Séjour à Punta Cana

- Par l'auteur HDS Mico79 -
Récit érotique écrit par Mico79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Séjour à Punta Cana Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2011 dans la catégorie Plus on est
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Séjour à Punta Cana
Un voyage à Punta Cana


Pour fêter un anniversaire, nous avons profité d’une promo, pour effectuer un voyage à Punta Cana et cerise sur le gâteau, nous avons en plus eu accès au carré VIP ; pour mémoire, c’est un grand duplex, avec jacussi dans la chambre, un grand salon, les repas et les boissons à volonté, l’accès à toutes les activités ainsi qu’une séance de massage par jour ; un vrai plaisir, avec le soleil et la chaleur en prime.
Nous avons profité de la piscine avec punchs , servis assis dans l’eau, et du plaisir des nombreuses possibilités de repas et aussi de la séance de massage effectuée sous une toile à coté de la piscine. Les deux premières séances furent effectuées par deux charmantes hôtesses et c’est sous leurs doigts agiles que nous nous relaxions après les séances de bronzage et de nage. Le troisième jour, c’est un masseur et une autre hôtesse qui nous ont pris en main ; les deux tables n’étant séparées que par un petit espace, j’avais tout loisir de converser avec Mico et même de lui tenir la main. Mico a choisi le masseur et je ne suis relaxé sous les doigts de la jeune femme ; très détendu, je me laissais aller à une légère somnolence, quand je sentis la main de Mico se crisper... J’ouvre les yeux et je constate que son regard a des signes que je connais bien : son plaisir monte ! Je regarde alors discrètement le masseur et je constate que ses mains sont plus souvent sur son entrejambe que sur ses jambes et je comprends vite que ses doigts ne doivent pas rester inactifs ; la respiration de Mico s’est accélérée et son bassin est agité de petits mouvements ; il doit être entrain de la caresser plus intimement. Je sens mon sexe qui gonfle et je n’ose rien dire car ma masseuse reste pro ; la séance se termine et pendant que je signe la réservation pour le lendemain, je vois Mico discuter en aparté avec son masseur .
De retour à notre appartement, Mico me raconte sa séance à savoir qu’assez vite elle avait réagi à l’agilité des mains du masseur et que celui –ci s’en étant aperçu, avait agrémenté la séance d’une stimulation de ses petites lèvres après avoir écarté le bord du slip, caché par la serviette et qu’à la fin ses doigts étaient carrément rentré dans sa chatte, d’où sa réaction à la fin de la séance. Elle lui avait proposé de la suivre mais ayant d’autres rendez-vous il lui avait proposé de la retrouver au bar après 20h. Inutile de vous dire qu’en attendant l’heure de se préparer, nous avons fait le tour des possibilités dans la gamme( en plus il fait nuit à 6 h)
19h30, nous prenons l’apéro en écoutant du jazz quand notre masseur se pointe : pantalon blanc, chemisette ouverte, je reconnais qu’il a de l’allure ; il semble un peu surpris de nous voir ensemble mais Mico emboite la conversation et il se détend ; propos badins sur nos vacances et le bien être du séjour, puis Mico ramène la conversation sur son massage et le félicite sur sa technique et sur le plaisir qu’elle a éprouvé mais que l’endroit manquait de tranquillité et qu’elle aimerait un massage dans la chambre. « Impossible dans le cadre du séjour, mais après mon travail, je peux vous le faire, soit avant le repas soit après » Mico accueille ces paroles avec chaleur et choisit le soir car dit-elle ce sera plus discret ! J’acquisse car je vois où elle veut en venir, lui aussi je pense car son pantalon est gonflé ; nous nous séparons car il n’a pas le droit de manger avec nous et nous nous donnons rendez-vous vers 21h30 à la chambre.
Le repas, pour une fois, est vite envoyé et nous revenons à notre chambre ; Mico se prépare et revêt le peignoir de l’hôtel avec juste un string en dessous. Pour moi, un short, torse nu et nous attendons en dégustant un punch ; 21h30 notre homme est là, en short et chemisette blanche avec son flacon d’huile à la main. Mico ôte son peignoir et impudique s’allonge sur le lit, à plat ventre, les jambes écartées ; je quitte mon siège et quittant mon short, je me plonge avec délice dans le jaccussi, d’où j’ai une bonne vue de la scène. Paulo, nous saurons son nom plus tard, monte sur le lit et s’installe à cheval sur les pieds de Mico et commence son œuvre : ses mains glissent le long des mollets et des cuisses, avec lenteur mais on peut deviner la pression des doigts sur la peau, ses mains remontent de plus en plus haut et caressent les globes fessiers, puis redescendent le long du bord du string, ses doigts sont agiles et Mico commence à frétiller et son fessier s’offre à la caresse ; les mains remontent jusqu’aux épaules, s’y attardent et reviennent sur les fesses... Après un regard vers moi, il descend le string, les lèvres apparaissent, ses doigts jouent en bordure, effleurent le sillon et sur un nouveau regard pour mon accord, il caresse franchement les lèvres. Mico écarte ses cuisses le plus possible pour favoriser le toucher ; je vois un doigt, puis deux pénétrer dans son vagin et pendant que l’une caresse le sillon, l’autre main s’infiltre maintenant franchement dans la vulve et les doigts la masturbent avec vivacité. Je me branle car Mico geint sur le lit et ses fesses remontent pour une pénétration plus profonde...
Je sors de mon bain et la queue au mieux de sa forme, je m’approche du lit ; je constate que la bosse du short est volumineuse ; je m’approche de Mico et je lui tends mon sexe à sucer ; elle l’engloutit avec vivacité car c’est une de ses spécialitées. Peu de mecs ont résisté à sa sucette et sa langue est redoutable ; elle s’incruste dans le méat puis remonte jusqu’aux boules qu’elle lèche avec volupté puis elle l’enfourne à nouveau et mon gland vient taper sur le fond de son palais, un vrai délice ! Je me retire pour ne pas jouir trop vite. Paulo a compris notre jeu et il quitte sa chemisette puis ouvre son short, un véritable pieu en sort et si je suis bien membré, là je ne soutiens pas la comparaison : il est énorme tant en longueur qu’en épaisseur et son gland est complètement découvert. Il sort un préservatif (prévoyant !) et se l’enfile et se présente devant le temple du sexe. Sans ménagement, il enfile Mico jusqu’à la garde ; Mico ne peut réprimer un « oh » de surprise et son corps se cabre immédiatement ; ressortant, il l’ajuste à nouveau et sa bite disparait à nouveau dans la grotte, un nouveau cri et Mico commence à geindre, son plaisir montant au fur et à mesure que Paulo la pilonne. Il lui a enserré les hanches et son rythme s’accélère en même temps que la violence de la pénétration puis il ralentit et s’arrête jusqu’à ce que Mico réclame :
«Encore, défonce moi, j’aime ta queue, elle me fait jouir, baise moi fort » et son jeu reprend, alternant à nouveau force et douceur. Maintenant Mico gueule son plaisir et quand Paulo se répand en elle, en ressentant les vibrations des jets elle s’écroule sur le lit, mordant le drap ; son corps est parcouru de spasmes et des larmes coulant de ses yeux. Inquiet, je l’embrasse et elle me dit :
"C’est la première fois, en dehors de toi, que je jouis aussi fort »
Moi je n’ai pas jouis et j’ai toujours la trique ! Je propose d’aller tous les trois dans le jacussi et d’y passer quelques instants... Mico s’installe entre nous deux, et sa main me branle doucement, tout en nous parlant de son plaisir. Ma main part en exploration sous l’eau et je rencontre celle de Paulo qui manifestement a investi la place. Mico glissant un peu dans l’eau me libère le passage vers son sillon et mes doigts viennent jouer sur son anneau qui ne résiste pas longtemps, mon index s’infiltre et son cul s’ouvre sous la caresse. La relevant je la positionne sur mon gland qui doucement entre dans son anus. La situation fait découvrir son sexe et Paulo a vite fait de prendre la place, je sens son sexe glisser dans le vagin et c’est lui qui rythme nos ébats ; je perçois chaque coup de butoir et alors que je ne bouge presque pas, je sens monter ma sève que je libère à grands jets dans le cul de ma femme chérie. Par contre lui n’a pas jouit et il continue son bourrage de chatte ; je maintiens Mico, agrippé à ses seins, lui pinçant les tétons ; contrairement à mon habitude, je ne débande pas, bien au contraire car je ressens les mouvements de Paulo à travers la fine membrane et c’est comme s’il me branlait avec sa queue. Mico , baisée des deux orifices n’arrête pas de jouir et elle ne peut s’empêcher de crier. J’ai peur que nos voisins profitent du bruit quand enfin Paulo se retire, ôte sa capote et inonde le visage de Mico ; à mon tour je me retire, non sans avoir rempli le cul de semence et c’est comblé que Paulo nous quitte... Demain il fera jour et nous en profitons pour récupérer après un baiser plein d’amour pour ma petite femme.

Le lendemain, la séance officielle est très calme même si mon sexe et (je l’ai vu que plus tard) idem pour celui de Mico se souvient de la séance de la nuit et en me mettant sur le dos, le regard de ma masseuse n’était pas souriant, par contre Mico et Paulo se retenaient pour ne pas rire. Le lendemain, une journée 4/4 était programmée et au départ , à notre surprise, un véhicule nous est réservé ; le chauffeur, guide, se présente comme un ami de Paulo. Je pense que le coquin s’était vanté de sa bonne fortune mais finalement cela a eu du bon car nous avons eu plus de liberté et j’ai pu conduire toute la journée dans la montagne, ce que les autres n’ont pu faire.
"Il te faudra remercier Paulo" me dit Mico ; j’y comptais bien. En arrivant, dans la soirée, c’est Mico qui voulut se déplacer pour remercier Paulo ; je suppose qu’elle avait combiné une suite et en effet vers 21h elle a voulu rentrer, ce qui n’est pas son habitude en vacances. A peine arrivés, la sonnette annonçait l’arrivée de Paulo, ce qui ne m’a pas surpris.
"Il parait que c’est à votre tour d’être massé » La coquine avait bien prévu sa soirée, ce qui n’était pour me déplaire. Je m’installais nu comme un ver sur le lit et Paulo, torse nu, prit la même position que la veille. Ses mains faisaient merveille et je n’ai pas tardé à bander ; il se mit à me pétrir les fesses et ses doigts frottaient de plus en plus près mon sillon. Parfois sa main glissait sous mon ventre et c’était au tour de mes couilles et de mon sexe de recevoir ses attouchements ; Mico, restée assise jusqu’alors, se rapprocha de nous, ouvrit le short de mon masseur et plongea vers son sexe. Je ne pouvais pas voir facilement mais le bruit de succion me suffisait pour imaginer le tableau et les paroles de Paulo ne firent que confirmer :
« Vas-y suce moi, passe ta langue sur mes boules …oh oui enfonce bien dans bouche » Manifestement Paulo aimait ! D’un seul coup un doigt se planta dans mon anus, c’était Mico et se retirant la bouche d’autour de la grosse queue lui dit : « vas-y il va aimer ta bite, il aime se faire mettre et ta grosse queue devrait lui plaire »
Vue la taille, je n’étais pas du même avis mais je n’ai pas eu le temps de protester car déjà le gland, revêtu d’une capote, se frottait à mon anneau, essayant de le forcer mais en vain pour l’instant. Une claque sur la fesse me surpris et il en profita pour forcer le passage, la douleur me transperça le ventre. Il resta immobile pendant quelques instants puis doucement sa queue repris son va et vient et la douleur fit place au plaisir et à chaque pénétration une vague de chaleur montait dans mes entrailles. Il ne pensait plus qu’à lui et maintenant il me défonçait le cul, ses couilles venant frapper les miennes de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sans me branler, ma jouissance éclata et les jets s’étalèrent sur le drap, j’avais envie que cela dure, je voyais Mico se branler la chatte et mon cul réclamait plus de possession. Je remontais mes fesses pour mieux me présenter à sa bite, son pieu me labourait le ventre et ma jouissance était continuelle. Enfin il se retira et éclata son jus sur mon anneau, Mico se précipita et d’une langue experte, elle me fit une toilette des plus sensuelles de ma rondelle encore toute dilatée. Sa position mettait son cul en bonne position et encore raide, sans préparation, il se planta dans la chatte toute humide, la pistonna, puis présenta son gland sur son anus et comme pour moi, il le perfora. Son cri résonna dans la pièce, maintenant c’était son tour de se faire prendre sans ménagement et comme pour moi sa douleur fit place au plaisir et de la parole, elle l’encourageait, le provoquant afin qu’il s’engagea au plus loin de son intimité. A nouveau il se retira pour éjaculer et son sperme s’étala sur les fesses de mon épouse.
Paulo resta avec nous cette nuit et ainsi Mico a été prise en double, et même en double vaginale, sa chatte étant distendue par les deux sexes hyper tendus.
Ce séjour restera comme un souvenir très chaud de nos vacances et il a alimenté de nombreuses soirées de jeux coquins.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Il a vraiment u de la chance le Paulo je suis de nantes moi si je peut renolacer le Paulo un jour pas de souci



Texte coquin : Séjour à Punta Cana
Histoire sexe : Une rose rouge
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