Carla la turfiste

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Carla la turfiste Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Carla la turfiste
Presque tout les jours, vers 13 heures, elle arrive au bar. Elle joue au tiercé et
reste là jusqu’à la fin des retransmissions des courses. Elle gagne parfois. Dans ce
cas elle m’offre un verre de champagne que je ne peux refuser, les ordres des clients
sont normaux. La seule chose est que le champagne, à cause des bulles sans doute me
donne des fourmis dans le bas ventre, en souvenir de mes premières fois, de mes
premiers orgasmes avec une copine.
Aujourd’hui est spécial, mis à par cette femme personne n’est client. Je ne sais
pourquoi personne n’est venu. La joueuse elle est bien là à regarder les courses. Elle
gagne aujourd’hui plusieurs fois. Le champagne me monte à la tête. Je la regarde en
détail: elle est belle, blonde, avec une paire de seins à faire traverser une route à
un aveugle. Je n’ai jamais fait attention à ses fesses: magnifique. Je sens mon ventre
se crisper; j’ai envie d’elle.
Comment faire comprendre à cette nana que je le voudrais nue contre moi dans le lit.
- Vous êtes bien jolie aujourd’hui.
- Comme d’habitude.
- D’habitude j’ai trop de clients pour vous voir comme aujourd’hui.
- Merci, heureusement que vous êtes une femme, sinon je croirais que vous me faites la
cour.
- Oui, je suis une femme qui vous fait la cour. J’aime bien les femmes dans mon lit.
- Ne me dites pas que vous me voulait
- Si justement j’ai envie de votre corps, de vous aimer, de vous caresser partout, de
vous faire jouir plusieurs fois.
- Je n’ai jamais fait ça avec une femme.
- Voilà le moment d’essayer une fois au moins. On peut le faire facilement: je ferme
la boutique le temps de nous régaler.
Je n’attend pas sa décision qui ne viendra jamais: je ferme les portes, je descends
les rideaux de fer. Je viens vers elle, je la regarde de près, très près. Elle
m’excite encore un peu. Je ne peux plus tenir, je vais la prendre dans mes bras: je
l’embrasse. Ses lèvres restent closes, je suis obligé de forcer pour qu’elle
l’entrouvre juste un peu. J’ai juste la place pour passer ma langue pout trouver la
sienne cachée au fond de sa bouche. Je caresse sa poitrine par-dessus ses habits. Le
miracle a lieu à ce moment. Elle ouvre sa bouche: nos langues s’expriment en longues
caresses.
Je la prends complètement dans mes bras. Un bras autour des épaules, l’autre autour de
sa taille. Je sens les siens contre mon cou. En forçant un peu je lui fait écarter les
jambes pour passer une cuisse contre son bas ventre. Je commence à la faire aller et
venir, sur sa chatte. Et enfin:
- Oui, c’est bon, il y a longtemps que je n’ai pas joui.
- Je vais te donner ce qu’il faut pour jouir.
- Quoi donc ?
- Mes mains, ma bouche et mon clitoris.
- Pourquoi moi ?
- Parce que tu es là. Pour t’appendre le véritable plaisir j’entrerai toute ma main
dans ton con.
- Ca dois faire mal ?
- Oui, au début, après tu jouira comme jamais. Tu veux ?
- Oui, baises moi.
Nous nous embrassons encore avant de monter dans ma chambre: je suis veuve depuis plus
de 2 ans, je n’ai pas d’amant, je me branle souvent: aujourd’hui j’ai envie de jouir
avec quelqu’un. Elle fera l’affaire. Je n’ai qu’à me souvenir de ma jeunesse pendant
laquelle je « m’amusait » avec une copine à jouir avec, c’était agréable de nous
sucer.
Maintenant je suis libre de la déshabiller lentement. Il lui reste peu de pudeur,
elle se cache avec les bras la poitrine que j’ai découverte, pareil pour la chatte. Je
pose mes mains sur ses fesses que je caresse de haut en bas pour finalement entre dans
sa raie culière un doigt, un seul, que je descend lentement vers son petit trou qui,
je le pense doit être vierge. Je sais que je vais la dépuceler avec mon gode.
Je caresse l’anus au passage. Elle avance son arrière train: c’est bien ce que je
pensais elle est vierge. Je zappe cet endroit pour continuer mes recherche. Je trouve
sa chatte quand même humide, trop humide. Son clitoris est sorti. Je caresse lentement
le grain de riz. Elle se cabre en enlevant ses bras de sa poitrine et sa main de la
chatte. La voilà qui se cabre, qui se donne maintenant à moi. Ma caresse ne cesse pas:
je la sens se crisper encore plus: elle jouit.
Elle ne s’en fait pas pour moi, je suis trempée, j’ai un besoins maladif de jouir
comme il faut, je voudrais sa main sur la chatte. Je vais devant elle, me colle contre
sa poitrine, prends sa main droite que je pose sur mon sexe. Enfin elle comprend que
moi aussi j’ai des besoins, comme elle: sa main se pose enfin sur ma chatte. Elle
fouille un bon moment avant de trouver enfin mon bouton. Elle hésite:
- Branles moi comme pour toi.
- Je ne me branle jamais.
- Comment ça, tu ne te caresse jamais le con ?
- Des fois, si.
- Bien c’est ça se branler !!!
Je me demande si elle est normale, une femme d’une trentaine d’années qui ne sait pas
se branler: on voit ça dans les romans à l’eau de rose. Enfin elle caresse comme pour
elle. Je ne demandais que ça. Elle est douée, elle doit se faire du bien. A moi elle
ne donne pas mal.
Je sens ses seins contre mon dos, sa main sur la chatte, son souffle dans le cou,
juste avant qu’elle y pose ses lèvres. Elle fait des progrès mine de rien. Je me
caresse la poitrine pour ajouter un peu de sel à notre union. Elle arrive, malgré son
inexpérience à me donner le grand frisson. Je m’entend crier ma jouissance.
Je me retourne brusquement pour la pousser sur le lit, elle y tombe les jambes
ouvertes. Je peux voir enfin sa chatte: un peu rosée, mouillée, le puits entrouvert
ainsi que le cul. Je vais me régaler. Je viens de jouir, je peux encore attendre. Je
passe ma tête entre ses cuisses. Elle en a l’air étonnée. Je lèches l’intérieur de ses
jambes en montant lentement. Elle sait où je vais.
- Attention, je passe pas ta langue sur mon con.
- Pourquoi, il est malade ?
- Non, il n’est pas très propre.
- J’aime quand un sexe et naturel, alors je vais te sucer.
C’est vrai qu’il sent un peu fort, surtout l’urine. Quand ma langue arrive sur ses
lèvres, elle me laisse faire, en poussant de nombreux soupirs. Ma langue se loge entre
ses grosses lèvres pour atterrir sur son clitoris. C’est de cet endroit que sort
l’odeur de pipi. Ce n’est pas désagréable, c’est même excitant.
Je lèche son bouton d’abord avant de le prendre dans la bouche pour presque l’avaler.
Elle sursaute de plaisir maintenant; je vois son ventre se creuser comme pour faire
participer tout son corps au plaisir qui arrive. L’instinct sans doute la pousse à se
caresser les seins.
Mes mains viennent participer au cunnilingus: j’entre deux doigts dans la caverne de
devant: mes allers et venues sont longues. J’aime sentir son con plein de mouille. Je
change de doigts pour que les premiers fassent connaissance avec son rectum. Je ne
fais que le frôler au début puis lentement j’entre dans son cul. Il est très étroit:
elle est vierge de ce coté là. J’entre quand même les doigts qu’elle devrait
supporter.
- C’est bon, qu’est-ce que tu me fais ?
- Je te caresse le cul.
- Je ne savais pas que c’étais si agréable.
- Tu en veux plus ?
- Oui.
- Je te le dépucèlerais après avec mon gode.
- Oui.
Je reprends cette caresse sans arrêter mes léchage: elle en jouit toujours plus.
Je me tourne complètement, j’ai envie moi aussi de sa langue. Je ne sais si elle
acceptera ma chatte sur sa bouche. J’essaye. Je l’enjambe je pose directement mon sexe
sur la bouche. Je suis surprise de la réaction: sans être contre elle accepte avec
certains réserve. Est-ce que mon sexe et propre. Je me lave souvent cet endroit avant
de me branler ou plutôt c’est-ce qui m’excite pour me masturber. Rassurée elle sort à
peine sa langue que je sens quand même fouiller ma crevasse. J’appuie mon corps sur
elle: elle comprend ce que je veux, alors elle lèche normalement le clitoris et les
lèvres. Elle se débrouille tellement bien qu’elle me fait jouir sur sa bouche.
- Tu veux que je t’encule maintenant ?
- Oui, s’il te plait, fais moi mal.
- Non je veux de faire du bien.
Je sort mon ami, mon gode. Je le lui montre:
- C’est trop gros.
- Mais non regarde:
Je me baise avec: il est entré facilement: je ferme les yeux pour mieux profité du
plaisir qui monte: j’ai pris la fâcheuse habitudes de me branler souvent avec. Je
gémis tellement que je cris presque en jouissant sans honte devant mon amie.
- Il t’a fait jouir, mets moi le dans le cul.
- Je vais d’abord d’y préparer. Ton cul n’est pas encore au point. Laisse toi faire.
Je mouille tous mes doigts, j’entre d’abord le premier doigt qu’elle accepte
volontiers. J’en met un autre de l’autre main, elle l’accepte aussi. Je tire mes
doigts pour écarter son anus. Elle se plaint bien un peu pour accepter l’écartement.
J’ouvre au maximum avant de lui mettre encore un doigt. Je vois maintenant qu’elle ne
se crispe plus, j’ai plus de facilité pour lui branler le cul. Son anus reste ouvert
quand j’ai fini.
Pour lui faire du bien je trempe le gode dans son vagin. Je la baise un instant pour
bien mouiller la fausse bite qu’elle apprécie. Elle est maintenant en levrette. Je lui
demande de mettre encore de sa cyprine avant. Quand j’estime que c’est assez je lui
colle le gode à l’entrée de l’anus. Son trou est toujours un peu ouvert: elle
appréciera la sodomie.
J’entre facilement en elle; elle pousse un cri de surprise:
- C’est vachement bon. Pourquoi je ne me suis jamais faite mettre dans ce trou.
J’en profite au maximum. Si ma main droite tient le gode pour le rentrer, ma main
gauche cherche un peu son clitoris. La petite salope m’a devancé. Les bonnes habitudes
se prennent vite. Mes yeux sont visés sur sa rondelle. Je vois exactement comment le
gode entre et sort. Je n’en peux plus, je m’occupe de mon sexe. Je remarque qu’elle
jouit facilement plusieurs fois. J’en veux à mon tour. Après ce que j’estime une
dernier jouissance, je sors le gode pour le mettre en moi. Je suis sur le dos, elle
peut tout voir; je mouille un peu mon rectum, j’enfonce le gode presque au bout. Je
commence à me sodomiser quand elle m’arrête pour me remplacer.
Je ne peux que la laisser faire ce qu’elle veut. Elle est devenue une bonne lesbienne,
disons une bonne bisexuelle.
Pour se reposer, elle se couche sur le ventre sa bouche sur la mienne, une main sur un
sein quand moi je caresse doucement ses fesses comme je le ferais avec une chatte.
Nous restons couchées, nues jusqu’au lendemain matin. De temps en temps nous nous
aimons. Elle se souviens que je lui avais fait une promesse. Elle tient absolument à
se faire fister. Heureusement que j’ai un peu de lubrifiant naturel. J’en passe sur et
dans la grotte. Elle se prend à rêver d’un orgasme hors norme ce que je confirme. Je
lui fais écarter les jambes au maximum. J’arrange mes doigts pour bien la pénétrer.
Lentement j’entre dans sa chatte facilement. Je vois surtout ses chairs d’écarter
devant ma main qui entre en entier jusqu’à mi avant bras.
Elle me dit qu’elle a mal, ce que je comprends: c’est son premier fistage. Enfin elle
ne dit plus rien, elle ferme les yeux comme quand je la sodomisais. Elle gémit de plus
en plus fort: j’en mouille. Elle se tortille dans tous les sens tellement le plaisir
est à son comble. Elle jouit plusieurs fois consécutivement.
- Mon dieu que c’est bon. Pourquoi je n’ai jamais connu quelqu’un qui me fasse ça.
- Tu m’as maintenant, je te le ferai autant de fois que tu veux, même dans le cul.
- Oh Oui, dans le cul.
- On verra plus tard.
Je ne suis pas sure que dans le cul ce soit si agréable que dans le con. En attendant
elle jouit pire qu’une folle. Je pense soudain à une bêtise: je ne connais pas son
prénom: entre deux baisers, elle me le donne juste en jouissant: (défense de rire)
- Carla.

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