SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (6/6)
Hugette vieille dame très digne est venue chez moi comme de nombreuses autres mais avec une demande plus spéciale ou plutôt plus spécifique.
À 77 ans ayant eu des rapports lesbiens toute sa vie repoussant le sexe des hommes de peur de tomber sous leur coupe veut tenter l’expérience avec moi l’argent qu’elle me donne la rassurant sur la suite de sa vie.
Je prends beaucoup de précautions pour éviter de l’effaroucher et je viens de réussir à lui retirer sa culotte m’étant attardé sur ses seins un long moment.

• Je peux.

C’est mes lèvres à la hauteur de sa fente que j’approche et que je souhaite poser dessus alors je lui demande son autorisation avant l’étape décisive.

• Oui, vous êtes aussi doux que la dernière de mes amies.

Autorisation donnée j’applique mes lèvres et avec ma langue je vais chercher son clitoris.
En même temps je passe une main derrière ses fesses en goutte d’huile entrant deux doigts à l’intérieur de sa chatte très doucement.
Elle est sèche et je comprends que ma cliente est encore loin d’être prête à me recevoir.

• Allongez-vous, je vais vous faire minette.

Le terme de minette me revient à l’esprit bien qu’à notre époque il soit inusité.
Elle le fait et je me place à côté de sa fourche.

• Écartez les cuisses, faites-moi voir que vous avez toujours envie de me recevoir en vous.

Instant crucial pour la suite de son envie de perdre son pucelage malgré son grand âge.
Je suis anxieux non pas car je me sentirais dans l’obligation de la rembourser si elle me quittait mais par l’envie qui me fait tendre ma verge sans qu’elle m’ait touché de déflorer cette fleur qu’aucun homme n’a réussi à cueillir.
Elle le fait et je peux me placer face à sa grotte.
Sans perdre un instant je me penche et reprenant un de ses seins cette phase ayant eu l’air de lui plaire je pose ma bouche le plus délicatement possible sur le haut de sa chatte recherchant de nouveau son clitoris.
Elle me met ses deux mains sur la tête, un instant j’ai peur que le point de rupture ne soit atteint mais c’est pour mieux me plaquer dessus qu’elle fait ce geste.
Ma langue se dépêche de se poser sur son excroissance qui a un joli volume ce qui me permet de le prendre entre mes lèvres.

• Oui.

Une dame qui dit oui c’est une dame gagnée à la cause des hommes que j’essaye de rétablir bien que les femmes lesbiennes aient toute ma sympathie, chacun ayant le droit de choisir ses goûts sexuels.
J’insiste évitant de descendre ma langue dans sa grotte ayant peur de la sentir aussi sèche, mais pour le savoir il faut bien aller y voir.
Ses mains de plus en plus insistantes sur ma tête me font franchir le pas et c’est un sexe bien lubrifié que je découvre me prouvant que mon traitement est très efficace.

• Tu lèches aussi bien qu’une femme, continu je vais décoller.

Cet encouragement me fait redoubler d’efforts quand un craquement dans l’escalier me fait sursauter.
Coup de chance Huguette semble toujours décontracté alors je remets mon nez dans sa chatte mais surtout ma langue sur son clitoris avant de me redresser, présumant que mon travail de préparation suffisant.

• Je vais m’allonger et c’est toi qui vas venir te déflorer sur ma verge au moment où tu le désiras.
Redresse-toi que je prenne ta place sur le lit.

J’emploie le tutoiement comme elle l’a fait pour me féliciter lui montrant que nous avons franchi une étape dans notre rapport homme-femme.
Elle pivote alertement pour une dame de son âge me montrant qu’elle doit s’entretenir physiquement.

• Excusez, j’ignorais que vous étiez ici, je cherche la cuisine.
Huguette que faîte vous là, je croyais que vous aviez envie de moi.

L’intrusion de Marie entièrement nue a la porte de la chambre laissée ouverte de ma faute quand ma cliente est arrivée me fait voir l’étendue des dégâts, Huguette ayant un mouvement de recul.

• Viens, Marie, tu vas m’aider à franchir la dernière étape qui m’a amené à venir voir monsieur Christian.
Tu ignores ma vie mais je peux te dire que j’aspire à connaître l’effet que va faire sa verge en moi.
Marie sachant que je suis un sexe boy sait que je vois de nombreuses femmes de sa maison de retraite s’étant elle-même servi de ma queue pour retrouver le goût du plaisir d’être pénétrée par une verge aussi je la vois s’approcher d’Hugette venir s’asseoir à son côté et me montrer pour la première fois un baiser entre femmes qui me fait redresser la queue ayant tendance à retomber suite à l’intrusion de ma maîtresse.

• Huguette l’as-tu sucé ?
• J’ai peur qu’il ne vienne dans mon sexe alors pourquoi voudrais-tu que je le prenne dans ma bouche.
• Parce que les hommes en raffolent comme tu vas raffoler de sa verge quand il te la mettra en toi.
Christian met lui ta bite dans la bouche et branle toi dedans.

Sentant que notre trio prend corps et qu’Huguette aime recevoir des ordres d’une autre femme je me présente et après une légère hésitation elle m’enfourne se servant même de ses deux mains pour me masturber tout en me léchant le frein de mon gland.
Depuis que j’ai franchi le pas avec ses vieilles dames je me suis fait sucer de nombreuses fois, mais la fraîcheur que met ma pucelle à me pomper me rappelle une fois encore les premières fellations que me faisait Constance.
Je suis assez tendu aussi je m’allonge.
Huguette sent que le moment est venu de se séparer de son pucelage qui est loin d’en être un car la dame a eu une chatte très accueillante à mes doigts.
Quand Huguette me prend en main pour m’introduire je sens la main de Marie venir attraper ma verge et l’a placé de façon que son vagin soit bien dans l’alignement et je sens ce fourreau chaud descendre lentement alors que depuis qu’elle se fait fister elle aurait pu s’empaler sans souffrir.
Il est sûr que quand ses fesses touchent mes boules titillées par Marie à grand coup de langue je suis fière d’avoir dépucelé ma première femme.
La charge de la brigade légère, sa grande pratique du sport permet à ma cliente de monter ou de faire coulisser son vagin sur ma verge au rythme que le faisaient ces cavaliers permettant à ses seins flasques et descendants de remonter vers le plafond avant de redescendre rattrapé par l’attraction terrestre.
Que les hommes sont idiots, leurs visons décuplent l’envie que cette vieille femme m’inspire avec ses cheveux blancs et sa toison pubienne ou de rare poils noires subsistent refusant de blanchir eux aussi.
Les cris de plaisir qu’elle pousse lui permettant à son apogée de nous faire comprendre que le trio que nous formons pour son dépucelage lui a fait atteindre l’orgasme.
Elle finit par s’écrouler sur moi me faisant craindre un instant un arrêt de son cœur.
Quand elle s’affaisse sur moi l’un de ses seins était en partie ascendant de sa course et se retombe sur ma figure me donnant une tape comme pourrait le faire une tapette à mouche.
Il glisse vers le bas et ma bouche l’aspire au passage retrouvant mes coups de langue de mon enfance alors que ma nounou était simplement ma nounou.

Comme je l’ai dit je suis un sexe boy patient avec ces femmes âgées et j’attends qu’elle me libère pour rapidement retourner vers ses plaisirs lesbiens s’allongent à mes côtés pour que Marie vienne récupérer le fruit de son orgasme que coule le long de ses cuisses.
Marie est en position de semi-levrette aussi ayant gardé mon sperme je me place pour lui remplir la chatte.
Sa position me refuse son entrée si accueillante cette nuit aussi sans hésiter je mouille sa rosette de salive et je l’encule recevant un râle de plaisir car sa bouche aspirante la chatte d’Huguette est dans l’impossibilité de me donner son accord.

Après un nouveau départ vers le septième ciel tous les trois presque simultanément, j’offre un thé à ces dames avant qu’Huguette remette ses vêtements et la tête bien redressée comme si par ce geste elle veuille dire à tous voit j’ai eu le courage de le faire s’en retourne auprès de ses congénères.

Dans l’après-midi à 18 heures je prends un rendez-vous me faisant bien plaisir.

• Allo monsieur Christian, je suis valentine, seriez-vous libre demain à 14 heures les hommes organisent une sortie pêche et j’en serais libéré jusqu’à 18 heures.

La voix toute timide me fait bander de savoir que je vais cocufier son couillon de mari malgré les sentiments que je commence à avoir pour Marie.
Marie qui dans la nuit souhaite me caresser avec sa bouche ayant filé sous le drap qui nous recouvre mais si j’aime qu’elle me fasse tendre le bras je lui fais comprendre que j’ai un métier et qu’un sexe boy reste un homme et que depuis qu’elle a déboulé dans ma vie je lui ai donné plus de sperme qu’il n’en faudrait.
Elle en prend conscience et à part les fois où une de mes clientes comme Huguette souhaite la recomposition de notre trio elle reste dans sa chambre me permettant de les recevoir dans mon boudoir sans qu’elle nous dérange.

À la maison de retraite ces dames parlent entre elles comme elle l’on fait pour se dire qu’à plus de 60 ans un homme peut encore les honorer.
C’est le cas avec Valentine qui chaque fois qu’elle vient dès la deuxième fois seule pendant les partis de pêche de celui et de ceux que je cocufie accepte et même finit par demander la présence de celle que je considère comme ma nouvelle femme.

D’ailleurs dès que son divorce sera définitivement prononcé nous envisageons d’inviter toutes mes clientes pour un goûter coquin où je suis certain que cette réunion de vieille dames risque de se terminer dénudé étant au centre des plus bas instincts féminin qu’un homme soit amené à subir mais quel plaisir pour mes yeux quand je verrai ce tableau.
Gislaine et Marie se chargent d’organiser cette journée ayant déjà trouvé le lieu dans une ferme isolée transformée en gîte de location car ma maison serait trop petite pour que nous les recevions toutes.

J’ignore pendant combien de temps je resterais sexe boy de leur maison de retraite mais tout ce qu’il y a de sûr c’est que les années qui vont passer vont faire vieillir Marie mais contrairement à beaucoup d’autres hommes principalement ceux qui forment des couples et qui vont à la pêche me donnant du temps pour sexer leurs femmes, j’adorerais le moment ou ses seins s’aplatiront et tomberont.

Les avis des lecteurs

je vais voir et reprendre si je le peux.

Histoire Erotique
dommage que ce soit déjà fini continuer jusqu’à la petite fête aurait été super



Texte coquin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (6/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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