Cécille dans le bois

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Cécille dans le bois Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Cécille dans le bois
Nous sommes quatre à habiter en banlieue lointaine. Un jour nous décidons de faire du
covoiturage, nous avons les mêmes horaires, nous ne travaillons pas trop loin. Chaque
semaine nous changeons de véhicules : nous économisons de l’essence et des kilomètres
à nos compteurs. Nous bavardons entre nous : c’est plus sympa que de se morfondre
seul. Il arrive, rarement, que l’un de nous ne puisse venir soit parce qu’il est
malade, soit parce qu’il doive aller faire une course.
Un matin arrive l’impensable, les deux hommes font faux bond. Nous nous retrouvons
seules avec Cécile. C’est notre premier voyage seules. Au début nous évoquons les deux
hommes presque comme des disparus.
- Tu sais je crois que si nous étions seules sans arrêt tu me ferai faire des bêtises,
me dit Cécile.
- Quelle genre de bêtises ?
- Regarde où t’arrive la robe.
Elle a raison le bas de ma robe pourtant sage est presque à la limite de ma culotte.
C’est bien la première fois qu’une copine me fait ce genre de réflexion. J’essaie
comme je peux de redescendre ma robe, je n’y arrive pas. C’est Cécile qui dans un
geste honorable arrive en forçant pendant que je me relève un peu à remettre la robe
en place. Nous entrons en ville quand je remarque qu’elle regarde vers mes jambes.
Encore un coup du tissu de la robe.
- Si tu reste comme ça longtemps je vais avoir envie de toi.
- Pourquoi tu es lesbienne ?
- Non, je pourrais le devenir à force de voir tes belles jambes.
Sur le moment je ne relève pas le désir, nous arrivons, donc au soir.
Pendant mon travail je repense à Cécile et son désir. Finalement, étant célibataire
par contrainte, je ne dirais pas non à une brève rencontre. Et puis non, je ne
pourrais jamais plus la revoir comme copine et que diraient les autres. A force de
remuer l’affaire j’ai envie de me masturber. Je passe le temps de mon plaisir dans les
toilettes. Je pars en oubliant de remettre ma culotte. Tant pis, elle est aussi bien
dans mon sac.
17 heures nous voilà en route pour la maison. Cette sacrée robe fait des siennes. Je
repense maintenant que je ne porte pas de sous vêtement. Cécille risque de voir ma
chatte. Je conduis en descendant sans arrêt le bas de la robe.
- Tu en fais bien des histoires avec ta robe, laisse la faire comme elle veut, tu n’en
mourras pas.
Je ne vais pas lui dire que je suis nue dessous : elle prendra ça pour une invite.
- Reste tranquille, tu vas nous faire avoir un accident.
- Ca vas j’ai compris, tu veux voir mes cuisses : les voici.
Je laisse le tissu monter comme il veut. Bien sur mon figue est en vue. Cécille le
voit bien elle aussi. Elle ne dit plus rien, regarde la route, pas mes jambes ; C’est
quand je sens sa main sur ma cuisse, caressantes main que je comprends que son désir
n’est pas feint. Je ralentis pour ne pas me laisser distraire par une suite
inévitable.
Sa main vient entre mes cuisses, là où la peau est sensible aux caresses. Je ralentis
tant que j’engage la voiture sur un petit chemin forestier ou je stoppe.
- Je préfère arrêter ici, j’ai peur de provoquer un accident.
- Tu as raison.
- Continue si tu veux.
- Je veux, justement, j’ai envie de te donner du plaisir.
Sans réponse de ma part elle continue sa caresse. C’est drôlement agréable de se faire
caresser, surtout que la caresse monte vers ma chatte. Je sens que je suis totalement
mouillée. Qu’elle se dépêche, j’ai envie de jouir encore. Ce que j’ai fait aux
toilettes ne compte pas pour moi. Je sens distinctement son pouce sur ma jambe et les
autres doigts montant lentement. Enfin elle arrive à me toucher le point névralgique,
elle est rapidement sur mon bouton durci par le désir. Elle effleure mon pistil
lentement trop lentement. J’avance sur le siège pour que ma moule soit à sa hauteur
que ma robe monte encore plus. Je sens maintenant le tissu du siège rugueux sur mes
fesses. Je m’excite seule en plus. Cécille accentue sa pression, elle fait monter dans
mon ventre le début d’un orgasme. Je serre les dents pour ne pas jouir si vite.
Pourtant j’ai beau faire je n’arrive pas à retenir mon souffle quand je pars dans un
bel orgasme. Je reste prostrée un instant quand :
- Tu as jouis ?
- Oui.
- Branles moi.
- Je n’oserais pas
- J’ai bien osé oui.
- Oui.
Elle enlève son string, relève sa jupe et me montre sa chatte. Je vais comme elle, je
caresse d’abord les cuisses pour arriver sur son clitoris. Je ne sais pas faire comme
elle, alors je la branle comme je me branle. Il faut croire que je réussis bien, elle
jouit en geignant.
Je ne pensais jamais ce matin en partant qu’au retour nous en serions à ce point.
- Vas plus loin avec la voiture, nous baiserons là bas ;
Sans réfléchir j’avance la voiture d’un bon kilomètre pour nous trouver totalement
isolées. Nous sortons du véhicule : je ne connais pas la suite qui arrive vite ;
Cécille commence à me déshabiller : le plus fort est que je me laisse faire. Je suis
dans ces bras, elle m’embrasse sur la bouche. J’apprécie ce baiser plus que d’une
bouche d’homme, je ne sais pourquoi. Cécille a pris ascendance sur moi. Elle me
demande de la déshabiller à mon tour.
Nos corps nus s’enlacent. Nos bouches sont toujours occupées dans un long baiser.
J’apprécie de sentir sa poitrine contre la mienne. Elle appuie son pubis contre le
mien. Si nous étions sur un lit, nous pourrions nous coucher, mais là sur un chemin
forestier, mis à part une souche ou le capot de la voiture nous n’avons rien pour nous
caresser. Cécille encore elle choisit le lieu : la souche d’arbre. Elle a raison, il y
a de la place pour nous deux.
Nous sommes assises, nues, exposées aux regards de tous. Nous ne nous préoccupons pas
de regards étrangers ; nous sommes prises par le démon du plaisir partagé. Nues nous
embrassons encore, penchées que nous sommes vers l’autre. Elle prend un sein, le
caresse : je sens mon téton bander. Je suis mal placé pour lui rendre la caresse. Il
me semble qu’elle en profite. Je prends sa taille pour au moins la serrer contre moi.
Je sens sa chaleur contre mon corps, je voudrai la sentir contre moi, sur moi.
Elle place à nouveau sa main entre mes jambes. Je les écarte plus que nécessaire. Elle
est très douce, je l’attends sur le clitoris, elle met directement deux doigts dans le
puits d’amour. Elle me masturbe comme si elle avait une bite dans ma chatte. Je crispe
les muscles sur vagin pour lieux la sentir. J’aurais du lui en faire autant en même
temps, je n’ai même pas eu l’idée de le faire. L’inévitable arrive quand je sens
monter encore une fois l’orgasme. Dieu qu’elle branle bien.
Enfin à mon tour je pose ma main directement sur son abricot. Il est juteux à point,
je le touche à pleine main avant de le gouter en léchant mes doigts. Je reviens sur
elle. J’entre directement un doigt dans son vagin, je ne force pratiquement pas quand
j’en mets un autre dans son cul presque ouvert. Ma main va et vient dans ses
entrailles. Le résultat n’est pas maigre, elle jouit bien mieux que la première fois.
Et puis je ne sais ce qui se réveille en moi, je me mets à genoux devant elle,
j’écarte ses cuisses, ma tête est entre ses jambes. Je vois bien maintenant tout son
sexe : ça m’excite encore plus. Je lèche ses cuisses, à l’intérieur, j’arrive ainsi
petit à petit sur sa moule : quel festin pour moi. Je lèche, j’aspire son jus, je la
baise avec la langue que je descends sur son rectum dans lequel j’entre avec plaisir.
Ses doigts caressent mes cheveux, ma tête, je ne sais plus. Ce que je sens ce sont ses
nombreux spasmes d’orgasme presque continus.
Quand le me relève elle tient à mes lèvres : elle goute ainsi tous ces gouts. Elle se
lève pour m’embrasser encore, venir sur mes seins, et se pencher complètement pour me
rendre ce que je lui ai fait. Je sens sa langue partout sur ma chatte, même dans des
endroits inédits.
C’est la nuit tombante qui nous oblige à nous rhabiller et partir. Pendant le reste du
trajet nous nous mettons d’accord pour nous rencontrer en secret (dans les petites
banlieues il est impossible de se voir souvent la nuit). Nous pouvons nous trouver une
passion commune respectable comme les timbres par exemple. C’est-ce que nous faisons
depuis plusieurs mois sans que personne ne se doutent que nos collections sont des
orgasmes accompagnés de caresses buccales ou manuelles et depuis plusieurs semaines
par des godes bien utiles pour les filles pas encore complètement convertie à Lesbos.

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