Série l’adultère : (Partie 5). Non seulement Julie trompe son mari mais couche avec sa meilleure ami

- Par l'auteur HDS Perruche -
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Série l’adultère : (Partie 5). Non seulement Julie trompe son mari mais couche avec sa meilleure ami Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2020 dans la catégorie Plus on est
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Série l’adultère : (Partie 5). Non seulement Julie trompe son mari mais couche avec sa meilleure ami
Je m’appelle Julie, suite à mon premier récit, je continue à vous conter mon second adultère. Comme vous l’avez lu, je n’avais pas attendu très longtemps avant d’être infidèle.

Voilà, j’ai 36 ans, je suis une femme mariée depuis six ans, sans enfant. Mon physique est avantageux avec mes un mètre soixante-quinze pour 61 kilos, une belle poitrine, de longues jambes fuselées et des fesses rebondies. J’entretiens mon corps car j’aime que les hommes me regardent avec envie et je voudrais être désirable le plus longtemps possible. J'aime réellement mon mari de tout mon cœur et nos parties de sexe sont souvent diaboliques. Je ne conçois pas ma vie sans lui et pourtant je n’ai pas pu m'empêcher de lui être infidèle.

Pour fêter notre anniversaire de mariage, Simon et moi, nous avions invité le couple de nos meilleurs amis. Je connaissais Sandra depuis très longtemps et Nicolas était un pote de mon mari, deux amateurs de football. Ils avaient profité de ce repas pour nous annoncer que le week-end prochain, ils partaient tous les deux à Paris pour assister à la finale de la coupe de la ligue. Sur le coup, si cela n’avait pas gêné Sandra outre mesure, pour moi, j’avais que très peu apprécié cette décision. C’était plutôt sur la forme que sur le fond, car j’aurais préféré que Simon me le demande plutôt que de me mettre devant le fait accompli. Quant à Sandra, elle me dit que c’était l’occasion pour nous de faire une sortie entre femmes afin de nous amuser aussi. Restaurant et cinéma était au programme.

Pendant la projection du film, Sandra avait pris mon bras et l’avait posé sur elle, je connaissais ses penchants lesbiens, elle m’avait déjà, par le passé, avoué que je lui plaisais beaucoup. Mais voyant mon refus catégorique à l’époque, elle n’avait jamais plus parlé de cela. Cet après-midi-là, lors d’une scène très sentimental deux femmes s’embrassaient sur la bouche et se serraient l’une contre l’autre. Elle me caressait l’avant-bras du bout des doigts, je m’étais laissée faire, ne voyant aucun mal à cela. Les images sur l’écran et ses guili-guili qu’elle me faisait, commencèrent à m’exciter, d’autant plus qu’elle avait posé ma main sur le haut sa cuisse.

Je ne savais plus quoi faire, je lui ai fait comme elle, je jouais du bout de mes doigts sans jamais aller plus haut. Heureusement, le film finissait, nous étions allées au restaurant, juste à côté du cinéma. Là, ce fut la même chose, elle me regardait, me souriait et me posa sa main sur la mienne en disant :— Tu as des mains merveilleuse ma chérie.

Tout en continuant à me caresser l’avant-bras en attendant les plats. Ce soir-là, nous avions pris un vin liquoreux à l’apéritif et deux verres de vin rosé chacune. À la fin du repas qui ne fut qu’une drague en définitive, Sandra m’avait fait monter en désir. Elle de son côté, ses intentions étaient claires, elle voulait passer la nuit avec moi dans le même lit. Ce dit en passant, qu’elle devait coucher dans la chambre d’amie. Je n’en avais pas du tout l’intention, je ne savais pas comment faire pour sortir de ses griffes et ne voulant pas la brusquer, sachant que je l’avais caressée et l’avais laisser faire, je l’avais donc allumée en quelque sorte et ce n’était pas maintenant que je devais me plaindre.

Comme souvent, le hasard fait bien les choses, nous marchions en retournant à la voiture, elle m’avait pris la main et je n’avais toujours rien dit, devant l’immense parking du complexe se trouvait une discothèque : — Viens Sandra allons danser. Lui dis-je, pour éviter le pire.
— Bonne idée ! Allons, nous éclater. Me répondit-elle.

Ouf ! J’étais sauvée pensais-je. Mon amie m’avait toutefois mis le feu, nous étions à notre deuxième coupe de champagne, Sandra se mit devant moi sur la piste de danse et frottait ses fesses contre mon ventre, tout en passant ses bras au-dessus de sa tête pour attraper la mienne. Moi, je regardais le beau mec tournant autour de moi. Nous étions collées toutes les deux, en nous dandinant ainsi. Lorsque le type que je regardais avec insistance, avec un accent latin, me demanda dans l’oreille :— Vous reprenez la même chose, j’aimerais vous offrir deux coupes de champagne. Vous êtes toutes les deux charmantes.
— Pourquoi pas répondit Sandra.

J’étais stupéfaite, elle se retourna et suivi cet italien, il s’était installé à notre table. C’était un bel homme d’une quarantaine d’années, très sympa. Sandra était chaude comme de la braise, elle avait déjà la main dans celle de son voisin, ils se regardaient amoureusement, leur regard en disait long pour la suite. D’un autre côté, je pensais bien qu’elle m’avait oubliée. Je me demandais si elle allait tromper Nicolas mais comme c’était parti, il n’y avait aucun doute, lorsqu’ils étaient l’un contre l’autre, en train de se rouler un patin. Humberto essayait lui aussi de me draguer. Voyant que je ne bougeais pas, Sandra me surpris :— Allez Julie, laisse-toi aller, il est beau comme un dieu, profites-en aussi, nous n’avons qu’une vie.

L’étalon italien avait compris, il lâcha Sandra, vint contre moi et me pris par le cou, je m’étais laissée emporter. L’alcool et l’excitation avaient joué son rôle, une demi-heure après nous étions dans sa chambre d’hôtel. Nous étions à moitié ivre, ce fut Sandra qui me déshabillait devant le garçon qui faisait de même, elle m’embrassa sur la bouche, je lui rendis son baiser, je mouillais comme une adolescente, je la caressais en même temps que je lui enlevais ses vêtements, nous nous étions retrouvées entièrement nues, en train de nous embrasser et de nous caresser, pendant que l’italien attendait sa queue dans la main : — Maintenant, si vous veniez avec moi ?

L’invitation était alléchante, Humberto avait ce genre de sexe que beaucoup de femmes aimeraient avoir dans le ventre. Il s’était approché de moi sur la descente de lit molletonnée pour poser ses lèvres sur les miennes. Son sexe s’était immédiatement mis en érection totale, je sentais mon pouls s’accélérer. Son baiser m’excitait et sa langue s’était mise à tourner dans ma bouche avec tendresse. Pendant ce temps, Sandra s’était rapprochée de moi et s’était mise à me caresser les fesses et la poitrine.

En quelques secondes, j’avais changé de bouche, les lèvres de mon amie s’étaient unies aux miennes puis changeaient alternativement entre Sandra et Humberto. Nos baisers étaient si brûlants que j’avais fini par jouir sous leurs baisers et leurs caresses. Je me suis retrouvée nue allongée sur le grand lit, les laissant caresser mon ventre et mon derrière, quatre mains qui me parcouraient, entre les cuisses, sur les seins, dans le cou et sur les fesses, c’était magique, je mouillais, je n’avais pas besoin de mon flamant rose.

Nous étions tous les trois nus, j’étais allongée entre les deux, j’avais les jambes écartées posées sur les leurs, ils me caressaient la vulve et la raie de mes fesses pendant que leurs bouches me léchaient et suçaient mes seins. Un pur bonheur, j’étais transportée dans un rêve érotique ils me firent jouir une nouvelle fois. À la vue de la belle érection d’Humberto se mettant sur le dos, je me suis mise à quatre pattes sur le lit et je m’étais penchée sur sa queue, je lui déposai un baiser sur son gland avant de l’enfouir dans ma bouche. Sandra s’était placée à côté de moi et lui léchait ses couilles et passait son doigt sur son anus en le caressant. Lui prenait de chacune de ses mains nos seins, nous triturant les tétons. Nos fellations le rendaient fou, il n’en pouvait plus, il sortit sa bite de nos bouches, et éjacula sur nos langues. Nous nous sommes embrassées mélangeant le sperme avant de tout avaler.

Je ne pensais pas que je puisse un jour, me retrouver en présence de deux personnes de sexe opposé, mais je me sentais en totale liberté, je ne pensais qu’au sexe et au désir qu’il me procurait. Nous nous retrouvions unis sur des draps, ruisselants de sueur, de sperme et de cyprine, dans un tourbillon de plaisirs.

Humberto s’était levé, Sandra était à plat dos sur le lit, elle me demanda de la faire jouir à son tour. J’avais mis la tête dans son entrejambe pour la lécher et la sucer pendant qu’elle faisait une savante fellation à l’italien pour lui redonner sa forme initiale, Sandra me tenait la tête sur son intimité, en disant :— Bouffe-moi le cul, je veux jouir, c’est bon ma chérie.

Ma bouche sur son sexe, je la léchais à grands coups de langue, provoquant des pics de plaisir électriques sur tout son corps. Je lui effectuais un cunnilingus avec application, à l’affut de toutes ses réactions et de ses gémissements de plus en plus sonores. Pendant qu’elle suçait profondément, la verge d’Humberto qui gémissait lui aussi, tout en pelotant sa poitrine et en nous félicitant de notre savoir-faire et de notre implication, ce qui était agréable et très excitant.

Je mouillais de nouveau, sans que l’on me touche, Humberto avait retrouvé une érection digne de ce nom, il vint derrière-moi, léchant toujours Sandra qui allait exploser sa jouissance dans ma bouche. J’attendais ce moment, lorsque l’italien s’étant frayé un chemin, s’était enfoui en moi avec une grande facilité. Sa bite m’avait pénétrée dans une volupté intense et humide, emplissant mon vagin qui n’aspirait qu’à se faire remplir.

Humberto entama de savants va-et-vient dans ma chatte qui s’ouvrait comme une bouche béante de fauve affamé. Ses coups de rein s’intensifiaient et sa queue me traversait avec puissance, faisant soulever tout mon corps, pendant que Sandra jouit dans un ruissellement de cyprine, appuyant ma tête un peu plus sur elle. Humberto se retira de mon ventre et passa à ma place, il rentrait dans la vulve trempée de mon amie qui voulait aussi sa part de queue.

Puis il inversa reprenant possession avec précision de ma chatte offerte. Tout mon corps se figea et se crispa, je connu un orgasme foudroyant, tout mon corps tremblait de soubresauts, pendant que je criais mon bonheur. Sandra changea de position, elle se mit en levrette, pouvant ainsi me boire et se faire défoncer par l’italien qui la sodomisait cette fois, elle gémissait de plus en plus, elle avait glissé une main vers mon sexe pour en caresser le clitoris pendant qu’elle recevait les coups de boutoir d’Humberto qui s’activait derrière elle. Le plaisir allait et venait le long de sa colonne vertébrale et lui mettait le feu au cul.

Le corps nu et musclé de l’étalon était à lui seul, un spectacle très plaisant, les caresses de Sandra accompagnant à merveille la pénétration qu’elle subissait. Sentant nos excitations grandissantes, ils avaient tous les deux accélérés en même temps, pour nous donner un orgasme qui nous avait frappée en même temps, en nous arrachant un long râle de plaisir. Puis ce fut au tour de l’italien qui après avoir retiré son préservatif, éjaculait une nouvelle fois sur les fesses de Sandra en poussant un grand Ha !!!

Nous étions épuisées, pantelantes et trempées sur ce lit, jusqu’à ce qu’un employé vienne frapper à la porte, c’était le service d’étage qui apportait le champagne commandé par notre hôte. C’était tellement excitant pour nous trois que nous avions recommencé à baiser, chacune notre tour avec Humberto un vrai pro de la queue.

Dans la voiture, lorsque nous rentrions au petit matin, Sandra m’avoua qu’elle avait bien prévu de coucher avec moi, qu’elle l’avait toujours désiré.
— Tu as déjà trompé Nicolas ? Lui avais-je demandé.
— Non ! C’est la première fois, j’étais bourrée et c’était le seul moyen pour que je me trouve avec toi dans le même lit.

En effet, lorsqu’elle s’était aperçue qu’elle ne parviendrait pas à ses fins avec moi ce soir, voyant que j’étais attiré par l’italien, elle avait tout manigancé afin que ce type, pas déplaisant du tout et l’alcool aidant, nous amène toutes les deux dans son lit. Il était quatre heures trente du matin, nos maris rentraient deux heures plus tard, nous nous étions douchées et nous nous étions couchées ensemble. Sandra avant de dormir me déposa un baiser sur les lèvres et nous nous étions endormies enlacées dans les bras l’une de l’autre.

Ce fut ainsi que Simon et Nicolas nous avaient retrouvés le lendemain matin. Ayant dormis dans le bus, ils avaient acheté les croissants et avaient attendus sagement notre réveil :— Tu as osé me tromper avec Sandra ? Me dit Simon en riant.
— Maintenant, nous allons partager le même lit. Rajouta Nicolas.
— Dans tes rêves ! Lui répondis-je.
— Pourquoi pas. Entonnèrent ensemble Sandra et Simon.

Aujourd’hui, en déplacement, j’ai mes deux amants : Le flamant rose et Florent et chez moi, j’ai Sandra qui m’apporte autre chose que les hommes. Je pense que le prochain sera Nicolas mais ce sera probablement en compagnie de Simon mon mari adoré.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Julie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Bonjour, très vite mon " copain" et futur mari m'a dit que j'etais libre sexuellement car pour lui il était possible de rester fidèle tout une vie. Au début je n'osais pas trop... on a fait notre 1er trio lorsque j'avais 26 ans et moi 31, c'était avec son meilleur ami, des la 1ère fois je me suis lâchée et j'ai adoré, on a recommencé régulièrement, 1ère double vaginale, 1ere double mon chéri par devant et mon amant dans les fesses. Avec l'accord de mon chéri il est devenu mon amant régulier. Lorque mon cheri était en déplacement, Bernard venait vers 22h...



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