ANGELIQUE 2

- Par l'auteur HDS Mectôtverseau -
Auteur homme.
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Récit libertin : ANGELIQUE  2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Sodomie
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ANGELIQUE 2
Angélique ouvre les paupières et semble perdue un instant. Puis elle réalise qu’elle est seule dans cette chambre étrangère, dont les volets entrouverts laissent entrer un éblouissant rayon de soleil. Elle s’étire longuement en se remémorant l’extraordinaire journée qu’elle vient de vivre quand la porte s’entrebâille sur le buste de Gaultier.
-Bonjour !! Tu as bien dormi trésor ?
Cet affectueux qualificatif la transporte d’allégresse. L’accueillerait-il ainsi si elle n’était qu’un bon coup de passage ? Non !! Son visage est éclairé d’honnêteté et de bienfaisance.
-Bonjour Gaultier !! Merveilleuse nuit !! dit-elle en se redressant.
Les draps glissent, dénudant ses seins somptueux aux larges aréoles roses dont les pointes érigées mettent aussitôt Gaultier en appétit. Quand il entre dans la chambre, chargé du même plateau que la veille, Il a parfaitement conscience que son peignoir turquoise de velours rayé se tend de façon significative au niveau de son bas-ventre ; détail qui n’échappe pas à Angélique, dont il a surpris le regard.
Il s’assied au bord du lit et lui présente la collation qu’il a préparée. L’arôme d’un thé à la bergamote se mêle à celui d’une rose qui s’épanouit dans un fragile soliflore de cristal, ainsi qu’à la fragrance subtile du parfum de Gaultier, manifestement douché et rasé de près.
Angélique ne s’attendait pas à cela !! Elle pose sa main sur la sienne et il se penche pour déposer un langoureux baiser sur ses lèvres.
-Bois ma beauté, tu m’as dit aimer le thé brûlant. Nous descendrons plus tard pour un petit déjeuner plus consistant.
-Merci, dit-elle simplement en saisissant la délicate tasse de porcelaine anglaise.
Elle se rend compte qu'elle n'a pas encore osé lui accorder un "chéri" ou autre intime sobriquet, et que sa main sur celle de Gaultier est la première caresse qu'elle lui accorde réellement. Ce contact, ajouté à l'interprétation du "plus tard", réveille un sourd désir en elle.
Lui, immobile, la contemple dans une exhortation muette à s'enhardir. Hier il l'a provoquée, maintenant il veut qu'elle prenne les initiatives.
Elle abandonne sa tasse vide sur le métal froid, qu'elle repousse. Gaultier s'en saisit et le dépose au sol pour se tourner de nouveau face à elle.
Angélique soutient vaillamment son regard alors que ses mains tâtonnent sur le peignoir pour en dénouer la ceinture. Elle en écarte les pans et glisse ses paumes sur la toison grise et frisottante du robuste torse. Elles vagabondent dans les boucles soyeuses, remontent sur les épaules musclées. Enserrant sa nuque, elle frôle les lèvres de son amant, les presse, puis sa langue darde pour venir tourbillonner avec son alter ego.
Lui répond avec empressement à son étreinte, alors que les doigts effilés de la belle rampent le long de ses bras, abandonnent ses poignets pour se poser sur ses cuisses. Ils chiffonnent le tissu velouté pour le repousser et venir au contact direct de sa peau.
Son coeur accélère quand ils s’approchent du membre en érection. Gaultier perçoit nettement sa pudeur, aussi l’encourage-t-il en forçant subrepticement l’approche.
-Ma queue est pour toi mon bijou, fais-en ce que tu veux.
Sur cette verge qui a ravagé ses sens et mis à mal sa vertu, elle referme enfin ses doigts, qui s’animent délicatement autour.
Angélique ne se dissimule plus cette envie qui la tenaille depuis que Gaultier a franchi le seuil de la pièce. Elle appréhende un peu l’affriolante attention qu’elle compte pourtant bien lui accorder. Elle sait pertinemment que les hommes en sont friands, son mari le premier, mais elle n’en a jamais tiré un plaisir personnel. Aussi a-t-elle un peu peur de décevoir cet homme attentif aux moindres détails.
Mais maintenant, ce sont non seulement ses sens qui la dominent et la rendent plus féline, mais cette mise en demeure muette, qui lui donnent l'aplomb nécessaire à relever le défi.
Et puis elle doit bien s'avouer que ce corps lui plaît tout entier ; et se disant que ça n'était, inconsciemment, pas le cas pour son mari, elle amène doucement Gaultier à s’allonger sur le lit. Et se séparant enfin de ses lèvres, elle ondule langoureusement sur lui, ses tétins durcis dessinant de mystérieuses arabesques ; jusqu’à venir titiller le gland violacé.
-Oh que c’est doux mon bébé !! Souffle Gaultier ravi par l’exquise excitation.
Angélique y presse ses deux resplendissantes pommes pour le branler lentement de leur rondeur. A l’humidité évidente naissant entre ses cuisses, elle réalise combien elle prise elle-même ce savoureux toucher.
Elle l’intensifie encore et flatte maintenant de ses seins les bourses de son partenaire, pleines à craquer, alors qu’elle bécote son ventre. Gaultier gémit et se tend de plus belle quand elle balaie de sa longue chevelure brune son vît embrasé.
Puis Angélique le câline de sa joue à plusieurs reprises. Et rivant ses immenses yeux bleus dans le brun des siens, elle offre un premier baiser à son bourgeon congestionné.
-Huuuuuuuuuuuum, tu l’attises mon ange !!!
Elle voit cette fière épée se dresser vers ses lèvres sensuelles et fait mine de vouloir la happer ; mais y dépose un furtif coup de langue.
-Ouiiiiiiiii, amuse-toi !!! Fais-moi languir !!! Lance-t-il, comblé par cette impression qu’elle va prendre un malin plaisir à le satisfaire.
Ces incitations la grisent et commence alors un délirant ballet autour de cette trique turgescente, qui arrachent soupirs et gémissements au supplicié volontaire.
Tantôt Angélique effleure, pianote des doigts, ou fouette de la langue la collerette ventrue, tantôt ses lèvres coulissent le long de la bite tendue avide de gâteries. Elle amplifie ce divin manège, stimulée qu'elle est par les râles de Gaultier.
Elle gobe enfin le précieux champignon pour le malaxer précautionneusement de son étau buccal, avant d’avaler toute la longueur virile. Elle poursuit voluptueusement l’insolente sucette dans des va et vient toujours plus profonds, modulant sans cesse sa cadence.
Les troublants bruits de succion, doublés de ce pompage effréné, affolent autant les synapses cérébrales de Gaultier que les nerfs laminés de sa bite.
-Continue mon chatooooooon !!! Ouiiiiiiiii aspire moi fort !!! Mendie-t-il encore alors qu’Angélique n’envisageait pas du tout de délaisser ce savoureux sucre gorge.
Elle a perdu toute notion du temps et des convenances, et ne saurait dire si cela fait quinze minutes ou une demi-heure qu’elle mignote Gaultier, quand celui-ci, agrippant ses hanches, lui fait comprendre de se placer à califourchon sur lui. Elle se soumet à son injonction sans lâcher sa proie.
-Comme tu es une bonne suceeeeeuse ! Tète encooooooore ma chérie! Je vais bouffer ta chatte et ton cul !
Il s’empare alors de ces hanches qui attirent ses mains baladeuses, pour appliquer la corolle aux senteurs marines sur sa bouche ouverte. Il la lutine longuement de sa langue chercheuse, qui après s’être enfoncée avec frénésie dans sa salinité, fait des incursions de plus en plus insistantes sur l’œilleton palpitant ; ce qui distrait souvent Angélique de sa délectable taille de pipe, lui tirant de courtes onomatopées de bien-être.
Elle ne réfléchit d’ailleurs plus à son comportement, et s’active tout autant à se gaver de cette tige qu’à offrir ses deux orifices à une fouille minutieuse. La retenue a fait place à l’envie, la fougueuse a remplacé la timorée, et foin de la morale, elle a bien l’intention de se faire révéler à elle-même ! Mon Dieu que cette langue suce bien, et mon Dieu qu’elle veut encore de ce pilon qui la laboure !
Et lui la tenaille toujours :
-Fais-moi bien bander ma jolie ! Moi je m’occupe de préparer ton chat et ton ourlet à mes saillies !
Angélique ne se reconnaît plus. Mais elle ne va certainement pas faire fi de sa nouvelle personnalité !
C’est ça, se dit-elle avec rage sensuelle maintenant ! Assène-moi tes mots verts mon mignon ! Tu vas voir comme elle bonne ma minette ! Tu vas voir comme ma lune va bien t’avaler !
Et ce changement transparaît sans équivoque dans les bruyantes goulées qu’elle s’octroie. Gaultier ne s’y trompe pas. Il se dit qu’il a déniché sans le vouloir une partenaire prometteuse et il lui broute avidement le pistil et la rondelle. Quand elle commence à gémir, il lui insère tout un doigt dans cette dernière en continuant le délicieux calvaire sur son clito ; jusqu’à la faire crier sous un spasme, prélude à la baise qui va s’ensuivre. Et puisqu’elle en veut, elle va en avoir avant qu’il ne consente à la sauter !
Il enlève son beau biberon à ce bébé glouton qui le tète, et la fait habilement s’allonger sur le ventre. Là, il récupère le flacon d’huile et s’en recouvre abondamment les doigts.
Angélique subodore les bienfaits qui s’annoncent et se laisse docilement faire.
Gaultier pose le biceps droit sur sa taille alors que son avant-bras rampe sous son ventre pour amener la paume de sa main en plein sur sa motte ; et le festival commence.
Il frotte d’une cadence ralentie l’entaille poilue, alors que son autre main pétrit le cul rondelet. Quand ils ne palpent pas le haut des jumelles, les doigts de la main gauche se promènent dans la raie, sollicitant le macaron brun à chaque passage, jusqu’à ce que l’un, plus impatient, y plonge d’une phalange.
Alors celle-ci se fait avaler et libérer deux ou trois fois pour bien masser l’anneau, avant que le doigt ne s’y enlise tout entier ; pendant que le branleur de bouton s’active un peu plus vite.
-Oh ouiiiii, serine Angélique ! Encooooooore !
Et Gaultier se régale de ce bassin qui chaloupe, cherchant à faire masturber le clito et empaler le petit trou en même temps. De très longues minutes, il poursuit ce manège sous des plaintes de plus en plus longues.
Pour varier les plaisirs, il inverse alors l’enivrant traitement, et plante son doigt dans la minette alors que sa langue bouffe maintenant le cul avec ardeur, s’y enfilant souvent le plus loin possible.
Et là aussi, interminablement, il lèche l’ourlet, le gifle, darde de sa muqueuse à l’intérieur pendant que maintenant trois doigts barattent le minou.
Et Angélique réclame, jouit, encourage vertement. Gaultier l’assaille, fait durer, la fait juter encore et encore en alternant les deux possessions.
Il la sait complètement à sa merci, étendue là à plat ventre en travers du lit et pense qu’elle attend qu’il s’allonge sur son dos.
Mais il se trompe, ce n’est plus l’Angélique un peu réservée qu’il a sous son joug ; c’est la femme métamorphosée qui va se servir de son pal pour assouvir les instincts qui la dominent maintenant. Et elle tourne la tête vers le miroir qu’elle ne quittera plus pour bien voir ce qu’elle va subir maintenant.
Alors que Gaultier change sa position, elle ramène ses genoux sous elle. Et c’est en levrette qu’elle offre ses deux collines charnues aux attaques imminentes.
-Monte-moi ! ordonne-t-elle d’une voix rauque chargée d’animalité en le fixant de ses grands yeux troublés.
-Oh oui ma jolie, je vais te la fourrer profonde pour une longue et sauvage chevauchée !!!dit-il s’enduisant copieusement d’onguent.
Angélique est captivée par la vision de cet imposant chybre qui se cale, immobile, dans son sillon duveteux. Ce torride contact la galvanise. Elle s’anime, soulève son bassin pour capturer sa proie dans sa vallée interdite et la branler d'abord doucement, puis de plus en plus frénétiquement.
-Oh que tu la branloches bien……oui piaffe ma pouliche !!!.... .tu vas l’avoir bien raide !!
Toujours impassible, il savoure les caracolades impatientes de sa maîtresse ; qui attire et presse son pieu à l’entrée de l’huis clos. Et d’un léger coup de reins, accompagné d’un « Ooooooooooh Gaultiiiiiiiier ! » qui lui fustige tout le corps, elle se l’emmanche d’elle-même, ne gobant que sa truffe violacée. Puis elle s’éloigne, libérant la délicieuse intruse pour mieux l’avaler de nouveau.
-Ouiiiiii, fais-toi du bien mon trésor !! Souffle-t-il alors qu’elle se déflore à plusieurs reprises.
-Oh je te veuuuuuuuuuuuux !! clame-t-elle en l’enfournant d’un seul élan jusqu’aux couilles.
-Voilàààààààààààà !! Sois chienne !! Prends-la bien !!
Dans la glace elle se voit happer cette bite avec avidité et elle accélère ses déhanchements, coulissant frénétiquement sur cet axe fouisseur.
Gaultier, lui, est totalement hypnotisé par ce dos qui ondoie souplement, par cet œillet qui coulisse hardiment. Il sent déjà sa lave qui se manifeste, aussi décide-t-il de calmer l’ardeur de sa partenaire en lui maintenant fermement la taille de son avant-bras.
-Tout doux ma belle !!! Quelle excitée ce matin !!!Ce serait dommage de t’accorder déjà mon foutre!!! Lui dit-il, rieur.
Et bien gainé jusqu’à la garde dans l’étroit réceptacle, il glisse son autre main jusqu’au clito qu’il triture, énergique. Il sent le corps d’Angélique se tendre, se cambrer dans l’étau de son bras. Elle se contracte violemment sur son braquemart, hurlant presque sous la déferlante.
Sa propre excitation atteignant son apogée, il se retire de l’accueillante galerie pour s’engouffrer dans sa chatte pleine de mouille. Moins sollicitée, sa trique va pouvoir la limer sans craindre de répandre trop vite son sirop.
Augurant que sa conquête est apte aux orgasmes multiples, Gaultier continue à forer sa foune, la harcelant d’attentions de plus en plus furieuses. Un deuxième spasme la secoue de nouveau. Elle se cabre, rejetant ses cheveux en arrière qui tombent en une superbe cascade dans le creux de ses reins. Gaultier voit dans les glaces le regard fiévreux de son amante.
-Tu en veux encore ? Gourmande !!!!
Toujours cloué en elle, il lâche sa taille et se redresse. Et sans cesser de la besogner activement, il écarte les deux rondeurs jumelles et lui introduit sans vergogne son majeur dans sa cocarde.
-Oh ouiiii ! Fait-elle.
Alors toujours lui lustrant l’escarcelle, il anime celui-ci d’un court va-et-vient dans cet entonnoir qui l’enserre savoureusement.
Angélique, bien dévergondée, ne se pose plus la moindre question et attaque d’un balancement d’avant en arrière la bielle qui la pistonne. Et Gaultier, comme habitué maintenant, doit la tempérer en lui empoignant les hanches pour garder la main mise sur le coït.
Matant la lune et son orle brun bien ouvert, il pense que c’est là qu’il doit finir par éclabousser sa monture de la puissante éruption qui se prépare. Et pour ça, ce qui lui passe par la tête est inouï. Cette grâce légère comme une plume, docile à souhait, chaude comme la braise, mérite bien le traitement qu’il envisage pour elle.
Et pour qu’elle garde un souvenir impérissable de son court séjour dans cette chambre, et il l’espère l’idée d’un revenez-y, il met un point d’honneur à vouloir la faire bramer encore deux fois. Aussi, tâchant de garder le self-contrôle qui sied à la situation, il rythme le flux et le reflux de son pal immergé dans le gouffre inondé de cyprine. C’est à coups de reins mesurés qu’il la baratte ; elle psalmodiant toujours de la gorge, ruant comme un cabri.
Quand le lamento s’amplifie, il se met à accélérer la baise en lui enserrant d’un bras le bassin, l’autre main se plaquant sur son tabernacle pour y malmener la petite crête érectile.
-Oh ouiiiiiiiiii ! Fait-elle alors qu’elle tétanise sous les impacts.
Gaultier sent le petit ruisseau qui coule sur son pivot et est satisfait que la beauté diaphane donne encore des hanches ; elle va avoir ce que lui a décidé.
Après une petite moue de désappointement vite réprimé, elle se livre à nouveau comme une poupée à son partenaire. Elle a bien assimilé qu’il n’est pas homme à la laisser au bord d’un nouvel et certainement dernier envol !
Angélique se retrouve debout devant le miroir et a les yeux de Gaultier, dans les siens. Elle l’a vu s’emparer du flacon d’huile et il doit s’en enduire sa délicieuse matraque. Pas d’équivoque ; elle va se le faire enfourner dans sa petite lunette, c’est évident. Et elle sait aussi qu’il n’est nul besoin de la lubrifier, ses abondants sucs alliés à l’onction généreuse sur le dard dressé seront suffisants.
La bouche de Gaultier vagabonde sur ses épaules et sa nuque pendant qu’une main sur son ventre, il applique de l’autre la grosse cerise sur sa rosace. Et celle-ci ne rencontre aucune difficulté à s’enliser juste ce qu’il faut pour tirer d’Angélique un « ohhhhhh » de pure régalade pour l’ouie attentive de Gaultier.
Alors vient la surprise !
-Maintenant tu vas te la happer toute entière ma douce !
De sa position jambes légèrement pliées puisqu’elle est plus petite que lui sans ses chaussures, il se met debout de toute sa stature en la ceinturant des deux bras à la taille, la grosse olive toujours enfichée.
Angélique, ne touchant plus le sol, se sent bientôt irrémédiablement conduite vers le bas par un mouvement prémédité de Gautier ; et une mélopée ininterrompue emplit alors la pièce pendant que le fourreau avale l‘épée sans coup férir.
-Ca te fait du bien hein ? Attends la suite mon trésor !
Et il réitère plusieurs fois son supplice alors qu’elle essaie d’attraper son cou en mettant ses bras en arrière, pour l’aider. Elle a aussi le réflexe d’attraper ses mollets avec ses pieds mais lui n’a pas besoin de ça ; il supporte aisément le négligeable fardeau.
Par petits à-coups le long de son torse, il la projette en l’air de quelques centimètres, à presque ressortir son étendard, avant de la recevoir encore et encore sur toute la longueur de celui-ci.
Angélique beugle sous le plaisir intense. Et Gaultier lui, se tait malgré les ondes qui le parcourent ; c’est trop beau à entendre !
Le frottement est divin pour les deux, et Gautier a cette fois des velléités à lui expédier sa gelée royale. Pourtant, il va attendre de pouvoir arrimer ses yeux aux siens dans la tourmente, et y suivre la montée de la vague finale.
Affamé des plaintes ininterrompues d’Angélique, subjugué par ses deux seins lourds qui ballotent au rythme de ses assauts, il la cramponne d’un bras ferme et vient chahuter cette petite perle qu’il voit érigée dans le miroir complice. Tout le corps d’Angélique s’électrise, tremble. Il perçoit dans son regard l’instant où ses sens vont chavirer. Il la soulève pour l’arracher à l’emprise de son mandrin, la dépose au sol un instant. Elle n’a pas le temps de se demander le pourquoi que Gaultier la fait pivoter face à lui, la soulève dans ses bras. Elle passe ses bras autour de son cou, et encercle sa taille de ses jambes. Il positionne ses mains sous les fesses et les écarte pour lover son engin face à la lucarne inassouvie. Et là, ses pupilles dorées rivées dans celles lagunaires d’Angélique, il la taquine de son gland qui frôle, se presse, s’éloigne. Mais la belle toujours au bord de l’orgasme hurle presque son ordre :
-Encule-moiiiiiiiiiiii !!!
L’autoritaire commande le fustige.
-Voilàààààààààààà !!! Beugle-t-il en l’épinglant aussitôt de toute sa hampe. Il la plaque contre l’armoire pour la pilonner comme un forcené, saoulé des halètements et des « Oh ouiiiiii, continue, encoooooooore » impérieux de son amante
-Je vais gicler dans ton cuuuuuuuuul !! Et un long cri caverneux jaillit de la gorge de Gaultier à l’instant où il livre par saccades son puissant geyser de foutre chaud.
Angélique est emportée dans la tourmente au premier soubresaut éruptif. Elle ressent chacun des tressautements de cette bite enfin rassasiée. Puis le calme revient. Elle s’attend à ce que Gaultier la dépose au sol, mais celui-ci, la tête en arrière, les yeux fermés savoure cette baise de folie. Il va la garder ainsi encore quelques longues minutes, faisant coulisser lentement son glaive encore raide dans le somptueux étui. Puis enfin il s’immobilise et prend les lèvres d’Angélique pour un baiser chargé de tendresse.
-Nous baiserons encore ma beauté. Je ne vais plus pouvoir me passer de toi maintenant. Dit-il alors qu’il la dépose délicatement sur le sol en la maintenant enlacée.
-Oh oui mon chéri. Elle est troublée autant par ce « chéri » qu’elle vient enfin de lui accorder que par cette promesse d’un futur des plus sensuels.
Ils se caressent le dos, les flancs, les fesses se butinant toujours des lèvres. Ils restent blottis l’un contre l’autre comme aimantés. Puis comme à regret, Gaultier la repousse gentiment. Elle le voit ouvrir une des portes du meuble et en sortir un peignoir de velours parme, qu’il lui aide galamment à enfiler.
-Nous allons prendre le petit déjeuner sur la terrasse, mon petit chaton, il fait un temps superbe. Et il lui dépose un léger bécot dans le cou.
Comme la vie est stupéfiante. Elle était venue pour acheter une chambre et elle trouve un amant empressé et diaboliquement séduisant. Pour le moment elle ne pense ni à sa fille, ni à la femme de Gaultier mais se délecte de leurs ébats passionnés et à ceux qui se profilent à l’horizon. Et elle est loin d’imaginer ce qui l’attend encore.

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