant les bras derrière ma tête pour m'offrir entièrement à lui et le laisser m'enculer en m'abandonnant à mon plaisir. Je ne me souviens de rien de précis concernant ce moment, à part la transe dans laquelle je plongeais, la façon dont mon corps détendu rebondissait sur le matelas au rythme de ses puissants coups de reins accompagnés d'un bruit de chair qui s'entrechoquent, et que mon esprit était perdu dans les sensations procurées par sa grosse bite qui coulissait en moi. Il a interrompu ma transe en ralentissant son rythme tout en m'enculant plus profondément à chaque mouvement et en me soufflant à l'oreille qu'il allait jouir. Lorsque j'avais toute sa queue en moi, il m'était presque impossible de formuler la moindre idée ou parole. Je devais synchroniser ma respiration sur ses mouvements. Je me suis alors contenté de le regarder en hochant la tête. Il a collé son front contre le mien pour plonger ses yeux dans les miens tandis que son mouvement se faisait de plus en plus lent et profond. Mes couilles étaient remontées et ma queue était recroquevillée comme si mon corps sentait venir ce moment magique de totale soumission où une énorme bite allait y déverser sa semence. Après trois mouvements inoubliables, il s'est enfoncé entièrement en moi pour laisser venir son orgasme, immobile, en me laissant le loisir de le provoquer en contractant mon anus autour de son tronc. Il a lâché un léger soupir et j'ai senti les pulsations de son sexe lorsqu'il a commencé à éjaculer. Nos regards ne se quittaient pas et j'accompagnais chacune de ses nombreuses éjaculations d'un léger soupir de plaisir. Cet instant a semblé durer une éternité, je partageais presque ses vagues de plaisir en sentant les puissantes contractions de son périnée à chaque fois qu'il déversait son sperme en moi. Après six ou sept contractions, je l'ai senti se détendre et je l'ai embrassé avec la langue. On est resté un petit moment dans cette position, le temps de reprendre nos esprits. J'ai su qu'il était de retour quand il m'a adressé un beau sourire de satisfaction en se redressant lentement pour placer les mains sur mes cuisses et reculer lentement pour laisser glisser sa longue queue en dehors de mon cul. Je savourais la sensation unique que cela procurait en souriant. Lorsque sa queue a lourdement glissé hors de mon cul, j'ai senti que son sperme était proche et que j'allais avoir du mal à le contenir, vu à quel point mon anus était dilaté. Je lui ai dit en souriant qu'il avait encore mis la dose et je suis sorti du lit rapidement pour aller jusqu'aux toilettes où j'ai laissé s'écouler son sperme dans la cuvette avant de me nettoyer. J'ai à nouveau profité de l'occasion pour écarter les fesses devant le miroir et voir dans quel état il avait mis mon cul. Ma raie était brillante et mon cul largement dilaté, avec une grande satisfaction j'ai joué quelques secondes à contrôler mes muscles afin d'ouvrir mon anus à la demande avant de repartir vers la chambre.

Lorsque je suis revenu dans la chambre, il avait allumé la console et le téléviseur et s'était rhabillé. Il m'a regardé en affichant un petit sourire coquin tandis que je commençais à me rhabiller. Je lui ai tourné le dos pour lui permettre de reluquer mon cul et je veillais à le faire rebondir chaque fois que je pouvais. J'ai jeté un regard par-dessus mon épaule en remettant mon caleçon pour remarquer que ma mise en scène faisait son effet. Il était affalé sur le lit et souriait en fixant ma paire de fesses. Je lui ai demandé s'il appréciait le spectacle et il m'a répondu qu'il en profitait tant qu'il pouvait vu qu'il n'avait pas autant de liberté dans les vestiaires. J'ai répliqué que je pouvais venir ici quand il voulait en lui adressant un regard complice et en écartant les fesses pour lui montrer mon anus brillant et ouvert. Il a souri et j'ai continué à m'habiller. Pour plaisanter il m'a dit "si ta copine savait que tu venais de prendre ton pied à te faire enculer par une grosse bite" et j'ai complété "elle serait super jalouse", on s'est mis à rire pendant que je remettais mon pantalon. Il s'est laissé aller sur le sol pour s'adosser contre le lit et lancer une partie, je me suis assis à côté de lui pour jouer distraitement, le sourire aux lèvres et les pensées vagabondes. Après quelques minutes, on a entendu la porte d'entrée s'ouvrir à la volée et se refermer, sa mère était de retour. Il a pouffé de rire en disant "quel timing". J'ai alors remarqué que je n'avais vraiment pas fait attention au retour de sa mère tellement j'étais absorbé par mon extase, et l'espace d'une seconde j'ai imaginé tout ce qui aurait pu se passer si sa mère avait surpris son fils en train de m'enculer, et je lui ai soufflé qu'on avait eu de la chance sur ce coup-là. Je lui ai demandé combien de temps il nous restait avant que ma mère arrive. Il s'est retourné vers moi après avoir consulté son réveil pour indiquer qu'il nous restait une petite heure. Je lui ai demandé d'un air complice s'il avait encore de l'énergie. Il a souri en répondant qu'il avait besoin d'un petit moment pour récupérer. J'ai porté la main sur la grosse bosse de son pantalon de jogging et je lui ai demandé en chuchotant "ça te dérange si je joue encore avec en attendant que tu récupères?". Son regard s'est transformé et il a chuchoté qu'il n'allait sûrement pas pouvoir bander tout de suite, vu qu'il venait de jouir et qu'il avait encore mal à la bite après tout ce qu'on avait fait la veille. En guise de réponse, j'ai souri et j'ai tiré sur l'élastique de son jogging pour découvrir son paquet endormi et placer l'élastique sous ses couilles. Il a murmuré que j'étais super gourmand et il s'est relevé rapidement pour abaisser son pantalon sur ses chevilles avant de s'asseoir à nouveau sur le bord du lit en se laissant aller vers l'arrière, les mains croisées derrière la tête. Mes yeux dévoraient déjà du regard sa grosse bite au repos et ma main droite glissait déjà sur sa cuisse pour aller la saisir quand il a précisé qu'au moindre bruit dans l'escalier, il fallait qu'on réagisse vite. J'ai saisi sa queue en main avant de me retourner vers lui pour lui dire en souriant "OK c'est toi qui fait le guet". J'ai alors commencé à "jouer" avec son sexe, je le caressais et le branlais doucement malgré son érection incomplète. J'ai ensuite commencé à utiliser ma langue, il a relâché sa tête sur le lit au moment où j'aspirais une de ses couilles dans la chaleur de ma bouche.

J'ai continué à le savourer et à le sucer en douceur pendant de longues minutes, sa queue avait récupéré un peu de vigueur mais il n'était pas encore parvenu à une érection totale lorsqu'on a entendu le carillon de la porte d'entrée. À ce son, il s'est relevé pour remettre son pantalon tandis que j'essuyais la salive de mon menton. Il me tendait un chewing-gum pour masquer les éventuelles odeurs quand je lui ai demandé quand on allait pouvoir remettre ça. Il m'a répondu qu'il ne le savait pas encore..."peut-être au prochain tournoi, dans deux semaines?" Je lui ai répondu que ça allait être long. On a entendu sa mère nous appeler dans la cage d'escalier et il a ajouté avec un air malicieux "on essaiera d'inviter Yohan". Je lui ai dit que je n'avais pas très envie de partager, surtout si Yohan n'était pas intéressé, on allait devoir passer la soirée frustrés. Il a dit que c'était un risque. Comme si c'était entendu et que mes objections n'étaient pas valables. On s'est dirigés vers l'escalier et avant de franchir la porte il a abaissé mon pantalon pour saisir ma fesse gauche dans sa main et il a chuchoté qu'il allait se branler en pensant à mon cul pendant deux semaines. Je lui ai dit de faire attention à ne pas bander dans les vestiaires. On a souri et on est descendu.

Je suis ensuite rentré chez moi où je me suis isolé dans ma chambre pour écrire en détail tout ce que je venais de vivre. Je me suis ensuite masturbé en repensant à Stef en insérant mon fameux manche de brosse dans le cul.

À suivre: Deuxième soirée avec Stef

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Texte coquin : Le lendemain, sa mère nous a réveillé en frappant à la porte de sa chambre pour nous inviter à venir
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